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URBANISME - Page 52

  • LA GALERE A VANVES DES RIVERAINS DES CHANTIERS ARISTIDE BRIAND : « c’est le bazar ! »

    Les riverains des cinq chantiers immobiliers de la rue Aristide Briand ont donné une idée de l’enfer qu’ils subissent à l’occasion de la réunion de suivie régulièrement organisée par la mairie avec les promoteurs ou leurs représentants, la sentinelle (Gérard Laubier) et depuis peu, le régulateur de trafic (M.Deschamps) mis en place par la ville voilà quelques mois, comme ce fut le cas, Mercredi dernier en fin d’après midi à la maison de retraites Larmeroux. Pascal Vertanassian, maire adjoint qui animait la réunion a eu face à lui, des riverains tout à fait mécontents « du ballet de camionnettes (blanches)  qui ne sont pas  mieux que les camions » lorsque le gros œuvre est terminé. D’autant plus qu’il s’agit de nombreux sous traitants moins bien maîtrisés par l’architecte ou un chef de chantier comme c’est le cas lors de la phase gros oeuvre 

    « C’est le bazar ! » selon les riverains. Malgré la présence du régulateur qui fait de son mieux « pour contraindre les récalcitrants » entre 7H et 9H et qui  a été confirmé par la mairie lors de la dernière réunion publique du quartier des Hauts de Vanves. « Il a fait pas mal d’écrémage. Mais certains passent à travers les filets et arrivent maintenant à 5H » constatait le DGST (Directeur Général des Services Techniques) qui a donné un bilan de son activité : Sur 150 matinées de présence, 90 l’ont vu intervenir pour stopper les livraisons avant 7H30, heure du démarrage des chantiers, car les nuisances se déroulent entre 7H et 9H lorsque les camions arrivent et que les riverains partent au travail. « Maintenant, ils viennent avant la mise en place du dispositif chaque matin alors que le régulateur est là dés 6H ! » Et il a donné des exemples avec l’enlèvement d’une benne utilisée sur le chantier Vinci : « Elle a été enlevée et remplacée  une première fois à 5H55. Je suis intervenu pour dire au chauffeur de ne pas venir avec 7H30. Le lendemain,  il est venu à 5H »  a raconté M.Deschamps qui a été menacé par l’un d’entre eux qu’il a repoussé. « Les chauffeurs n’en n’ont rien à foutre ! » selon un riverain qui s’est vu entendre dire par l’un d’entre eux :« J’arrive de Charleville Méziéres. J’en ai rien à foutre de vos conneries ! ». Sur le chantier d’Akera Proderim (résidence Atelier) qui est en cours de finition, 14 camionnettes sont arrivées un jour en même temps pour décharger et ont bloquée la villa des Matrais. « Les chauffeurs sont désagréables ! Il n’y en a un un qui est arrivé à 7H. Il n’a pas pu décharger la terre avant 11H. Et bien il est resté là  avec son camion qu’il a bricolé, en mettant la musique à fond. Un autre a bloqué pendant une heure la villa des Matrais à l’heure des départs à l’école et au bureau et il est allé boire un café à la gare en prenant son temps » ont raconté les riverains de la villa des Matrais. « Maintenant, j’appelle la police systématiquement » a indiqué le régulateur. « Nous examinons avec le maire comment la police municipale peut venir vous rejoindre et vous appuyer » a indiqué Pascal Vertanassian.

    Les représentants des promoteurs avaient fait le point sur l’ensemble des chantiers auparavant : Un est terminé, la Villa Coche, « les trottoirs ayant été complétement refait et la zone restituée en l’état initial » selon le DGST. Un autre est sur le point d’être livré, le 14 Juillet prochain, puisque ses habitants pourront commencer à s’installer dès le 1endemain : Il s’agit de l’Atelier (26 logements) d’Areka Proderim  à l’angle de la Villa des Matrais et de la rue Aristide Briand en cours de finition. « Les plantations seront réalisées en Novembre » a indiqué le représentant du promoteur qui a dû répondre à des riverains mécontents de l’endommagement de la chaussée provoqué par les camions lors du chantier, et un affaissement provoqué par la décompression des sols, en réfutant sa responsabilité au vu du rapport de l’expert : « On ne peut pas laisser comme cela une chaussée défoncée par vos camions ! Pourquoi ne faites-vous pas comme Vinci qui a remis en ordre entièrement  l’impasse Marcheron » a demandé Gérard Laubier à ce représentant qui chipotait sur l’état de la rue en ayant une expression malheureuse : « Ne nous prenez pas pour des vaches à lait ! » après qu’un riverain eu estimé qu’il n’en était pas à 5000 € prés pour un tel chantier. « Vous avez détérioré notre qualité de vie depuis un an. Pourtant le chantier avait bien démarré, mais il se termine mal, avec cette rue endommagée, fissurée » a surenchérit une riveraine. Le DGST a indiqué qu’il était intervenu auprés des promoteurs, des investisseurs qui se font représentés et sont très peu coopératifs dans le cadre de telles opérations. Contrairement à Vinci qui a refait entièrement l’impasse Macheron qu’il a utilisé pour son chantier en creusant une tranchée et qu’il a  remis entièrement en état. « On a un promoteur à l’écoute et un autre qui ne l’est pas en se retranchant derrière son référé préventif »

    Le chantier Vinci de 34 logements (projet Tandem)  a vu se terminer le gros œuvre. « On est hors d’eau et hors d’air. On a commencé  les cloisons, le carrelage, et les espaces intérieurs » a indiqué la représentante de ce promoteur qui a dû faire face à une levée de bouclier contre le ballet des camionnettes des sous traitants. Le Chantier Martek de 63 logements  (Villa Aristide) a pris 3 mois de retard à cause des ennuis rencontrés par l’entreprise de gros œuvre, une expertise judiciaire ayant été initié par les riverains de la villa des Matrais suite aux affaissements de terrains et fissures (très graves pour certaines) apparus dans les pavillons mitoyens. « On est très motivé pour que les choses se terminent rapidement » a indiqué son représentant. « Vous n’avez plus la main, mais vous pourriez pousser vos assureurs pour faire avancer les choses » lui a demandé un riverain. « J’ai visité les pavillons, et je ne souhaite pas que cela vous arrive » a ajouté Pascal Vertanassian. « On se heurte à l’inertie du système » selon un autre habitant qui demandait une intervention de la mairie. « Elle ne peut pas intervenir dans un contentieux entre deux personnes privées » a indiqué le DGST - « mais vous pouvez bloquer le chantier ! » - « Il faudrait prendre un arrêté motivé ! Mais les moyens légaux sont activés et l’expert judiciaire prend du temps pour trouver un accord ». L’expérience de ces chantiers dans ce quartier des Hauts de Seine devrait servir à mettre au point une meilleure stratégie et un plan de circulation et de stationnement drastique vis-à-vis des chauffeurs de camions et camionnettes de toutes sortes qui ne respectent rien à l’occasion du chantier Niwa 

  • VANVES A L’HEURE JAPONAISE AVEC LE PROJET NIWA DE KENGO KUMA ET BOUYGUES IMMOBILIER

    La Palestre a fait le plein Mardi soir, pas autant que pour les nouveaux rythmes scolaires, pour la présentation du projet Niwa à l’emplacement des terrains René Coche-Aristide Briand-Diderot. Tous les protagonistes étaient présent de la ville à Seine Ouest Habitat avec GPSO, et à  Bouygues Immobilier  avec son cabinet d’architecte Kengo Kuma et le paysagiste Michel Desvignes. Beaucoup de vanvéens avaient fait le déplacement, découvrant la maquette et de nombreux panneaux  qui ont été pris en photo sur toutes les coutures par leurs smartphones

    Bernard Gauducheau a refait un historique rapide de cette opération qui est liée finalement à l’îlot Cabourg : « J’avais remarqué une parcelle de 5000 m2, l’un des derniers plus beaux sites de Vanves, dont la vente allait permettre de financer cette opération (Ecoles maternelle et primaire, centre de loisirs, Espace Jean Monnet). Ce terrain, bien placé proche de la gare Vanves-Malakoff, bien, ensoleillé, était favorable aux logements. Mais il fallait faire vite pour éviter que l’Etat le fasse à notre place en plus dense » a-t-il indiqué en revenant sur le concours d’architecture organisé à partir de lignes directrices avec le théme du jardin japonais. Sur 24 candidatures, 6 ont été retenus par un jury de 20 personnes qui a sélectionné le projet de Kengo Kuma par 9 voix sur 12. « Ce projet a été validé par le Conseil municipal avant les élections municipales. Nous avons attendu qu’elles soient passées pour vous le présenter. Ce projet sera manquant pour notre commune » a-t-il indiqué.

    « Ce n’est pas un projet parmi tant d’autres. C’est un projet de référence en terme d’architecture, de qualité d’usages des logements afin qu’ils soient traversant et multi-orientés, et de développement durable » a indiqué le directeur d’agence Bouygues en indiquant avoir travaillé avec plusieurs intervenants. « Notre ambition tient en 4 engagements : Un projet architectural et paysager affirmé qui s’adapte et sait répondre à l’environnement existant, la qualité d’usage des logements afin qu’ils soient vivables et adaptés, la baisse et la maîtrise des charges grâce au développement durable, la maitrise des nuisances pendant le chantier ». La représentante de l’architecte Kengo Kuma s’est alors lancé dans une description du projet conçu sur le concept du jardin japonais, en créant des liens entre les éléments et les espaces tant à l’intérieur de l’îlot et à l’extérieur, en jouant sur la transparence grâce à des passages verdoyants,  et l’habitat qui reste à l’échelle humaine, de 4 ou 5 étages dont certains sont en retrait pour animer les façades, et répondre aux bâtiments qui lui font face, rue Aristide Briand, avec la Maison de retraite et les créches, tout en favorisant la luminosité naturelle.

    Le cabinet Michel Desvignes a rassuré en expliquant « qu’il ne s’agit pas de refaire une caricature de jardin japonais mais de s’inspirer du concept et de le ré-interpréter pour répondre aux besoins de cette résidence, avec des plantes et des arbres correspondant au climat de Vanves et nécessitant un minimum d’entretien ». Il s’agit donc d’un jardin de copropriétés qui respecte deux principes : Un effet de continuité entre espaces urbain et vert, un renforcement des contrastes avec des bassins en îlot central, pour récupérer les eaux de pluie, et des jardins automnales et printaniers à l’intérieur, des arbres à l’extérieur qui auront une grande importance. L’agence Bouygues Immobilier est revenu sur les bâtiments qui seront de très haute qualité environnemental (THQE) et permettront d’améliorer de 20% tous les curseurs au niveau thermique et énergétique. Les matériaux utilisés seront naturels, facile à traiter, pérennes. Ces bâtiments devraient s’inspirer pour leur consommation électrique ce qui est mis en place chez sa voisine avec IssyGrid, où il y a une mutualisation des consommations bureaux/logements    

    A l’occasion des questions, le maire a fait préciser plusieurs chose : ce projet  comportera 158 logements dont 36 sociaux gérés par GPSO Habitant et situé côté rue René Coche. Les logements sociaux seront des PLS ( à 10 € la location au m2) où seront logés uniquement des vanvéens : « C’est un choix, car en IDF il y a très peu de PLS qui permette de loger des gens qui n’ont pas assez d’argent pour acheter et qui en ont trop pour être logé en HLM ». La commercialisation des appartements en accession dont les prix seront au prix du marché selon Bouygues Immobilier (8000 € le m2), devrait être commencée à l’automne 2015. Un parking de 174 places dont 50 seront publiques, est prévu  avec des accès côté rue René Coche. Le permis de construire de Niwa devrait être déposé à l’automne. Le chantier qui  devrait s’étaler sur 2 ans a fait l’objet de nombreuses questions des riverains qui craignent des nuisances, échaudés par les chantiers en cours. Le maire et l’agence Bouygues les ont rassuré d’autant plus que le vaste espace occupé par cette parcelle  (et le chantier) devrait permettre d’éviter d’avoir des camions qui stationnent dans les rues, notamment lors des travaux de démolition puis de terrassement.  

  • CONSEIL MUNICIPAL : VANVES SE DOTER D’OUTILS POUR MAITRISER SES TERRAINS EN MUTATION

    L’un des points forts du dernier conseil municipal de Vanves le 28 Mai dernier était le débat sur les résultats de l’application du PLU (Plan Local d’Urbanisme) adopté le 22 Juin 2011, au regard de la satisfaction des besoins en logement. Françoise Djian maire adjoint chargé du logement a rappelé les objectifs fixés dans le PLU qui s’articulaient autour de 5 axes dont celui de « relever le défi d’une offre renforcée en logements », en favorisant la diversité des logements, la mixité sociale au sein des quartiers, l’émergence d’un parc de logements « durable » et ceux du PLH (Plan Local de l’Habitat) dans le cadre de GPSO  : construire 523 logements sur 6 ans, soit 90 par an en moyenne. Et elle a présenté les résultats de cette étude sur la période 2011-13 qui a été suivi d’un débat court et succint alors qu’à une certaine période, le conseil municipal en aurait débattu beaucoup plus longtemps. D’autant plus que ce bilan, s’est accompagné d’une convention avec l’EPF 92 (Etablissement Public Foncier des Hauts de seine) qui permettra à la ville d’intervenir sur les terrains en mutation et d’exercer un droit de préemption urbain renforcé comme l’y a autorisé le Conseil Municipal.

    Anne Laure Mondon (PS) a demandé au Maire « comment il pourrait atteindre 25% de logements sociaux en 2020 ? ». Boris Amoroz (FdeG/PC) a insisté sur la nécessite d’atteindre 30% de logements sociaux, et à travers le PLU de lutter contre la spéculation foncière  « car les logements à Vanves sont inaccessibles, et notamment autour de la future gare de Grand Paris Express », relayé » par Lucile Schmid (EELV) qui a demandé d’avoir une vue à long terme dans l’aménagement de ce quartier de la gare GPE, surtout avec les tensions sur le foncier qui ne manqueront pas de se produire : « il faut préserver notre mixité sociale qui est forte » a-t-elle demandée. « Notre taux de logements sociaux va augmenter, et atteindre cet objectif de 25%. Mais ce qui est inquiétant est la fragilisation des familles pour faire face aux charges du logement » a répondu Bernard Gauducheau (UDI). Qui a reconnu « qu’on a eu moins de constructions en 2013, mais on n’a pas énormément de foncier. Et quand on en a, certains  préfèrent ne pas le commercialiser pour des raisons conjoncturelles ».  

    Le bilan sur la période 2011-13 montre que le nombre de logements autorisés est de 341 logements soit une moyenne de 113 logements par an  alors que les trois années précédentes (2008-11), ils n’étaient que 194 logements soit une moyenne de 65 par an. La progression du nombre de logements autorisés est particulièrement marquée à partir de 2012, « année à partir de laquelle le PLU produit véritablement ses effets en raison du délai d’instructions des autorisations d’urbanisme ». Progression confirmée en 2013 (+48,33% du nombre de logements neufs autorisés entre 2012 -13). Malgré un contexte immobilier défavorable (avec une diminution de 17,66% du nombre de logements autorisés en Ile de France) qui se fait ressentir à Vanves pour les six premier mois de 2014. « Pour 2014, si un seul nouveau logement a été autorisé au cours du premier trimestre, les dossiers en cours d’instruction portent sur 19 logements. Plusieurs terrains ont fait l’objet de promesses de vente et le dépôt des permis de construire représente un total de 50 logements. Ainsi le nombre de logements autorisés en 2014 pourrait être de 80 environ ».

    Deux autres sources chiffrées donnent une idée du rythme de construction : Les logements commencés (à être construit) qui s’élévent à 232 dans la période 2011-13 soit une moyenne de 77 logements par an, donc un rythme de construction nettement supérieur à celui de 40 logements par an entre 2000 et 2007 et 49 entre 2008 et 2010. « Avec 141 logements commencés en 2013, les effets du PLU sur la construction de logements sont nettement démontrés et ce malgré un contexte immobilier plutôt défavorable ». Et les logements achevés : Sur les 33 logements autorisés en 2011 après l’entrée envigueur du PLU,  seul 1 logement est aujourd’hui ahevé. Par contre 109 devraient être livrés en 2014.

    MAITRISE DES TERRAINS MUTABLES

    La totalité de ces logements sont réalisés dans le diffus à cause de l’absence de secteurs opérationnels, même si le rapport sur le PLU avait montré que les choix effectués en en terme de zonage, avaient augmentés les potentialités de construction sur des terrains identifiés comme mutables par la DDE (direction Départementale de l’Equipement) lors d’une étude menée en 2008 : Seul parmi ses terrains, la propriété du Rosier du Rosier a fait l’objet d’un permis de construire délivré au Secours Catholique pour 100 logements locatifs sociaux autorisés.   Le bail devrait être signé à la mi Juin avec Toit et Joie, ce qui permettrait de commencer les travaux qui devraient durer deux ans, à la fin de cette année.  Le terrain enserré par les rues René Coche-Aristide Briand-Diderot n’a pas encore l’objet de permis de construire, mais la consultation engagée par la ville pour la cession de ces propriétés confirme que ce site  pourrait accueillir 156 logements dont 36 sociaux. 

    D’autres terrains sont concernés comme le 31 rue d’Issy, le 39 rue Sadi Carnot, le 28 rue René sahors et le 25 avenue Victor Basch mais ne  sont pas encore disponible à cause d’une difficile mobilisation du foncier (successions, refus…). Ils ont été identifiés grâce notamment à l’aide de l’Etablissement Public Foncier des Hauts de Seine (EPF92) sur lesquels cet établissement pourrait intervenir pour faciliter la mise en œuvre de projets, tout en préservant la mixité sociale. Tout comme un autre emprise mutable à moyen terme composée de 4 propriétés à l’angle des rues Raymond Marcheron et des Fréres Chapelles. C’est pourquoi la ville de Vanves a décidé de passer une convention avec l’EPF 92  qui l’accompagnera ainsi sur ces terrains mutables, et  le secteur de la future gare du Grand Paris Express à la pointe sud ouest du territoire communal. Enfin le Conseil Municipal a renforcé son droit de préemption urbain sur ces terrains, secteur d’intervention de l’EPF 92,  qui lui permettra d’acquérir prioritairement ces biens immobiliers s’ils sont mis en vente

    PAVILLONS ET LOGEMENTS SOCIAUX

    La part du logement individuel dans cette construction neuve est très faible (6,98% en 2011 soit 3 pavillons, 0% en 2012 et 2,25% en 2013 soit 4 pavillons) tout comme durant la période 2000-07 (3,40 pavillons par an). Par contre beaucoup plus de pavillons ont été agrandis dans la période 2011-13  (31 dont 11 en 2011, 9 en 2012 et 11 en 2013).   La part du logement social, sachant que Vanves dispose de 3008 logements sociaux (23,46%) s’élève à 108 logements sociaux neufs autorisés pour la période 2011-13 ( 8 PLS en cours de construction rue René Coche, 100 logements PLA dans le projet du Secours Catholique) sur 341 logements autorisés, soit 31,67% de la construction neuve. Enfin, les nouveaux dispositions du PLU aux abords des grands axes et de la gare de Vanves Malakoff (les programmes comptant plus de 1500 m2 de  plancher doivent prévoir au moins 25% de logements locatifs)  ont été mis en œuvre dans le cadre du projet à l’angle des rues d’Issy et Pruvot face aux Bénédictines (avec 11 logements réservés à des primo-accédants éligibles à un prêt à taux zéro PTZ+). La réhabilitation du 50 rue J.Bleuzen(angle av.de Verdun) permettra de créer 6 logements sociaux financés en PLS.