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circulation

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    VANVES EN POUPE  EN COLERE

    « Non à la frénésie de surconsommation du Black Friday ! Oui à une consommation responsable dans les petits commerces ! Encourageons l'achat local et indépendant tout au long de l'année » Tel était le message de Vanv’en Poupe vendredi dernier lors du Black Friday en réaction à la honteuse campagne de l’ADEME sur la déconsommation avec son dévendeur et les déclarations du ministre Chrisophe Béchu (Transition écologique) : «Cela ne me semble pas déraisonnable aux vu des enjeux de la transition écologique …de se demander si tous les achats sont utiles ». Cette campagne va tuer définitivement la mode et les petits commerces surtout si l’on explique à un client qui hésite entre deux polos à -70 % qu’il vaut mieux prendre celui qui est à 100 % de réduction, celui qu’on porte déjà. Les professionnels estiment qu’il faut veiller à préserver unec image positive des achats dans les commerces de proximité, surtout dans des communes comme Vanves

    LE TRAMWAY T2 TOUJOURS INTERROMPUE

    Depuis l'éboulement d'un escalier survenu le 14 novembre 2023  à Meudon, le trafic est totalement interrompue, entre les stations Parc de Saint-Cloud et Les Moulineaux, soit quasiment l’intégralité de la partie du tracé qui dessert le sud de Paris, et bien pratique pour de nombreux vanvéens qui travaillent à La défense. Aprés «de nombreux relevés topographiques et sondages (…) de part et d’autre des voies du tramway, afin de s’assurer de la bonne tenue des sols» selon la RATP, l’objectif des équipes techniques va être de «combler et consolider le trou de plusieurs mètres de profondeur généré par l’effondrement, ainsi que des injections sous les voies du T2.» Puis, d’effectuer un contrôle des infrastructures, avant de procéder aux essais. En se basant sur les «premiers retours», la RATP mise sur la période située «entre mi-décembre et fin décembre» pour la reprise du trafic, mais sans arrêt à la station Meudon, pour laquelle aucune date de réouverture n’est pour l’heure prévue.

    LE PERIPH A 50 KM/H PREMATURE

    Clément Beaune a fustigé  - à juste raison- les projets de la maire de Paris concernant le Périph dans le JDD en jugeant cette mesure  «trop brutale et prématurée»… «Le boulevard périphérique est surtout utilisé par des Franciliens ou des Français, des artisans, des commerçants qui en ont besoin pour bosser» a justifié le Ministre des transports

  • VANVES PAS CONSULTEE POUR UN BOULEVARD PERIPHERIQUE A 50 KM/H

    Les Jeux  Olympiques vont bousculer le périphérique parisien, et pas uniquement de manière temporaire. La ville de Paris  a annoncé cette semaine que la limitation de vitesse sur cette ceinture baissera de 20 km/h après la compétition afin de limiter la pollution qui constitue un problème de santé publique. « Dès la fin des Jeux, la vitesse  y sera limitée à 50 km/h dès le 14 Septembre 2024 » a même précisé la mairie de Paris en arguant que la vitesse médiane sur le périphérique est de 50 km/h la journée, de 30 à 45 km/h aux heures de pointe et de 60 km/h la nuit.

    « Cette annonce à l’emporte-pièce a été faite sans étude d’impact sur les effets d’une telle décision sur la pollution atmosphérique et sonore compte tenu d’une probable augmentation de la congestion, sans la moindre concertation avec les communes et départements limitrophes, avec la Région ou avec l’Etat » ont réagis les trois sénateurs-conseillers de Paris de  LR (Marie Carrére Gee, Catherine Dumas, Francis Szpiner) en parlant presque au nom des maires des communes riveraines de Paris. Ils ont annoncé déposer une proposition de loi réformant le statut du boulevard périphérique pour mettre un terme à ces errements. « Elle donnera au Préfet de police les pouvoirs qui doivent être les siens, s’agissant d’une infrastructure dont les enjeux dépassent le seul cadre parisien. Aux termes de cette proposition de loi, le Préfet de police prendra les décisions utiles concernant le boulevard périphérique après consultation de la Maire de Paris, de la Présidente de la Région IDF » et des Présidents des départements des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne

    Sans parler de la  « voie olympique »  qui doit permettre aux athlètes, secours et officiels de se rendre des sites d’hébergement à ceux de compétition de manière sûre et rapide, non seulement sur le périphérique, mais aussi les deux sections d’autoroutes en banlieue parisienne, sur l’A1 et l’A13. La file de gauche pourra ainsi être réquisitionnée dans chaque sens, selon les besoins. Pour autant, elle ne sera pas séparée physiquement» des autres voies du périphérique. Les conducteurs ordinaires qui rouleront sur la voie «olympique» seront détectés par radar ou vidéosurveillance et recevront une amende de 135 €. Là encore, cette mesure n’est pas seulement temporaire. Après les Jeux olympiques, la voie des athlètes ne reviendra pas à la normale, mais sera reconvertie et dédiée aux transports en commun et au covoiturage

  • 1800 ELUS FRANCILIENS DONT 21 DE VANVES ONT SIGNE UNE TRIBUNE POUR DEMANDER PLUS DECONCERTATION SUR LE PERIPH A HIDALGO

    Bernard Gauducheau,  Dominique Broetz, Anne Caroline Cahen, Kevin Cortes, Remi Daoudi, Véronique de Leonardis, Françoise Djian, Stephanie Gazel, Ury Israel, Abdelfattah Lakhlifi, Nathalie Le gouallec, Xavier Lemaire, Marc Machado, Xavière Martin, Erwan Martin, Julie Messier, Bernard Roche, Charles Eric Van de Casteele Pascal Vertanessian, Christiane Vlavianos, Bertrand Voisine… élus de la majorité municipale, font partis des 1800 élus franciliens qui ont  signés une tribune publiée dans le JDD du 28 mai, à l’initiative de Vincent Jeanbrun et Rachida Dati, présidents respectivement des Groupes LR au Conseil régional et au Conseil de Paris,  pour  s'insurger contre la « volonté unilatérale d’Anne d’Hidalgo et sans aucune concertation avec nous »  de  réserver après les JO de 2024, une voie du boulevard périphérique au covoiturage et au bus. Ils appellent la maire de Paris à « renoncer » à son initiative. Les signataires s'inquiètent de risques de « congestion du trafic » et de son « effet dramatique sur la qualité de l'air et la pollution dans toute l’IDF » Ils font état, six semaines après le lancement de la consultation de moins de 6000 personnes, alors qu'un million et demi de véhicules empruntent quotidiennement cette voie, et que les premières analyses révèlent qu’environ 85 % des contributeurs expriment leur opposition au projet. En paralléle une pétition « Touche pas à mon périph » en opposition au projet, a rassemblé en deux semaines, plus de 15 000 signatures.

     Ils demandent à la maire de Paris «d’engager sans délai, un vaste débat avec toutes les parties prenantes». Et dans le cas où elle persisterait dans sa volonté de supprimer une voie «nous demandons au gouvernement qu’une mesure de cette nature puisse – a minima – faire l’objet d’une étude d’impact préalable à toute mise en œuvre . Rien ne serait plus destructeur que d’aboutir à une mesure punitive pour les 10 millions de Franciliens auxquels le périphérique appartient au même titre qu’aux 2 millions de Parisiens» concluent les signataires parmi lesquels, Valérie Pécresse, Hervé Marseille, Roger Karoutchi, de nombreux maires des Hauts de Seine