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ville de paris

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    TROCOLIVRE

    A L’occasion de Trocolivre samedi à l’école Larmeroux organisé par le Conseil de Quartier des Hauts de Vanves, le Conseil des Seniors devrait présenter à  14H30 : « Si Vanves m’était conté », une fantaisie inspirée par l’histoire de Vanves. Résultats d’un travail de recueil de témoignages  de vanvéens  sur leur passé à Vanves paru dans le 1er tome de « La jeunesse de nos Ainés », sachant qu’il prépare un second tome. 

    ATTAL A PARIS : «C’EST PAS PREVU ! »

    « C’est pas prévu » a répondu  Gabriel Attal sur France Inter au début de la semaine, concernant sa candidature aux élections municipales à Paris en 2026, en  répétant que Renaissance choisirait sa tête de liste pour la capitale « cet été ». « Aujourd’hui, je suis à la tête de mon parti, je cherche à reconstruire ma famille politique », a-t-il précisé. « Ma ligne, c’est de faire en sorte qu’on puisse agir dans les deux ans qui viennent (...) et à préparer évidemment un projet pour le pays », a développé le secrétaire général de Renaissance. « On n’a pas pris la décision encore de la personnalité qu’on soutiendrait à Paris », a-t-il également déclaré. Rachida Dati est-elle la meilleure candidate ? « On répondra à cette question cet été ». 

    LOUISE NUTTE A BYCICLETTE POUR SES VISITES

    La Dr Louise Nutte qui a fait parlé d’elle, récemment en ayant reçu le trophée départemental « Elles en Seine » à l’occasion de la journée internationale de la femme, fait partie des médecins qui ont confié au Quotidien du Médecin, comment le vélo ou la trottinette sont devenus leurs meilleurs alliés en visite…« Comme dans 60 % des cas, je viens déjà à vélo pour me rendre au travail, ça me semblait logique de l’utiliser pour les visites » expliquait la généraliste de 39 ans, bien équipée avec son vélo-cargo avec lequel elle emmène ses enfants à l’école. « L’autre jour, on s’est même rendu compte que je pouvais emmener l’interne avec moi en déplacement », s’amuse-t-elle. Plus sérieusement, c’est l’argument écologique qu’elle retient. « En ville, c’est absurde de prendre la voiture pour faire deux ou trois kilomètres et même si c’est modeste, ça fait faire un peu d’activité physique. Bon pour la planète, bon pour la santé ! ». Autre effet, le vélo semble déconstruire certains stéréotypes. « Ça casse l’image clichée du médecin qui fait ses visites avec sa grosse voiture », glisse la Dr Nutte.

    SUGGESTION POUR LE MARCHE

    Un internaute, M.Lorenzo constatait récemment que « le marché de Vanves était un marché extraordinaire avec une réelle dynamique, commerçante et artisanale. Il y avait un comité qui organisait des événements et des jeux. Mais depuis que ce dernier a brûlé et qu'il a été reconstruit il souffre énormément de cette modernisation de la société. Les gens travaillent toute la semaine donc les marchés des mardi et jeudi ne sont plus suffisamment fréquentés. Le marché du mardi a été supprimé puis on a décalé le marché du jeudi au mercredi avant de le remettre le jeudi » constatait avec cette réflexion de bon sens : « Pour que le marché vive il faut que nous le fréquentions. On n'est pas obligé de dépenser des fortunes au marché. On peut y aller simplement pour acheter quelques légumes ou un seul petit bout de viande ou de poisson. Une fleur, un petit bout de pain ou encore une grillade. Personnellement, si le choix m'était donné, je ferai de ce lieu une halle gastronomique en laissant une partie ouverte au marché et une autre avec des commerces de bouche type traiteur permanent. Le but étant de faire un espèce de marché des enfants rouges sur Vanves. Ce serait à mon sens une superbe façon de dynamiser la commune sans parler du fait que le lieu est équipé de parkings appropriés pour pouvoir accueillir les visiteurs. Je serai ravi de rédiger ce projet si une majorité était motivée à le nourrir afin de le présenter à la mairie » conclut il. Mais pour l’instant la préoccupation principale de la municipalité est de trouver un repreneur pour l’espace restauration installé au bout du marché où il y avait un Sushi bar

  • PAS ENCORE DE VOIE RESERVEE SUR LE PERIPH LE LONG DE VANVES

    Lorsque les vanvéens s’engageront sur le Périph par les bretelles des portes de La Plaine, Brancion ou de Vanves, ils n’auront pas à veiller d’éviter d‘emprunter la voie réservée au covoiturage mis en place depuis le lundi 3 Mars. Tout simplement parce que la portion sud du Périph entre les portes de Sévres et Bercy n’est pas concernée parce qu’elle est réduite à 3 voies au lieu de 4. Pour l’instant, car elle devrait l’être ultérieurement

    Ainsi, après le Périph à 50 km/h depuis Octobre, une voie de covoiturage a été mis en place dés le 3 mars pour une période expérimentale de 6 mois. La voie de gauche, comme c’était le cas pendant les Jeux olympiques de Paris 2024, est utilisée pour cette phase de test et elle est réservée au covoiturage, aux bus, aux taxis et aux véhicules de secours. Deux créneaux ont été mis en place, entre 7h et 10h30 puis entre 16h et 20h (du lundi au vendredi uniquement). Un bilan devra être effectué «au bout de six mois afin d’évaluer son efficacité, son impact sur la fluidité de la circulation et les conditions de sécurité» selon le ministère de l'Aménagement du territoire et de la Transition écologique  qui ajoute «qu’à l’issue de cette évaluation, il sera décidé de maintenir ou de suspendre la mesure des voies réservées».

    Bien évidemment, La mairie de Paris s’en est félicitée. Anne Hidalgo qui a toujours dit vouloir pérenniser le principe de voie réservée, héritage des JO de 2024, poursuit dans sa volonté de lutter contre l’autosolisme et réduire les nuisances liées à la voiture. De son côté, la présidente de la Région Ile de France, Valérie Pécresse, s’est inquiété d’un risque d’embouteillages massifs et d’un report sur les voies limitrophes. Tout en notant, comme elle l’a instamment demandé, la désactivation - par la mairie de Paris ou la préfecture de police - de cette voie réservée en cas de congestion de l’infrastructure : « La Région Île-de-France sera vigilante sur les modalités de mise en œuvre de cette désactivation temporaire pour qu’elle tienne compte également des effets de congestion du réseau secondaire causés par cette voie réservée » assure-t-elle

    De son côté, l’association 40 millions d’automobilistes  qui dénonce « une mesure discriminatoire, inadaptée et précipitée », a lancé une pétition contre la voie de covoiturage sur le périphérique, intitulée « Automobilistes à Paris, la peine Capitale ». Elle demande la fin de l’expérimentation et s’oppose à l’application officielle de la mesure, prévue le 1er mai prochain.

    En attendant, toutes les personnes ne respectant pas les règles de circulation sur cette voie seront passibles d’une amende de 135 €, aprés une phase pédagogique de deux mois. A l’aide d’une caméra de contrôle qui utilise l’intelligence artificielle, un conducteur seul sera averti de son infraction. Dans les faits, un losange blanc lumineux lui indiquera de changer de file. La phase de verbalisation entrera en vigueur le 1er mai. «Concrètement, des totems surmontés de caméras permettront d'identifier les catégories, de compter les passagers, à l’avant comme à l’arrière, et de lire les plaques minéralogiques avant et arrière» explique la mairie de Paris. A l’issue de l’évaluation, «il sera décidé de maintenir ou de suspendre la mesure des voies réservées», précise le Direction des routes d’Ile de France.

  • VANVES ET LE PERIPH : APRES LA VITESSE A 50 KM/H, LE RETOUR DE LA VOIE RESERVEE

    Héritage des voies olympiques, la voie réservée au covoiturage et aux transports en commun sera de retour le 3 mars à titre expérimental,  sur le périphérique parisien et une partie des autoroutes A1 et A13, en semaine aux heures de pointe ont annoncé lundi  le Préfet de police et la maire de Paris, ce qui a alimenté les conversations dans les cafés du commerce vanvéens et franciliens

    «À compter de cette date, seuls les véhicules avec au moins deux passagers (sauf les poids lourds), les transports collectifs, taxis, véhicules de secours et personnes à mobilité réduite pourront circuler sur cette voie du lundi au vendredi, de 7 heures à 10h30 et de 16 heures à 20 heures» ont-ils précisé. Quant aux contrôles, ils devraient être effectués grâce à des caméras de détection de plaques et de la vidéo-verbalisation. Selon la première mouture du projet, les contrevenants s’exposeront à des amendes de 135 euros, «comme quand on roule sur une voie de bus». «Des agents assermentés seront chargés de vérifier à chaque infraction le nombre de personnes présents dans le véhicule grâce aux caméras».

    La concertation doit permettre de préciser les contours et modalités exactes de mise en place de chacune de ces voies en les inscrivant dans un contexte d'utilisation en conditions normales, hors période exceptionnelle des Jeux. Les services se sont accordés par ailleurs sur une série d'indicateurs pour le suivi de la mise en place de ces voies. «Ils permettront d'évaluer dans des conditions normales, hors période exceptionnelle des Jeux Olympiques, l'impact des voies réservées sur le trafic (congestion, temps de parcours, reports), le respect des mesures, l'acceptabilité sociale, la sécurité routière. Le suivi de la qualité de l'air et du bruit depuis l'abaissement de la vitesse sur le boulevard périphérique sera également pris en compte pour cette portion».

    Foncièrement opposée à cette mesure, la Région Ile de France par la voix de sa présidente, a réagi en  évoquant un « risque d’embouteillage sur les voieries secondaires comme boulevard es Maréchaux et les autoroutes franciliennes », un « risque de hausse de la pollution de l’air », « l’impossibilité de faire circuler les bus dans de bonne conditions sur la voie réservée qui devraient traverser toutes les voies de circulation en entrant sur le Périphérique et en sortant, ce qui serait terriblement complexe et dangereux pour tous les usagers » et enfin sur « la mise en danger des usagers des deux roues motorisées qui circuleraient en interfile, désormais entre la 1ère et la 2e voie ou la 2e et 3e voie».

    D’ailleurs, la Région  considère que le bilan de la réduction de la vitesse maximale autorisée à 50 km/h est très mitigé, contrairement aux affirmations de la ville de Paris : Gain négligeable sur la bruit qui diminue très faiblement (entre -1,5 et -2,5 dB). «La réduction est non-perceptible par de nombreux riverains». Résultat inexploitable sur la qualité  de l’air «vu qu’il n’y a qu’un seul capteur pour mesurer la qualité de l’air sur le boulevard Périphérique ». Sur la congestion automobile, la baisse existait déjà entre 2023 et 2024 avant la mise en place des 50 km/h et était même supérieure en septembre. 

    La Région demande L’organisation d’une concertation continue avec tous les maires franciens et les Présidents des Conseils Départementaux, pour répondre aux inquiétudes liées à la fluidité de la circulation et aux reports de trafic. Et la possibilité de désactiver en temps réel la voie réservée en cas de thrombose (ou, au contraire, de très faible circulation la nuit), notamment en cas d’accident, d’aggravation de la congestion, y compris sur le réseau secondaire. Tout en rappelant  que 90 % des Franciliens sont opposés à cette mesure. « Le Périphérique est pour l’ensemble des Franciliens une infrastructure d’intérêt régional ».