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métropole du grand paris

  • VANVES AURAIT CONNUE UNE BAISSE DE 1,5% DE VEHICULES COMME LA METROPOLE DU GRAND PARIS

    Il y a toujours moins de voitures dans la Métropole du Grand Paris, selon une note de l’APUR (Atelier Parisien d’Urbanisme)  publiée mardi dernier.  Sur près de 2,5 millions de voitures (85% du parc total dans la zone), 31.000 véhicules particulières (VP) et 6000 véhicules utilitaires légers (VUL) en moins en 2023, ce qui  représentent une baisse de 1,23%. Vanves a enregistré une baisse de 1,5% de véhicules légers et de 1,5% de VUL (Véhicule utilitaire Léger) car GPSO fait partie des territoires qui se sont le plus démotorisés avec Paris, grâce à un bon maillage d’alternatives à la voiture  (en transports en commun ou infrastructures cyclables) contrairement aux communes du nord-est de la Métropole «à l’accés aux transports en commun en deçà de la moyenne métropolitaine» qui voient leur parc «augmenter progressivement depuis cinq ans», comme c’est la cas en  Boucle Nord de Seine,  notamment à cause des effets de siège et de la hausse de population à Clichy et Gennevilliers en lien avec la dynamique de projet urbain observée sur ces communes.

    En revanche, le nombre de voitures fonctionnant grâce aux énergies alternatives (électricité, hydrogène, gaz, hybride rechargeable) «a plus que doublé tous les ans depuis 2018, soit un bond de 325% sur la demi-décennie», souligne l'Apur. Malgré cette progression spectaculaire, «ils ne représentent à ce jour que 5,5% du parc métropolitain, où les voitures thermiques sont en écrasante majorité, qu'elles roulent à l'essence (près de 54%) ou au diesel (près de 41%)». Vanves fait partie des communes où la part des diesels représente moins de 30% des véhicules, et où la part des  entre 1 à 1,5% de véhicules électriques, et des véhicules hybrides se situe entre 1 à 1,5% des véhicules.

    Enfin, l’APUR a noté que les véhicules les plus polluants - Crit'Air 3,4,5 et non classés – concernés par la  troisième étape de la ZFE, reportée au début 2025, représentent encore un quart des voitures de la métropole (380 000). Vanves est concerné avec entre 20 et 25% de véhicules particuliers Criter3 et plus, entre 15 et 20% de VUL  Criter 3 et plus.

  • LE CONSEIL MUNICIPAL DE VANVES EN BREF

    VOIRIE COMMUNALE : A L’occasion d’un recensement de la longueur de la voirie des communes du département, la préfecture des Hauts de Seine a indiquée que la voire communale s’étend dorénavant sur 20,865 km. Auparavant elle s’étendait sur 16,900 km mais plusieurs voiries départementales ont été déclassées dans le domaine public communal : l’axe Avenues Pasteur-Martinie-Jacques Jézequel (RD61A), les rues de la République (RD50A) et Jean Bleuzen (RD1309) en 2012, les rues Raymond Marcheron et Larmeroux (RD 130 ) en 2020

    ENLEVEMENT : 106 véhicules ont été enlevés en 2022 dont 37 étaient des deux roues, sur demande de la police municipale, 57,5% pour stationnement gênant (61) et 42,5% pour stationnement abusif (45). La police nationale a fait enlever 118 véhicules dont 40 deux roues dont 32,2% pour stationnement gênant (38), 34,7% pour immobilisation (41), 19,5% pour vol (23), 12,7% pour procédure judiciaire (15)…

    COMMERCES : Ce n’est pas la première fois que la ville vient en aide aux commerces pour rénover leurs devantures afin de les rendre plus attractif. Elle propose un accompagnement  financier grâce à un partenariat avec la Métropole du Grand Paris qui subventionne à 40% et vise les petits commerces qui ne bénéficient pas d’une enseigne nationale. Elle est également restreinte à ceux qui disposent d’une vitrine, qui reçoivent du public et qui ont un impact sur la vie du quartier

    FROMAGERIE : Au 7 rue Louis Blanc dans le Centre Ancien-Saint Remy, devrait s’ouvrit en 2024,  une fromagirie qui proposera une large gamme de fromages de qualité, de la créme, des yaourts et du beurre, qui sera complété par un espace épicerie fine  (confitures, tisanes, crackers, boissons, charcuterie)  tenu par Ingrid Menet, habitante de Malakoff. «La boutique privilégiera le savoir-faire et l’artisanat,  en mettant en avant la diversité fromagére française et fera la promotion des producteurs engagés et du circuit court » indique-t-elle

    ARMENIE : Le conseil municipale a décidé de verser une subvention de 1500€ à la Croix Bleue des Arméniens de France  au profit des victimes de l’attaque sur le Karabath faisant prés de 200 morts et environ 1000 disparus. Plus de 100 000 arméniens ont dû fuir du Karabath pour se réfugier en Arménie qui est en passe de connaître l’une des pires catastrophe humanitaire de son histoire Ainsi Vanves, afin de participer à l’effort de solidarité vis à vis de nombreuses familles qui ont quitté l’Artsakh sans nourriture , sans logement et sans aucun bien, qui se trouvent aujourd’hui dans le plus grand dénuement

  • CONSTRUIRE AU DESSUS DU PERIPH A VANVES, N’EST PAS UN PROBLEME POUR LA METROPOLE

    A la suite d’un article paru dans le blog le 14 Octobre posant la question de l’aménagement d’aires de jeux à proximité du Périph qui l’un des sites les plus pollué de l’agglomération parisienne, l’association Agir pour le Plateau a rendu public un courrier reçu de la Métropole du Grand Paris (MGP)  le 21 Septembre après avoir envoyé une lettre le 8 Février dernier où elle s’inquiétait des risques sanitaires, de pollution de l’air, de bruit  concernant par le projet Woodeum  qui construit un foyer pour jeunes travailleurs au dessus de cette voie rapide et une résidence jeunes à l’angle Jean Bleuzen/Louis Vicat   : « Son aspect tardif traduit sûrement la difficulté à argumenter » constatait Pierre Bousseau, le président de cette association, à juste raison dans la mesure où le Conseil d’Etat a été amené à interdire tout construction d’habitat au dessus du Périph.

    «Je conçois que le projet Brancion par sa localisation au dessus du périphérique suscite des inquiétudes au regard des nuisances et des risques saniaires. A ce titre, la métropole a eu à cœur de sélectionner, puis de soutenir un projet qui diminuera les nuisances et l’exposition des futurs usagers du site à des risques sanitaires. Je suis pleinement conscient de l’importance cruciale de ces questions pour le bien être de nos concitoyens. Le projet porté par Woodeum est un défi technique qui incarne le souhait de la métropole de porter des projets innovants et exemplaires sur les ambitions environnementales » lui répond Patrick Ollier président de la MGP en comprenant ses préoccupations et en soulignant que « le projet a évolué en réponse aux contraintes et aux impératifs sanitaires identifiés, notamment en réduisant la surface de plancher côté Vanves. L’opérateur a également conduit différentes études préalables au dépôt du permis construire qu’il s’agisse de mesures à différents moments de la journée, de la concentration de polluants et de particules fines ou encore dec l’écoulement de l’air et des polluants autour des bâtiments existants »

    D’après ses explications « les résultats de ces études, ont permis de concevoir une organisation urbaine et des formes architecturales qui contribuent à la réduction de l’exposition de la population à l’air pollué. En l’occurrence, l’opérateur s’est efforcé de favoriser, dans la conception de l’opération, une morphologue urbaine ouverte permettant la circulation des flux d’air et favorisant la dispersion des polluants. Les études montrent notamment que la construction des projets côté Vanves et Paris n’induit pas d’émission de polluants complémentaires et apporte un gain sur la qualité de l’air. Au-delà des impacts sur les bâtiments avoisinants, la Métropole aux côtés des porteurs de site a été particulièrement attentive à la qualité de l’air intérieur des futures bâtiments de cette opération. Celle-ci est ici, assortie, de modalités de conception permettant de réduire l’exposition des personnes par rapport aux émissions de polluants atmosphériques (orientation des logements sur les façades les moins exposées aux polluants, conception double peau vitrée sur les quatre façades des bâtiments limitant le contact avec l’air extérieur, ventilation double flux) ».

    Il poursuit en faisant remarquer que « ce projet répond également aux exigences environnementales du point de vue de son impact carbone grâce à l’utilisation d’un matériau bas carbone. L’utilisation du bois dans ce projet est en effet, un choix écologiste et durable qui réduit considérablement l’empreinte carbone comparativement à d’autres matériaux de construction. En optant pour une approche constructible privilégiant le bois, nous visons à promouvoir une construction modulaire et évolutive, qui s’inscrit dans une démarche développement durable. Cette approche permet également de réduire les nuisances de chantier, notamment en limitant le nombre de rotations de camions, et contribue ainsi à un environnement urbain plus respectueux des riverains »