Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

EVENEMENT

  • L’EVENEMENT DES VACANCES DE L’ETE 2025 A VANVES ET DANS SA REGION : SE BAIGNER DANS LA SEINE

    La baignade en Seine est devenue une réalité, le 5 Juillet avec l’inauguration des trois sites à Paris  - Bras Marie (Paris Centre), Grenelle (15e) et Bercy (12e) – et 4 dans le Val de Marne : Maisons-Alfort,  Joinville-le-Pont, Champigny  et Saint-Maur-des-Fossés. Cette ouverture marque une étape majeure de l’héritage des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 et symbolise l’engagement durable de l’État pour la reconquête écologique du fleuve. «La baignade en Seine, c’est un héritage vivant des Jeux. C’est un projet de société soutenu par l’État, un modèle d’action publique collective, et un geste fort face au dérèglement climatique. Grâce au soutien constant de l’État, la baignade en Seine devient aujourd’hui une réalité pour tous. C’est une avancée écologique, sociale et sportive, qui incarne pleinement l’héritage des Jeux» soulignait la ministre des sports, Marie Barsacq.

    « La baignade publique dans la Seine devient réalité. C’est un pari gagné grâce à l’engagement total de l’État et de ses partenaires.. C’est l’aboutissement d’un projet d’État, longuement mûri, solidement financé, et conduit avec exigence. Grâce au Plan baignade, il redonne aux habitants un accès direct à leur fleuve, dans des conditions exemplaires de sécurité et de qualité» ajoutait Marc Guillaume, préfet de région qui a co-piloté avec la Ville de Paris, la métropole du Grand Paris, ce Plan baignade qui  s’inscrivait dans un objectif de long terme : restaurer la qualité écologique des fleuves franciliens, permettre l’organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques dans la Seine, puis rendre la baignade accessible à tous. Grâce à une mobilisation sans précédent, plus de 1,1 milliard d’euros de travaux ont été engagés depuis 2016, dont la moitié financée par l’État via l’Agence de l’eau Seine-Normandie. Des ouvrages structurants ont été réalisés : bassins de stockage des eaux pluviales, modernisation des stations d’épuration, traitement des mauvais branchements, raccordement des bateaux… et ont permis de réduire de 30 à 40 % les rejets d’eaux usées par temps de pluie et assurer un retour notable de la biodiversité dans la Seine.

    En lien avec l’Agence régionale de santé (ARS), les services de l’État ont validé l’ouverture des sites selon un protocole strict : analyses quotidiennes, seuils réglementaires renforcés, procédures de fermeture immédiate en cas de pollution. Chaque site fait l’objet d’un suivi partagé entre les collectivités, l’ARS et la préfecture de région. Ce rôle de coordination s’est également étendu à la gestion des usages du fleuve, en concertation avec Voies Navigables de France, afin de garantir la cohabitation de la baignade avec la navigation fluviale.

    Ainsi la métropole du Grand Paris compte 7 sites de baignades sachant qu’en amont, comme en aval de Paris, les chantiers se poursuivent, notamment pour permettre l’ouverture de nouveaux sites d’ici 2026 puis 2028, dans les Hauts-de-Seine, le Val-de-Marne, en Seine-Saint-Denis. Pour l’instant, jusqu’au 31 août, 7 sites de baignade en milieu naturel sont accessibles :

    Sur la Seine (à Paris)

    -Le  bras Marie est situé au pied du pont de Sully, face à l’île Saint-Louis. Il est ouvert du lundi au samedi, de 8 h à 11 h 30, et le dimanche de 8 h à 17 h 30. Il peut accueillir jusqu’à 150 personnes simultanément et est accessible aux personnes à mobilité réduite. 

    - Bercy avec  deux espaces de baignade et un solarium aménagés en bord de Seine, entre le parc de Bercy et la Bibliothèque nationale de France, de part et d’autre de la passerelle Simone-de-Beauvoir. Le site est ouvert tous les jours de 11 h à 21 h, pour une capacité d’accueil de 700 personnes, dont 300 dans la zone de baignade.

    - Grenelle, situé face à l’île aux Cygnes, à proximité de la tour Eiffel,  qui propose un bassin sécurisé pour les familles, un solarium et une base nautique permettant la pratique gratuite du kayak. Il est ouvert du lundi au vendredi de 10 h à 17 h 30, le samedi jusqu’à 16 h 45, et le dimanche par créneaux : 10 h à 12 h, 12 h 30 à 14 h 15, puis 14 h 45 à 17 h 30. La capacité d’accueil est de 200 personnes, dont 150 dans la zone de baignade.

    Sur la Marne (dans le Val de Marne )

    Deux sites payants, avec réservation :

    -À Joinville-le-Pont, la baignade est possible sur la plage du banc de sable, avec deux bassins aménagés pour les enfants et les adultes. Le site est ouvert tous les jours de 10 h à 18 h et peut accueillir jusqu’à 200 personnes.

    -À Maisons-Alfort, les habitants pourront se baigner au niveau du square des Petits Pirates, également équipé de deux bassins pour petits et grands. Les horaires sont identiques : de 10 h à 18 h, tous les jours de la semaine, avec une capacité maximale de 200 personnes.

    Deux sites d’accès gratuit :

    -Saint-Maur-des-Fossés au Beach, ancien site de baignade, ouvert du 13 juillet au 27 juillet, de 14h à 18h

    - Champigny, du 5 au 20 juillet sur le site de la base nautique

    Il est fort possible que des vanvéens se soient baignés dans la Seine ou la Marne depuis l'ouverture de ces sites

  • VANVESA L’HEURE DES VACANCES ET DU TOUR DE FRANCE

    L’ambiance est aux vacances et certains signes ne trompent comme ces gréves (des controleurs aériens cette fois-ci) pour perturber les départs, comme d’habitude, les embouteillages aux portes de Paris etc….et surtout le démarrage du Tour de France depuis Lille et le Nord de la France, que vont suivre des passionnés mais aussi eux qui aiment visiter la France sans se déplacer  grâce aux directs de France Télévision

    Le département des Hauts de Seine  y participe en parrainant le meilleur équipier pour la 4éme année. Ce prix, est attribué par les fans du Tour de France chaque semaine, dont vous  pouvez faire partie, sur les réseaux sociaux du Tour de France et du département, après une pré-selection de coureurs établis par un jury composé de journalistes et de personnalités du cyclisme.  «Ce prix valorise le dévouement et le sacrifice d'un coureur pour son équipe, une valeur chère au Département» explique-t-on au département qui lance une nouveauté, cette année : le Prix du Super équipier qui récompensera, le coureur s’étant distingué le plus par son dévouement à son équipe pendant l’intégralité du Tour de France. Il sera remis le 27 juillet au départ de la dernière étape à Mantes La Jolie (78).

    «Récompenser les meilleurs équipiers sur le Tour de France permet de mettre en lumière ces coureurs essentiels à leurs leaders. Leurs efforts sont guidés par des valeurs de solidarité, de dépassement de soi et d’excellence, qui résonnent avec l’action du Département, et peuvent être source d’inspiration pour toute la jeunesse» soulignait Georges Siffredi, président du département qui, en référence à son territoire, sera particulièrement mis à l’honneur avec une arche décorée à ses couleurs à 92 kilomètres de l’arrivée. Et il liera son prix du meilleur équipier au jeu du KM92. Chaque jour, les fans du Tour de France seront invités à pronostiquer quel meilleur équipier des éditions précédentes du Tour (2022, 2023, 2024) franchira en premier ce point kilométrique, sur le compte twitter officiel du Tour de France et du site Club Tour de France. Sont en lice : Valentin Madouas, Wout Van Aert, Sepp Kuss Matthias Skjelmose, Joao Almeida, Mike Teunissen et Nils Politt. Un tirage au sort sera effectué parmi les gagnants. Le Département invitera ainsi plusieurs jeunes issus de ses dispositifs de solidarité sur différentes étapes du Tour de France, des jeunes majeurs suivis dans le cadre du Contrat Engagement Jeune (CEJ) et des assistantes familiales accompagnés des jeunes issus de l’Aide sociale à l’enfance. 90 jeunes Altoséquanais auront également la chance d’assister à l’arrivée sur les Champs-Elysées grâce au Département

    «De la première arrivée à Ville d’Avray (1903) aux dernières journées du Tour commencées à Antony (2006) ou Sèvres – Grand Paris Seine Ouest (2015) en passant par le Grand Départ depuis Boulogne-Billancourt (1986), le département des Hauts-de-Seine reste fortement ancré dans l’histoire du Tour de France. Cette année encore, nous sommes heureux de compter sur la mobilisation du département et de leurs passionnés pour élire le «Meilleur équipier» de chaque semaine du Tour» soulignait Christian Prudhomme, Directeur du Tour de France

    Vanves a eu l’occasion d’être traversé deux fois par le Tour :  Le 23 Juillet 2006 entre 14H et 14H15, avenues  de la Paix, du Général de Gaulle et Bd du Lycée durant la dernière étape qui a amené les coureurs cyclistes d’Antony au Champs Elysées. Ils défilaient encore lorsqu’ils sont passés dans notre ville,  avec les maillots jaune, vert, à pois devant le peloton, ce qui a permis aux vanvéens de bien les voir.  Il était passé une première fois en 1986 lorsque la caravane était restée 4 jours dans les Hauts de Seine avec prologue à Boulogne, 1ere étape qui est partie de Nanterre, pour traverser une partie du département vers Saint Quentin en Yvelines, avec passage à Vanves Avenue Antoine Fratacci et Bd du Lycée et le départ de la 2éme étape à Levallois.  

    Enfin, Vanves compte parmi ses élus, un passionné du Tour de France qui l’a amené à faire collection de tous les journaux spécialisés qui parlent, et  de toutes les autres courses, tours, critériums, championnats, et du vélo bien sûr : Bernard Roche qui organisait en 2003, pour le centenaire du Tour, une présentation d’une partie de sa collection dans la salle des fêtes de l’hôtel de ville. Il expliquait alors à l’auteur du blog qu’il retenait du Tour « l’aspect populaire au bon sens du terme, tous ces gens que j’ai rencontré sur le bord des routes, à l’arrivée au Parc des princes, où il y avait un mélange sociale extraordinaire qui n’existait pas ailleurs. C’est la fête populaire au bon sens du terme, et c’est le seul événement sportif où le spectacle est gratuit. Ce qui me gêne beaucoup aujourd’hui, c’est la mauvaise publicité faîte par les affaires de dopage». Son plus beau souvenir est d’avoir pu rencontrer et cotôyer quelques grands champions lorsqu’il a été invité sur le village de départ, en 1983, à Ville d’Avray, pendant une matinée. Il a ainsi pu rencontrer la plupart de ses idoles comme Poulidor, Janssen, Kluber, et lors de l’arrivée de la 1ere étape de Paris Nice en 2004 à Vanves, où il avait pu saluer Bernard Hinault et discuter avec lui pendant un petit moment

  • VANVES COMME L’ILE DE FRANCE A SUFFOQUE HIER A CAUSE DU DOME DE CHALEUR

    Des signes ne trompent pour une situation exceptionnelle. Comme lors des matchs de football important, notamment de Coupe du monde. Brusquement les rues se vident, les circulations ralentissent. Eh bien c’était le cas hier après-midi, après une nuit de lundi à mardi où le mercure est resté haut, au-dessus de 20°C. D’ailleurs Météo France a déclenché la vigilance rouge canicule à Paris et en petite couronne pour la première journée de juillet, où le ressenti était de 44°C, alors que les températures se sont échelonnés en 35 et 41°C. D’ailleurs cette nuit a connue des valeurs élevées jusqu’à 23-24°C. Et aujourd’hui, la fraicheur devrait être de retour. L’air se fera un peu plus respirable avec 34°C au maximum et 20°C la nuit. Le lendemain, jeudi 3 juillet 2025, les thermomètres afficheront entre 30°C et 20°C.

    Les autorités publiques régionales  ont d’ailleurs déclenché la circulation différenciée dés Mardi à cause d’une pollution à l’ozone déclenchée par la canicule. Occasion de vérifier pour les automobilistes, que la ZFE n’a pas encore été supprimé dans les faits après le vote de l’’Assemblée Nationale qui l’a supprimé. Seuls les véhicules munis d’une vignette Crit’Air 0, 1 et 2 pouvaient circuler. De son côté, Ile de France Mobilités a déclenché le forfait anti-pollution sur le réseau de transport francilien pour dissuader les franciliens à utiliser leur véhicule. Cette haute autorité des transports a même distribué des bouteilles d’eau aux voyageurs et installer des fontaines à eau dans les gares et les stations.

    A Vanves, en dehors du plan canicule déclenché pour les seniors, aucune action n’aurait été déclenché par la municipalité notamment dans les écoles où leur direction avec la communauté scolaire s’est débrouillé. Pas de distribution de bouteilles d’eau, ni de ventilateurs, pas de directives précises. Les directrices ont dû de débrouiller en demandant aux parents d’apporter justement des ventilateurs, de garder leurs enfants s’ils le pouvaient l’après-midi. « Si cette initiative est à saluer, elle en dit néanmoins long sur le manque d'équipements de certaines de nos écoles pour faire face aux périodes de canicule » relevait un parent d’élève sur les réseaux sociaux. «Le pire c'est que pour l'école du parc on a perdu de la verdure et qu'on trouve génial de mettre en façade de l'acier... ah mais bon on va nous planter quelques arbres dans la rue... ce qui va pas changer grand chose pour les enfants dans la cour maternelle » ajoutait un autre qui aurait pu demander si des salles climatisées ou refroidies sont prévues.  Mais le summum de la bétise a été atteint  lorsque lundi après-midi, à l’heure du « caniard » (14H30), une école a envoyé une classe au parc F.Pic. Résultats des courses : une écolière a fait un malaise.

    A la décharge de la municipalité de Vanves, comme l’expliquaient des journalistes de la Gazette des communes, ces jours-ci, « en cas de canicule, les maires sont dans la débrouille. Ils sont en première ligne, sans « directives précises » de l’État. Certains ferment leurs écoles, d’autres optent pour le système D. Une réunion interministérielle de crise consacrée au pic de chaleur s’est tenue dimanche 29 juin. À l’issue, Élisabeth Borne, ministre de l’Éducation nationale, a insisté sur la nécessité d’une « bonne coordination » et « des échanges entre le rectorat, les maires et les préfets pour décider, par exemple, de permettre aux parents qui le peuvent de garder les enfants à la maison ». Elle a aussi rappelé qu’en cas de fermeture administrative d’école, il est « impératif d’organiser des solutions alternatives d’accueil ». Mais L’éducation nationale n’avait prévu jusqu’à hier,  ni fermetures d’école, ni aménagements horaires, mais renouvelé les appels à la prudence