Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

département des hauts de seine

  • UNE TREVE DES CONFISEURS A VANVES CALME, GRISE, SOLIDAIRE

    La trêve des confiseurs à Vanves a été à l’image de cette semaine, douce, grise et pluvieuse au niveau climatique. Heureusement que les illuminations de Noël éclairaient les rues et places Vanves alors que la nuit tombait vite et tôt durant cette grisaille grâce parait-il à 86 motifs et 10 traversées lumineuses, ainsi que 750 mètres linéaires guirlandées (pour un coût parait il de 111 355 €). Les Bénédictines ont accueillies Mgr Rougié Evêque du diocèse des Hauts de Seine venu célébrer la messe de Noël le 25 décembre et le nonce apostolique une semaine plus tard pour la messe dominicale de la Saint Sylvestre, ouvrant le nouvel an avec une messe l’épiphanie ce dimanche 7 Janvier ( à 10H) avec les petits chanteurs du Val de Seine qui donneront un concert dans la foulée. Les derniers chiffres du recensement publiés en début d’année, indiquaient que Vanves compte 28 014 habitants, soit +0,1% (+0,3% pour le département), c’est à dire une trentaine de nouveaux habitants par an

    La fin de l’année, juste avant les fêtes, a été marqué par plusieurs événements : l’assemblée Générale de l’association omnisport Stade de Vanves le 19 Décembre à la veille d’une année olympique, dont les 16 sections se portent bien avec 4 949 licenciés dont 1079 en natation, 714 au tennis, 650 au foot avec des résultats intéressants. Mais sur le plan financier, c’est une autre affaire avec « un déficit cumulé de 218 500 € sur deux saisons alors que ses réserves financières ne sont plus que de 430 000 €.  Les 16 sections connaissent un résultat financier variable. Certaines, comme la danse ou le tennis, affichent un résultat positif qu'elles reversent au pot commun tandis que d'autres sont déficitaires (le handball présentant le plus grand déficit, avec 100 000 €) » notait un participant bloggeur à cette AG quelque peu confidentielle et tardive. La condamnation par la cour d’assises des mineurs le 21 Décembre, de huit jeunes à des peines allant jusqu’à huit années de prison pour leur implication dans la violente agression du jeune Yuriy, en 2021 sur la dalle de Beaugrenelle, dans un contexte de rivalité entre la bande du «plateau de Vanves», et celle surnommée « RD4 ». Un conseil départemental des Hauts de Seine  le 22 décembre au cours duquel  une subvention de 134 306 a été voté pour l’EHPAD Larmeroux

    Certains au sein de notre ville, se sont illustrés durant cette quinzaine de jours :  Paul Guillaud, président de l’UNC Vanves-Malakoff et très actif sur le plan associatif, a reçu la palme d’or du bénévolat pour 50 années de bénévolat associatif. L’hôtel Mercure s’est illustré pour avoir été un point de collecte pour des boîtes de Noël, destinées aux hommes sans domicile fixe, du 1er au 20 décembre. « Cette initiative, centrée sur le partage et la générosité, a permis de recueillir une trentaine de boîtes remplies de cadeaux soigneusement sélectionnés. Cette action s'inscrit dans l'esprit de Noël axé sur l'amour envers autrui » indiquait sa direction. Le Grenier à Pain dont la patron est Christophe Sonnet a obtenue  la 6e place au palmarès 2024 de la meilleure galette aux amandes d’Ile de France délivré par le Syndicat des boulangers du Grand Paris qui a livré son palmarès 2024 de la meilleure galette aux amandes d’Île-de-France.

  • VANVES DISPOSE D’UN NOUVEAU POLE SOCIAL DEPARTEMENTAL MAIS A ISSY LES MOULINEAUX

    Vanves est concerné par le nouveau pôle social départemental inauguré la semaine derniére à Issy les Moulineaux par Georges Siffredi, président du Conseil Départemental des Hauts de Seine (CD 92) avec les maires de Vanves  (Bernard Gauducheau) et d’Issy les Moulineaux (André Santini) qui se situe à deux pas du tramway et de la future gare Issy RER du Grand Paris Express.. Car depuis le 26 Septembre,  il accueille les habitants de Vanves et d’Issy-les-Moulineaux mais aussi de Clamart et  Meudon.. Il  vise à faciliter le parcours des usager, du plus jeune au grand âgs et à améliorer les conditions d’accueil et de prise en charge par les professionnels.

    Il constitue le pôle central d’un maillage avec des antennes de proximité dans chacune des communes. «Avec cet équipement innovant, nous regroupons l’ensemble de l’offre sociale et médico-sociale de notre Département, avec un seul objectif : assurer un accompagnement intégral, qui prend en compte l’ensemble des difficultés auxquelles nos concitoyens sont confrontés » a indiqué Georges Siffredi, président du CD 92 lors de son inauguration

    Le pôle social départemental réunit sur un même site des équipes pluridisciplinaires (plus de 10 métiers sont représentés : assistants sociaux, conseillers en économie sociale et familiale, éducateurs spécialisés, psychologues, infirmières puéricultrices, auxiliaires de puériculture, médecins, sages-femmes, conseillères conjugales et familiales, éducateurs de jeunes enfants, assistantes administratives et gestionnaires d’offres de service) en charge de services sociaux et médico-sociaux dédiés à la protection maternelle et infantile, à la santé sexuelle, à l’action sociale et à l’insertion, à l’aide sociale à l’enfance. «Cette organisation, «en transversalité» se reflète dans l’aménagement des lieux» a décrit le président du CD 92 « Les usagers sont d’abord orientés vers une unité d’accueil pour préinstruire leurs situations et être accompagnés dans leurs démarches en ligne pour l’accès aux droits. Se trouve ensuite l’unité d’évaluation, dont la mission est de déceler l’ensemble des fragilités pour proposer un parcours d’accompagnement complet et adapté, que vous pouvez ensuite suivre dans la durée, afin que notre soutien s’inscrive dans le temps long lorsque cela est nécessaire »

    Ainsi, le Département des Hauts-de-Seine a entrepris depuis quelques années la modernisation de l'ensemble de ses sites sociaux de proximité (Châtenay-Malabry en 2016, Villeneuve-la-Garenne en 2018, Châtillon en 2019, Asnières en juin 2023). Avec 969 M€ dédiés aux solidarités en 2023, il s’agit d’un axe majeur de la politique départementale au travers de dispositifs adaptés aux familles et aux publics fragilisés (les personnes âgées, les personnes handicapées, les familles en difficultés, les personnes en insertion socio-professionnelle). Les pôles sociaux représentent un maillon essentiel de l’action départementale pour favoriser le lien social de proximité.

    Ce pôle s’inscrit dans un maillage de proximité, qui mise sur l’articulation des services et des acteurs pour que chaque Alto-séquanais dispose d’un pôle social à moins de 20 minutes de chez lui et, quand ce n’est pas le cas, d’une antenne départementale à moins de 15 minutes. «Mais c’est tout aussi vrai pour nos antennes de proximité implantées dans chacune des Villes, notamment nos unités de protection maternelle infantile, comme  Mary Besseyre à Vanves. Cette dernière implantation accueille d’ailleurs des agents des services de la petite enfance de la commune, venant renforcer concrètement les liens entre la Ville et le Département ainsi que la complémentarité entre les dispositifs d’accompagnement que nous proposons » a indiqué Georges Siffredi

  • VANVES ET L’ENQUETE BIENNALE SUR LE SENTIMENT D’INECURITE EN ILE DE FRANCE

    Réalisée tous les deux ans par l'Institut Paris Région, la 11éme enquête (2021) «Victimation et sentiment d’insécurité en Île-de-France»,  fournit de précieuses informations sur les caractéristiques de l’insécurité par territoires, types d’espaces ou genre, grâce à l’interview de 8 000 Franciliens par téléphone sur leurs conditions de vie, et plus particulièrement leur exposition, dont peut être des vanvéens. Les résultats montrent un recul des atteintes aux personnes et aux biens (victimations), accompagné d’une préoccupation sécuritaire croissante.

    Elle a fait plusieurs constats que vous pouvez retrouver sur le site internet decet organisme dont une situation assez hétérogène entre départements : En ce qui concerne le sentiment d’insécurité, la Seine-et-Marne apparait en 2021 comme étant le département francilien qui présente le plus fort taux (59,5 %), devançant ainsi la Seine-Saint-Denis (25,8%), les Hauts de Seine (15,4%). Quant aux atteintes subies, les Parisiens, et dans une moindre mesure les habitants des départements de petite couronne, restent davantage victimes que la moyenne des Franciliens. «Si la part de la population encline à avoir peur a augmenté entre 2017 et 2019 (+2,9 points), elle a perdu 2,7 points entre 2019 et 2021, descendant à 45 %.

     Le détail des peurs selon le lieu où elles se manifestent montre que la peur d’être seul dans son quartier le soir reste relativement stable, et ce depuis 2017 (19,5 % des Franciliens en 2021 déclarent redouter de sortir seuls dans leur quartier le soir, 15,4% dans le 92). La peur chez soi (7,0 %) a diminué de 2,2 points par rapport à 2019 (3,9% dans le 92 contre 8,5% en 2019), sans qu’une tendance se dégage sur le long terme. Quant à la crainte de l’agression ou du vol dans les transports en commun, elle est en recul. La baisse est particulièrement marquée pour le train (-4,5 points) et le bus (-3,1 points). Pour autant, le classement des modes de transport les plus «anxiogènes» reste inchangé, le RER arrivant en tête (30,2 % des enquêtés y expriment de la crainte), suivi par le métro, (29,2 %), le train (19,8 % en IDF, 15,8% dans le 92), le bus (15,0 %) et le tramway (13,0 %)» selon l’Institut.

    Parallèlement, en 2021, les Franciliens tendent davantage à avoir une bonne image de leur quartier que deux ans plus tôt. «Parmi les améliorations les plus notables sont mis en évidence les problèmes de propreté des rues, d’éclairage ou encore d'entretien des bâtiments et des espaces verts (cités par 25,3 % des enquêtés, contre 30,3% en 2019), de présence de bandes de jeunes gênantes (21,5 %, contre 24,6 %), de vandalisme (23,1 %, contre 26,0 %), de drogue (23,4 %, contre 26,0 %) et, dans une moindre mesure, de bruit (27,3 %, contre 28,7 %) ». Un constat qui s’accompagne d’une relative stabilité concernant les aspirations des Franciliens à quitter leur quartier.  «25,4 % de la population déclare qu’elle aimerait quitter son quartier début 2021, un taux assez proche de ce qui avait été observé en 2019» selon l’Institut

    Par ailleurs, les Alto-Séquanais ont été moins victimes d’agression en 2021 (41 %) que deux ans auparavant (50,4%). 

    Pour cette étude, les enquêtés ont également été interrogés sur la perception de leur cadre de vie. Dans les Hauts-de-Seine, la population reste globalement satisfaite, remarque l’Institut Paris région : 93,1 % le trouvent pas loin de tout, 92,7 % agréable à vivre et 93,4 % sûr ou plutôt sûr.