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stade de vanves

  • JEUDI LE RÊVE OLYMPIQUE D’UN NAGEUR DU STADE DE VANVES : DAMIEN JOLY

    Le département des Hauts de Seine, engagé dans une politique sportive ambitieuse de soutien aux athlètes de haut niveau, consacre une série de portraits aux sportifs Altoséquanais qui participeront aux Jeux olympiques et paralympiques de 2024 : «Mon rêve olympique ». Et ce fut le cas, la semaine dernière avec Damien Joly, nageur du stade de Vanves, qui partage son ambition pour les Jeux olympiques et paralympiques de 2024 et le fait partagerdans une vidéo diffusésur le site du conseil départtemental des hauts de Seine .

    «Mon objectif est de me qualifier et ensuite de faire le meilleur résultat possible ! » Après être passé à côté des Jeux olympiques de Tokyo en 2021 pour quelques secondes, Damien Joly est déterminé à participer à la troisième olympiade de sa carrière. Neuf fois champion de France, médaillé de bronze aux championnats d'Europe et recordman de France du 1 500m nage libre, le pensionnaire du Stade de Vanves ambitionne de briller devant son public : «Les Jeux olympiques à la maison est un rêve. Je veux prendre du plaisir devant le public français. !»  expliquait il, en ayant visité l’Arena Défense, où seront installé les deux bassins olympiques, avec tous ses gradins. Impressionnant. Mais en attendant, il lui  faut se qualfier en Juin pour rentrer dans le bassin olympique, « J’ai un peu des frissons. On va se surpasser soutenu par le public ; j’ai hâte d’être là bas ! »

    Il raconte dans cette vidéo d’avoir commencé la natation en 2002 : « j’ai de la chance d’être du sud !». Il est né en 1992 à Ollouiles. « A la Rentrée de  Septembre, je me suis dit inscrit dans un club de natation, cela m'a plus", Puis le club de Cela Toulon Var Natation, le CN Antibes en 2008, battant de nombreux records régionaux dans toutes les catégorie d’âge, notamment aux 400, 800, 1500 nage libre « J’ai adoré cela !  Mes premiers jeux ont été à Londres en 2012 à 19 ans, où je termine 14e au 1500 m nage libre. 4 ans après j’arrive à être finaliste à Rio » où il remporte quand même l’or aux 800 et 1500 nage libre, et l’argent pour le 400 m nage libre. Lors de ses jeux, il bat le record de France du 1500 m nage Libre en 14mn 48s 90. Mais il n’a pas disputé les JO de Tokyo en 2021, n’ayant pas pu se qualifier

    «Les JO, c’est un rêve ! » Mais alors cela demande des entrainements intensifs deux fois par jour : « On s’entraine 8 km par séance à raison de 10 séances par semaine.  Les qualités essentielles en natation ? : La patience et l’abnégation. « Il faut travailler beaucoup pour performer sur un moment très court. En moyenne, je passe 20 h dans l’eau et 3 h en salle de musculation par semaine, sans compter les échauffements, les étirements… Pour être nageur, il faut être passionné ! » explique ce sportif qui a pour exemple des nageurs comme l’australien Grant Hackett qui l’inspirent. « J’ai toujours eu de belles opportunités et sensations que je n’aurais jamais eues en dehors de la natation. Le sport véhicule des valeurs incroyables, c’est une école de la vie magnifique. »

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    RENTREE ET VŒU POUR EXPOGRAPH VANVES

    « Si après 5 longues semaines d’inactivité ,l ’AS Expograph termine la phase des matchs allers sur une défaite 3/0 et encore à l’extérieur !!!  sévère à la vue de l’occupation du terrain et des décisions très contraires de l’arbitre » selon la direction  du Club qui, avec tous les joueurs «vous présentent chers partenaires, leurs meilleurs vœux pour 2024 ». « Nous espérons que vous serez encore à nos côtés pour nous permettre de faire aboutir notre projet et nos convictions. Dès la semaine prochaine nous espérons que la Remontada, comme l’an passé va nous permettre de terminer la saison  à la vitesse grand V » selon Jean Royer co-président d’Expograph.

    TENNIS DE VANVES

    Fort de son succès, la Ville de Vanves qui prolonge son partenariat avec l'application Anybuddy,  indiquait ces jours-ci le site de la mairie de Vanves en expliquant que « sa volonté est de «favoriser la pratique du tennis pour le plus grand nombre et faciliter l'accès de cette activité sportive», en donnant la possibilité aux Vanvéens « de réserver des courts de tennis (intérieurs et extérieurs) via une application !». Ce qui a suscité ce commentaire, surement d’un stadiste : « Ou comment mettre à mal le tissu associatif dans une ville, pénaliser un club dynamique et qui contribue à la survie d’autres disciplines plus confidentielles au sein du Stade de Vanves  et faire gagner de l’argent à des financiers plutôt que privilégier une solution gratuite offrant les mêmes possibilités au sein de la FFT ! Bravo ! »  

    COUP DE GUEULE DES VIEUX

    «Il paraîtrait que nous les « anciens » avons détruit la planète ! Nous nous devons de remettre les pendules à l'heure avec quelques grossièretés et beaucoup de vérités » colérait Paul Guillaud, un bénévole vanvéen associatif très actif sur son site Facebook. « A l'époque, j'allais chercher le lait à la laiterie du village avec un bidon à lait en fer blanc, je l'ai utilisé plus de 15 ans sans en changer. Le lait était un lait naturel non traité qui sortait directement du pis de la vache, il n'y avait pas de brique d'aucune sorte... On lavait les couches des bébés. On faisait sécher les vêtements dehors sur une corde. On avait un réveil qu'on remontait le soir. Dans la cuisine, on s'activait pour préparer les repas. On ne disposait pas de tous ces gadgets électriques spécialisés pour tout préparer sans efforts et qui bouffent des watts autant que l'on pouvait en produire. Quand on emballait des éléments fragiles à envoyer par la poste, on utilisait comme rembourrage du papier journal ou de la ouate, dans des boites ayant déjà servi, pas des bulles en mousse de polystyrène ou en plastique. On n'avait pas de tondeuses à essence autopropulsées ou auto-portées. On travaillait physiquement. on n'avait pas besoin d'aller dans un club de gym pour courir sur des tapis roulants qui fonctionnent à l'électricité » rappelait-il. «On buvait de l'eau à la fontaine quand on avait soif. On n'utilisait pas de tasses ou de bouteilles en plastique à jeter. Les gens prenaient le bus, le métro, le train et les enfants se rendaient à l'école à vélo ou à pied au lieu d'utiliser la voiture familiale et maman comme un service de taxi 24 H sur 24.Les enfants gardaient le même cartable durant plusieurs années, les cahiers continuaient d'une année sur l'autre, les crayons de couleurs, gommes, taille- crayon et autres accessoires duraient tant qu'ils pouvaient. Pas un cartable tous les ans et des cahiers jetés fin juin, de nouveaux crayons et gommes avec un nouveau slogan ! On n'avait qu'une prise de courant par pièce et pas de bandes multiprises pour alimenter toute la panoplie des accessoires électriques indispensables aux jeunes d'aujourd'hui. On se contentait, en étant tous dans la pièce commune, de faire des jeux, d'écouter des histoires ou d'écouter la seule radio de la famille. Les jeunes de nos jours (bien sûr il y a des exceptions ) qui ne savent pas écrire 10 lignes sans faire 20 fautes d'orthographe, mais qui croient tout de même pouvoir donner des leçons aux autres » ajoutait il en concluant « Mais c’est vrai qu’on ne connaissait pas le mouvement écologique ».

  • BILAN ET CRITIQUES SUR LE DISPOSITIF DE RESEVATIONS DES COURTS DE TENNIS DE VANVES

    Un bilan des 4 premiers mois de la mise en place d’une expérimentation de réservation des courts de tennis avec l’application Anybuddy depuis  Juillet dernier, a été présenté au conseil municipal du 6 Décembre dernier.. Il s’agissait pour la mairie  d’occuper notamment  les heures creuses  alors que  de plus en plus de joueurs souhaitent pratiquer  ce sport sans pour autant adhérer à un club. Une initiative qui n’est pas du goût des nombreux licenciés de la section Tennis du Stade de Vanves et de ses dirigeants, comme ont pu s’en apercevoir Anne Caroline Cohen et Bernard Roche, respectivement maire adjoint et délégué aux sports lors de l’assemblée générale de cette section trois jours plus tard, où ils ont été fraichement accueillis.

    449 réservations enregistrées en 4 mois avec une montée en puissance de mois en mois (35 en juillet, 54 en Août, 151 en Septembre, 209 en Octobre).  « 290 joueurs ont ainsi réservés dont 60 vanvéens, dans la tranche d’âge 25/40 ans, CSP+ en grande majorité, mais personne ne travaillant à Vanves» a remarqué Anne Caroline Cahen devant le Conseil municipal.  Ces réservations ont surtout concernés les terrains extérieur, à cause de la faible disponibilité des courts couverts, et qui deviennent moins disponibles en cours de saison sportive avec l’école de tennis, les championnats, les rencontres programmées…. «Ce PMS A.Roche où se trouvent des courts de tennis, est notée 4,4/5 étoiles » a indiquée la maire adjointe aux sports qui a fait état d’aucunes dégradations des terrains, et d’un meilleur entretien grâce à un arrosage plus fréquent. Ces réservations ont générées 6 500 € de recettes supplémentaires pour la ville. Le Conseil Municipal a décidé de reconduire cette expérience jusqu’à l’été prochain étant donné le bilan positifs, d’informer les personnes travaillant à Vanves, grâce à une communication dans les entreprises et  chez les commerçants, et d’étendre les délais de réservations en heures creuses

    Même si certains joueurs occasionnels (15%) se seraient inscrits à la section Tennis du stade de Vanves, ses membres craignent qu’à court et moyen terme, ce disposifif n’aboutisse à la mort lente de cette section, comme cela a été dit lors de l’assemblée Générale, avec la disparition de 70% des licenciés.  Un entraineur s’est inquiété qu'il empêche les joueurs de s’entraîner à la veille de rencontres importantes

    D’ailleurs, certains n’ont pas manqué de noter le silence assourdissant des dirigeants du Stade de Vanves, ce qui se comprend, puisqu’ils sont carrément pris entre le marteau et l’enclume, entre d’un côté, une section hostile à cette initiative qu’ils devraient soutenir, et une mairie dont ils doivent appliquer la nouvelle politique sportive, les mains liées par un contrat d’objectifs pluri-annuels.

    Avec le risque à long terme d’une disparition non seulement de cette association omnisports au profit d’un Office municipal des sports comme à Issy les Moulineaux, si l’on continue à merchandiser les activités sportives, mais d’un certain état d’esprit associatif qui permettait d’entretenir une convivialité entre ses membres.