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VANVEENS

  • VANVES PAR LE PETIT BOUT DE LA LORGNETTE

    CONFIDENCES D’UNE ARTISTE SUR VANVES

    Valérie Karsenti qui en avait assez de Paris a choisit de s’installer dans une maison familiale en brique, au bout d’une impasse dans une ville «facile à vivre» ont appris les lecteurs du "Journal des Femmes". Cette atrice qui est la vedette de la série Lycée Toulouse-Lautrec sur TF1 aux cotés de Stéphane De Groodt, Joséphine Draï ou encore Bruno Salomone a expliqué qu’elle avait trouvée, depuis six ans un «coin de paradis»  avec son compagnon François Feroleto (patron de la Girafe)  et ses deux fils. «Nous nous y sommes installés après l'arrivée de notre deuxième fils, il y a six ans», parce que «Les oiseaux et la verdure nous manquaient. Vanves est une ville populaire à l'origine, familiale et facile à vivre» expliquait cette habituée de la piscine, du parc F.Pic, du théâtre, où elle se rend habituellement. «J'en avais assez de ne pas entendre mon fils sur le chemin de l'école. Trop de voitures, trop de bruit. Avec mon compagnon, on a retapé une maison d'ouvrier en brique, au fond d'une impasse. C'est notre paradis !» raconte cette actrice qui a toujours aimé habiter loin des grandes villes. «Enfant, je vivais à la campagne  à la limite de la Beauce et du Perche. La campagne, c'est fabuleux pour donner l'envie de s'évader».  

    CONFIDENCE D’UN VANVEEN A MATIGNON

    « On m’aurait dit il y a quelques mois que je serai Premier ministre… Ce n’est pas du tout ce que j’attendais ! Avant ça, je n’attendais pas spécialement non plus d’être à l’Éducation nationale. Mais bon, on vous propose une responsabilité… Je ne sais pas. C’est aussi ce qu’il y a d’assez exaltant dans la politique, c’est que ce n’est pas vous qui êtes maître totalement de votre destin » confiait au magazine «Elle» Gabriel Attal la semaine dernière. « À l’inverse de beaucoup, je sais que je n’étais rien, personne avant lui (Macron). Je lui dois tout. Absolument tout. Je ne l’oublie pas et ça conditionne beaucoup de choses» 

    DISPARTION : La Section UNCde Vanves qui célébre son centenaire cette année, a perdu l’un de ses fidéles compagnons, porte drapeau :  Roger Flechy (sur la photo) est décédé le 7 mars 2024. Il avait servi au 5eme RI de Beynes. Paix à son âme, et toutes nos condoléances à sa famille

  • VENTE AUX ENCHERES A DROUOT DES TABLEAUX D’UN ARTISTE DE VANVES : FRAN BARO

    Une Vente  aux enchéres en ligne a lieu sur le site de Drouot (drouot.fr) depuis le 25 Janvier jusqu’au 13 Février d’œuvres d’un artiste vanvéen, d’origine espagnol : Fran Baro sous l’intitulé  « De l’Espagne à Paris, le pinceau de Fran-Baro ». Il s’agit d’une vente de fonds d’atelier de 79 tableaux et 3 aquarelles selon la fille cet artiste-peintre qui a longtemps vécut dans ce pavillon, encore debout, à côté du nouvel immeuble construit rue de Solférino face au conservatoire de musique l’ODE.

    Le Théâtre le Vanves posséde une ses œuvres avec cette fresque qu’il a réalisé sur un mur de l’entrée, et qui a été remis en valeur, avec une plaque qui rappelle le souvenir de cet artiste né à Valence (Espagne) en 1926 et décédé à Paris en Mars 2000. « Au delà d'une œuvre exceptionnelle faisant de lui, l'un des derniers maîtres impressionnistes incontestés, Fran-Baro laisse une image unanimement célébrée d'un homme attachant par sa simplicité, sa gentillesse et sa générosité » avait  déclaré le maire de Vanves en dévoilant cette plaque en l’honneur de cet artiste qui aimait beaucoup Paris, Honfleur, les paysages de Sologne, et bien sûr Vanves, où son pavillon de la rue Solférino était devenu une véritable galerie, qu’il appelait « sa casa fran baro ». 

    Il a ainsi peint la place du Val, enneigée, le marché immortalisé dans une des revues de la mairie, le parc F.Pic, et son manége, le square de la mairie, mais pas le parc Michelet qui fut son regret…. Après avoir réalisé les décors muraux du Palais du Marquis de Montorial  et du  Marquis de Pescara, de l’église de la Salla de Paterna au monastère du Puig, de l’église de la Serra et de la Chartreuse de Porta Caeli à Valence, une peinture représentant Chopin jouant au piano avec Georges Sand, un décor mural pour l’hôtel de l’Aigle à Fontainebleau. Toutes ces œuvres étaient une histoire d’amour pour cet artiste, qu’il réalisait à la suite d’un coup de foudre. « Il faut avoir de la sensibilité, du courage, car on doit énormément lutter pour créer, et de la mémoire surtout » confiait il à l’auteur de ses lignes qui a gardé une représentation de son tableau "Notre Dame, la Seine, les Bouquinistes", tout à fait d'actualité avec les JO et la réouverture de cette Cathédrale à la fin de l'année 5 ans après l'incendie et des travaux de restaurations spectaculaires.

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    RENTREE ET VŒU POUR EXPOGRAPH VANVES

    « Si après 5 longues semaines d’inactivité ,l ’AS Expograph termine la phase des matchs allers sur une défaite 3/0 et encore à l’extérieur !!!  sévère à la vue de l’occupation du terrain et des décisions très contraires de l’arbitre » selon la direction  du Club qui, avec tous les joueurs «vous présentent chers partenaires, leurs meilleurs vœux pour 2024 ». « Nous espérons que vous serez encore à nos côtés pour nous permettre de faire aboutir notre projet et nos convictions. Dès la semaine prochaine nous espérons que la Remontada, comme l’an passé va nous permettre de terminer la saison  à la vitesse grand V » selon Jean Royer co-président d’Expograph.

    TENNIS DE VANVES

    Fort de son succès, la Ville de Vanves qui prolonge son partenariat avec l'application Anybuddy,  indiquait ces jours-ci le site de la mairie de Vanves en expliquant que « sa volonté est de «favoriser la pratique du tennis pour le plus grand nombre et faciliter l'accès de cette activité sportive», en donnant la possibilité aux Vanvéens « de réserver des courts de tennis (intérieurs et extérieurs) via une application !». Ce qui a suscité ce commentaire, surement d’un stadiste : « Ou comment mettre à mal le tissu associatif dans une ville, pénaliser un club dynamique et qui contribue à la survie d’autres disciplines plus confidentielles au sein du Stade de Vanves  et faire gagner de l’argent à des financiers plutôt que privilégier une solution gratuite offrant les mêmes possibilités au sein de la FFT ! Bravo ! »  

    COUP DE GUEULE DES VIEUX

    «Il paraîtrait que nous les « anciens » avons détruit la planète ! Nous nous devons de remettre les pendules à l'heure avec quelques grossièretés et beaucoup de vérités » colérait Paul Guillaud, un bénévole vanvéen associatif très actif sur son site Facebook. « A l'époque, j'allais chercher le lait à la laiterie du village avec un bidon à lait en fer blanc, je l'ai utilisé plus de 15 ans sans en changer. Le lait était un lait naturel non traité qui sortait directement du pis de la vache, il n'y avait pas de brique d'aucune sorte... On lavait les couches des bébés. On faisait sécher les vêtements dehors sur une corde. On avait un réveil qu'on remontait le soir. Dans la cuisine, on s'activait pour préparer les repas. On ne disposait pas de tous ces gadgets électriques spécialisés pour tout préparer sans efforts et qui bouffent des watts autant que l'on pouvait en produire. Quand on emballait des éléments fragiles à envoyer par la poste, on utilisait comme rembourrage du papier journal ou de la ouate, dans des boites ayant déjà servi, pas des bulles en mousse de polystyrène ou en plastique. On n'avait pas de tondeuses à essence autopropulsées ou auto-portées. On travaillait physiquement. on n'avait pas besoin d'aller dans un club de gym pour courir sur des tapis roulants qui fonctionnent à l'électricité » rappelait-il. «On buvait de l'eau à la fontaine quand on avait soif. On n'utilisait pas de tasses ou de bouteilles en plastique à jeter. Les gens prenaient le bus, le métro, le train et les enfants se rendaient à l'école à vélo ou à pied au lieu d'utiliser la voiture familiale et maman comme un service de taxi 24 H sur 24.Les enfants gardaient le même cartable durant plusieurs années, les cahiers continuaient d'une année sur l'autre, les crayons de couleurs, gommes, taille- crayon et autres accessoires duraient tant qu'ils pouvaient. Pas un cartable tous les ans et des cahiers jetés fin juin, de nouveaux crayons et gommes avec un nouveau slogan ! On n'avait qu'une prise de courant par pièce et pas de bandes multiprises pour alimenter toute la panoplie des accessoires électriques indispensables aux jeunes d'aujourd'hui. On se contentait, en étant tous dans la pièce commune, de faire des jeux, d'écouter des histoires ou d'écouter la seule radio de la famille. Les jeunes de nos jours (bien sûr il y a des exceptions ) qui ne savent pas écrire 10 lignes sans faire 20 fautes d'orthographe, mais qui croient tout de même pouvoir donner des leçons aux autres » ajoutait il en concluant « Mais c’est vrai qu’on ne connaissait pas le mouvement écologique ».