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voirie

  • DE NOUVEAUX ABRIS BUS NOUVELLE GENERATION DECAUX A VANVES

    Depuis quelques semaines, l’ensemble des abris bus présents sur le territoire de Vanves sont remplacés par la société JCDecaux, mandaté par GPSO depuis que cette société a remporté le marché de mise à disposition, d’entretien et de maintenance des mobiliers urbains publicitaires et non publicitaires qui est effectif depuis le 1er janvier 2020 pour 15 ans.

    Le concept des abris voyageurs a été réinventé pour offrir aux voyageurs un nouveau mobilier design, moderne, écologique, accessible et intelligent, par les designers de JCDecaux. Ainsi Vanves comme les 7 autres vllles de GPSO vont disposer de l’abri le plus innovant et le plus complet déployé à ce jour dans le monde selon cette société

    Créés par le designer Marc Aurel, ces abris nouvelle génération présentent une structure simple, épurée et une ligne contemporaine parfaitement intégrée à l’environnement urbain. Chaque abri voyageurs est adapté à son environnement ( taille de l’abri, configuration, emplacement du mât Signal, etc…). «Ainsi, l’abri voyageurs n’est plus uniquement tourné vers la chaussée mais s’ouvre sur la ville pour davantage de fluidité. A cet espace traversant et élargi pourront s’ajouter des appuis ischiatiques, des sièges individuels ou des banquettes alors que le nombre de vitres ou la taille du toit varieront en fonction de chaque configuration. Tout point d’arrêt devient ainsi un micro-projet d’aménagement, cohérent avec son lieu d’implantation pour davantage de confort» explique-t-il

    De nouveaux écrans d’information voyageurs, plus grands qu’auparavant, permettent désormais une meilleure lisibilité, avec un éclairage qui s’adapte à la luminosité ambiante, un affichage pouvant aller jusqu’à 4 lignes en simultané. Ces nouveaux écrans ont la capacité d’afficher l’information sur les horaires en temps réel des 2 prochains passages de bus et des messages en cas de perturbations (travaux, déviation...) des lignes de bus et  des modes lourds en correspondance des lignes de bus. De plus, le temps d’attente du bus est reporté à l’extérieur de l’abri, sur le mât Signal, permettant aux voyageurs de disposer de cette information avant même d’être dans l’abri.

    Son concepteur a veillé à une meilleure accessibilité avec des abris et des espaces plus généreux, des accoudoirs pour aider les voyageurs qui en ont besoin, notamment les personnes âgées, la possibilité de s’asseoir devant et derrière certains abris voyageurs pour certains d’entre eux,  une circulation facilitée, notamment pour les poussettes et personnes à mobilité réduite dans les cas où l’abri est ouvert à l’arrière, une information accessible aux personnes malvoyantes grâce, à une signalétique en relief et des informations vocales accessibles à leur demande ( lignes, direction, temps d’attente). «Son intégration passe ainsi par l’amélioration du confort de l’usager par la prise en compte de l’espace propre à chaque abri voyageurs afin d’améliorer l’accessibilité des personnes à mobilité réduite, des poussettes, des personnes âgées, etc...» explique Marc Aurel. Afin d’améliorer le confort nocturne, tous les abris sont équipés d’un dispositif intelligent permettant de gérer l’intensité lumineuse de la publicité et des spots intégrés dans le toit

  • VANVES/ GPSO ET LA VIABILITE HIVERNALE: « Nous prenons des risques sur le terrain pour être au service des riverains »

    Depuis le 16 novembre 2020 et jusqu’au 15 mars 2021, les agents d’astreinte de Grand Paris Seine Ouest (GPSO) sont mobilisables pour intervenir 24h/24, 7 jours/7 sur l’ensemble des 8 villes du territoire, pour affronter l’hiver et ses éventuels épisodes neigeux. Le Site Internet de GPSO a interviewé l’ensemble des responsables de l’approvisionnement en sel pour chaque secteur, alors qu’il y avait des risques neigeux cette semaine : Il s’agit de Philippe Crépin responsable approvisionnement, au service interventions de la Direction territoriale Est (DTE), qui regroupe Issy-les-Moulineaux et Vanves.

    «Pendant la viabilité hivernale, nous sommes 44 agents mobilisés 7 jours sur 7, jour et nuit. Pour ma part, je m’occupe de charger le sel dans les véhicules : nous avons 3 saleuses et un chargeur pour réaliser cette opération. Le silo de stockage peut contenir jusqu’à 800 tonnes de sel. Il peut m’arriver d’accompagner mes collègues sur le terrain, en support, avec un petit véhicule. En parallèle, je suis chargé de former mes agents à la prévention des risques : l’utilisation du sel et des machines n’est pas anodine, nous sommes en effet constamment confrontés à des risques. Par exemple, nos véhicules sont équipés de lames, dont il faut savoir se servir, pour ne pas se blesser. La sécurité est une priorité» explique-t-il. .

    Pour une intervention «dès que nous recevons une alerte météo indiquant un épisode neigeux, nous nous préparons, mais nous ne chargeons le sel qu’au dernier moment, pour ne pas qu’il se détériore en restant stocké trop longtemps. Une fois dans les rues, nous le déversons sur la voirie : nous avons 3 types de sel, que nous répandons selon le genre de sol. Par exemple, nous dispersons le sel bio aux abords des écoles, pour qu’il ne soit pas agressif pour les enfants qui s’y rendent. Sur les espaces verts, c’est également le sel bio qui est répandu, pour préserver les sols, et l’environnement» explique cet agent territoriale qui est sur le terrain depuis 33 ans pour assurer la viabilité hivernale.

    «Avant d’être employé pour Grand Paris Seine Ouest, j’étais agent de la ville de Vanves. Depuis toutes ces années, le travail de salage a beaucoup évolué, et c’est tant mieux ! » explique-t-il en se souvenant de son passage au journal télévisé de TF1, il y a quelques années, aux côtés de Yann Texier, qui était alors le directeur des services techniques de la direction territoriale Est. «Un moins bon, en revanche, c’est lorsque l’on intervient pendant une pluie verglaçante : cela devient très dangereux pour nous, surtout avec un petit véhicule, et c’est justement pour ce genre de situation que nous suivons des formations et des stages en prévention des risques. Heureusement, nous n’avons jamais eu d’accidents. De manière générale, les riverains sont reconnaissants envers notre travail, et sont soulagés de nous voir intervenir : notre métier, c’est d’être à leur service».

  • MUNICIPALISATION DES RUES LARMEROUX, RAYMOND MARCHERON: UN AXE TRES FREQUENTE A VANVES

    Le déclassement des rues Raymond Marcheron et Larmeroux (RD 130) avalisé par le conseil municipal du 9 Octobre 2019 fait suite à une municipalisation des routes départementales effectuée en 2012 avec les rues de la République (RD 50A), Jean Bleuzen (RD 130) et les avenues Pasteur, Marcel Martinie et Jacques Jézéquel (RX 61A). Ce déclassement avait permis à la ville de mettre en œuvre des réaménagement urbain (zones 30, sécurisation des traversées piétonnes, modernisation de l’éclairage public, rénovation du mobilier urbain) réalisé alors par GPSO,  compétent en matière de voirie pour le compte de la ville de Vanves. UN diagnostic technique a permis déterminer une compensation financière du département qui se monte, pour ses deux rues Marcheron et Larmeroux à 1 410 014 €, si ses services avaient dû réaliser les travaux.

    Les négociations avec le département ont été serrées parait il et comme l’avait laissé entendre le maire lors de réunions publiques. Au-delà de leur remise en état, ce déclassement permettra de favoriser le recours à des modes de transports alternatifs à l’automobile. « Il s’agit d’une suite logique, car il est plus efficace de gérer les voies qui traversent notre commune. La 1ére étape était de se mettre d’accord sur la compensation financière afin de remettre en état ces voies, c’est-à-dire obtenir ce que le Conseil Départemental aurait dépensé qu’il avait lui-même mener à bien ce chantier » a indiqué le maire en constatant que « cette RD 130 est l’un des axes les plus fréquenté de Vanves, fortement dégradé, qui a besoin d’être rénové ». Ainsi sur la base des données du département extrapolées des rues Raymond Marcheron, Larmeroux, auxquels il faut ajouter jean Bleuzen, cet axe supporterait un trafic important de transit entre Paris et les communes limitrophes : De l'ordre de 14000 véhicules jour soit  un flux à l'heure de pointe de près de 800 véhicules heure par sens, ce qui est considérable.