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Jeunesse

  • LES JEUNES A VANVES ASPIRENT A ETRE ACCOMPAGNES MAIS AUSSI POUVOIR SE RETROUVER ENTRE EUX

    A l’occasion du renouvellement de la labellisation de la structure information jeunesse (SIJ) auprés du service départemental de la jeunnesse, à l’engagement et aux sports (sdjes) rattaché depuis 2021 à l’ESCAL, un diagnostic de territoire et une consultation des habitants ont été réalisé sur de nombreu xthémes comme les dispositifs sociaux, la parentalité/enfance, le tryptique culture-loisirs-sports-nature et la jeunesse. Sur ce dernier point, pour 72% des vanvéens, la jeunessse est un dynamisme indispensable et pour 44% une source d’espoir. Mais plus d’un  quart sont inquiet pour leur avenir.

    Les 628 jeunes qui ont répondu en ligne à  deux questionnaire pour les 11-25 ans et pour les + de 18 ans montre un taux de satisfaction en baisse concernant les offres sur le territoire au fur et mesure que l’on avance en êge, entre 11  et 18 ans. Avec un taux de satisfaction négatif pour les offres entres les 18-25 ans. Ils ont un besoin évident d’accompagnement dans leurs prises de décisions et les choix d’orientation scolaires, professionnels ou personnels (questions de société, de santé), d’être écouté par un adulte en trouvant l’équilibre entre la nécessité d’être accompagné, et le besoin  s’autonomie. Ils ne semblent pas identifier clairement vers qui se tourner pour bénéficier de cet accompagnement ; d’où la nécessité d’avoir une meilleure identification des services dédiés pour être orientés, formés, pouvoir exprimer ses idées

    Leurs demandes majoritaires concernent l’emploi, les jobs, les stages (autour de 25%), les dispositifs locaux d’aides au BAFA (entre 20 et 30%  chaque année),

    Il y aurait un manque d’association et d’instances participatives jeunes. Ils ne sont pas conscients des possibilités offertes par les équipements avec leurs services sportifs culturels, de loisirs. Ils recherchent davantage d’espaces et organiser des activités

    Il manque d’événements, (films, concerts, festivals…) d’un lieu réservé à la jeunesse où se retrouver entre jeunes, tout au long de l’année

  • GRAINES DE CINEASTE A VANVES : TIMOTHEE SUR LES PAS DE SPIELBERG ?

    Avant les vacances d’hiver, le Blog de Vanves indiquait  que Timothée Desouliére, un jeune vanvéen de 13 ans s’était fait remarquer sur l’Instagram de la ville de Vanves #vanves pour un clip ou un court métrage dynamique et créatif tourné entièrement dans la commune dénommé le «bus». Une course poursuite d’un jeune pour rattraper un bus qu’il rate, illustrant parfaitement bien, 40 ans après un grand succésdu cinéma français « Elle court, elle court la banlieue » avec Higelin, cette époque où l’on fustigeait le « boulot-dodo-métro ». Le Blog l’a rencontré justement pendant ses vacances qu’il a consacré à tourner d’autres courts métrages

    «Tout me passionne ! Je ne m’oriente pas sur un type de film particulier. La comédie, l’action comme je l’ai fait avec « Bus », à l’image d’un classique comme le film « Taxi » explique ce jeune vanvéen qui agit déjà comme un « pro » en partant d’un scénario qu’il écrit, « un story board » précise t-il. « On tourne avec une petite caméra pour vidéaste hybride. Pour le « bus »  qui est  l’histoire d’un jeune qui a raté son bus,  j’ai écrit les répliques du début, et pour les scénes d’actions, on a improvisé selon les lieux et les possibilités d’acrobaties de mon copain Jeremy. Le tournage a duré 2 à 3H pour un clip de 2 mn » explique t-il. Il a tourné 3 courts métrages pendant ses vacances,  écrit plusieurs scénarios en réserves…

    Il ne sait plus où est né cette passion pour le 7éme art, mais lorsqu’il était en CE1, il a eu l’occasion de visiter un musée, avec des plateaux de tournages, où on a pu jouer au présentateur météo à la TV . Rentré à la maison, j’ai piqué l’ordinateur de ma mére avec lequel je suis allé sur You Tube où j’ai découvert un logiciel, et c’est comme cela que je suis mis à tourner des clips » raconte t-il comme une évidence. 

    Mais là où c’est encore plus étonnant, c’est qu’à 13 ans en 4e à Michelet, il sait ce qu’il veut faire, réalisateur,que c’est un chemin difficile – «je prends de l’avance parce que je sais ce que je veux faire » -  en visant une école comme l’ESRA- «même si c’est asez coûteux parce que privé ». Il se rêve comme un Spielberg qui a commencé à 18 ans,  et souhaite suivre les traces d’un James Cameron, Luc Besson…. Avec des films cultes à ses yeux : « Forest Gun », « la ligne verte », « Retour vers le futur », « Titanic ». En attendant, il fait ses premières armes avec ses deux copains dont l’un est passionné d’audiovisuel, avec un sens de l’information et de la mise en scéne inné. Allez-voir ses autres courts-métrages sur sa chaine Youtube : https://bit.ly/2BF2pKi

  • JOURNEE DES DROITS DE L’ENFANT : 10 ANS POUR LA CHARTE VANVES « VILLE AMIE DES ENFANTS »

    C’est l’occasion de rappeler que la ville de Vanves l’a signée le 11 Octobre 2006, renouvelée en 2008 et en 2015 à chaque fois  pour une durée de 6 ans. C’est le cas pour  plus de 250 villes en France dont plus de 8 dans les Hauts de Seine (Courbevoie, Issy, Le plessis, Levallois, Malakoff Puteaux et Boulogne). La ville de Vanves privilégie comme valeur fondamental le bien être de l’enfant et l’adolescent dans la cité et le respect de leurs droits dans l’élaboration des projets municipaux. Elle a donc réaffirmé voilà un an,  ses objectifs définis dans une convention : Mettre en oeuvre la convention des droits de l’enfant dans les actions publiques locales vers les enfants, les jeunes et leurs familles. Développer des actions innovantes pour apporter les réponses les mieux adaptées aux situations que connaissent les enfants et les  jeunes en particulier les plus fragiles. Encourager les enfants et les jeunes à être acteurs de la vie sociale. Faire connaître les droits de l’enfant et à en évaluer l’application sur le territoire.

    Elle a pris plusieurs engagements : Ainsi elle devrait proposer au moins une fois dans le cours du mandat, une consultation des 16/18 ans. Elle relaie les opérations proposées par l’UNICEF comme la Nuit de l’eau (22 Mars) dont le but est de collecter des fonds pour aider des pays à améliorer l’accés à l’eau potable dans des structures telles que des hôpitaux ou des écoles (600 € avaient été récoltés pour le programme Wash à destination des enfants du Togo) ;  la journée internationale des droits de l’enfant qui s’est traduit le 25 Novembre 2015 avec une sensibilisation au handicap en visant les enfants des centres de loisirs, avec des ateliers animés par l’APF, la police muncpale, l’association Action Passerelle, notamment basket fauteuil, sensibilisation aux dangers de la route. La ville  associe le comité UNCICEF 92 aux manifestations de la ville (forum des associations, CMJ, fêtes de quartiers, village des terroirs, stand au marché lors de la semaine des droits de l’enfant…).

    Chaque année, la ville a fêté l’anniversaire des droits de l’enfant : Inauguration du square des droits de l’enfant prés de la rue A.Comte, village des droits de l’efnant à l’accueil de loisirs élémentaires Cabourg, exposition Janus Korczak pére fondateur des droits de l’enfant, médecin-pédiatre et écrivain polonais considéré comme l’un des précurseurs de la pédagogie institutionnelle et la mise en pratique des droits de l’enfant, réalisée par des bénévoles de l’UNICEF à la Palestre… « C’était encore un monde idéal lorsque vous avez fait le dossier de candidature, c’était l’époque où la mise en place des nouvelles activités périscolaires s’appuyait sur la volonté de ne laisser aucun enfant livré à lui-même L’accroissement des effectifs d’enfants pouvant bénéficier d’heures éducatives était fondamental pour la ville » constatait alors l’oppositon municipale par la voix de Jean Cyril Le Goff (PS) qui regrettait qu’à la Rentrée 2015,  toutes ces bonnes mesures soient remis encause  avec l’abandon de la gratuité. « On avait déjà un haut niveau d’intervention. Je crois que nous restons très compétitif dans ce domaine » avait répondu B.Gauducheau (UDI) qui affirmait alors avec Xavière Martin, Sandrine Bourg et Erwan Martin « être attentif à  toutes les idées qui permettront de valoriser et renforcer la promotion des droits de l'enfant. Nous encouragerons la créativité et l'émergence des projets privilégiant notamment le civisme et la citoyenneté. Nous sommes également très attachés au maintien de relations proches et constructives avec les bénévoles de l'antenne locale de l'Unicef qui font preuve d’un engagement sans faille ».