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pétition

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    La semaine dernière a été marquée tout d’abord, par le lancement d’une une pétition pour « le retour au calme entre le boulevard du lycée et l'avenue du général de Gaulle » de riverains qui se plaignaient de chants de supporters en pleine nuit, de la musique à très haut volume, et d’insultes provenant d’où ? Du café à l’angle du carrefour qui ouvre très tard dans la journée et ferme très tard la nuit ? Ensuite du nettoyage et du rafraichissement  de la statue « L’Effort », œuvre de Michel Serraz, située au square François Mitterrand, pour lui offrir un nouvel éclat ! La ville a prévue la restauration de la statue « Jeunesse » de Michel Serraz, dans la cour de l’école Larmeroux, courant 2026.

    CONTRE ALLEE JUILLIEN : Le site internet de Grand Paris Seine Ouest (GPSO) est revenu cette semaine passée sur les travaux engagés avec la ville de Vanves sur les travaux sur la contre-allée Jullien, le long du Parc des Expositions (sur la photo) qui se poursuivront jusqu’au 19 décembre : « Ils répondent à un double objectif : améliorer la sécurité des déplacements et offrir un cadre de vie plus agréable aux riverains » indique-t-il en listant les améliorations prévues : Préservation des arbres : « aucun arbre ne sera abattu. Les platanes existants sont conservés et valorisés grâce à la végétalisation des trottoirs avec des plantes basses » ; Création d’une zone de rencontre : « la contre-allée sera transformée en un espace apaisé où piétons, cyclistes et automobilistes cohabitent en toute sécurité » ; Accessibilité renforcée : «les trottoirs déformés disparaissent au profit d’un aménagement qui facilite la circulation des personnes à mobilité réduite » ; Plus de verdure et de confort : « L’espace public sera embelli et sécurisé » ; Adaptation du stationnement : « 5 emplacements situés sur le terre-plein central, mal délimités, peu pratiques et nuisibles à la santé des arbres, seront transformés en espaces végétalisés. Cette évolution permet de préserver les platanes, tout en maintenant la majorité des places existantes (50 au total) » 

    DISPUTE FAMILIALE : Jeudi midi, dans un appartement de la place des provinces, sur le Plateau,  une dispute de famille a pris des proportions qui ont frôlé le drame. L’un des fils, suivi pour des troubles psychiatriques,  a frappé ses frères avant d’asséner un coup de couteau à sa mère, si fort que la lame s’est brisée à proximité de l’omoplate gauche de la victime. Rapidement alertés, les policiers sont rapidement intervenus sur les lieux pour y interpeller l’auteur des faits. La mère est restée consciente malgré la gravité de sa blessure. Immédiatement prise en charge par les pompiers, elle a été transportée à l’hôpital en urgence absolue. Son pronostic vital n’a pas été engagé. L’auteur des faits a quant à lui été placé en garde à vue.

    Budget/49.3 :  Gabriel Attal estime que l'absence de 49.3 a agi comme un « détecteur de mensonges » alors que doit intervenir cet après midi le vote définitif sur le projet de loi sur la sécurité sociale, et d’ici la fin de l’année le projet de loi des Finances 2026. Une référence aux différentes mesures qui ont pu être approuvées ou refusées par les formations parlementaires, les débats n'étant pas abrégés par le 49.3. Lequel permet au gouvernement, moyennant l'engagement de sa responsabilité, d'adopter directement un texte à l'Assemblée nationale sans vote des députés. «On a vu la position des uns et des autres », déclare le chef des députés Ensemble pour la République (EPR). Le député de Vanves cible plus particulièrement l'extrême droite, accusant «les responsables du Rassemblement national d'expliquer qu'ils sont contre les impôts, mais de voter 34 milliards d'impôts en plus sur les Français et les entreprises».

  • PAS ENCORE DE VOIE RESERVEE SUR LE PERIPH LE LONG DE VANVES

    Lorsque les vanvéens s’engageront sur le Périph par les bretelles des portes de La Plaine, Brancion ou de Vanves, ils n’auront pas à veiller d’éviter d‘emprunter la voie réservée au covoiturage mis en place depuis le lundi 3 Mars. Tout simplement parce que la portion sud du Périph entre les portes de Sévres et Bercy n’est pas concernée parce qu’elle est réduite à 3 voies au lieu de 4. Pour l’instant, car elle devrait l’être ultérieurement

    Ainsi, après le Périph à 50 km/h depuis Octobre, une voie de covoiturage a été mis en place dés le 3 mars pour une période expérimentale de 6 mois. La voie de gauche, comme c’était le cas pendant les Jeux olympiques de Paris 2024, est utilisée pour cette phase de test et elle est réservée au covoiturage, aux bus, aux taxis et aux véhicules de secours. Deux créneaux ont été mis en place, entre 7h et 10h30 puis entre 16h et 20h (du lundi au vendredi uniquement). Un bilan devra être effectué «au bout de six mois afin d’évaluer son efficacité, son impact sur la fluidité de la circulation et les conditions de sécurité» selon le ministère de l'Aménagement du territoire et de la Transition écologique  qui ajoute «qu’à l’issue de cette évaluation, il sera décidé de maintenir ou de suspendre la mesure des voies réservées».

    Bien évidemment, La mairie de Paris s’en est félicitée. Anne Hidalgo qui a toujours dit vouloir pérenniser le principe de voie réservée, héritage des JO de 2024, poursuit dans sa volonté de lutter contre l’autosolisme et réduire les nuisances liées à la voiture. De son côté, la présidente de la Région Ile de France, Valérie Pécresse, s’est inquiété d’un risque d’embouteillages massifs et d’un report sur les voies limitrophes. Tout en notant, comme elle l’a instamment demandé, la désactivation - par la mairie de Paris ou la préfecture de police - de cette voie réservée en cas de congestion de l’infrastructure : « La Région Île-de-France sera vigilante sur les modalités de mise en œuvre de cette désactivation temporaire pour qu’elle tienne compte également des effets de congestion du réseau secondaire causés par cette voie réservée » assure-t-elle

    De son côté, l’association 40 millions d’automobilistes  qui dénonce « une mesure discriminatoire, inadaptée et précipitée », a lancé une pétition contre la voie de covoiturage sur le périphérique, intitulée « Automobilistes à Paris, la peine Capitale ». Elle demande la fin de l’expérimentation et s’oppose à l’application officielle de la mesure, prévue le 1er mai prochain.

    En attendant, toutes les personnes ne respectant pas les règles de circulation sur cette voie seront passibles d’une amende de 135 €, aprés une phase pédagogique de deux mois. A l’aide d’une caméra de contrôle qui utilise l’intelligence artificielle, un conducteur seul sera averti de son infraction. Dans les faits, un losange blanc lumineux lui indiquera de changer de file. La phase de verbalisation entrera en vigueur le 1er mai. «Concrètement, des totems surmontés de caméras permettront d'identifier les catégories, de compter les passagers, à l’avant comme à l’arrière, et de lire les plaques minéralogiques avant et arrière» explique la mairie de Paris. A l’issue de l’évaluation, «il sera décidé de maintenir ou de suspendre la mesure des voies réservées», précise le Direction des routes d’Ile de France.

  • UNE PETITION POUR DEFENDRE LA VILA DUPONT A VANVES LANCE PAR DES RIVERAINS

    L’Association des Riverains de la rue Marcheron (ARRM) a lancé cette pétition adressée à plusieurs autorités dont le maire de Vanves . « Il existe dans les Hauts-de-Seine, à Vanves, un ensemble  architectural méconnu, mais aimé des Vanvéens. Depuis près d'un siècle les enfants jouent dans son allée en fer à cheval en rentrant de l'école, les vanvéens peuvent admirer cet ensemble de maisons en meulière disposées dans ce havre où de grands arbres se répondent et créent un ilot de fraicheur. Nous sommes attachés à ce lieu qui devient magique en pleine ville» décrit-elle.

    «Cet ensemble a vu le jour en 1898, grâce à J. Dupont, architecte, dans la rue Raymond Marcheron. Il se compose de neuf pavillons le long d’un chemin privé. Soucieux d’éviter la monotonie, son architecte avait disposé les maisons en éventail parmi les arbres d’un vieux domaine. Chacune de ces maisons à son charme et son caractère, permettant à l’architecte de varier les matériaux, et les décors extérieurs comme intérieurs. Alors que le patrimoine de Vanves disparait au profit des promoteurs, nous avons découvert que la «Villa Dupont» n’est pas classée patrimoine remarquable ! Même pas été classée en ZPPAUP (Zone de Protection du Patrimoine Architectural, Urbain et Paysager), ce qui aurait pu se faire par une délibération du Conseil Municipal. La «Villa Dupont » répond selon nous à la définition des sites patrimoniaux remarquables du Ministère de la Culture :  « les villes, villages ou quartiers dont la conservation, la restauration, la réhabilitation ou la mise en valeur présente, au point de vue historique, architectural, archéologique, artistique ou paysager, un intérêt public. » Le classement au titre des sites patrimoniaux remarquables a pour objectif de protéger et mettre en valeur le patrimoine architectural, urbain et paysager de nos territoires. Cela permettrait d’aider à sa conservation» indique l’ARRM.

    «Nous demandons instamment à monsieur le Maire, et au Conseil Municipal de lancer la procédure de classement de la « Villa Dupont » suivant la loi n° 2016-925 du 7 juillet 2016 relative à la liberté de la création, à l'architecture et au patrimoine. Ce classement rejoindra le souhait de 71% des Vanvéens de protéger leur patrimoine paysager existant  (source : Vanves le Mag, mars 2022, p15) »  rappelle-t-elle en demandant l’aide du département et de notre député pour classer ce lieu et ses arbres plus que centenaires, de la Protection des Bâtiments de France et du Ministère de la Culture de ce patrimoine qui devient si rare. Les arts, traditions et architectures populaires ne sont plus protégées. «Nous demandons que ce patrimoine de Vanves soit préservé et non sacrifié au profit du béton ! »