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pétition - Page 3

  • VANVES MOBILISE A LA FETE DE L’HUMA ET POUR FAIRE SIGNER LA PETITION CONTRE LA PRIVATISATION D’AEROPORTS DE PARIS

    Quelques vanvéens vont participer ce week-end à la Fête de l’Huma à la Courneuve, comme chaque année, pour leur convictions communistes, comme Boris Amoroz conseiller municipal communiste, mais aussi parce que c’est une fête populaire, avec ses concerts -  Une cinquantaine d’artistes sont programmés pour cette 84e édition dont le groupe vanvéren Dakoté, aux côtés du groupe phare des Antilles, Kassav etc…  - ses 400 stands et ses plus de 500 invités (l'ancienne présidente du Brésil Dilma Roussef, la maire de Paris Anne Hidalgo, l'économiste Thomas Porcher, l'ex-ministre Najat Vallaud-Belkacem, le cégétiste Philippe Martinez, les sociologues Pinçon-Charlot...).

    Mais la grande affaire durant ce week-end est de faire signer la pétition réclamant un référendum sur la privatisation d’Aéroports de Paris (ADP). Vanves était classé 3éme dans les Hauts de Seine au mois d’Août 2019 avec 600 vanvéens qui  avaient signé la pétition. Selon les chiffres officiels rendus publics ces derniers jours, par le Conseil constitutionnel, la procédure a recueilli 725 000 signatures validées. On est encore loin de la barre fixée à 10 % du corps électoral, soit environ 4,7 millions de signatures, à obtenir d'ici au 13 mars prochain. Il faudra donc tenir un rythme moyen d'environ 27 500 nouvelles contributions quotidiennes, bien plus que les 4 000 enregistrées par jour en juillet ou en Août. La section FG/PC de Vanves est mobilisé ainsi que Malakoff (J.Belhomme et C.Margaté maire et ex-maire de Malakoff sur le stand de la commune à le fête de l'Huma sur la photo). «Si on est à un million ou un million et demi à la fin de l'année, là ça deviendra compliqué» arguait par exemple Patrick Kanner, patron du groupe socialiste au Sénat. «On est en période creuse, il ne faut pas se décourager. La démocratie ça s'apprend», renchérissait on du côté EELV, car cette mobilisation pour éviter la privatisation d’ADP dépasse les partis

  • DEBAT SUR LES CONSTRUCTIONS A VANVES : IL N’Y A PIRE SOURD QUE CELUI QUI NE VEUT PAS ENTENDRE

    La majorité municipale a signée une tribune dans le dernier V.I. de Mars où elle défend l’intérêt général contre ses riverains qui défendraient leurs intérêts privés en pétitionnant contre des projets, et notamment en visant ceux de la rue Raymond Marcheron à propos de l’immeuble que Bouygues Construction construira à l’emplacement de deux pavillons. Mais il n’y a pas pire sourd ceux qui ne veulent pas entendre ce qu’expliquent les riverains depuis le début. Ils ne sont pas contre cette construction elle-même, même s'ils regrettent la disparition de pavillons, mais ils demandent l’alignement de ce nouvel immeuble sur les autres afin d’élargir le trottoir étroit à cet endroit pour la sécurité des piétons. Est-ce défendre des intérêts particuliers que demander plus d’espaces pour les piétons alors que cette voie publique est très circulante, avec notamment l’arrivée d’une nouvelle ligne de bus. Est-ce défendre l’intérêt général que d’inverser le sens d’une rue (Pruvot) à la demande de quelques riverains, pour leur intérêt privé (leur tranquilité) alors qu’elle était emprunté par de nombreux automobilistes qui sont obligés de faire un énorme détour, par la rue R.Marcheron ou Issy les Moulineaux pour rejoindre le centre ancien ou aller vers Paris ou Malakoff. Une tranquillité au détriment des riverains des autres rues qui subissent un surcroît de circulation et de pollution comme c’’est le cas rue Valentine Jacquet, place Kennedy, rues Falret, Vieille Forge etc...

    Personne ne nie la nécessité de construire en petite couronne pour remplir l’objectif de construire 75 000 logements par an en IDF. Les écologistes ont été les premiers à expliquer qu’il valait mieux construire en petit couronne que de favoriser l’étalement urbain en grande couronne et supprimer des espaces agricoles, verts et forestiers forts utiles pour les citadins franciliens. La majorité actuelle leur a reproché lors des derniéres élections municipales de vouloir densifier la petite couronne, détruire des zones pavillonnaires, notamment à Vanves. Or que fait elle ou plutôt, d’après ces explications, qu’elle laisse faire ? Exactement ce que préconisaient les écologistes, mais avec une différence, comme ils l’ont expliqué lors de leur grand débat le 21 Février dernier : construire un habitat de haute qualité environnemental en développant la nature en ville. Et tout le monde sait bien que laissez-faire, est dangereux même s’il y a des régles (d’urbanisme) à respecter, c’est manquer d’une réflexion  d’ensemble et d’un schéma de développement sur la commune.  Ou en tous les cas, de le laisser supposer.

     

  • NOUVEAU PROGRAMME IMMOBILIER A VANVES, NOUVELLE PETITION DANS LE QUARTIER MICHELET/PARC DES EXPOS

    La tendance cet été à Vanves est bien à la pétition ou aux recours, non seulement sur l’espace santé Jeunes, et le projet Woodeum porte Brançion, mais aussi sur un programme immobilier à l’angle des rues Jullien et Gabriel d’Estrée au carrefour devant le lycée Michelet. Les riverains sont particulièrement remontés, car ce projet n’a jamais fait l’objet d’une réunion publique.

    Il y a bien eu une très rapide présentation à la réunion publique semestrielle du quartier Centre Ancien-Saint Remy le 7 Juin dernier, mais les habitants de ce quartier vont plutôt à la réunion publique semestrielle du Plateau dont il fait partie, d’autant plus que leur bureau de vote est la salle Michel Ange sur le plateau. Une réunion qui s’est déroulée le 11 Juin à l’école Marceau sans que le sujet soit abordé. Surtout que l’affaire a été engagée depuis plusieurs mois, puisque les pavillons concernés ont fait l’objet d’un acte de vente signé en Novembre dernier. Et le permis de construire est cours de validation, s’il ne l’a déjà été.

    Ainsi, un vaste programme immobilier va voir le jour à Vanves, à proximité du Lycée Michelet à la place des numéros 1, 3 et 5 rue Gabrielle d'Estrées et des numéros 62, 64 et 66 rue Jullien,  avec démolition des maisons existantes et élévation d'un ensemble immobilier de 56 logements (RdC + 4 étages),  2 sous-sols de parkings qui jouera sur la déclinivité du terrain, avec un jardin intérieur côté lycée Michelet. Un panneau d’affichage a été discrètement installé au 66 de la rue Jullien

    Les riverains sont furieux d’avoir été mis devant le fait accompli. «Ce projet risque de porter atteinte aux biens dont vous êtes propriétaire ainsi qu’aux conditions dans lesquelles vous les occupez» explique le Collectif Vanves-Michelet. Ils craignent des travaux qui vont durer plus de 24 mois, avec les nuisances sonores et visuelles du chantier,, des rues barrées, des suppressions de places de stationnement, mais aussi  une perte d’ensoleillement, la privation d’une vue dégagée notamment sur le parc du lycée, la déflation de la valeur vénale de leur bien. « Si vous souhaitez vous opposer à ces projets de démolition des maisons qui font le charme de Vanves et éviter la construction de programmes immobiliers qui bétonnent notre ville avec leurs lots de nuisances (travaux, vis-à-vis, bruit, poussière, circulation, stationnement...), signez la pétition » invite le collectif Vanves-Michelet

    « La région parisienne est déjà le territoire le plus dense de toute l’Europe. Paris et les trois départements de la Petite Couronne forment un territoire de 762 km² pour 6,7 millions d’habitants, soit une densité d’environ 9 000 habitants au km². Le Grand Londres qui est deux fois plus étendu avec 1 600 km² n’atteint que 5 500 habitants au km². Il n’est donc pas nécessaire de «construire la ville sur la ville» pour être une métropole attractive. En banlieue la chasse aux secteurs pavillonnaires est ouverte, la haute administration exige qu’on construise «la ville sur la ville» et les promoteurs immobiliers y voient une aubaine » constatait récemment Patrick Devedjian, président du Conseil Départemental dans le journal l’Opinion. Vanves en est malheureusement l’exemple criant depuis 2/3 ans, d’autant plus étonnant qu’elle est l’une des communes les plus denses des Hauts de Seine.