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politique

  • UNE LISTE LFI A VANVES POUR LES ELECTIONS MUNICIPALES DE MARS 2026 ( ?)

    Si  LFI (La France Insoumise)  a négligée les élections municipales en 2020, car le parti de Jean Luc Mélenchon,  n’était pas assez préparé à entendre ses responsables, ce n’est pas le cas en 2026 où il veut gagner des municipalités. Soit  tout seul, soit au travers d’alliances en jouant sur la dynamique du NPF (Nouveau Front Populaire),  ce qui n’a pas l’air d’être le cas à Vanves, puisque LFI n’a pas rejoint l’Union de la gauche vanvéenne (PS-Place Publique, Ecologistes-PC) conduite par Alexias Pecresminoz. Il a même désigné Agnés Le Neuder à Vanves parmi 91 autres candidats en France dans des villes de plus de 30 000 habitants

    « On doit arriver à mettre le pied dans la porte » expliquait, ces jours-ci le député LFI de Malakoff (11e circ du 92), Aurélien Saintoul, dans Actu Hauts de Seine en espèrant que « la dynamique du NFP (nouveau front populaire) » va permettre de rassembler également les forces de gauche. « On ne va pas se lancer dans des candidatures de témoignage » et le parti qui est « la première force de gauche dans le département », espère jouer ses cartes à fond. « On peut prendre des villes à la droite » en évoquant Clichy, Colombes, Montrouge, Villeneuve La Garenne dans ls Hauts de Seine. « Partout, où on sera présent, ça sera pour l’emporter. […] On va faire cette campagne avec l’idée que c’est une campagne nationale. C’est la première fois qu’on va pouvoir voter depuis le vol de la victoire des législatives. »

    Agnés Le Neuder candidate LFI  à Vanves, devra constituer une liste de 35 noms pour être présente, ce qui est loin d’être évident, même si LFI a déjà présenté des candidats notamment aux cantonales en 20011 avec Sébastien Lachaud qui est depuis 2017 député de la Seine Saint Denis , où c’était plus facile.  Avec les 91 Candidats LFI aux municipales, elle a  signée une tribune, à l’initiative de Sophia Chikirou, candidate LFI à Paris, où ils annoncent vouloir faire de la lutte contre les violences infligées aux enfants une priorité politique et budgétaire : « Maires insoumis, nous ferons du périscolaire un véritable service public d’éducation communale » 

    « Les révélations d’affaires de violences physiques et sexuelles commises sur les temps périscolaires et extrascolaires se multiplient partout en France. Accueils du matin et du soir, centres de loisirs du mercredi ou des vacances : ces lieux, qui devraient être synonymes de protection et d’émancipation, deviennent, partout en France, trop souvent le théâtre de faits graves. Ces faits, documentés par des enquêtes de presse et par les témoignages recueillis par le collectif SOS Périscolaire, ne relèvent pas de dérives isolées. Ils révèlent des défaillances persistantes dans l’organisation, l’encadrement et le contrôle des accueils collectifs de mineurs. Face à cette situation, nous, têtes de listes pour La France Insoumise alertons : la sécurité des enfants sur les temps communaux engage directement la responsabilité des maires et des exécutifs locaux ». A leurs yeux, il est indispensable « de renforcer les contrôles des accueils collectifs de mineurs par les services de l’État. Les formations certifiantes BAFA, BAFD, ainsi que les diplômes d’Etat BPJEPS, DEJEPS et DESJEPS doivent intégrer des modules obligatoires de prévention et de lutte contre les violences physiques et sexuelles ».

    Ils souhaitent un soutien financier de l’État, par la recréation du fonds de soutien supprimé en septembre 2025, indispensable pour permettre aux collectivités d’en assurer la mise en œuvre effective et pérenne. Chaque commune doit également se doter de procédures claires de recueil de la parole des enfants et de protocoles de signalement conformes à l’article 40 du code de procédure pénale. « Dans les villes que nous dirigerons, nous ferons de la protection et de l’émancipation des enfants une priorité politique et budgétaire avec un véritable service public d’éducation communale ».

  • VANVES CHOISIE PAR RENAISSANCE POUR PARLER DU DANGER DES ECRANS ET DES RESEAUX SOCIAUX POUR NOS ENFANTS

    «Partout en France, dans ces salles pleines, comme ici sur ma circonscription à Vanves, le même constat, la même inquiétude : Les écrans et les réseaux sociaux constituent une catastrophe sanitaire et éducative en puissance pour nos enfants » constatait Gabriel Attal qui, à la tête de Renaissance, s’est engagé à en parler, en organisant de telles réunions où il y a du monde comme ce fut le cas vendredi soir à la Palestre après l’inauguration du Village des Terroirs.

    « Ce qui montre l’intérêt sur le sujet. Et Vanves est très engagé sur la Jeunesse, avec notamment ces « samedis de l’infos » animée par une journaliste de France 3 qui décrypte et explique l’information » a-t-il ajouté pour expliquer pourquoi Vanves a été choisie pour organiser cette réunion dans les Hauts de Seine pour présenter et échanger sur cette proposition de loi pour interdire les réseaux sociaux à tous les mineurs de moins de 15 ans et instaurer un couvre-feu numérique de 22H à 8H du matin pour les mineurs entre 15 et 17 ans qui sera examiné par l’Assemblée Nationale le 19 Janvier

    « Un sujet qui touche nos familles, nos enfants, nos écoles » a souligné Bernard Gauducheau en ouvrant cette réunion par quelques mots d’accueil : « On dit toujours que nos députés sont hors sol, éloignés du terrain. Cette démarche démontre le contraire. Les travaux parlementaires montrent qu’ils prennent en compte, une réalité qui nous interpelle » a-t-il déclaré en concluant « qu’à Vanves, on  est toujours attentif au bien être de nos enfants ! »

    « C’est l’usage qu’on en fait et ses contenus qui est en question » selon Laurianne Rossi, responsable Renaissance pour les Hauts de Seine qui a rappelé que Gabriel Attal en fait un combat dans ses différents postes ministériels et maintenant à la tête de Renaissance. Il est intervenu après Laure Miller, députée et rapporteuse de la commission d’enquête Tik Tok sur « Réseaux sociaux, Tiktok, écrans… qui porte ce combat avec lui.

    « On a décidé de s’engager sur ce sujet qui pose la question de la société dans laquelle on vit. Plus la jeunesse va bien, plus la société se porte mieux. C’est pourquoi, il faut en prendre soin. Protéger les enfants de toute tentative d’ingérence et ‘instrumentalisation. Et moduler les réseaux sociaux qui sont un formidable moyen de communication. On doit aller un cran plus loin pour éviter une dérégulation des usages avec ses effets nocifs sur les jeunes. Il agir. Et on s’est fixé des objectifs avec cette commission d’enquête et des recommandations » a-t-il expliqué avant d’échanger avec la salle justement sur ces propositions pendant un long moment. 

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    La semaine dernière a été marquée tout d’abord, par le lancement d’une une pétition pour « le retour au calme entre le boulevard du lycée et l'avenue du général de Gaulle » de riverains qui se plaignaient de chants de supporters en pleine nuit, de la musique à très haut volume, et d’insultes provenant d’où ? Du café à l’angle du carrefour qui ouvre très tard dans la journée et ferme très tard la nuit ? Ensuite du nettoyage et du rafraichissement  de la statue « L’Effort », œuvre de Michel Serraz, située au square François Mitterrand, pour lui offrir un nouvel éclat ! La ville a prévue la restauration de la statue « Jeunesse » de Michel Serraz, dans la cour de l’école Larmeroux, courant 2026.

    CONTRE ALLEE JUILLIEN : Le site internet de Grand Paris Seine Ouest (GPSO) est revenu cette semaine passée sur les travaux engagés avec la ville de Vanves sur les travaux sur la contre-allée Jullien, le long du Parc des Expositions (sur la photo) qui se poursuivront jusqu’au 19 décembre : « Ils répondent à un double objectif : améliorer la sécurité des déplacements et offrir un cadre de vie plus agréable aux riverains » indique-t-il en listant les améliorations prévues : Préservation des arbres : « aucun arbre ne sera abattu. Les platanes existants sont conservés et valorisés grâce à la végétalisation des trottoirs avec des plantes basses » ; Création d’une zone de rencontre : « la contre-allée sera transformée en un espace apaisé où piétons, cyclistes et automobilistes cohabitent en toute sécurité » ; Accessibilité renforcée : «les trottoirs déformés disparaissent au profit d’un aménagement qui facilite la circulation des personnes à mobilité réduite » ; Plus de verdure et de confort : « L’espace public sera embelli et sécurisé » ; Adaptation du stationnement : « 5 emplacements situés sur le terre-plein central, mal délimités, peu pratiques et nuisibles à la santé des arbres, seront transformés en espaces végétalisés. Cette évolution permet de préserver les platanes, tout en maintenant la majorité des places existantes (50 au total) » 

    DISPUTE FAMILIALE : Jeudi midi, dans un appartement de la place des provinces, sur le Plateau,  une dispute de famille a pris des proportions qui ont frôlé le drame. L’un des fils, suivi pour des troubles psychiatriques,  a frappé ses frères avant d’asséner un coup de couteau à sa mère, si fort que la lame s’est brisée à proximité de l’omoplate gauche de la victime. Rapidement alertés, les policiers sont rapidement intervenus sur les lieux pour y interpeller l’auteur des faits. La mère est restée consciente malgré la gravité de sa blessure. Immédiatement prise en charge par les pompiers, elle a été transportée à l’hôpital en urgence absolue. Son pronostic vital n’a pas été engagé. L’auteur des faits a quant à lui été placé en garde à vue.

    Budget/49.3 :  Gabriel Attal estime que l'absence de 49.3 a agi comme un « détecteur de mensonges » alors que doit intervenir cet après midi le vote définitif sur le projet de loi sur la sécurité sociale, et d’ici la fin de l’année le projet de loi des Finances 2026. Une référence aux différentes mesures qui ont pu être approuvées ou refusées par les formations parlementaires, les débats n'étant pas abrégés par le 49.3. Lequel permet au gouvernement, moyennant l'engagement de sa responsabilité, d'adopter directement un texte à l'Assemblée nationale sans vote des députés. «On a vu la position des uns et des autres », déclare le chef des députés Ensemble pour la République (EPR). Le député de Vanves cible plus particulièrement l'extrême droite, accusant «les responsables du Rassemblement national d'expliquer qu'ils sont contre les impôts, mais de voter 34 milliards d'impôts en plus sur les Français et les entreprises».