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préfecture de police

  • OVID-19 : VANVES AVEC L’ILE DE FRANCE EN ALERTE RENFORCEE

    Valérie Pécresse, en ouvrant hier matin, la session de deux jours du Conseil Régional auquel assistait le conseiller régional-maire de Vanves, a dit quelques mots sur le classement de la région Ile de France en «alerte renforcée, en appelant les jeunes à faire preuve de solidarité avec les ainés dans cette période». Elle implique  l'interdiction de vente d'alcool à partir de 20h,  de tout rassemblement au-delà de dix personnes, ainsi que la baisse de la jauge maximale autorisée pour les grands rassemblements de 5000 à 1000 personnes, ce qui devrait concerner le tournoi de Roland Garros qui débute ce week-end,  de la location de salle pour des fêtes, y compris pour des mariages, de la fermetures des salles de sports, des gymnases,  de l’annulation de toute inauguration, ou manifestation locale comme se devrait être pour le cas pour coktail des présidents qui suit le forum des associations, l’inauguration de la librairie « Le cheval vapeur » sur le Plateau qui vient d’ouvrir mardi dernier, peut être, un plus loin dans le temps de la Coupe de l'Amitié du CIV,  du village des Terroirs et de la kermesse de Saint Remy etc….à moins que la situation s'améliore, mais l'ensemble de ces manifestions localres qui se déroulent durant l'automne ont du plomb dans l'aîle..

    Aucune mesure n’a été en revanche envisagée pour les Ehpad de la région parisienne, les transports, ni de fermetures pour les bars/restaurants comme à Marseille,  mais ils devront fermer à 22h. D’ailleurs valérie Pécresse  a regretté comme beaucoup d’élus, le manque de concertation avec les collectivités locales» en déplorant n'avoir pas été associée à la décision la plus douloureuse pour notre tissu économique qui est la fermeture des bars à partir de 22 heures, alors que l’Etat met en avant le couple Maire-préfet.  «Or l’échelon régional a montré tout sa pertinence. Il a été beaucoup plus agile que l’Etat , en matière de masques,  de soutien aux entreprises avec son plan de relance inédit . Et on le voit aujourd’hui avec les tests : 8000 ont été réalisés dans 40 communes, 3000 dans les territoires ruraux francilien. Et la Commission permanente vient de voter 20 000€ pour aider les communes à mettre en place des tests » expliquait-elle hier.

    Avant le conseil de Défense de mercredi, une réunion s'était tenue lundi entre l'ARS d'Ile-de-France, la mairie et la Préfecture de police de Paris où leurs responsables avaient envisagé les mesures annoncées par Olivier Véran ministre de la Santé mercredi soir suscitant de multiples réactions : La mairie de Paris a mis en garde contre des mesures trop contraignantes qui handicaperaient la vie économique et sociale.  «Nous, nous appelons à la vigilance : nous allons vivre longtemps avec ce virus, il faut faire quelque chose de vivable. L'objectif c'est de se protéger mais il faut laisser une vie sociale se faire» ajoutait Anne Souyris, adjointe de la maire de Paris chargée de la Santé. D'autant que dans des villes comme Vanves, leurs habitants respectent les consignes données, port du masques, respect des régles de distanciation, des consignes données par les autorités municipales ou publiques, aucun incident notoire n’ayant été relavé, ou de rassemblement comme on l’a vu à Paris sur les bords du Canal Saint Martin, même si quelques jeunes font moins attention lors des soirées « tampas » organisée au pavillon de la Tourelle  

    Mais les maires sont furieux «Cette méthode autoritaire, solitaire et non concertée porte en elle un risque d’ajouter à la crise sanitaire une crise de confiance…Alors que le gouvernement a mis en avant depuis plusieurs mois l’importance du bon fonctionnement du binôme Préfet-Maire, le ministère de la Santé choisit de mettre les maires devant le fait accompli. Les maires ne sont pas des supplétifs que l’on siffle ou que l’on sonne pour qu’ils entérinent en silence des décisions dont la pertinence mérite au moins d’être questionnée au préalable. Le gouvernement a besoin de rassembler autour de lui pour traverser cette crise qui est certes d’abord sanitaire, mais aussi économique et sociale. La méthode choisie hier est mauvaise» réagissait l’association des maires de France

  • L’IMAGE DU JOUR A VANVES : UN TAXI VANVEEN EN COLERE

    Cette photo d’un chauffeur de taxi en colère du côté de la porte Maillot, envoyé par son auteur,  a beaucoup circulé sur les réseaux sociaux depuis deux jours. Or il se trouve que c’est un élu de Vanves exerçant cette profession bien connu des parisiens qui apparaît sur la photo. Comme l’expliquait encore, mardi dernier Anne Hidalgo, maire de Paris,  les taxis font partis du service public des transports. Mais voilà, dés que l’on veut toucher à leur statut, à leur licence ou dés qu’ils sont concurrencés parde nouvelles formes de transports comme les TVC, ils font des mouvements et gréves corporatistes qui peuvent se révéler très violentes. C’est pourquoi les taxis n’ont jamais évolués parce que personne n’a osé les toucher et ceux qui l’ont fait l’ont payés cher : Impossible d’augmenter leur nombre, alors que beaucoup de parisiens se  plaignent d’une certaine pénurie. Impossible de changer leur statut puisqu’ils sont gérés par la préfecture de police alors qu’ils devraient l’être par le STIF, la haute autorité des transports en Ile de France, comme l’ont proposées différents organismes (CESER) ou commission (Balladur, Atteli…). Impossible même d’uniformiser leurs véhicules comme à Londres etc…La gréve des taxis actuelle est le reflet de ces corporatismes en France qui empêchent d’avancer et au Grand Paris d’être plus attractif alors que la concurrence internationale entre les métropoles est féroce.    

  • AUTOLIB’ : PREMIER BILAN TRES TRANSPARENT A VANVES ET DANS LE GRAND PARIS

    Avec l’installation de la première station Autlib’ à Vanves juste devant devant Audiens rue J.BLeuzen, beaucoup de vanvéens ont pu se poser la question de savoir s’il y en aurait d’autres et où. Certains ont laissé entendre qu’il y avait un manque de transparence de la mairie sur ce sujet alors que Bernard Gauducheau avait très clairement répondu le 21 Juin à des vanvéens lors d’une réunion de quartier : «  Il en est prévu  rue Larmeroux (vers la rue Mansard), au métro Plateau de Vanves/Malakoff (devant Audiens), à la gare de Vanves/Malakoff, Bd du Lycée,  Rue Mary Besseyre, carrefour de l’insurrection côté rue Marcel Martinie, Carrefour Legris  ce qui va supprimer 36 places de stationnement dans la ville ». Et qu’il avait même été encore précis en page 10 du V.I. de Novembre 2011, scruté page par page par certains vanvéens,  en parlant précisément de 6 stations : Rues Jean Bleuzen, Jean Jaurés, Parking du Marché, avenue Marcel Martinie, rue Larmeroux et rue Vieille Forge ».  6  stations sont donc clairement prévues à Vanves sur un total de  70 sur le territoire de GPSO (22 à Boulogne, 22 à Issy, 4 à Chaville, 11 à Meudon, 6 à Sévres et 2 à Ville d’Avray), sachant que chacune coûtera 50 000 €.  Encore faut il, vu le premier bilan, que cette opération se révéle viable.

     

    L’ensemble de la majorité municipale avec les 4 élus PS avaient voté cette délibération au Conseil Municipal de Mercredi dernier,  sauf deux écologistes qui ont voté contre (C.Papy et P.Toulouse),  L. Schmid (EELV) et C. Charfe (PC) s’étant abstenus. Malgré les déclarations des uns et des autres, nos élus avaient accepté cette nouvelle initiative parisienne sans vraiment la vouloir. Mais interco oblige, ils n’ont pas pu faire autrement. Pour Bernard Gauducheau (NC) « la non participation de GPSO aurait créée un déséquilibre, d’où l’insistance de la maire de Paris pour que notre communauté d’agglomération y participe. Sans parler d’une possibilité de subvention régionale dont on n’aurait pas pu profiter en rejoignant plus tard ce syndicat mixte. Dans le contexte actuel, une voiture électrique génére moins de bruit et de pollution ».

     

    Prés de deux mois après son lancement le 2 ou 5 Décembre 2011, par Bertrand Delanoë, le maire de Paris à laquelle ont assisté Bernard Bauducheau et David Mahé, Autolib qui compte plus de 7000 abonnés, connaissait ses premiers couacs. Tout d’abord,  des stations vides : un seul véhicule à Vanves, de même à la gare de Clamart etc…De très nombreuses stations ou presque affichent "0", soit aucune voiture disponible, lorsque l’on consultait le site www.autolib.eu et sa carte de localisation des stations : « Nous avons un problème informatique avec le repérage. Il y a en réalité plus de voitures que le site ne l'indique, cela va être résolu » assuraient les responsables du Syndicat Mixte Autolib’ dans les médias en précisant que  « 70 voitures  sont ajoutées par semaine » dans le circuit depuis le début de l’année. Ensuite un nombre important de voitures en réparation, des pannes et de nombreuses dégradations démentis par les responsables d’Autolib' : « Il y a très peu de vandalisme, c'est marginal et c'est une très bonne surprise ».

     

    Pourtant, la Préfecture de police qui faisait la semaine dernière un premier bilan indiquait que le Commissariat de Saint Cloud, guichet unique mis en place pour toutes les affaires relatuves au dispositif, a enregistré à ce jour 8 plaintes (7 pour dégradation de véhicules, 1 pour dégradation d’une station). 51 appels avaient été reçus par les centres de commandement de petite couronne pour des problèmes de stationnement sur les emplacements. Enfin, 5 individus avaient été arrêtés dont 3 placés en garde à vue (2 pour intrusion dans un végicule et 1 pour dégradation d’une station). Enfin, les responsables d’Autolib’ reconnaissaient de leur côté  que « les délais de réparation sont un peu longs ». Sur 300 voitures en circulation pour l'instant dans Paris et 45 communes, 50 seraient en réparation au centre opérationnel des Autolib' à Vaucresson.  D’autant plus qu’au moindre problème, comme un rétroviseur abimé, le véhicule est retiré du circuit. Le syndicat réfléchit à un systéme permettant de réparer les petits dégâts sur place.