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villes de vanves

  • VANVES ET LA JOURNEE INTERNATIONALE DE LA FEMME : DES VANVEENNES ILLUSTRES ET MECONNUES

    A la veille de la Journée Internationale de la femme, Vanves Au Quotidien a recherché les femmes qui ont marqué notre ville, à différents titres, à travers son histoire contemporaine et ancienne. A noter qu’aucune femme n’a été maire de Vanves, ni deéputée pour l’instant, par contre deux ont été suppléantes d’André Santini, Françoise Saimpert et Isabelle Debré qui est de surcroit, la première vanvéenne, sénateur des Hauts de Seine.  Par contre, Vanves a depuis un certain nombre d’années des femmes à la tête de son commissariat de police comme c’était encore le cas début Mars

     

    Parmi les contemporaines qui vivent encore dans notre ville ou l’ont quittée : Yvette Farnoux, déportée-résistante, présidente fondatrice de l’association Mémoire des Déportées et des résistants de l’Europe qui est l’une des rares femmes à avoir reçue la grand’croix de la Légion d’Honneur. Véronique Genest qui fait parler d’elle puisqu’elle est suppléante d’un candidat à l’élection législative partielle pour une des circonscriptions des français del’étranger : Elle n’est pas vanvéenne mais elle a été la vedette d’une série TV « Julie Lescaut » qui avait choisie Vanves comme décor pendant 12 ans, entre 1994 et 2006, puisque le (faux) commissariat de cette commissaire set trouvait à l’emplacement du magasin Bio C Bon. Daniéle Darrieux, grande dame du Cinéma français, a vécue quelques années, avenue du Parc. Tout comme Marie Josée Perec, championne Olympique lorsqu’elle avait comencée à remporter ses premièes médailles aux championnats du monde d’athlétisme edt des J.O. Elle avait sollicitée certains acteurs vanvéens pour le sponsoriser dont la ville de Vanves qui avait refusée, ne devinant pas le destin de cette championne.

     

    D’autres qui restent méconnues, ont marqué l’actualité comme Astrid Pichegrain, rare jeune femme à avoir participé au Dakaer en moto (en 2003) et découvert ce sport à l’Enduro du Touquet. Daniéle Martin, spécialiste des marathons de l’impossible sur la muraille de Chine, dans le desert, ou encore Claire Lesegrain, journaliste à La Vie et à La Croix, auteur d’une passionnante enquête sur les « grands ordres religieux », Danièle Meyrieux qui avait la passion du théâtre, et l’a fait partagée avec l’association « Le Toucan », tout comme Racha Arodaky, jeune pianiste plein d’espoir, professeur au Conservatoire voilà une vongtaine d’année, Corsi artiste peintre qui partage sa vie entre son atelier du 13 rue de Châtillon et la Bretagne  avec Jacques Brachet son époux, auquel la ville a rendu hommage à l’automne dernier avec une exposition à l’hôtel de ville…    

     

    Certaines reposent à Vanves, mais pas toujours au cimetière : Alice Sapritch s’est fait incinéré et son urne a été installée dans le jardin d’un petit pavillon prés de l’église Saint François d’Assise qui appartenait alors à son neveu par alliance. Les plus anciens se souviennent l’avoir vu en Rolls (blanche) avec Thierry Le Luron, faire ses courses dans le Centre Ancien et la rue Louis Blanc. Une autre actrice, Colette Bianco (1906-1998) dont le nom de scéne est Colette Darfeuil, repose au cimétioère de Vanves. Notre commune a vu séjourner, bien sûr, Marina Tsetaïeva (1892-1941) grande poétesse russe, auteur de poésies lyriques, de poémes, de tragédies, d’essais qui ont connu un grand succés après sa mort. La ville lui a rendu hommage lors des journées du patrimoine de Septembre 2010 en apposant une plaque sur la façade de l’immeuble de la rue JB Potin où elle a vécue lorsqu’elle s’était exilée après la révolution russe. Beaucoup plus loin dans le temps, Louise de Bourbon (1754-1824) dénommée  « Mademoisrlle » préceptrice du duc d’Enghein, a passée tous ces étés au château de Vanves (Pavillon Mansart du lycée Michelet) où elle a jouée au paysanne à l’image de Marie-Antoinette dans son hameau vee Versailles. Enfin, une seule a donnée son nom à une rue de Vanves : Gabrielle d’Estrée, l’une des maîtresses renommées d’Henri IV, ou Juliette de Wills à une voie privée dite « Vila » qui rappelle généralement le souvenir d’une propriétaire à Vanves

  • CEREMONIE DE NATURALISATION A VANVES : Une première depuis 2006/07 !

    Une soixantaine de vanvéens avaient été invités pour une réception des nouveaux naturalisés lundi derrnier à L’hôtel de ville que certains découvraient pour la première fois, impressionnés même. C c’est aussi beau qu’à l’hôtel de ville de Paris » confiait l’un d’entre eux. Ils s’étaient mis sur leur 31, ainsi que tous les élus, majorité et opposition présentes, avec les écharpes triclores pour le maire et ses adjoints « pour montrer l’importance de cette cérémonie » a insisté Bernard Gauducheau. Une cérémonie qui ne s’était pas déroulée depuis 2006/07, à cause des années où se déroulent une élection ( ?)  durant laquelle tous les élus leur ont remis un exemplaire de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen. « C’est un texte fondateur de notre République qui est très bien écrit » a indiqué le maire  après un discours, pour marquer cet événement important où il a été question de natuiralisation, de nationalité française…

     

    « On a officialisé le sentiment d’être français et de se reconnaitre dans la République. On fait partie de la communauté française en reconnaissant l’ordre républicain » qui repose sur le tryptique « Liberté, Egalité, Fraternité » a expliqué le maire qui a insisté sur le fait qu’ils jouissent maintenant de tous les droits politique, et de vote maintenant. Il a quelque peu disgressé sur le droit de vote des étrangers, en insistant sur le fait que « le droit de vote vos donne le droit de participer ». Il a ajouté le devoir de responsabilité car « on peut être aussi un acteur en apportant sa contribution » à la vie citoyenne. Il a parlé d’identité nationale : « Les différences ne devraient plus exister. Les droits et les devoirs devraient être les mêmes pour tous. La France ne sera jamais une mosaïque car cela ne peut entraîner que la division. Le comunautarisme ne doit pas avoir sa place. Chacun doit se sentir concerné par l’autre ». Enfin, il a reconnu que la naturalisation prend du temps. « C’est la meilleure solution pour une intégration réussie. J’espére que ce soir, vous êtes heureux. Nous le sommes. Notre pays sagradit. Et de surcroît vous êtes vanvéens. Nous ne pouvons que nous réjouir que les rangs de notre communauté s’agrandissent ».

     

    Si ces propos ont été apprécié par l’ensemble de l’assistance, ce n’était pas le cas de Valérie Mathey (PS) qui a été choqué par les propos du maire sur le droit de vote des étrangers : « Etait-ce vraiment l’endroit et le moment ? ». Elle aurait préféré entendre parler de la France, de cette terre accueillante, avec de belles phrases comme celle-ci lors d’une telle cérémonie dans une autre mairie tenu par un député de la République pour montrer combien  il était sensible à tout ce qui touche à l’humanité de l’être, et donc à cette cérémonie symbole d’un combat, d’une lutte d’une histoire et d’une humanité :   « Aucune civilisation ne détient l’apanage des ténèbres ou de l’auguste éclat, aucun peuple n’a le monopole de la beauté, du progrès, de la science ou de l’intelligence. Chaque homme porte la forme entière d’une humaine condition » ou encore celle d’un maire qui expliquait que « On porte en soi sa nationalité et sa citoyenneté, grandes valeurs et appartenances républicaines. La République doit d’ailleurs accompagner l’histoire de chacun ! »