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transports en commun

  • VANVES PAR LE PETIT BOUT DE LA LORGNETTE

    LA DEPUTEE DE VANVES AU CONGRES

    «Aujourd'hui, la France a adressé un message historique au monde entier : le corps des femmes leur appartient et personne n’a le droit d’en disposer à leur place. C'est une deuxième victoire pour Simone Veil et pour toutes celles qui ont ouvert la voie» a tweeté sur X Claire Guichard(sur la photo), député Renaissance de la 10e circonscription des hauts de Seine (Vanves-Issy) qui était présente à cette réunion de tous les parlementaires en Congrès au Château de Versailles,  pour inscrire l’IVG Dans la constitution. Un moment historique pour plusieurs raisons : Une séance présidée par une femme, Yaël Braun Pivet présidente de l’Assemblée Nationale, 50 ans après l’adoption de la loi Simone Veil autorisant l’IVG, avec le discours du plus Premier ministre de la Ve République, vanvéen de surcroit

    UN SALON DE L’AGRICULTURE CHAHUTE ET EN BAISSE

    La 60e édition du Salon de l'agriculture qui s'est clôturée dimanche a été aussi historique. Jamais, il n’a été aussi chahutée, notamment le jour de son inauguration par le président de la République,  retardant son ouverture d’une heure demie, beaucoup de visiteurs ayant attendu devant les portes d’entrée comme rue du Septembre à Vanves. 603 652 visiteurs ont foulé les allées du salon, un chiffre  en légère baisse, -2 %, par rapport à l’édition 2023 qui avait attiré 615 204 curieux. Il faut dire qu’à 20 € l’entrée, beaucoup de familles y ont réfléchis à deux fois pour aller visiter la ferme aux portes de Vanves, comme l’expliquait un grand pére vanvéen  qui aurait bien voulu y amener ses deux petits enfants Il n’empêche que le président du salon, Jean-Luc Poulain, a parlé d’une « édition compliquée, surtout en début de salon », mais aussi une fête populaire toujours plébiscitée par le public, « venu nombreux » à la rencontre des agriculteurs. Il en restera une image contrastée : Une visite présidentielle chaotique, une autre plus calme du premier ministre le mardi mais qui était déjà allé le dimanche au salon, en quittant Vanves après l’hommage à Guy Janvier le 25 Février, pour contrer la présence de Jordan Bardella (RN) et participer au diner du 60e anniversaire  du SIA,  portant à 83 le nombre d’élus qui ont visité ce salon

    NOUVELLES RESTRICTIONS POUR LES JO

    À moins de cinq mois des Jeux, le gouvernement appelle les franciliens  à anticiper leurs déplacements comme c’est le cas au moyen d’affiches placardées dans le métro. Les vanvéens sont bien sûr concernés tout au moins pour les habitués de certaines lignes où des stations seront fermées : La 13 bien sûr qui dessert le centre aquatique et le Stade de France à Saint-Denis mais aussi la place de la Concorde et les Invalides devrait, selon les prévisions gouvernementales, être la ligne de tous les dangers.

    Même sort pour les arrêts de tramway de Porte de Versailles et de Porte d’Issy, à proximité de l’Arena Paris Sud  (Parc des Expositions de la porte de Versailles) qui abritera le volleyball, le tennis de table, le handball et l’haltérophilie du 26 juillet au 11 août avant d’accueillir la boccia et le goalball pendant les Jeux paralympiques. Pour les transiliens, la ligne L en direction Versailles Rive Droite fera partie des plus affectées par les Jeux.  Enfin, une bonne partie du boulevard périphérique, de la Porte de Vanves à la Porte de Bercy, en passant par le nord, est concernée par ces voies réservées aux athlétes, VIP, jounalistes

  • VANVES ET LE COVID-19 : PRENDRE LES TRANSPORTS EST MOINS DANGEREUX QUE BOIRE UNE BIERE SUR UNE TERRASSE VANVEENNE

    Les vanvéens sont vigilants dans ce contexte de crise sanitaire, notamment sur les réseaux sociaux où il s’expriment.  Alors que Paris et la petite couronne venaient de passer en zone d'alerte maximale, entraînant de nouvelles restrictions pour freiner la propagation de l'épidémie, des centaines de voyageurs se retrouvaient entassés et bloqués dans les couloirs du métro, comme l’ont montré de nombreuses vidéos diffusées sur les réseaux sociaux et relayés par leurs soins. Et notamment sur la ligne 13 que beaucoup d’entre eux empruntent, et qui  a encore une fois subi l'ire de passagers massés près de quais rendus difficile d'accès par la surabondance de passagers. ET pourtant le préfet de police a confirmé que les transports publics ne feraient l’objet d’aucunes restrictions,  du moins pour l'instant, au contraire de nombreux autres lieux de contact comme les salles de sport, les gymnases, les piscines, les congrès ou les bars.  Ce qui apparait, à leurs yeux, complétement incompréhensible

    «Les transports en commun ne sont pas un lieu de contamination particulier», s'est justifié Jean-Baptiste Djebbari ministre délégué aux transports, en rappelant que «toutes les études scientifiques prouvent que moins de 1% des contaminations se passent dans les transports». En cela, le «protocole sanitaire extrêmement strict», déjà en place dans ces lieux de transit et en particulier le port du masque obligatoire suffit à limiter les risques au maximum. D’ailleurs Santé Publique France  indiquait que sur l'ensemble des 2830 clusters identifiés entre le 9 mai et le 28 septembre, les transports (l'avion, le bateau et le train) ne représentaient que 1,2% du total et une extrême minorité des clusters en cours d'investigation. Les contaminations ont principalement lieu dans les «entreprises hors établissements de santé», pour un quart, en «milieu scolaire et universitaire», pour un cinquième, et dans les «établissements de santé» ou les «événements publics ou privés et rassemblements temporaires de personnes», pour un dixième chacun. Pourtant , à la Mi-Juin, le Haut Conseil de la Santé Publique considérait les transports en commun comme «des lieux clos à risque de transmission du virus». Qui croire ?

    «Les règles sanitaires sont plus strictes dans les transports que dans les bars. Le port du masque est, par exemple, permanent», rappelait Ile de France Mobilités, la haute autorité des transports en IDF où siége le maire de Vanves. «Nous n'avons pas connaissance de clusters dans les transports en commun. Toutes les études, y compris à l'étranger, montrent que ces lieux sont sûrs. Les mesures prises suffisent à garantir que le risque de contamination est limité» ajoutait elle.  De surcroît, l'absence de touristes, le développement de modes de transport alternatifs et le télétravail viennent parallèlement réduire la pression sur les lignes. «Les images particulièrement impressionnantes partagées lundi sur les réseaux sociaux sont le résultat de «dysfonctionnements» sur la ligne 13. Il y a eu un concours de circonstances, avec deux incidents à la suite», expliquait-on la RATP qui décidé de mobiliser ses agents pour canaliser les flux, pour éviter que les scènes d'attroupements sur les quais de la ligne 13, dans les couloirs du métro ou dans le RER B se reproduisent. Il n’en reste pas moins que le message est clair : prendre le métro est désormais moins risqué que boire une bière en terrasse

  • VANVES ET LES TRANSPORTS EN COMMUN : LA REGION REPARE DES INJUSTICES ET INCITE A UTILISER DES TITRES DE TRANSPORTS DEMATERIALISES

    Les vanvéens  qui prennent les transports en commun ont eu le droit à un cadeau pour certains d’entre eux, ce qui est rare en ces temps qui courent, avec le pass Seniors, mais une mauvaise surprise avec l’augmentation du carnet de tickets de métro en carton depuis le 1er Novembre. A un moment où il est beaucoup question de transports, avec les gréves surprises à la SNCF, et celle du 5 Décembre qui s’annonce très dure, comme le 13 Septembre dernier. Des sujets abordés  lors du Conseil d’Administration de Ile de France Mobilités, haute autorité des transports franciliens,  où siége Bernard Gauducheau, maire de Vanves et conseiller régional,  mercredi dernier, avec l’audition des PDG de la SNCF et de la RATP. Et où sa présidente, Valérie Pécresse,  a défendu le service minimum, l’indemnisation des voyageurs touchés par ses gréves intempestives, et surtout lorsque ce dernier n’est pas assuré, en prévenant les syndicats : «Un mouvement sans service minimum desservirait leurs causes ! »

    La région Île-de-France a mis en place  un Pass Senior  pour les franciliens de 62 ans et plus,  sans activité professionnelle ou travaillant moins d’un mi-temps, leur permettant de se déplacer sur le réseau des transports publics régionaux à moitié prix. Il fonctionne sur le même principe que le Navigo annuel utilisé par les salariés. Il est pris en charge à 50 %, non pas par une entreprise, mais par la région via Ile de France Mobilités (ex-Stif). Le Navigo Senior coûte 37,60 euros par mois, au lieu de 75,20 euros au plein tarif, soit un gain de pouvoir d’achat de 451,20 euros par an pour les utilisateurs. «Je répare une injustice tarifaire. Les Franciliens de plus de 62 ans payant des impôts étaient les grands oubliés de la politique des transports en commun franciliens. Ils n’avaient droit à rien, contrairement aux jeunes avec Imagine’R ou aux actifs avec le remboursement de leur employeur» explique V.Pécresse. Mais pour les titulaires de la carte améthyste, comme les anciens combattants, par exemple, ce n’est pas intéressant, car ils ne paient de 25 €, cmome le constatait l’un d’entre eux ces derniers jours dans le local de l’UNC Vanves.

    Mais comme d’habitude, les bonnes nouvelles sont accompagnées de mauvaises :  Ce 1er novembre, le carnet de 10 tickets de métro, de 14,90 à 16,90 euros, mais le ticket t+ individuel reste à de 1,9€. L’objectif de cette augmentation de plus de 13% a pour but d’accélérer la transition vers les titres de transport dématérialisés mais par la même occasion elle viendra mécaniquement décourager les usagers à utiliser ce type de support en carton entraînera mécaniquement un rejet des transports en commun pour les utilisateurs occasionnels ou ceux qui ne souhaitent pas passer au numérique, les personnes qui ont une difficulté, voire une incapacité à utiliser les appareils numériques. Pour certains élus, Le ticket t+ doit rester une alternative à la dématérialisation, permettant à n’importe quel usager de prendre les transports en commun sans être obligé de passer par l’achat ou le rechargement d’une carte, ou encore savoir si son téléphone portable est compatible et dispose de la bonne technologie pour pouvoir bénéficier de cette dématérialisation.