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VANVES ET LA REGION ILE DE FRANCE

  • VANVES CONCERNE PAR LA DEFENSE DU BOUCLIER SECURITE DE LA REGION ILE DE FRANCE

    L’ensemble des maires franciliens (de la majorité régionale) dont sûrement le maire de Vanves qui est conseiller régional, de surcroît, a été mobilisé ces jours-ci par Valérie Pécresse, qui les a réunis le 2 Juillet au conseil régional,  pour défendre son bouclier de la sécurité. Depuis neuf ans, il vu la région investir près de 150 M€ sur la sécurité et aidé plus de 730 communes (soit plus de 90 % de la population francilienne) dont a, peut-être, bénéficié Vanves, toujours à la recherche de subvention, d’autant plus que la Région a permis le financement de caméras de vidéo surveillance, des gilets pare-balle, des véhicules pour la police municipale.

    Or, ll est menacé par une décision imminente du tribunal administratif de Montreuil qui a examiné le 1er juillet, 4 recours formulés par le groupe communiste de l’assemblée régionale dont un en partenariat avec La Quadrature du Net et un autre avec la sénatrice écologiste Ghislaine Senée. Car le rapporteur public a préconisé l'annulation des délibérations attaquées au motif d'incompétence de la Région en matière de sécurité. La décision, mise en délibéré, sera connue d'ici 2 à 3 semaines et devrait confirmer cette censure, partielle, du bouclier régional de sécurité. Pour l’opposition communiste, «il s'agit d'un camouflet pour Valérie Pécresse et la droite régionale qui se savaient, pourtant, hors la loi ! »

    «Qui va vous aider ?» a demandé Valérie Pécresse, l'air grave devant une assemblée d'élus, écharpe tricolore, mercredi dernier : «c'est de la non assistance à Francilien en danger !». D’autant plus que 198 projets ont été votés la semaine dernière, des aides aux communes pour la police municipale : «  Je ne pourrai pas verser les subventions si cette décision est négative ». 

  • VANVES PRESENTE 5 PROJETS AU BUDGET PARTICIPATIF ET SOLIDAIRE DE LA REGION ILE DE FRANCE

    Pour cette 7ème édition du budget participatif et solidaire de la Région Ile de France , près de 950 projets sont proposés par des associations, des communes ou des lycées. La ville de Vanves présente cinq projets :

    -L’acquisition de vélos pour le dispositif « Savoir rouler à l’école » : Ce projet prévoit l’achat de 10 vélos pour des élèves de primaires et 5 pour les encadrants avec casques pour la promotion des mobilités durables

    - L’installation de capteurs de pollen « Lify air » nouvelle génération : Il s’agit de remplacer les prototypes installés en novembre 2021 grâce à ce budget participatif régional (4900 €), par des capteurs V3 pour surveiller en  temps réel les concentrations polliniques et informer la population

    - L’installation d’une dizaine de nichoirs à chauve-souris, un geste pour la biodiversité et l’écologie, sur les façades des bâtiments municipaux et sur des troncs d’arbres dans des zones  adaptées

    -La végétalisation et la création d’un îlot de fraîcheur au parc des sports André Roche : Cet ilot de fraîcheur de 100 m2 serait aménagée dans d’une zone végétalisé existante (arbres, arbustes, vivaces). Il se pourrait bien que ce soit l’ex-terrain de boules lyonnaises (sur la photo)  où plusieurs arbres ont déjà été planté, notamment au milieu des jeux qui sont devenus de véritables mini- prairies,   à côté du jardin partagé de l’association Grainenville au niveau de l’accès de la rue Jean Baptiste Potin

    - L’installation d’un revêtement drainant clair en matériau écologique sur une partie de la cour d’école Marceau Elémentaire

    Les vanvéens comme les franciliens ont jusqu’au 30 Juin pour voter sur le site de la Région sachant qu’en 2024, 786 projets avaient été financés (3851 depuis sa création).

    A Vanves, ce budget participatif avait permis l’aménagement de jardins partagés et d’espaces de compostages  (10 000 €) en 2020, la végétalisation des allées du petit cimetière en 2020 (10 000 €), la création de la maison du vélo (5 872 €) en  2021 , l’installation d’une bricothéque  (10 000 €) au SQUARE en 2022. En 2024, il a financé l’installation de ruches avec la mise en place d’une gestion arboré (9604 €), ainsi qu’une protection conte le frelon asiatique (1000 €),  la  plantation d’arbres dans les créches Boule de Gomme et Sucre d’Orge (2000 €), l’installation de protection contre les chenilles autour des arbres du PMS A.Roche (6000 €).

  • LES HABITANTS DE VANVES POURRONT DES CET ETE SE BAIGNER DANS LA SEINE

    Dès l’été 2025 à Paris et dans le Val-de-Marne, les vanvéens comme des franciliens pourront se baigner en toute sécurité, grâce au Plan Baignable lancé en 2016, dans la Seine et la Marne.  100 ans après son interdiction dans la Seine, 55 ans dans la Marne. Cette possibilité repose sur une amélioration massive de la qualité de l’eau, une modernisation des réseaux d’assainissement et une gestion rigoureuse des usages du fleuve. «La reconquête de la Seine est une ambition très ancienne. Et les Jeux de Paris 2004, nous ont donné un calendrier ambitieux, c'est une thématique de réussite et surtout un héritage, puisque nous avons montré que la Seine est désormais baignable. Nous avons réussi ensemble là où beaucoup nous voyaient échouer !» déclarait Marie Barsacq, ministre des Sports, lors d’un  Comité de pilotage du Plan Baignade qui a permis de faire le point avec l’ensemble de ses acteurs,  SIAAP, ville de Paris, les conseils départementaux,  MGP…. «Se baigner dans la Seine ou la Marne ne sera plus un souvenir d’archives mais une réalité quotidienne. Ce projet est une victoire collective pour l’environnement, la santé publique et la qualité de vie des franciliens» soulignait Marc Guillaume, préfet de région. Mais pour y arriver, il a fallu investir plusde1,1 Milliards d’euros depuis 2016 pour moderniser les infrastructures d’assainissement..

    Ces investissements ont permis de réduire de 30 à 40 % les rejets d’eaux usées lors des épisodes pluvieux, de multiplier par 20 à 30 le rythme annuel de correction des mauvais branchements détectés, de raccorder l’ensemble des bâteaux et ports parisiens au réseau d’assainissement, de créer 40 à 50 hectares de nouveaux espaces verts sur le territoire du plan baignade, d’améliorer significativement la biodiversité (36 espèces de poissons recensées aujourd’hui contre 14 en 1990)…..

    A Paris, trois sites de baignade, gratuits et sécurisés, seront ouvert à Paris dès le 5 juillet 2025 (jusqu’au 31 août), sachant qu’ils seront fermés les jours où les conditions ne permettront pas d’assurer la sécurité des baigneurs : courant important, qualité de l’eau insuffisante, pluies trop abondantes.... Les baigneurs évolueront directement dans le fleuve, dans un environnement peu aménagé contrairement au site de la Villette où les personnes nagent dans un bassin fermé, alimenté par l’eau du canal. Au Bras Marie (Paris Centre),  au pied  du pont Sully et face à l’Île Saint-Louis, dans un environnement naturel et patrimonial exceptionnel. A Grenelle (15e)  face à l’Île aux Cygnes, à quelques encablures de la Tour Eiffel qui accueillera les usagers sur de larges pontons où se trouveront un solarium et un bassin sécurisé pour les familles et les enfants (profondeur 40/60cm). Et Bercy (12e)  face à la Bibliothèque François-Mitterrand, avec deux bassins, des équipements complets et une plage urbaine.

    Dans le Val de Marne, deux sites ouvrent dès le 28 juin 2025 à Maisons-Alfort  au niveau du square de Petits Pirate, près de la passerelle Charentonneau avec deux bassins (enfant et adulte), des installations variées ainsi qu’un cadre verdoyant et soigné pour une expérience des plus agréables. Et à Joinville-le-Pont, sur le site historique de la plage du banc de sable, au port intercommunal de plaisance. À terme, 14 sites de baignade sont envisagés sur la Seine  (7) et la Marne  (7) dans le département, faisant du Val-de-Marne un territoire pilote en matière de baignade naturelle. Ainsi il est envisagé la création pour l’été 2026 de deux autres sites à Bry-sur-Marne et au Perreux-sur-Marne.

    A l’aval de la Seine, des efforts se déploient désormais pour essayer d’ouvrir des sites de baignade à l’île Monsieur [Sèvres)  et à l’Ile Saint Denis à l’horizon 2027-2028