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  • LES HABITANTS DE VANVES POURRONT DES CET ETE SE BAIGNER DANS LA SEINE

    Dès l’été 2025 à Paris et dans le Val-de-Marne, les vanvéens comme des franciliens pourront se baigner en toute sécurité, grâce au Plan Baignable lancé en 2016, dans la Seine et la Marne.  100 ans après son interdiction dans la Seine, 55 ans dans la Marne. Cette possibilité repose sur une amélioration massive de la qualité de l’eau, une modernisation des réseaux d’assainissement et une gestion rigoureuse des usages du fleuve. «La reconquête de la Seine est une ambition très ancienne. Et les Jeux de Paris 2004, nous ont donné un calendrier ambitieux, c'est une thématique de réussite et surtout un héritage, puisque nous avons montré que la Seine est désormais baignable. Nous avons réussi ensemble là où beaucoup nous voyaient échouer !» déclarait Marie Barsacq, ministre des Sports, lors d’un  Comité de pilotage du Plan Baignade qui a permis de faire le point avec l’ensemble de ses acteurs,  SIAAP, ville de Paris, les conseils départementaux,  MGP…. «Se baigner dans la Seine ou la Marne ne sera plus un souvenir d’archives mais une réalité quotidienne. Ce projet est une victoire collective pour l’environnement, la santé publique et la qualité de vie des franciliens» soulignait Marc Guillaume, préfet de région. Mais pour y arriver, il a fallu investir plusde1,1 Milliards d’euros depuis 2016 pour moderniser les infrastructures d’assainissement..

    Ces investissements ont permis de réduire de 30 à 40 % les rejets d’eaux usées lors des épisodes pluvieux, de multiplier par 20 à 30 le rythme annuel de correction des mauvais branchements détectés, de raccorder l’ensemble des bâteaux et ports parisiens au réseau d’assainissement, de créer 40 à 50 hectares de nouveaux espaces verts sur le territoire du plan baignade, d’améliorer significativement la biodiversité (36 espèces de poissons recensées aujourd’hui contre 14 en 1990)…..

    A Paris, trois sites de baignade, gratuits et sécurisés, seront ouvert à Paris dès le 5 juillet 2025 (jusqu’au 31 août), sachant qu’ils seront fermés les jours où les conditions ne permettront pas d’assurer la sécurité des baigneurs : courant important, qualité de l’eau insuffisante, pluies trop abondantes.... Les baigneurs évolueront directement dans le fleuve, dans un environnement peu aménagé contrairement au site de la Villette où les personnes nagent dans un bassin fermé, alimenté par l’eau du canal. Au Bras Marie (Paris Centre),  au pied  du pont Sully et face à l’Île Saint-Louis, dans un environnement naturel et patrimonial exceptionnel. A Grenelle (15e)  face à l’Île aux Cygnes, à quelques encablures de la Tour Eiffel qui accueillera les usagers sur de larges pontons où se trouveront un solarium et un bassin sécurisé pour les familles et les enfants (profondeur 40/60cm). Et Bercy (12e)  face à la Bibliothèque François-Mitterrand, avec deux bassins, des équipements complets et une plage urbaine.

    Dans le Val de Marne, deux sites ouvrent dès le 28 juin 2025 à Maisons-Alfort  au niveau du square de Petits Pirate, près de la passerelle Charentonneau avec deux bassins (enfant et adulte), des installations variées ainsi qu’un cadre verdoyant et soigné pour une expérience des plus agréables. Et à Joinville-le-Pont, sur le site historique de la plage du banc de sable, au port intercommunal de plaisance. À terme, 14 sites de baignade sont envisagés sur la Seine  (7) et la Marne  (7) dans le département, faisant du Val-de-Marne un territoire pilote en matière de baignade naturelle. Ainsi il est envisagé la création pour l’été 2026 de deux autres sites à Bry-sur-Marne et au Perreux-sur-Marne.

    A l’aval de la Seine, des efforts se déploient désormais pour essayer d’ouvrir des sites de baignade à l’île Monsieur [Sèvres)  et à l’Ile Saint Denis à l’horizon 2027-2028

  • LE MINISTRE/DEPUTE/CONSEILLER MUNICIPAL DE VANVES, GABRIEL ATTAL, A BERCY AU BUDGET

    Quel parcours politique pour Gabriel Attal qui voilà cinq ans, faisait campagne pour être élu  député LREM en Juin 2017, devenir ministre délégué à la jeunesse en 2018, puis porte parole du gouvernement en 2020, puis ministre délégué du budget en 2022 à  33 ans, battant de 5 ans Nicolas Sarkozy, nommé en 1993 à ce poste par Edouard Balladur, Premier Ministre de la seconde cohabitation avec François Mitterrand. Il est d'ailleurs l'un des rares ministre et proche d’Emmanuel Macron qui trouve grâce aux yeux de l’ex-chef de l’Erat : «J’ai eu cinq porte-parole : Chistine Albanel, Laurent Wauquiez, Luc Châtel, François Baroin et Valérie Pécresse. Le petit Gabriel, il se débrouille pas mal » confiait il aux auteurs du livre « Chérie j’ai rétréci la droite ». Il a même tué la fonction (de porte parole du gouvernement) , comme Sarko à l’Intérieur : « Tu as su donner du souffle  de la  chair, et de la vie à ce poste » déclarait Olivia Grégoire qui le remplace à cette fonction, lors la passation de pouvoir vendredi en fin d'aprés-midi.  

    Ainsi, en  cinq ans, il s’est imposé comme une figure importante de la Macronie en étant nommé ministre délégué aux Comptes publics . Une très belle promotion car il devient le grand argentier en héritant du Budget,  sous la houlette de Bruno Le Maire à l’Economie. Un grand défi l’attend à ce poste. Il devrait, comme Nicolas Sarkozy lorsqu’il a été nommé à ce poste, suivre une formation accélérée aux  affaires financières et fiscales  par les fonctionnaires chevronnés de Bercy. Car il va rencontrer du monde et être extrêmement sollicité : Tout d’abord, cet été, comme ces prédécesseurs, tous les ministres vont passer dans son bureau à Bercy,  pour négocier leur budget. Un exercice particulièrement difficile  où l’on doit faire preuve de diplomatie, de persuasion, de fermeté etc… Ensuite, il sera de toutes les réunions gouvernementales car la plupart ont une implication financière, pour préparer la loi sur le pouvoir d'achat, le budget rectificatif, la loi sur les énergies renouvelables....

    Enfin, il sera sûrement très sollicité, par de nombreuses personnalités, comme le fut Sarko, pour régler leurs soucis fiscaux, d’autant plus qu’il devient de plus en plus populaire  : « Parmi les personnalités qui étaient encore inconnues en 2017, c’est lui qui a le plus percé en termes de popularité. Il apparaît désormais comme un incontournable du gouvernement » expliquait  Frédéric Dabi, directeur opinion de l’Ifop. D’ailleurs, dans le baromètre des personnalités de Paris Match/Sud Radio – Ifop/Fiducial publié en avril, 38 % des Français déclaraient avoir une bonne opinion de lui. 

    Il suffit de voir durant cette campagne qu’il méne à Vanves et à Issy les Moulinaux ces temps-ci  pour les législatives, le nombre de personnes qui se déplacent à ces réunions, comme au restaurant les Colonnes à Issy les Moulinaux Mardi soir, ou hier en Fin d’après midi au restaurant La Villa à Vanves

  • Suppression de la taxe d’habitation à Vanves : Un gain moyen de 1002 € par vanvéens

    Le Premier Ministre a annoncé le 12 juin 2019 la suppression totale de la taxe d’habitation sur les résidences principales pour l’ensemble des foyers, quel que soit le montant de leur revenu. Dès 2020, 80% des Français, soit 17,6 millions de foyers, cesseront définitivement de payer la taxe d’habitation sur leur résidence principale. Leur gain sera de 555 € en moyenne, après avoir connu un allègement de deux tiers (361 € en moyenne) en 2019 et d'un tiers en 2018 (166 € en moyenne). En 2023, cet impôt aura totalement disparu. Au total, en 2023, 24,4 millions de foyers bénéficieront de la suppression complète de la taxe d’habitation sur la résidence principale, pour un gain moyen de 723 € par foyer par an.

    A Vanves le gain moyen sera de 1002 € pour les 13102 vanvéens soumis à la taxe d’habitation (dont 1170 exonérés) en 2023. Soit prés de 657 € de plus qu’au niveau national, de 23 € deplus que dans les Hauts de Seine ( 979 € par foyer par an pour 709 893 altoséauanais). Mais entretemps, 5833 seront concernés par la suppression de 30% de la taxe d'habitation en 2018 (198€), autant en 2019  pour la suppression de 65%  ( 430 €), et 896  pour la suppression de  80%, soit 645€,

    Cette suppression représentera une perte de  11 9M€ pour la ville. Comme l’a expliqué le Maire lors de la réunion publique du 19 Juin à l’école Larmeroux, des mécanismes de compensation à l’euro près sont prévues. « Des transfert de part d’imposition entre collectivités, attribution de parts d’un impôt national… garantissant un maintien des ressources des collectivités et leur dynamique dans le temps» selon Bercy  «Aucune commune ne peut perdre de ressources»  a  affirmé le premier Ministre Edouard Philippe  face à l'inquiétude des maires qui réclament «une compensation à l'euro près et sur la durée». La taxe d'habitation doit être supprimée pour 80% des foyers dès 2020 et d'ici 2023 pour les 20% restants. Le scénario le plus évoqué est celui d'un transfert vers les communes de la part départementale de la taxe sur le foncier bâti (TFB) et de l'affectation au bloc communal d'une fraction du produit de la TVA. "Le foncier bâti plus une fraction de TVA, ça nous paraît intéressant parce que la TVA est dynamique » selon les associations d’élus locaux