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URBANISME - Page 56

  • VANVES CONCERNE DE PRES PAR LA TOUR TRIANGLE ET SURTOUT EST/GRAND PARC

     Il est vrai  que le silence de la mairie de Vanves est assourdissant sur ces projets depuis de nombreux mois alors que son maire comme son collégue d’Issy les Moulineaux ont été entendu par la commission ad hoc d’attribution de l’exploitation du Parc des Expositons. Mais peut être en apprendra t-on plus puisque la tour Triangle et le parc des Expositions reviennent devant le Conseil de Paris lundi 8 et mardi 9 Juillet, avec la révision simplifié du PLU entraînée par cette opération Triangle, l’avenant n°8 au contrat d’exploitation et le choix du concessionnaire. Mais ce ne sera pas le cas pour la modification du PLU de Paris entraînée par l’aménagement de la partie Est/Grand Parc lié à cette tour qui accueillera un hôtel et un centre des congrés. Or ces deux équipements devraient se trouver sur la partie vanvéenne du parc des Expositions

     

    Rappelons tout d’abord que la commission ad hoc  s’est prononcée pour  Viparis  grâce aux voix des élus PS,  PC, PRG, alors que  EEELV s’est abstenu, l’UDI n’a pas participé au vote, l’UMP ayant boycotté la réunion au motif « qu’Anne Hidalgo avait démissionné de la présidence de la commission d’attribution, composé de  14 élus, sans explication satisfaisante ». Ensuite, lors du Conseil d’Arrondissement du XVéme qui s’est déroulé le lundi 1er Juillet où l’UMP et l’UDI qui ont la majorité, n’ont pas participé au vote sur le choix de l’exploitant du parc, et ils se sont prononcés contre l’avenant et la révision simplifiée du PLU en même temps  motivé longuement par le maire Philippe Goujon. Il aurait repris tous les arguments des associations qui combattent ce projet de tour et souhaitent un vote négatif du conseil de Paris.

     

    Il se serait inquiété des projets de la mairie de Paris concernant le 15éme arrondissement dont la destruction de l’hôtel Pullman (ex-Sofitel Sévres), des transformations prévus du côté de l’Aquaboulevard, de l’héliport et du projet d’une autre tour… qui se trouverait à Issy les Moulineaux dans le secteur dit Guynemer où comme par hasard, Unibail-Rodamco et La Mondiale sont propriétaires de bureaux devenus obsolétes. Il se trouve que Bouygues Immobilier avec le studio d'architecture néerlandais « Un Studio » ont  fait une proposition d'aménagement pour ce secteur avec une tour de 194 mètres de haut implantée entre les rues Guynemer et Colonel Pierre Avia, complétée par un ensemble d'immeubles bas. « L'idée moteur du projet de cette tour bioclimatique,  est la gestion optimale de l'énergie, par le biais d'une aération contrôlée de la tour, ou encore par la présence de cellules photovoltaïques sur la façade » expliquent ses architectes

     

    Comme quoi, les tours ne vont pas manquer dans ce quartier Balard-Porte de Versailles. Mais revenons au parc des expositions où il se déroule des choses très intéressantes : L’avenant n°8 du contrat d'exploitation,  prévoit que d’extraire des 35,7 ha du parc soumis à la concession, les emprises prévues respectivement pour la réalisation de la Tour Triangle (7 435 m2 le long de l’avenue Ernest Renan où passe le tramway T2,  comprenant une partie du pavillon 1.1 de 6000 m2 à démolir et un espace logistique de 1 435 m2 ) et du jardin public (prévu sur une emprise de 3 780 m2 au sud du Bd Victor utilisé comme terrasse logistique) qui représente à peine 2,7% de la surface totale du parc. Les travaux dont la date de démarrage est fixé au 15 Juillet 2013,  à hauteur de 453,8 M€ seront supportés par le concessionnaire choisi par le Conseil de Paris et prévoient notamment la démolition d’une partie du hall 1 et de la passerelle piétonne existante entre les halls 1 et 2, avec  la construction d’une nouvelle passerelle piétonne le long du Bd périphérique.  Enfin, la révision simplifié du PLU doit permettre de déroger  plafond de 37 m auquel sont astreintes les nouvelle constructions comme c’est le cas pour la Tour Triangle qui devrait s’élever à 180 m.

     

    Viparis qui devrait être choisi par le Conseil de Paris,  supportera ses travaux. Il s’est engagé dans un programme ambitieux de transformation du parc avec un architecte coordonnateur pour l’ensemble du site (Valode et Pistre), 3 grands noms de l ’architecture pour traiter les halls : Dominique Perrault pour le hall 1 avec une nouvelle façade, Christian Portzamparc pour les halls 2 et 3 qui seront partiellement démolis, Jean Nouvel pour la création d’un nouveau hall 6 plus fonctionnel qui remplacera les halls 6 et 8 existant. Ces deux architectes coordonnateurs ont prévu la création d’une vaste agora à l’entrée principale du parc qui constituera une plateforme d’orientation et de distribution des cheminements, et ont portée une grande attention aux interfaces périphériques : Kiosques, jardins thématiques avec des plantations au concept innovants (jardins de fils ?...), toitures végétalisées … tout en prévoyant 2600 m2 de commerces, un nouveau bâtiment administratif.

     

    Valode et Pistre devraient intervenir sur la façade du Palais Sud (7) où est prévu le centre de congrés  de 10 700 m2 situé en hauteur sur le parking avec un toit ajouré. L’hôtel de 14 500 m2 qui devrait comporter 440 chambres dont 370 deux étoiles et 70 trois étoiles devrait être construit prés de la porte de la Plaine, entre le Palais Sud, l’hôtel Mercure et la place des Insurgés de Varsovie. Ces projets ont été inscrits dans le secteur Est/Grand Parc qui a fait l’objet d’une seconde enquête publique dont le rapport du commissaire enquêteur n’a pas encore été remis. Selon le collectif d’associations qui ménent le combat contre la Tour Triangle,  « la ville se serait arrangés pour faire en sorte que ce rapport ne soit pas disponible dés maintenant, en ne répondant pas aux questions du commissaire enquêteur, ce qui a fait prendre un retard de six semaines. Et elle accuse celui-ci d’avoir demandé des délais supplémentaires, tout en annonçant que ce document serait accessible courant Juillet alors que l’enquête publique s’est terminée le 15 Avril ». La régle veut que ce document soit disponible au public au bout d’un mois, que les associations prennent pour « une volonté de mal faire, voire de ne pas informer le public ». La délibération devrait être soumise au Conseil de Paris en Octobre

  • DES CHANTIERS TRES SUIVIS A VANVES : COCHE-BRIAND SOUS LES YEUX ATTENTIFS ET REACTIFS DES RIVERAINS

    Si le chantier de la villa Aristide a été le morceau de choix de cette première réunion de suivi des chantiers Coche-Briand, heureusement, les autres n’ont pas soulevé une telle levée de bouclier de la part des riverains, notamment  de la villa Matraits concernés par deux chantiers. D’ailleurs les langues se délient comme la sentinelle du chantier de cette villa Aristide qui racontait comment elle était accueillie lors des réunions de chantiers périodiques  par le fameux et célébre maintenant maître d’œuvre : « Mais qu’est-ce que vous faîtes là ! Cela ne sert à rien que vous restiez ! ». Ambiance ! Comment est-ce possible qu’une telle personnalité serve d’interface entre le promoteur et les riverains d’un chantier à un moment où la profession des promoteurs-gestionnaires d’immeubles  se sent attaqué par la loi Duflot ?

     

    Le maire Bernard Gauducheau avait rappelé, lundi soir, le dispositif extraordinaire mis en place à l’occasion de ces 4 chantiers qui seraient réalisés pratiquement en même temps dans ce quartier de Vanves entre la voie SNCF, la gare, les rues  Raymond Marcheron et du Docteur Lafosse ou des Fréres Chapelle : Sentinelle pour chaque chantier, comités de pilotage et suivi, site Internet, charte signé par chaque promoteur qui s’engageait à réaliser un chantier aux nuuisances minimum… présenté à l’autone 2012 lors d’une réunon publique.

    Il a dressé le bilan des six premiers mois écoulés, aidé du directeur des sevices techniques, M. Chaumette, qui ont fait apparaîte plusieurs éléments dont certains avaient été soulevés lors de la dernière réunion publique de quartier à l’école Larmeroux : Ballisage des zones de chantier, traversée piétonne, activités en dehors des horaires officiels ou le samedi, circulation des camions de chantiers qui bloquent les rues à certains moments et surtout le matin, lorsque les riverains partent travailler… qui a suscité beaucoup de questions et d’interventions. « Il faut absolument faire quelque chose lorsque le chantier Vinci commencera ! Peut être faudrait il un régulateur de circulation et prévenir plus en amont dans certaines voies pour éviter que les véhicules s’engouffrent dans une rue bloquée ? ». Le maire a dû envoyer plusieurs courriers de rappel à l’ordre du maire. Avec un incident : un arrachage de câble ERDF qui a provoqué des coupres d’électricité en Février dernier.

     

    Les quatre promoteurs ou leurs représentants sont intervenus pour fairele point sur ses chanters :

     

    AREKA PRODERIN (26 logements) : A l’angle de la Villa des Matraits et de la rue Aristide Briand, à l’emplacement du célébe pavillon au palmier, le bâtiment commencera à sortir de terre durant le mois de Juillet. Sa superstructure sera réalisée d’ici la fin d’année avec les travaux de ravalement et de couverture. « Ce qui suscitera beaucoup de livraisons » a prévenu son représentant, tout comme le démontage de la grue qui devrait intervenir à la fin du gros œuvre et nécessitera de bloquer la rue A.Briand durant une journée à la fin Janvier 2014. La réception des travaux est prévue en Mai 2014. Face à la rumeur qui a circulé sur le fait que les futurs occupants ne seraient plus des militaires, il a précisé qu’il s’agira toujours de fonctionnaires du ministére de la défense qui pouront être des militairs, des sapeurs pompiers, du personnel civil. Une riveraine s’est plaint de fissures assez importantes sur la chaussée de la Villa des Matraits. « Les dégradations seront à la charge de celui qui en est responsable » a précisé MP.Chaumette qui a rappelé que « l’expert a conseillé de prendre des photos, et de les adresser dans ce cas à la sentinelle qui transmettera à l’entreprise »

     

    GFBI avec la Villa Coche (16 logements) : Les débuts du chantier ont été laborieux surtout avec cette rupture de câble ERDF, avec un chantier de démolition qui a duré un mois et demi. L’immeuble est au niveau du plancher actuiellement, et le gros œuvre devrait être terminé en Septembre. Le chantier a été interrompu deux fois de suite à cause des orages de la semaine dernière. Un riverain s’est plaint que le chantier ait commencé à 7H au lieu de 7H30. Le représentant du promoteur a expliqué qu’il essaie actuellement de rattraper  leur retard en travaillant le samedi et cela pendant les 3 mois où les journées sont longues e plus clémentyes ( ?).     

     

    VINCI  (34 logements) : La démolition de l’ancienne usine avec son pavillon effectué entre Mai et Juin, s’est terminée voilà quelques jours. Les travaux de terrassement avec l’installation des voiles contre terre sont prévus en Juillet et en Août avec le hros œuvre entre Septembre 2013 et Mars 2014, les travaux de ravalement, de revêtement de façade et de couverture en Mai 2013, et extérieurs entre Juillet et Septembre 2014. Manifestement il y a eu des soucis de poussières pendant le chantier de démolition, d’autant plus que l’entreprise n’avait pas de tuyaux d’arrossage « ce qui la fout mal » comme l’a reconnu un riverain. Mais la grosse inquiétude des riverains concerne la consolidation du portour du chantier pendant les travaux de terrassement. D’aprés leurs expliations, le référé préventif a été fait, mais il comprterait quelques erreurs grossiéres qui devraient être corrigé par une nouvelle visite de l’expert.

     

    MARTEK avec la ville Aristide (63 Logements) : La démolition de l’ancienne impremierie a été effectué en Janvier 2013 et les travaux de terrasssement ont commencé en Mai avec les problémes de tassement de terrains qu’ils ont provoqués et le débat qu’ils ont provoqués lors de cette réunion. Les voiles contre terre devraient être toutes posées d’ici Juillet pour permettre le début des travaux de fondations, avec le splanchers bas et haut prévus pour Septembre 2013. Les travaux de gros œuvre devraient se poursuivre jusqu’en Janvier 2014, et de second œuvre jusqu’en Décembre 2014.

  • LE SCANDALEUX CHANTIER MARTEK A VANVES : Des riverains exaspérés et choqués par la désinvolture du maître d’oeuvre !

    Le dossier principal de la réunion publique de suivi des chantiers des rues R.Coche et A.Briand, lundi soir à la maison de retraites larmeroux, a concerné le chantier de la villa Aristide du promoteur Martek. Les 3 autres promoteurs ou leurs représentants ont fait le point sur le calendrier de leur chantier, répondu à quelques questions des riverains après un bilan d’étape fait par Bernard Gauducheau avec l’aide du directeur général des Services Techniques, sur lequel le Blog reviendra. C’était l’un des points très brûlant de cette réunion  après « les désordres » survenus notamment dans deux pavillons de la villa des Matraits, tout d’abord dans le pavillon d’un architecte à la mi-mai qui a constaté une désolidarisation des clôtures. M.Lamy a préféré être absent de la réunion, c’est dire !  Puis le 19 Juin dans le pavillon voisin qui a dû étre étaillé à cause d’un tassement de terrain : « J’ai des étais dans mon salon et dans ma cave. Il pleut dans ma maison. J’ai dû mettre des seaux ! Avec les pluies de ces derniers jours, les murs se gorgent d’eaux » témoignait son propriétaire M Chaize qui a remercié la mairie de l’avoir aidé. Il attend toujours des bâches de polyane de l’entreprise générale pour protéger les murs avec des espaces où l’on peut passer un bras, et qui laisse passer la pluie. « Je m’inquiéte pour les réparations ! ».  Sans parler des autres voisins qui ont constaté des fissures chez eux et que le maitre d’œuvre parait ne pas prendre en compte : « Il m’a dit « je n’en ai rien à foûtre » confie un riverain scandalisé par une telle attitude, sans parler d’autres réflexions qui les ont particulièrement choqués   

     

    L’attitude désinvolte du maître d’euvre, M.Savage,  qui représentait ce promoteur a fait sortir de ses gonds Gérard Laubier, maire adjoint chargé des travaux (de la ville), ce qui est un exploit pour un homme au calme et à la maîtrise de soi légendaire : « Vous n’avez pris aucunes précautions pour les riverains contrairement à la SNCF. Les fissures auraient dû vous alerter. Vous n’avez pas écouté les experts. Vous n’avez pas suivi les plans. Les voiles contre terres  sont mal faîtes. Je suis très inquiet pour la suite du chantier et la mise en place de la grue » a-t-il tonné après les premières explications de M.Savage dont le port de lunettes noires, même si c’est pour des raisons médicales, a choqué plus d’un participant. Il est entré dans des explications très techniques sur la nature du sous-sol qui expliquerait ce tassement : Les couches de calcaire à 6 m dans le sous sol seraient séparés par des alluvions anciens (sable) qui, suivant les conditons climatiques peuvent provoquer des écoulements et ces mouvements de terrain, la succession de grosses pluies et de chaleur ayant pu jouer sur les parois soutenus par des voiles conte terre, dont une partie aurait glissé sans que cela soit visible… ce qui a fait dire à un riverain d’un autre chantier (Vinci) qui doit démarrer : « J’ai l’impression que vous avez alerté vos confréres sur la nature du terrain. C’est à prendre en compte pour le prochain chantier »

     

    Pour le maître d’œuvre, impassible et sûr de ses connaissances – « c’est un tassement ponctuel » -  on continue par les différentes étapes prévues au gros œuvre avec les parois, les planchers du sous sol et du sol afin de bloquer le terrain. « On sera alors en mesure de faire les décompression et les réparations des ouvrages abimés » a-t-il indiqué considérant que les pavillons derrière les pignons n’ont pas été impactés. «  Qu’est-ce qui vous permet d’affirmer que tout est assuré ? » demande un riverain. « L’impact est limité à un élément de clôture en maçonnerie et à un pavillon. Cela ne met personne en péril !  Les pavillons en retrait de 6 m ne risquent rien » a répondu le maître d’œuvre. « Ce n’est pas l’avis de l’expert qui pense que c’est un château de cartes »  a répliqué le riverain. De nombreuses questions ont été posées sans réponse  auquels étaient très attentif les riverains du futur chantier Vinci presqu’en face : Pourquoi cette couche n’avait elle pas été repérée auparavant ? Y a-t-il eu des prévélements ? des sondages ?  « On travaille dans une zone où la couche de calcaire peut vibrer et la proximité des trains provoque des trépidations »  a expliqué le Maitre d’Ouvrage qui ne confirme pas alors que des sondages ont été fait. « Les sondages ne nous diront pas comment le terrain va se comporter ! »  

     

    Les riverains ont alors expliqué qu’ils avaient demandé s’il y avait eu une étude du sol et des sous-sol par un expert, et sa communication. Ils ont reçu pour seule réponse une copie la facture. « Quel est l’intérêt ? » a demandé le représentant de Martek. « Mais on habite là » s’est exclamé une riveraine. « Mais qu’estce  que vous allez en faire ? » a-t-il répondu. L’architecte conseil de la ville a donné son avis à l’invitation du maire,  en considérant que « l’exposé qui a été fait, est juste, mais il y a eu sous-estimation des risques concernant la construction des parois » en l’invitant à « terminer la paroi le plus rapidement possible pour assurer l’assise des pavillons ». Mais là aussi, les riverains ont expliqué que si les voiles contre  terre ont été faites dans les régles côté SNCF, pas plus de 2 m de long, ce n’était pas le cas côté pavillons, où ils font 3 à 3,60 m de long. Des riverains qui s’inquiétent maintenant pour la grue « que l’on va implanter dans des sables mouvants ! »

     

    « Le maire sert parfois de paratonnerre, même s’il n’est pas responsable. Mais il n’est pas question pour moi de me cacher lorsqu’il y a des difficultés » avait expliqué Bernard Gauducheau en ouvrant cette réunion qu’il a provoqué finalement pour parler de ce chantier : « Les éléments  d’informations nécessaires  ont été obtenus. Il faut prendre la mesure des risques. Des dispositionbs doivent être prises pour assurer la sécurité de ces deux pavillons. Et on sera vigilant sur la remise en état » a-t-il expliqué en ne cachant qu’il avait été à deux doigts d‘envisager de faire quitter les lieux à leurs habitants jusqu’à s’assurer d’une grande sécurité. « Il faut apprendre à travailler ensemble pour que ce chantier se déroule dans de meillleurs conditions. Il faut comprendre que l’on est dans une ville pas comme les autres. Trouvez les moyens d’être plusp roches des riverains, de leur expliquer ! » a-t-il déclaré en s’adressant au maître d’œuvre qui a répondu : « On veillera à parfaire les choses ! » . Mais ce dernier ne perd rien pour attendre, car il est fort possible que le maire donne ces jours-ci un coup de fil au grand patron de Martek. C’est en tous les cas, ce qu’espérent des riverains exapérés.