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URBANISME - Page 60

  • AU CONSEIL MUNICIPAL DE VANVES LE TERRAIN ARISTIDE BRIAND SUSCITE DEBATS ET PROPOSITIONS

    Quelle fin de semaine chargée pour nos élus. A peine terminé le Conseil Municipal Mercredi soir, pendant un Espagne-Portugal à mourir d’ennui, une partie des élus siégeaient hier soir au Conseil de Communauté de GPSO, pendant un match Allemagne-Italie passionnant. Isabelle Debré avait réuni au Relais de Vanvres plus d’une vingtaine de militants UMP pour rencontrer Laurent Wauquiez, es-ministre de Nicolas Sarkozy qui s’était prononcé dans une interview au Figaro pour François Fillon, qui souhaiter querstionner, échanger avec eux, ce qu’il a fait durant llus d’une heure dans une ambiance détendue.  Bernard Gauducheau siégeait hier mais aussi aujourd’hui au Conseil Régional où il devait intervenir sur deux dossiers : La critérisation des subventions régionales qui fait des vagues depuis la Rentrée 2011, et la création d’une autorité organisatroce du logement en Ile de France.  Guy Janvier siége aujourd’hui au Conseil Général des Hauts de Seine qui doit auditionner ce matin, le préfet des Hauts de Seine sur le bilan d’activités des services de l’Etat en 2011, ce qui est une caractéristique dans notre déparemental car peu de préfets se prêtent à cet exercice quelquefois difficile où il faut répondre aux questions (pertinences) des conseillers généraux.

     

    Mais revenons à ce Conseil Municipal de Mercredi soir où 17 délibérations étaient inscrites à l’ordre du jour, avec une communication de Laurent Lacomére, Maire adjoint sur l’extension du stationnement réglementé qui s’appliquera dés la Rentrée après des travaux effectués sur la voirie entre Juillet et Août. La pièce maîtresse de cette réunion était bien sûr cette mission d’assistance auprés de la commune confiée à la société publique locale Seine Ouest Aménagement pour la consultation préalable à la cesssion de terrains rue Aristide Briand entre Diderot et René Coche, soit 3 714 m2 où se trouvaient récemment la CPAM et l’ex-DDE 92, et maintenant une Mission Tramway (jusqu’en 2013)  dans le bâtiment DDE et des services sociaux du Conseil Général appelés à déménager ailleurs (à l’hopital Corentin Celton ou dans le bâtiment du département avenue de la Paix).

     

    Une étude de capacité réalisée en 2011 par l’atelier Architecture 2A sur la base des dispositions du PLU, a estimé à environ 7000 m2 de surfarce hors oeuvre la constructubilité des terrains communaux. « Avec la réalisation d’un programme de logements dont 25% sociaux, la valorisation de cette entreprise contribuerait à la satisfaction des objectifs de construction de logements fixés à la commune dans le casre du PLH, en application de la territorialisation  des objectifs logements arrêtés dans la loi du 3 Juin 2010 relative au Grand Paris » expliquait on dans la délibération municipale  que la majorité a votée, les Verts votant contre et les élus PS/PC s’abstenant. « Nous ne sommes pas contre une consultation. Nous n’avons pas la même vision sur l’aménagement de terrain » a expliqué Anne Laure Mondon (PS) en demandant un calendrier. Claudine Charfe (PC) s’est inquiété du devenir des services sociaux et a souhaité voir aménager à la place des espaces verts et des jardins familiaux ou partagés. Les Verts ne sont pas allés jusque là, mais Pierre Toulouse (EELV) a fait remarqué que « c’est l’arbre qui cache la forêt ! », s’interrogeant sur « l’opportunité que l’on va râter » de construire un équipement sportif, « car il manque un gymnase ».

     

    « Il est de notoriété publique que la ville a fait un effort important pour Cabourg (20 M€) avec la perspective de vendre ses terrains (A.Briand) dont le produit serait affecté au désenttement de la ville. On souhaitait mettre sur le marché ce terrain sur lequel on ne peut pas prévoir des équipements qui coûteraient à la ville, mais des habitations. D’autant plus qu’on nous propose (en Région Ile de France) de faire + 30% de logements sociaux, de densifier autour des gares…Ces terrains existent depuis longtemps, avec des bâtiments obsolétes dans un quartier en mutation qui se rénove, à proximité de la gare, et se prêtent bien à une opération de logement » a indiqué Bernard Gauducheau en  ajoutant à propos d’équipement sportif ou d’espace vert : « En fonction de notre capacité à valoriser ces terrains, à les commercialiser, nous verrons, mais pour l’instant ce n’est pas d’actualité ». Tout en faisant remarquer à Claudine Charfe qu’elle avait déjà proposer d’aménager des espaces verts à l’îlot du Métro à la place d’Audiens et de la créche. 

     

    Ce qui a suscité quelques réactions et un débat, « car c’est l’un des sujets les plus important de ce conseil à un moment où l’on parle de mettre un outil du logement en Ile de France.  Il faut bien se repositionner à un moment où beaucoup de décisions tentent de déposéder le niveau local, et cela va dans le mauvais sens. Nous sommes des défenseurs de la commune. Si chaque année qui passe, on agit ainsi, beaucoup de décisions nous échapperont. L’urbanisme appartient au Maire qui instruit et donne les permis de construire. C’est la ville qui arrête son PLU qui lui permet de maîtriser son cadre de vie. Il ne faut pas que des décisions nous désaississent de notre pouvoir. Et je m’opposerai à une vision hégémonique qui laisserait de côté la vision locale » a expliqué Bernard Gauducheau (NC). Ce qui n’a pas empêché Claire Papy (EELV)  de déclarer : « C’est une étrange conception de metre en vente des terrains de la ville » - « On fait un jardin et on augmente de 30% les impôts » demande Bernard Gauducheau (NC). « On entend vos arguments financiers. Mais plus on a de logements, plus on a besoin d’équipements. Il y a là un vrai débat. La densité n’est pas une réponse à tout » tente alors d’expliquer Anne Laure Mondon (PS). « Nous avons eu ce débat avec le PLU » réplique le maire. « On n’est pas contre du logemen. Mais on aimerait avoir un débat et surtout un calendrier » surenchérit Jean Cyril Le Goff (PS). « Ne vous inquiétez pas, on souhaite quelque chose d’exemplaire, une architecture soignée, une opération qui valorise » a conclut Bernard Gauducheau.     

  • LES ELUS DE VANVES NE SONT PÄS LES SEULS A S’INTERROGER SUR LE DEVENIR DES TERRAINS A.BRIAND ET D’AUTRES DANS UN QUARTIER TRES SOLLICITE PAR LES PROMOTEURS !

    Le Conseil Municipal abordera deux questions brûlantes mercredi soir pour sa dernière réunion avant les vacances  qui concerne l’urbanisme : la majoration des droits à construire de 30% et le devenir des terrains de l’ex-CPAM et de l’ex-DDE, rue Atristide Briand. Les débats devraient se développer sur le foncier qui est rare à Vanves, sur le logement social et bien sûr la densification d’une commune qui l’est déjà bien. Le maire dans ce domaine agit avec prudence et prend les devants lorsque c’est nécessaire pour valoriser son foncier : Ainsi la ville  a préempté le 30 rue Mary Besseyre constitué d’un bâtiment comprenant un appartement, un garage, une remise et un jardin qui font l’objet d’un loyer annuel de 30 000 € moyennant le prix de 648 000 €. Cette sopropriété jouxte l’école de musique (ex-Pavillon du stadede Vanves) à l’angle Mary Besseyre/Guy Mocquet et le  bâtiment du Conservatoire dans cette rue. « Il nous a semblé important de préempter parc que lorsque l’école de musique rejoindra Solférino, cela constituera une réserve foncière importante » avait indiqué le maire au dernier conseil municipal.

     

    Tout d’abord la définition des modalités de mise en œuvre du dispositif de participation du public prévu par la loi du 20 Mars 2012 relative à la majoration de 30% des droits à construire résultant des régles du PLU, applicable aux autorisations d’urbanisme (agrandissement ou construction de bâtiments à usage d'habitation) déposées avant le 1er janvier 2016, à défaut de délibération du conseil municipal s’y opposant. Le groupe EELV avait tenté d’interroger le maire lors du dernier conseil municipal et de faire voter un vœu que nous rappelons : « La Ville de Vanves aura à réfléchir prochainement à la densification et pourra être amenée à majorer les droits à construire pour au moins trois raisons : la nécessité de créer des logements sociaux ; le seuil de la loi SRU pourrait être relevé ; la prise en compte de l’enjeu environnemental dans les constructions ;la densification autour de la gare Fort d'Issy/Clamart/Vanves du Grand Paris Express. Pour instaurer dans la commune un débat sur la densification, le Conseil municipal de la Ville de Vanves s'engage à mettre rapidement à la disposition du public la note d'information prévue par la loi du 20 mars 2012 et à la diffuser le plus largement possible afin que le public puisse formuler ses observations. Le conseil municipal pourra ainsi délibérer à l'issue de la présentation de la synthèse des observations du public et décider des conditions d'application de cette loi dans notre commune ». Le maire avait notamment répondu sur le fonds en rappelant que « la loi prévoit en tout état de fait une concertation dont le Conseil Municipal fixera les modalités pour préparer ce débat relatif à la majoration de 30% des droits à construire. A cet effet, nous délibérerons lors de la séance du 27 juin prochain sur ce point qui figurera à l’ordre du jour du Conseil. Une note d’information sera établie et bien évidemment mise à disposition du Conseil Municipal et du public ».

     

    Ensuite, la passation d’un contrat avec la société publique locale Seine Ouest aménagement pour une mission d’assistance  auprès de la commune pour la consultation préalable à la cession des terrains A.Briand/Diderot.  « Le terrain A.Briand n’est pas une réserve foncière, mais il est actif puisqu’il est occupé par des équipements pubbics pour l’instant » a toujours répondu le maire à son opposition municipale qui l’a souvent interrogé sur le  devenir ce terrain Aristide Briand. Il a accueillit les bâtiments de l’ex-CPAM 92 et ex-DDE dont une partie a servi à acueillir  l’école élémentaire du centre pendant les travaux de l’îlot Cabourg. «  Nous souhaitons une vraie réflexion sur des équipements publics (créches), des logements sociaux sur ce terrain » ont très souvent demandé les élus socialistes. D’autant plus que le Conseil Général avait prévu la construction d’une Unité Territoriale rue René Coche dont l’étude de faisabilité devait être lancée pour des travaux de constructions en 2014-15.

     

    Ces terrains se trouvent dans un  quartier compris entre les rues René Coche-Raymond Marcheron-Docteur Lafosse et la voie SNCF qui évolue énormément avec de nombreux projets en cours qui n’ont pas laissé indifférent les riverains : « Beaucoup d’opérations se desssinent sur des terrains qui connaissent des conversions alors qu’il ne passait pas grand-chose jusqu’à présent. Parce que Vanves a modifiée son PLU qui a laissé plus de souplesse grâce à un COS plus favorable aux habitations » expliquait Bernard Gauducheau lors de deux réunions publiques qui ont réunis à l’automne dernier les  habitants de ce quartier attentifs à ce que leurs terrains ne soient pas dévalorisés. D’autant plus que plusieurs opérations sont prévues ou en  cours :  le projet de MARTEK Promotion à l’emplacement de l’imprimerie  - sur 3600 m2 shon, trois bâtiments de R+4 à R+7, de 60 logements avec parking souterrain, espaces verts. Le projet d’AREKA Developpement avec un immeuble R+3 de 26 logements avec 26 parkings, construit sur un  terrain de 785 m2 Shon pour du personnel du ministére de la Défense, à l’entrée de la villa des Matraits. Une résidence rue René Coche comprenant deux immeubles de 4 étages à taille humaine, s’intégrant dans l’existant et atténuant l’effet d’un mur pignon d’un immeuble voisin. L’immeuble en façade accueille des logements (12) avec porte cochére, façade traitée avec de la pierre et du zinc, l’autre derrière des duplex (2) et une petite coulée verte.

     

    Sur l’ex-Cat, Vinci a réalisé un  projet beaucoup moins dense que le projet précédent d’une résidence hôtelière de 120 studios, et beaucoup mieux intégré dans le site pavillonnaire et résidentiel, en jouant sur la déclinivité du terrain sur ses 1700 m2 de surfaces constructibles : 34 logements en accession et 34 places de stationnements, répartis dans un immeuble donnant sur la rue Aristide Briand avec 25 logements répartis dans deux cages d’escaliers, porche d’entrée, et 8 duplex dans l’autre bâtiment derrière, - tous à 7000 € le m2 -  avec des espaces verts en  terre plein, et un accés piéton par l’impasse donnant sur la rue R.Marcheron. Enfin, à l’emplacement du garage rue Marcheron, le projet Sofiane dont la première version avait  fait l’unanimité des riverains contre lui, et la secondde beaucoup de réserves et d’inquiétudes sur le chantier. Ce projet avait été désensifié, avec une dizaine de logements en moins (soit 400 m2) dans un bâtiment R+5 avec une seule entrée au lieu de deux, un jardin redessiné sur terrasses avec 2 pavillons (duplex), une rue intérieure avec des locaux d’activités sous la terrasse jardin.

  • RESIDENCE SOCIALE DU ROSIER ROUGE A VANVES : CORRIGE, REDUIT, VERDIT, AMELIORE

    La nouvelle réunion pour présenter un « projet corrigé et amendé » de résidence sociale du Rosier Rouge promis le 9 Décembre s’est tenu à peu prés 5 mois après, en fin d’après midi hier, dans ses locaux, avec les mêmes riverains auxquels se sont ajoutés des isséens, en présence du maire, des responsables du Secours Catholique et de Toît et Joie. Ce projet a été allégé, le bâtiment si décrié à l’angle Chevalier de la Barre/Général de Gaulle étant abandonné, réduit et verdit pour les bâtiments prévus derrière les bâtiments du Rosier Rouge à l’emplacement du dépôt de vêtements, et l’un d’entre eux pratiquement à son emplacement, accueillera le Libre Service Social d’Issy les Moulineaux/Vanves qui a dû quitter le Petit Séminaire de la rue d’Issy pour s’expatrier vers Auchan.    

     

    « Pour ce projet comme pour les autres, je demande aux porteurs de projets de prendre du temps pour venir exposer leur projet. Là, nous avons affaire à des gens de dialogue qui ont le souci de bien faire. Après plusieurs semaines de travail, les réactions qui ont été formulés le 9 Décembre dernier, ont été pris en compte dans un projet modifié » a constaté Bernard Gauducheau en ouvrant la réunion. Pierre Nicolas du Rosier Rouge a refait l’historique de ce projet qui « reprend les valeurs du Secours Catholique, à vocation sociale avec 116 logements, une halte garderie avec une créche de parentale  de 44 berceaux, ainsi qu’une épicerie sociale (3000 m2) » qui « a reçu l’accord des deux municipalités ». Il a rappelé qu’acceuillant des familles d’hospitalisés en Ile de France venus de très loin, le Rosier Rouge est très souvent en contact avec le personnel soignant des hopîtaux franciliens qui connaît un turn over très important à cause de problèmes de logements. D’où la volonté du Secours Catholique de créer cette résidence sociale réservée à ce personnel soignant  avec des studios ou des 2 pièces dont la durée de séjour ne pourra pas excédé 24 mois : « C’est une solution de passage, le temps de trouver et d’accéder à un logement social, car notre objerctif est d’essayer de loger le plus prés de leur emploi, ce personnel soignant qui a de faibles revenus. Je comprends que c’est un environnement qui change (pour les riverains). Mais nous ne souhaitons pas réduire ce (nouveau) projet…pour offrir un logement digne à ce personnel soignant » a expliqué de son côté Pierre Soulage président du Secours Cartholique 92 qui a bien montré l’enjeu et la contribution de son association pour résoudre à son niveau cette question cruciale du logement en Ile de France, « avec 460 000 demanders de logements que l’on ne peut pas envoyer au fin fonds de la Grande Couronne là où il n’y a pas de transports publics » a ajouté l’un des responsables de Toit et Joie

     

    Ainsi le maître d’ouvrage (Toît et Joie) et le maître d’œuvre (l’architecte) ont  présenté ce nouveau projet « qui s’insére dans un quartier où le bâti varie de R+2 à R+7 » ont-ils fait constater en parlant de « niveaux de référence à R+2 et  R+4 » et « d’une implantation encastré des bâtiments dans la colline avec un effet terrasse ». Ils ont indiqué que tout d’abord le bâtiment à l’angle du Chevalier de la Barre/Général de Gaulle de 18 logements a été abandonné afin « de sauvergarder l’angle ainsi que un ou deux beaux arbres ». Pierre Nicolas a expliqué, à la suite d’une question, que « dans le projet initial, ce bâtiment était prévu pour accueillir des malades en « déambulatoire ». Mais cette idée a été abandonné car il n’y a plus de financement ».

     

    Ensuite, ils ont expliqué que l’entrée du parking,  toujours de 44 places malgré la réduction de logements,  dont l’accés se fait par l’avenue du Général de Gaulle, entre la copropriété et ses nouveaux bâtiments, a été re-travaillé avec une rampe d’accés complétement recouvert par une terrasse planté, comme c’est le cas pour le bâtiment (de la halte garderie et de la créche)  face à cette copropriété qui a été reculé de quelques métres, donnant ainsi la possibilité de préserver les arbres auxquels tenaient les copropriétaires et même d’en planter de nouveaux.

    Beaucoup de questions ont été posées par certains d’entre eux sur le vis-à-vis avec le bâtiment de la créche dont l’un d’entre eux qui habite au 3éme étage et regrette son parc en ne voulant rien entendre alors que l’architecte s’échinait à expliquer qu’elle ne verrait que le toît terrasse verdoyant. Sans parler d’un autre qui s’est plaint de l’étroitesse du triottoir lelong du mur du Rosier Rouge à cause des structures qui protégent les arbres et emppêchent le stationnement sauvage. Mais il n’a rien voulu entendre malgré les explications du Maire sur le fait qu’un travail avait été fait l’association Simon de Cyréne sur l’accessibilité du quartier aux handicapés.

     

    Enfin, ils ont présenté les bâtiments construits à l’emplacement du dépôt de vêtements et donnant en partie sur la rue Chevalier de la Barre dont les hauteurs (R+3 et R+4) et l’alignement s’inscrivent dans la lignée des immeubles voisins comme y oblige un règlement du PLU. Ce qui a été très discutée notamment avec les isséens qui n’étaient pas présents à la première réunion – et qui en faisaient le reproche alors que ce projet concerne les vanvéens même s’il se trouve sur un bout de territoire isséen – et surtout le propriétaire d’un petit pavillon qui se trouve juste en face. Tout y est passé, la hauteur des bâtiments, la couleur des façades, les matériaux utilisés, puis les accés (dont l’accésPompiers existant), la circulation et le stationnement dans cette rue étroite, les livraisons, et la fréquentation du libre service sociale prévu dans un bâtiment en rez-de-chaussée entre les habitations et le Rosier Rouge. A tel point que l’architecte comme les responsables de Toît et Joie ont rappelé qu’ils avaient porté leur effort sur le traitement des façades, la végétalisation des terrasses… « On a perdu quand même 20 logements. A un moment, on ne peut pas faire moins de logement, pour une raison d’équilibre (financier) du projet. Le programme est ce qu’il est ! » ont-ils répondu.