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URBANISME - Page 62

  • CONSTRUCTIONS A VANVES : LA MAIRIE FAIT DANS LA DENTELLE, PAS LES RIVERAINS !

    Tout le quartier de Vanves compris entre la voie ferrée Paris Montparnasse, les rues René Coche, Raymond Marcheron et Georges Clemenceau avec comme voie centrale, la rue Aristide Briand, est appelé à évoluer énormément ses prochaines années, avec les terrains de la CPAM et de l’ex-agence de la DDE qui ont bien servis lors de la reconstruction du groupe scolaire du Centre. Bernard Gauducheau ne l’a pas caché, lundi soir à l’occasion d’une réunion publique consacrée à deux opérations immobilières privées : « Beaucoup d’opérations se desssinent sur des terrains qui connaissent des conversions alors qu’il ne se passait pas grand-chose jusqu’à présent. Parce que Vanves est devenue une ville attractive car proche de Paris, bien desservie par les transports en commun. Elle a de surcroît modifiée son PLU qui a laissé plus de souplesse grâce à un COS plus favorable aux habitations » a-t-il expliqué en reconnaissant que les habitants de ce quartier sont attentifs à ce que les terrains ne soient pas dévalorisés. D’autant plus que plusieurs opérations sont prévues dont deux ont été abordés lors de cette réunion publique, la reconversion en habitat de l’ancienne imprimerie au 19 Rue Aristide Briand et la fameuse opération de la Villa des Matraits (au 7 rue A .Briand), avec la reconversion du garage de la rue R.Marcheron, de l’ex-CAT entre cette rue et A.Briand dont la première version a été abandonnée sous la pression des riverains, et un petit immeuble rue René Coche. Occasion de rappeler, comme l’a fait le maire au cours de la réunion « que la ville n’est pas toujours au courant de ce qui se trame entre propriétaires privées et promoteurs, car contrairement à ce que croient certains dans ce domaine, beaucoup de choses se décident en privé ! ».  

     

    La présentation de ces deux projets et les questions qui ont suivies, posées par les riverains venus nombreux à la Maison de Retraite Larmeroux, ont montré que les concepteurs de ces projets, promoteurs, architectes,  avaient affaire à des vanvéens avertis et informés pas du tout prés à s’en laisser compter. L’architecte qui a présentée le projet de MARTEK Promotion à l’emplacement de l’imprimerie  - sur 3600 m2 shon, trois bâtiments de R+4 à R+7, de 60 logements avec parking souterrain, espaces verts etc…-   s’en est aperçue à travers de nombreuses questions : « Quelle est la côte de mitoyenneté entre l’immeuble et la Villa des Matraits ? », «  A-t-on des zones de pleine terre (pour les espaces verts) ? », « Quel est le gabarit pour les arbres ? »,  « Comment allez-vous creuser les fondations ? »,  « Qu’est-ce qui est prévu au niveau des vibrations ? », « Quel sera le genre de clôture ? »,  « A-t-il un local poubelle ? » … Le déroulement du chantier a suscité beaucoup de questions puisqu’il devrait se dérouler entre Juin 2012 et fin 2014, un riverain faisant remarquer que « ce secteur est bloqué par la voie ferrée et que les habitants n’ont qu’une issue de sortie…dans un quartier marqué par de nombreux chantiers ses dernières années ». Ainsi que l’esthétisme de l’ensemble immobilier : « Notre volonté est de faire quelque chose de contemporain pour valoriser les critères « énergies » avec une rupture sur les différentes parties du bâtiment dont la façade est en bois » a tentée de répondre l’architecte. Ce qui a provoqué des questions sur l’ensoleillement, les ombres projetés par ces immeubles sur le voisinage, sur les petits fenêtres : « Notre problématique est l’énergie ! ».

     

    Du coup l’équipe suivante qui a présenté le projet d’AREKA Developpement a jouée sur du velours avec un immeuble R+3 de 26 logements avec 26 parkings, construit sur un  terrain de 785 m2 Shon pour du personnel du ministére de la Défense, à l’entrée de la villa des Matraits. « c’est faire de l’immobilier utile pour des jeunes militaires » a d’emblée attaqué le promoteur en reconnaissant qu’il a été obligé de travailler longtemps sur ce dossier suite à des discussions qui a abouti après deux cures d’amaigrissement : « Comme le zonage a été modifié avec la révision du PLU, on a dû modifier notre projet en passant de 45 à 26 logements, avec un recul de la façade de l’immeuble dont l’architecture s’intégre mieux dans le quartier, et surtout la préservation du palmier » a expliqué l’architecte en parlant « d’une grosse maison » qui fait la jonction entre un immeuble moderbe et les pavillons de la villa des Matraits. On a ssayé de composer entre ses deux éléments, avec un ensemble intermédiaire ». D’emblée, il jouait sur du velours comme le reconnaissaient des participants au fonds de la salle :  « au moins il sait vendre son projet ! » pendant qu’il descrivait son projet : grilles entourant l’immeuble, architecture simple avec un couronnement toiture de tuiles, de la brique et du métal pour donner « un aspect loft », maconnerie traité en clair, et métal en plus sombre… avec des arbres en pleine terre derrière… etc…Ce qui  n’a pas empêché quelques riverains de la Villa matraits de s’inquiéter de la fréquentation de l’immeuble, sur l’organisation de fêtes, sur l’assurance de « ne pas être squatté » laissant entendre dés que l’on parle de jeunes (militaires), c’est la fête permanente ! Une envie renfoulée ?

     

    « Si vous voulez fermer la voie, cela ne dépend que de vous » a rappelé le maire qui ne s’est pas laissé démonté par ses riverains très soucieux surtout de leurs biens privés (et très peu de l’intérêt général).  Un riverain s’est étonné de la différence de traitement de ses deux projets pourtant proches et que « l’on n’ait pas cherché une certaine cohérence ! » - « On fait dans la dentelle » lui a répondu le Maire. A défaut d’un plan d’ensemble qui suscite polémiques, pétitions, recours… Mais cela, il ne l’a pas dit…en y pensant très fort. Un autre riverain s’est étonné qu’il n’y ait pas d’emplacement de stationnement devant le bâtiment sur l’esquisse architecturale, en s’en réjouissant. « Mais l’espace public dépend de la commune » a répliqué l’architecte en lui expliquant qu’il s’en tient à ce qui le concerne. Ce qui n’a pas empêché le riverain d’insister sur la voirie, le stationnement en arguant doctement « si c’est pour avoir la même rue, on aura des problèmes ! ». Du coup Bernard Gayuducheau ne s’est pas démonté en proposant de faire un aménagement semblable à la rue Sadi Carnot, en expliquant que son objectif est d’aller vers « une reconquête du domaine public par les gens qui habitent leur ville »

  • VANVES CERNE PAR LES PROJETS DE TOURS : ET POURTANT ISSY PROPOSE UNE APPROCHE DIFFERENTE

    Vanves est entourée de villes qui ont chacune leur projet de tours et provoquent la polémique surtout à Paris, avec tout d’abord la fameuse tour Triangle, porte de Versailles que suit de prés la municipalité et qui a déjà fait l’objet de nombreuses réunions publiques depuis 3 ans. Ensuite l’ile Seguin où le projet des tours de Jean Nouvel ont semé la zizanie au sein du Conseil municipal de Boulogne entre PC Baguet (NC) député maire et son adjoint Vice Président du Conseil Général Thierry Solére (UMP)  et la colère des riverains notamment du côté de Meudon Bellevue. Enfin Issy les Moulineaux avec 4 projets de tours : l’une est devenue le serpent de mer d’un projet de reconstruction sur les terrains de l’ex- CNET face au séminaire Saint Sulpice, les 3 autres devraient être construites à la tête du pont d’Issy les Moulineaux.  Heureusement à Vanves, la commune a été vacciné par cette (petite) tour construite au dessus du marché et du centre administratif  

     

    Ce projet des 3 tours de la ZAC d’Issy sur lesquelles travaillent en catimini depuis 3 ans plusieurs cabinets d’architectes devrait faire l’objet d’une enquête publique à partir de la fin Octobre. André Santini (NC)  l’a joué finement pour éviter la mobilisation des opposants aux tours comme l’a montré la réunion publique de présentation Jeudi dernier, même si certains opposants étaient présents où se mélangeaient écologistes, socialistes et Modem que le député maire compare à un « barnum » qu’il aurait sur ses talons à chaque réunion Là, il y avait moins de grains à moudre car le quartier a été bien choisi : il n’y a pas d’habitants, que des bureaux.

     

    La tête du pont d’Issy devenu la ZAC d’Issy est devenu au fil des années, un site disqualifié, constitué friches tertiaire, avec des bâtiments devenus obsolétes tant sur le plan fonctionnel qu’environnemental où étaient installés le bouquet numérique TPS (racheté par le grouper Canal+), l’Equipe qui a déménagé à Boulogne, le siége Yves Rocher qui devrait déménager à quelques métres, avec la célébre halle Eiffel où s’étaient installé au début des années 80 l’agence RSCG (J.Séguéla). En partie vacants, ces bâtiments sont destinés à être démolis par leurs propriétaires (Axa, Crédit Agricole, Assurances, Générale Continentale Investissements).

     

    Le programme prévisionnel porte sur 256 460 m2 Shon dont  230 000 m2 de bureaux, 13 500 m2 de logements dont 25% sociaux, 3500 m2 de commerces au pied des bureaux, et des habitations, 1200 m2 d’équipements publics,  avec ses trois tours, l’une dessiné par l’agence Loci Anima avec l’architecte François Raynaud (projet Axa –Sefri),  deux autres côté à côté  dont l’une a été confié à JC Viguier (projet Crédit agricole), et l’autre à Jean Claude Roulendes  (projet CGI). « S’il y a un site à densifier c’est un bon endroit ! On ne peux pas dire que mettre 3 tours là ne vont rien changer» ont-ils expliqué en ne voulant pas du tout recréer le Front de Seine à Grenelle ou la Défense avec des tours mal conçue, mal cadencés,  leurs dalles sans vie et à courant d’air.

     

    Ses architectes en présentant des esquisses,  ont défendus une approche totalement différente, proposant par exemple une tour de grande hauteur constituée de 3 objets superposées avec des terrasses d’altitude, des jardins d’étages pour répondre au désir de végétalisation, avec des fenêtres, des communications avec l’air, des panneaux photovoltaîques et des éoliennes pour fabriquer de l’énergie avec du soleil et du vent. Une autre pourra avoir la forme d’un cristal qui décroît en montant, en étant orienté vers l’ouest, son emplacement ayant été étudié de prés par rapport au soleil, la lumière, l’ombre projetée qui ira là, surtout vers la Seine. « Nous avons développé un certain nombre de technologies pour rendre performant les consommations de ces tours » expliquaient ils.

     

    Jean Claude Viguier confiait qu’il faut revoir l’emplacement des équipements techniques généralement installés au sommet, alors qu’à mi hauteur, ils permettraient de réaliser plus d’économie d’énergie surtout au niveau des fluides. « Et elles sont placés dans un endroit que l’on rendra sympathique, avec parvis, parcours piétonniers, terrasse de brasserie, commerces » ajoutaient ils. Deux grandes places entoureront ces tours et permettront soit par une passerelle au dessus du CD 50 ou une légère de pente, de rejoindre à travers la halle Eiffel,  les stations du T2 ou du RER C de l’autre côté de l’actuelle place Lafayette. Ainsi ses architectes cherchent à tourner le dos aux tours infernales, ce qui est une approche qui vaut d’être suivie…si l’on veut préserver le peu d’espaces verts, forestiers, agricoles grignotés par la ville.

  • PLU DE VANVES : QUEL DEVENIR POUR LES TERRAINS ARISTIDE BRIAND ?

    Le débat sur le PLU au Conseil municipal de Vanves jeudi dernier a permis à l’opposition de poser la question du devenir du terrain Aristide Briand occupé auparavant par la DDE et la CPAM 92 et jusqu’au vacanves par l’école élementaire du Centre. Un secteur qui a fait l’objet d’observations des riverains lors de l’enquête publique qui souhaitaient préserver sa dominante habitat (notamment pavillonaire) et empêcher la construction de résidences de services

     

    « Le POS est mort, vive le PLU » s’est donc exclamé Julien Gazel, conseiller municipal délégué au PLU en dressant le bilan de la concertation qui s’est étalé sur 2 ans et demi entre le 17 Décembre 2008 et le 22 Juin 2011, avec 15 rencontres organisées dans chaque quartier, une exposition… et une enquête publique menée en Mars 2011 : 7 personnes publiques sur 14 consultées ont répondu  (Etat, Département, Syndicat Mixte des Côteaux et du Val de Seine, GPSO, Chambre des Métiers, CCIP 92, Syndicat des Eaux, SNCF et Société Réseau de Transports d’Electricité) en donnant leur avis. Ainsi l’Etat a estimé « qu’une ouverure plus importante du règlement en faveur d’une augmentation de la constructibilité, afin de répondre aux enjeux de rapprochement des grands secteurs d’emplois et des quartiers d’habitat, aurait pu être envisagé ». Il a recommandé de privilégier dans le parc F.Pic la délimitation d’espaces verts à protéger plutôt que le maintien des secteurs identifiés en espaces boisés classés. Le département a demandé la prise en compte du plan dépatemental des circulations douces et du schéma des parcours buissonniers dont la promenade des parcs et côteaux du Val de seine dont Vanves est une des extrémités avec le parc du Lycée michelet. D’ailleurs son objectif principal est « de rendre plus accessible les espaces de nature existants, notamment le parc du lycée Michelet ». Les Chambres consulaires ont insisté sur la nécessité de prévoir des aires de livraison (comme à Paris) ans certains cas. La SNCF a émis des des réserves sur les secteurs « espaces verts à protéger » délimités sur les talus dépendants des emprises ferroviaires. Du coup le règlement du PLU prévoit d’autoriser des constructions liées à l’activiré ferroviaire dans ces espaces.

     

    63 observations ont été inscrites sur le registre du commissaire enquêteur, dont 35 concernaient un changemet de zonage dans le secteur  Raymond Marcheron/Aristide Briand/Villa Matrets sur unterain d’environn 1,3 ha pour préserver la dominante de l’habitat (réduction de la hauteur à 12 m, limitation de l’emprise maximale à 50%, obligation de réaliser la moitié des espaces verts en pleine terre) avec une volonté d’avoir une garantie sur l’arrêt du développement des résidences-services, l’hébergement hôtelier.   16 observations ont concernées des régles de constructibilités sur l’implantation, les hauteurs, l’aspect extérieur ds constructions, sur les clôtures et les normes de stationnement dans des rues à dominante pavillonnaire.

    Trois observations concernaient la part des logements sociaux dans les programmes de constructions. Une personne s’est inquiétée notamment des conséquences des normes de stationnement imposées pour les vélos sur la construction de logements sociaux. D’ailleurs deux observations suggéraient de réserver une surface affectée au stationnement des vélos de 4%  qui a été réduit à 2% de la surface hors œuvre nette, le pourcentage de 4% étant jugé disuasif pour les investisseurs et trop élevé du fait de la présence de Vélib. Des riverains de l’allée de la Ferme ont contestée l’utilitée du terme « d’emplacement réservée » en invoquant des questions de sécurité. Deux observations ont relevé que le PLU ne respecte pas le projet d’aménagement et de développement durable.

     

    Bernard Gauducheau qui avait expliqué juste avant l’exposé de Julien Gazel, qu’il s’agissait d’élaborer un projet de ville pour les 10 ans à venir, a reconnu que « les amendements apportés au projet ne portaient pas atteinte à l’économie du projet, et ne remettaient pas en cause les 5 objectifs poursuivis (Valoriserl’identité d’une ville, relever le défi d’une offre renforcée en logements, préserver la dynamique économique, promouvoir des pratiques de mobilité durable, préserver l’environnement et ses ressources) ». Le commissaire enquêteur a considéré que ce projet de PLU permet de répondre aux objectifs prévus, et il a fait 4 recommandations  justemet sur Marcheron/Briand/Matrais pour reconsidérer le zonage. Ensuite  sur l’école Gambetta en demandant que « l’emplacement réservé pour son extension, soit ré-évaluée au regard de la possibilité ou non d’agrandir cet équipement sur son emprise actuelle ». Du coup la commune a décidée de ne pas maintenir cet emplacement réservé, considérant que les besoins d’extension de cette école ne portent plus sur les locaux, pmais uniquement sur les espaces extérieurs. Par contre elle a suivi la 3éme recommandation visant à ce que les réles de constructions dans les zones UD et UE permettent l’évolution des bâtis existants notamment en matière de  développement durable, notamment pour la Villa Jeanne et le long de la rue Greset. Enfin, le Commmissaire Enquêteur a recommandé de prendre en considération la demande l’Etat sur « la délimitation d’espaces verts à protéger à l’intérieur du parc F.Pic ».

     

    Pierre Toulouse (EELV) comme il l’avait déjà dit, a trouvé « un document extrêmement lisse, difficile à attaquer, qui devrait plaire à tout le monde. Il adapte l’existant sans ambition politique ». Il a fait part de sa déception sur les mesures prévues cncernant le vélo, l’absence de mesures permettant de limiter l’implantation d’antennes …  - « Pourtant on a retenu un certain nombre de choses » a répondu  le maire. « Ce PLU n’engendre pas de changement majeur » constatait de son côté Jean Cyril Le Goff (PS). « Le passage du POS au PLU permet la coghérence des politiques locales en matière d’environnement, de développement durable… » a-t-il ajouté en posant la question du devenir du terrain Aristide Briand(ex-SS et ex-DDE) qui a acceuillit l’école élémentaire du centre pendant les travaux de l’îlot Cabourg  et « sur lequel le PS sera très vigilant. Nous souhaitons une vraie réflexion sur des équipements publics (créches), des logements sociaux sur ce terrain » a-t-il demandé.

     

    « Vous dites que ce PLU n’est pas assez révolutionnaire. Mais on n’a pa cherché à ce qu’il le soit. Nous auros l’occasion de revenir sur certains poiints. Que l’on donne un droit de suite aux remarques des habitants est tout à fait normal  » a répondu Bernard Gauducheau en se voulant rassurant : « Le terrain A.Briand n’est pas une réserve foncière, mais il est actif puisqu’il est occupé par des équipements pubbics pour l’instant ». Occasion de rappeler que « le métre carré est cher à Vanves. C’est plus important de le consacrer à l’homme plutôt qu’au vélo ! ». Du coup, Guy Janvier (PS) a relevé qu’à propos du terrain Aristide Briand, le maire de Vanves avait déclaré que « c’était l’un des dernières parcelles appartement à des collectivités (territtoriales) » et que « sur Cabourg, le projet initial sur lequel vous êtes revenu,  était un immeuble avec une école en rez-de-chaussé. Il est intéresant que vous fassiez part de vos intentions sur Aristide Briand » - « J’avais enviagé des logementds dans Cabourg poiur financer les équipements publics. Du coup, il a fallu emprunter plus en contrepartie, car je regarde les équilibre financier » a-t-il répliqué mais sans en dire plus sur le devenir des terrains Aristide Briand.