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URBANISME - Page 64

  • VANVES CERNE PAR LES PROJETS DE TOURS : ET POURTANT ISSY PROPOSE UNE APPROCHE DIFFERENTE

    Vanves est entourée de villes qui ont chacune leur projet de tours et provoquent la polémique surtout à Paris, avec tout d’abord la fameuse tour Triangle, porte de Versailles que suit de prés la municipalité et qui a déjà fait l’objet de nombreuses réunions publiques depuis 3 ans. Ensuite l’ile Seguin où le projet des tours de Jean Nouvel ont semé la zizanie au sein du Conseil municipal de Boulogne entre PC Baguet (NC) député maire et son adjoint Vice Président du Conseil Général Thierry Solére (UMP)  et la colère des riverains notamment du côté de Meudon Bellevue. Enfin Issy les Moulineaux avec 4 projets de tours : l’une est devenue le serpent de mer d’un projet de reconstruction sur les terrains de l’ex- CNET face au séminaire Saint Sulpice, les 3 autres devraient être construites à la tête du pont d’Issy les Moulineaux.  Heureusement à Vanves, la commune a été vacciné par cette (petite) tour construite au dessus du marché et du centre administratif  

     

    Ce projet des 3 tours de la ZAC d’Issy sur lesquelles travaillent en catimini depuis 3 ans plusieurs cabinets d’architectes devrait faire l’objet d’une enquête publique à partir de la fin Octobre. André Santini (NC)  l’a joué finement pour éviter la mobilisation des opposants aux tours comme l’a montré la réunion publique de présentation Jeudi dernier, même si certains opposants étaient présents où se mélangeaient écologistes, socialistes et Modem que le député maire compare à un « barnum » qu’il aurait sur ses talons à chaque réunion Là, il y avait moins de grains à moudre car le quartier a été bien choisi : il n’y a pas d’habitants, que des bureaux.

     

    La tête du pont d’Issy devenu la ZAC d’Issy est devenu au fil des années, un site disqualifié, constitué friches tertiaire, avec des bâtiments devenus obsolétes tant sur le plan fonctionnel qu’environnemental où étaient installés le bouquet numérique TPS (racheté par le grouper Canal+), l’Equipe qui a déménagé à Boulogne, le siége Yves Rocher qui devrait déménager à quelques métres, avec la célébre halle Eiffel où s’étaient installé au début des années 80 l’agence RSCG (J.Séguéla). En partie vacants, ces bâtiments sont destinés à être démolis par leurs propriétaires (Axa, Crédit Agricole, Assurances, Générale Continentale Investissements).

     

    Le programme prévisionnel porte sur 256 460 m2 Shon dont  230 000 m2 de bureaux, 13 500 m2 de logements dont 25% sociaux, 3500 m2 de commerces au pied des bureaux, et des habitations, 1200 m2 d’équipements publics,  avec ses trois tours, l’une dessiné par l’agence Loci Anima avec l’architecte François Raynaud (projet Axa –Sefri),  deux autres côté à côté  dont l’une a été confié à JC Viguier (projet Crédit agricole), et l’autre à Jean Claude Roulendes  (projet CGI). « S’il y a un site à densifier c’est un bon endroit ! On ne peux pas dire que mettre 3 tours là ne vont rien changer» ont-ils expliqué en ne voulant pas du tout recréer le Front de Seine à Grenelle ou la Défense avec des tours mal conçue, mal cadencés,  leurs dalles sans vie et à courant d’air.

     

    Ses architectes en présentant des esquisses,  ont défendus une approche totalement différente, proposant par exemple une tour de grande hauteur constituée de 3 objets superposées avec des terrasses d’altitude, des jardins d’étages pour répondre au désir de végétalisation, avec des fenêtres, des communications avec l’air, des panneaux photovoltaîques et des éoliennes pour fabriquer de l’énergie avec du soleil et du vent. Une autre pourra avoir la forme d’un cristal qui décroît en montant, en étant orienté vers l’ouest, son emplacement ayant été étudié de prés par rapport au soleil, la lumière, l’ombre projetée qui ira là, surtout vers la Seine. « Nous avons développé un certain nombre de technologies pour rendre performant les consommations de ces tours » expliquaient ils.

     

    Jean Claude Viguier confiait qu’il faut revoir l’emplacement des équipements techniques généralement installés au sommet, alors qu’à mi hauteur, ils permettraient de réaliser plus d’économie d’énergie surtout au niveau des fluides. « Et elles sont placés dans un endroit que l’on rendra sympathique, avec parvis, parcours piétonniers, terrasse de brasserie, commerces » ajoutaient ils. Deux grandes places entoureront ces tours et permettront soit par une passerelle au dessus du CD 50 ou une légère de pente, de rejoindre à travers la halle Eiffel,  les stations du T2 ou du RER C de l’autre côté de l’actuelle place Lafayette. Ainsi ses architectes cherchent à tourner le dos aux tours infernales, ce qui est une approche qui vaut d’être suivie…si l’on veut préserver le peu d’espaces verts, forestiers, agricoles grignotés par la ville.

  • PLU DE VANVES : QUEL DEVENIR POUR LES TERRAINS ARISTIDE BRIAND ?

    Le débat sur le PLU au Conseil municipal de Vanves jeudi dernier a permis à l’opposition de poser la question du devenir du terrain Aristide Briand occupé auparavant par la DDE et la CPAM 92 et jusqu’au vacanves par l’école élementaire du Centre. Un secteur qui a fait l’objet d’observations des riverains lors de l’enquête publique qui souhaitaient préserver sa dominante habitat (notamment pavillonaire) et empêcher la construction de résidences de services

     

    « Le POS est mort, vive le PLU » s’est donc exclamé Julien Gazel, conseiller municipal délégué au PLU en dressant le bilan de la concertation qui s’est étalé sur 2 ans et demi entre le 17 Décembre 2008 et le 22 Juin 2011, avec 15 rencontres organisées dans chaque quartier, une exposition… et une enquête publique menée en Mars 2011 : 7 personnes publiques sur 14 consultées ont répondu  (Etat, Département, Syndicat Mixte des Côteaux et du Val de Seine, GPSO, Chambre des Métiers, CCIP 92, Syndicat des Eaux, SNCF et Société Réseau de Transports d’Electricité) en donnant leur avis. Ainsi l’Etat a estimé « qu’une ouverure plus importante du règlement en faveur d’une augmentation de la constructibilité, afin de répondre aux enjeux de rapprochement des grands secteurs d’emplois et des quartiers d’habitat, aurait pu être envisagé ». Il a recommandé de privilégier dans le parc F.Pic la délimitation d’espaces verts à protéger plutôt que le maintien des secteurs identifiés en espaces boisés classés. Le département a demandé la prise en compte du plan dépatemental des circulations douces et du schéma des parcours buissonniers dont la promenade des parcs et côteaux du Val de seine dont Vanves est une des extrémités avec le parc du Lycée michelet. D’ailleurs son objectif principal est « de rendre plus accessible les espaces de nature existants, notamment le parc du lycée Michelet ». Les Chambres consulaires ont insisté sur la nécessité de prévoir des aires de livraison (comme à Paris) ans certains cas. La SNCF a émis des des réserves sur les secteurs « espaces verts à protéger » délimités sur les talus dépendants des emprises ferroviaires. Du coup le règlement du PLU prévoit d’autoriser des constructions liées à l’activiré ferroviaire dans ces espaces.

     

    63 observations ont été inscrites sur le registre du commissaire enquêteur, dont 35 concernaient un changemet de zonage dans le secteur  Raymond Marcheron/Aristide Briand/Villa Matrets sur unterain d’environn 1,3 ha pour préserver la dominante de l’habitat (réduction de la hauteur à 12 m, limitation de l’emprise maximale à 50%, obligation de réaliser la moitié des espaces verts en pleine terre) avec une volonté d’avoir une garantie sur l’arrêt du développement des résidences-services, l’hébergement hôtelier.   16 observations ont concernées des régles de constructibilités sur l’implantation, les hauteurs, l’aspect extérieur ds constructions, sur les clôtures et les normes de stationnement dans des rues à dominante pavillonnaire.

    Trois observations concernaient la part des logements sociaux dans les programmes de constructions. Une personne s’est inquiétée notamment des conséquences des normes de stationnement imposées pour les vélos sur la construction de logements sociaux. D’ailleurs deux observations suggéraient de réserver une surface affectée au stationnement des vélos de 4%  qui a été réduit à 2% de la surface hors œuvre nette, le pourcentage de 4% étant jugé disuasif pour les investisseurs et trop élevé du fait de la présence de Vélib. Des riverains de l’allée de la Ferme ont contestée l’utilitée du terme « d’emplacement réservée » en invoquant des questions de sécurité. Deux observations ont relevé que le PLU ne respecte pas le projet d’aménagement et de développement durable.

     

    Bernard Gauducheau qui avait expliqué juste avant l’exposé de Julien Gazel, qu’il s’agissait d’élaborer un projet de ville pour les 10 ans à venir, a reconnu que « les amendements apportés au projet ne portaient pas atteinte à l’économie du projet, et ne remettaient pas en cause les 5 objectifs poursuivis (Valoriserl’identité d’une ville, relever le défi d’une offre renforcée en logements, préserver la dynamique économique, promouvoir des pratiques de mobilité durable, préserver l’environnement et ses ressources) ». Le commissaire enquêteur a considéré que ce projet de PLU permet de répondre aux objectifs prévus, et il a fait 4 recommandations  justemet sur Marcheron/Briand/Matrais pour reconsidérer le zonage. Ensuite  sur l’école Gambetta en demandant que « l’emplacement réservé pour son extension, soit ré-évaluée au regard de la possibilité ou non d’agrandir cet équipement sur son emprise actuelle ». Du coup la commune a décidée de ne pas maintenir cet emplacement réservé, considérant que les besoins d’extension de cette école ne portent plus sur les locaux, pmais uniquement sur les espaces extérieurs. Par contre elle a suivi la 3éme recommandation visant à ce que les réles de constructions dans les zones UD et UE permettent l’évolution des bâtis existants notamment en matière de  développement durable, notamment pour la Villa Jeanne et le long de la rue Greset. Enfin, le Commmissaire Enquêteur a recommandé de prendre en considération la demande l’Etat sur « la délimitation d’espaces verts à protéger à l’intérieur du parc F.Pic ».

     

    Pierre Toulouse (EELV) comme il l’avait déjà dit, a trouvé « un document extrêmement lisse, difficile à attaquer, qui devrait plaire à tout le monde. Il adapte l’existant sans ambition politique ». Il a fait part de sa déception sur les mesures prévues cncernant le vélo, l’absence de mesures permettant de limiter l’implantation d’antennes …  - « Pourtant on a retenu un certain nombre de choses » a répondu  le maire. « Ce PLU n’engendre pas de changement majeur » constatait de son côté Jean Cyril Le Goff (PS). « Le passage du POS au PLU permet la coghérence des politiques locales en matière d’environnement, de développement durable… » a-t-il ajouté en posant la question du devenir du terrain Aristide Briand(ex-SS et ex-DDE) qui a acceuillit l’école élémentaire du centre pendant les travaux de l’îlot Cabourg  et « sur lequel le PS sera très vigilant. Nous souhaitons une vraie réflexion sur des équipements publics (créches), des logements sociaux sur ce terrain » a-t-il demandé.

     

    « Vous dites que ce PLU n’est pas assez révolutionnaire. Mais on n’a pa cherché à ce qu’il le soit. Nous auros l’occasion de revenir sur certains poiints. Que l’on donne un droit de suite aux remarques des habitants est tout à fait normal  » a répondu Bernard Gauducheau en se voulant rassurant : « Le terrain A.Briand n’est pas une réserve foncière, mais il est actif puisqu’il est occupé par des équipements pubbics pour l’instant ». Occasion de rappeler que « le métre carré est cher à Vanves. C’est plus important de le consacrer à l’homme plutôt qu’au vélo ! ». Du coup, Guy Janvier (PS) a relevé qu’à propos du terrain Aristide Briand, le maire de Vanves avait déclaré que « c’était l’un des dernières parcelles appartement à des collectivités (territtoriales) » et que « sur Cabourg, le projet initial sur lequel vous êtes revenu,  était un immeuble avec une école en rez-de-chaussé. Il est intéresant que vous fassiez part de vos intentions sur Aristide Briand » - « J’avais enviagé des logementds dans Cabourg poiur financer les équipements publics. Du coup, il a fallu emprunter plus en contrepartie, car je regarde les équilibre financier » a-t-il répliqué mais sans en dire plus sur le devenir des terrains Aristide Briand.

  • VANVES VOTE CE SOIR SON PLU DEFINITIF

    Lancé le 17 Décembre 2008, il aura fallu 2 ans et demi d’études mais surtout de concertation avec les vanvéens, à l’équipe municipale conduite par Bernard Gauducheau, pour réviser son POS et aboutir à un projet de PLUsoumis  au Conseil municipal de ce mercredi 22 Juin 2011. Ce PLU qui délimite huit zones dans Vanves dont six au regard des formes urbaines régis grâce à 14 articles, devrait être aplicable dés la Rentrée de Septembre si aucun recours n’est déposée durant les deux mois qui suivront son approbation.

     

    LES DISPOSITIONS

     

    Il s’agit tout d’abord de préserver l’animation et maintenir une offre commerciale et de services de proximité dans les « pôles de centralités»,  avec des prescriptions introduites pour encadrer le changement de destination des locaux existants en rez-de-chaussée ou prévus dans les constructions nouvelles. Par contre dans les zones à dominante d’habitat, les commerces de plus de 300 m2 sont interdits ainsi que les constructions à destination d’hébergement hôtelier. En matière d’environnement et ses ressources,  il fixe un débit maximal de rejet des eaux pluviales dans le réseau collecteur, en prévoyant la mise en œuvre de procédés de rétention sur le terrain et la réutilisation de la ressources en eau, des locaux adaptés au tri sélectif dans toutes les constructions nouvelles.

     

    Il s’agit ensuite de réglementer :

    - L’implantation des constructions par rapport aux voies et aux emprises publiques. Il institue ainsi des pans coupés à l’intersection des voies  pour des raisons architecturales, mais également pour faciliter l’usage de l’espace public. Il raméne de 4 à 2 m le recul minimum imposé dans les zones à dominante d’habitat collectif et pavillonnaire,   pour mieux prendre en compte le paysage existant, et pour présever les caractéristiques du paysage urbain dans la pointe sud-ouest de Vanves, le long de l’avenue du Général de Gaulle et la rue du Clos Montholon.

    - L’implantation des constructions par rapport aux limites séparatives  afin de conserver, voire renforcer les formes urbaines existantes. Des assouplissements ont été apportés dans les zones pavillonnaires à caractére patrimoniale pour faciliter les extensions des constructions déjà existantes côté jardin, et dans les pôles emplois pour permettre aux entreprises de se développer.

    - L’emprise au sol des constructions, avec un changement notable qui est de permettre l’extension des pavillons sur les petits terrains (d’une superficie inférieure ou égale à 200m2) et de faciliter les constructions nécessaires aux services publics ou d’intérêt collectif, grâce à l’absence de régles d’emprises applicables à ces constructions sur l’ensemble du territoire communal, sauf en zone d’activités et d’emplois.

     

    Il s’agit enfin  de limiter les hauteurs avec un plafond porté de 21 m à 30 m dans la zone d’activités et d’emplois, privilégier les toitures végétalisées sauf dans la zone  pavillonnaires à caractére patrimoniale, d’introduire dans les zones à dominante d’habitat collectif et pavillonnaire avec les ensembles pavillonnaires à caractére patrimonial, des dispositions encourageant sur les limites séparatives les clôtures végétales pour permettre des contnuités végétales et écologiques. Il impose que la moitié des espaces verts soit réalisée en pleine terre et favorise ainsi la percolation des eaux pluviales. Il garantit la pérénnité des plantations grâce à une circonférence minimale de 14 cm pour les arbres plantés en pleine terre et 12 cm pour les arbres plantés sur dalle. La municipalité a fait le choix de ne pas fixer de COS (coeficient d’Occupation des Sols) sauf en zone UD (à dominante d’habitat collectif et pavillonnaire)  où il a été porté de 0,70 à 1,40 compte tenu notamment de l’impossibilité juridique de maintenir la disposition contenue dans le  futur ex-POS en faveur des terrains de moins de 250 m2 où le COS de 0,70 n’est pas effet applicable aujourd’hui.

     

    LES POSITIONS

     

    « Ce n’est pas révolutionnaire par rapport à 1997. Nous avions alors prévu des modalités pour favoriser l’installation de résidences hôtelières » constatait Guy Janvier, conseiller Général (PS) lors du dernier conseil municipal en Octobre 2010 qui a traité du PLU en soulevant 4 questions qu’il ne manquera pas ce soir de renouveler : Le logement social où il y a un problème « car des gens ne peuvent pas s’installer à Vanves. Il est possible de transformer des immeubles non entretenus en logements sociaux » expliquait il. Les espaces verts en regrettant que « les surfaces réservés aux espaces verts soient infimes (square Jean monnet, angle V.Hgo/H.Marin) ». Les équipements publics  car « on a besoin de créches ! Mais rien n’est prévu ! ». Enfin, il a posé  er reposera la question du devenir du terrain rue A. Briand (ex-sécurité sociale et DDE) occupé pour l’instant par la Maternelle du Centre.

     

    Pierre Toulouse (EELV) avait considéré « qu’on a un PLU bien lisse. On peut regretter d’être à Vanves où les contraintes sont telles qu’il n’y a pas de marges pour faire tout ce que l’on voudrait pour loger les gens. Et là où on pouvait faire quelque chose, on ne l’a pas fait notamment sur un point : Le COS qui a été renforcé par la Loi sur Le Grenelle 2 de l’Environnement  afin notament pour aider les habitants qui réalisent des travaux d’économies d’énergies ou des installations genre compost ». Il avait dénoncé un « PLU de pére de famille, très réactionnaire, en continuité avec ce qui a été fait ! », même s’il avait reconnu que des efforts avaient été fait pour augmenter la surface de stationnement des vélos.

     

    « Je préfére afficher des objectifs accessibles » avait répondu et ré-expliquera  Bernard Gauducheau : « Nous voulions mettre la ville en conformité à certaines évolutions et ne pas la transformer totalement, car la population est attachée à sa ville. Nous ne sommes pas en régle avec le SDRIF qui nous demande de densifier. Mais ce n’est pas ce que veulent les vanvéens qui souhaitent préserver leur qualité de vie. Et en matière de densité, on a déjà donné ! Comme en matière de logement social, par rapport à d’autres. Quant au devenir de certains sites, il est encore trop tôt pour se prononcer »