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rue de l’avenir

  • LES INCIVILITES RUES DE CHATILLON ET DE L’AVENIR DANS LES HAUTS DE VANVES EXASPERENT SES HABITANTS

    Malgré une pluie forte et abondante lundi en fin d’après-midi/début de Soirée, une soixantaine  de vanvéens ont affrontés les intempéries pour venir assister à la réunion publique du quartier des Hauts de Vanves à l’école  Larmeroux animé par Julie  Messier, maire adjoint. Il a été beaucoup questions des chantiers sur lesquels le Blog reviendra qui ont provoqué de nombreux échanges, tout comme les incivilités dont se sont plaint les habitants des rues de Châtillon et de l’avenir. Avec la place des Provinces sur le Plateau, c’est l’autre point noir de la ville de Vanves, où les faits, sont là aussi, récurrents

    Les témoignages de plusieurs participantes étaient éloquents se plaignant de ces individus qui ont, par exemple, investis le petit jardin au bout de l’allée central du 13, la cité Payet Dortail, « qui jouent, font du bruit, nous insultent lorsque  nous faisons des réflexions, estimant qu’ils sont chez eux, dégradent les lieux, laissant dehors leurs déchets, les encombrants, font leurs besoins dehors alors qu’il y a une sanisette pas très loin . On sait que le maire a agit par rapport au bailleur. Mais il (ce dernier) ne fait rien ! » témoignaient plusieurs habitants de cette cité de Hauts de Seine Habitat. Tout comme les riverains de la rue de l’Avenir  

    «On partage cette exaspération. Il y a une responsabilité des bailleurs. Nous avons pris contact avec eux pour faire intervenir nos médiateurs » a répondu Kevin Cortes maire adjoint à lasécurité qui travaille à une solution, comme par exemple l’intervention d’un médiateur de justice en accord avec les bailleurs. Tout en faisant remarquer que « c’est la police nationale qui a la main pour intervenir » invitant comme à son habitude, à prévenir celle-ci à chaque fois qu’il y a un incident. « On a tout de même obtenu le passage d’une patrouille chaque jour du commissariat ».

    « Il faudrait retrouver l’ambiance d’antan qu’a connu « le 13 » avec son amicale des locataires, ses fêtes, ses portes ouvertes chez les artistes,  ses parties de pétanque, une certaine solidarité entre ses habitants » regrettait un participant. « Il n’y a plus d’entraide entre voisins » ajoutait une autre habitante

    Enfin, un participant a re-soulevé la question du restaurant Les Pieds dans l’Eau qui a fait moins de bruit, peut être à cause d’un temps moins estival. « Nous avons été vigilant en réagissant à chaque remontée » a indiqué Kevin Cortés. « On essaie de faire le moins de bruit possible en coupant les sonos extérieures le soir » a fait remarquer un des manager du restaurant présent à cette réunion

    A Suivre….

  • SECTORISATION DE CABOURG A VANVES : UN EFFECTIF HISTORIQUEMENT BAS AUX FRAIS DE PLUSIEURS FAMILLLES

    2 familles auraient reçus des refus pour scolariser leur enfant à Cabourg l’année scolaire prochaine alors qu’ils entrent en CP,   à la suite d’une modification de la sectorisation de ce groupe scolaire effectué à la fin de l’année dernière pour prendre en compte l’installation de nouveaux vanvéens dans les projets immobiliers réalisés dans les Hauts de Vanves et au Centre Ancien. Cette situation est incompréhensible pour les associations de parents d’élèves, au regard des effectifs annoncés par la directrice lors du dernier conseil d’école, laissant la très nette impression d’éviter le sur-effectif pour garder un certain confort.
    Ce groupe scolaire qui verra la suppression d’une classe maternelle comprend 119 enfants en Maternelle (36 en PS, 38 en MS ert 45 en GS)  et 230 en primaire (43 en CP, 53 en CE1, 45 en CE2, 45 en CM1 et 44 en CM2), avec une moyenne qui oscille de 18 à 26,5 éléves par classes. Ainsi ce groupe scolaire accueille 340 élèves actuellement et a déjà 352 inscrits pour l’année scolaire  2016-17 dont 1 venant la nouvelle résidence de la rue Pruvost (9 inscriptions sont prévus), ce qui fera monter la moyenne prévue à la Rentrée 2016 à 27,2 éléve avec 66 CP, 66 CE1, 70 CE2, 73 CM1 et 77 CM2. L’ouverture d’une 14éme classe a été sollicitée par la directrice de ce groupe scolaire sans succès auprès du directeur académique. Ce constat est d’autant plus choquant qu’à l’école du Parc qui est proposée à certaines familles, la moyenne est déjà de 33 éléves par classe par exemple en CP.  Mais la mairie a fait des projections pour arguer d’un hypothétique trop-plein à venir sur cette école, appliquant le principe de « précaution » très cher au maire.  
    Ainsi rien n’explique ce refus opposé à des familles de laisser leur enfant dans cette école, alors qu’elles habitent vraiment dans son quartier ou son secteur. D’autant plus, que lorsque les langues se délient, il apparait que des enfants scolarisés dans cette école habitent vers le Plateau. Car voilà quelques années, la municipalité a fait des appels du pied à des familles habitant le Plateau pour venir re-peupler le groupe scolaire Cabourg (ex-centre), et éviter sûrement des fermetures de classes. «Elle a fait maints appels du pied aux familles aux 4 coins de la ville pour remplir Cabourg, jusqu’il y a encore 3 ans. Et maintes fatries sont du Plateau, de la rue de l’Avenir et poursuivent aujourd’hui sans perturbations leur scolarité dans cette école loin de leur domicile » témoigne une parent d’éléve. La ville  est en train de créer un chassé croisée ubuesque, entre le Plateau ou  les Hauts de Vanves et le Centre Ancien. Une des familles concernée  est même obligé d’aller chercher un enfant à la créche du Plateau et un autre à l’école Cabourg  alors qu’elle habite Bd du Lycée à la limite de Vanves et d’Issy les Moulineaux, par exemple… A Suivre

  • LA DERNIERE REUNION PUBLIQUE DE QUARTIER DE L’AUTOMNE 2015 A VANVES : DES HAUTS DE VANVES DETONANT ET ETONNANT

    L’abattage des arbres et la finalisation de la mise en place du stationnement réglementé qui ne font plus d’histoires, ni suscitent la polémique, ont été pourtant au centre d’une réunion détonante au grand étonnement des élus présents et de certains participants, Lundi soir dans le préau de l’école Larmeroux.

    Bernard Gauducheau venait de présenter les différents chantiers réalisés, en cours de finition ou même en projets, notamment le déclassement de la rue de l’Avenir qui doit être transférée dans le domaine public pour permettre sa requalification. Mais voilà, il manque quelques signatures (6 sur 60) de propriétaires  (introuvables) pour lancer cette opération qui est, du coup, retardé d’un an. « La requalification de la rue Aristide Briand est envisagée à partir du moment où l’ensemble des chantiers seront terminés et réalisés » a-t-il précisé à cete occasion. La réunion prenait son rythme de croisière lorsqu’une mère de famille qui fréquente la piscine avec son bébé de 9 mois, l’interrogea sur le nouveau règlement intérieur : « Comme nous ne pouvons plus rentrer les poussettes dans les vestiaires, où allons-nous pouvoir les ranger ? Où trouve t-on des bonnets de bain de bain pour bébés puisqu’il n’y en  a pas (sur internet) ? ». Philippe Thieffine, conseiller municipal, lui a indiqué quelle pouvait en trouver chez GO Sports, et  qu’il n’y a pas de solutions pour les poussetttes, d’autant plus que des travaux d’aménagement sont prévus à l’accueil et dans les vestiaires avec l’aménagement d’une salle de musculation. Le maire a précisé que « si la piscine municipale offre un service, elle n’est pas chargé de prévoir le stockage et la surveillance  des poussettes dans ce genre d’équipement, sauf en ce qui concerne les crèches ».

    « Pourquoi les arbres de la rue de Châtillon ont-ils été coupés ? » - « C’est le Logement Francilien qui a procédé à leur abattage, car ils étaient en mauvais état et devenaient dangereux » a répondu le maire en donnant la parole à Mme Murry, l’une de ses habitantes : « Les travaux entrepris par le Logement Francilien suppriment 14 places de parkings que l’on a cherché à récupérer d’une façon ou d’une autre (à l’occasion  de travaux de résidentialisation ) » a-t-elle indiquée. Du coup, un  autre riverain a proposé de planter des arbres dans la rue de Châtillon, où il a repéré 35 occasions de plantations pour agrémenter cette voie publique « car il n’y a que du béton et du métal » - « Il n’y a pas de réponse à apporter. Je veux bien y réfléchir, calculer le pour et le contre en fonction des places de stationnement. Il est vrai que j’aurais préféré que le Logement Francilien remplace ses arbres »  a indiqué le maire. Du coup, un riverain de la rue Larmeroux s’est plaint de la trop grande hauteur des arbres plantés le long de cette voie. « J’ai relayé votre demande au département. J’ai été renvoyé sur les roses. Le département préfère élaguer ses  grandes arbres pour les garder. Je préfère planter des arbres qui n’atteignent pas cette hauteur ! »

    « Pourquoi y a-t-il un stationnement payant sur une partie de l’avenue du Général de Gaulle et pas sur l’autre ? » a demandé un riverain en visant cette partie de l’avenue après le carrefour avec l’avenue de a Paix.  « On est sur une partie de l’avenue (où on a demandé au conseil Général de faire les trottoirs avant d’instituer le stationnement réglementé. Et nous sommes tributaire du département ! » a-t-il indiqué. A ce moment là une riveraine de l’avenue de la Paix particulièrement en verve s’est exclamée : « Il y a des gens qui se foutent de payer le stationnement payant ! Je me rappelle qu’il y avait des garages. Mais ils ont été transformés en logement » - « Ce stationnement payant est bien accepté maintenant. Il a libéré beaucoup de places sans l’espace public. Il est en place et il le restera » assura t-il face à quelques habitants de la rue Mansart et alentours qui s’étaient levés et protestaient fortement. « Vous ne pouvez pas dire que vous l’avez fait après consultation de la population » assènait l’un d’entre eux alors qu’il tentait de rappeler toutes les réunions d’informations organisées avant son début de mise en place  et des points d’étapes effectués lors de telles réunions de quartier. « Cela encourage les gens de prendre leur voiture pour aller travailler. Lorsqu’on revient le soir, on ne peut pas se garer !  Ce n’est pas fait dans  l’intérêt des résidents, mais dans l’intérêt de la commune qui veut ramasser de l’argent »- « Non cela n’a pas été fait pour l’argent mais pour assurer un turn-over et éviter les voitures ventouses »  essaya t-il d’expliquer en ajoutant : « Vous défendez votre intérêt privé mais pas l’intérêt général ! » - « l’intérêt des habitants de notre rue » répliqua l’un d’entre eux, alors que son voisin ajoutait :  « Vous avez un métro de retard ! » - « Et moi, une gare d’avance ! »

    Occasion de revenir sur la gare de Grand Paris Express, prévue au Clos Montholon, sous la gare SNCF de Clamart, sur la ligne 15 Sud qui sera mis en service en 2020. « Est-ce que vous prévoyez d’autres maisons à fiche en l’air »entend alors dans le public. « On aura des informations (en temps utile) de la SGP (Société du Grand Paris) qui est très sérieuse et professionnelle. Ce qui est important pour nous, est la revalorisation de ce secteur appelé à se développer » - « Y aura-t-il des incidences rue du Clos Montholon ? » - « Une seule propriété de Vanves, à la pointe, est concernée » a-t-il répondu en indiquant que « la ville a prévu une zone de préemption renforcée pour éviter la spéculation foncière et immobilière ».