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  • QUARTIER DE LA GARE SNCF DE VANVES : UN PROJET FIRST AVENUE REVELATEUR D’UNE PROFONDE MUTATION A VENIR !

    La particularité de cette nouvelle session de 3  réunions publiques de quartier  est d’être finalement axée sur les questions d’urbanisme avec la présentation de plusieurs projets immobiliers et  des modifications qui doivent être apportées au PLU, votée en 2011, suite à des ajustements provoqués par le SDRIF (Schéma Directeur Régional) et le nouveau PDUIF (Plan de Déplacements Urbains) de la Région Ile de France. Ce qui a été le cas lundi soir pour le quartier du Centre Ancien-Saint Remy à l’hôtel de ville où beaucoup de riverains de l’îlot compris entre la gare et l’allée du Progrés où est prévu un immeuble de 42 logements construit par First Avenue, s’étaient déplacés.  

    Ce fut l’un temps fort de cette réunion publique, car cette nouvelle construction est prévu à l’angle des rues René Coche/Victor Basch, face à la gare SNCF Vanves-Malakoff entre le café de la gare et la zone pavillonnaire le long de la voie ferrée, à l’extrémité d’un secteur Aristide Briand où les constructions lancées voilà prés de 4 ans prennent fin. Mais ce n’est pas fini comme s’en est plainte une habitante de la rue René Coche avec le projet d’aménagement des terrains R.Coche-A .Briand-Diderot et cette réalisation de First Avenue dont les travaux doivent démarrer au second trimestre 2016. Elle se situe sur ce terrain tout en longueur entre les villas de l’Allée du Progrés et la rue Victor Basch : 42 logements dont 31 en accession et 11 sociaux répartis en trois cages d’escaliers  avec 2 cours jardins à l’arrière du bâtiment donnant sur les petites maisons de l’allée des progrés et créations de loggias pour casser la façade côté gare SNCF. « On a dégressé le volume de ce bâtiment après avoir recueilli les avis » ont indiqué les responsables de ce promoteur-constructeur en parlant de 21 m de haut maximum, de logements familiaux de 3 à 4 et 5 piéces dont le prix (selon le marché) devrait varier de 7000 à 7500 € le m2.

    Ce qui a suscité de multiples questions dont une sur les personnes qui occuperont les logements sociaux « pour avoir une certaine sérénité » ce qui a suscité  quelques réactions dans l’assistance : « Il y a des gens très bien dans les logements sociaux, à priori bien élevé, de bonne famille » n’a pas manqué de répondre le maire. Une habitante de l’allée du Progrés n’a pas manqué de remarquer qu’il y avait peu de vues sur les façades de ce côté-là de l’immeuble dans la présentation. « Il y a une rupture assez forte entre la rue V.Basch et l’arrière avec les pavillons. Pour tenir compte du changement d’échelle, on a aménagé des jardins pour en limiter l’impact » a répondu l’un des responsables de First Avenue. Il a indiqué que le permis de construire a été déposé depuis deux mois, et que les travaux qui devraient durer 18 mois, commenceraient au second trimestre 2016. C’est à ce moment là qu’une habitante de la rue René Coche s’est plainte : « Depuis 5 ans, les riverains de la rue rené Coche subissent ls travaux, et cela va continuer encore avec ce nouveau projet. Les nuisances vont encore continuer, et encore le samedi, avec des marteaux piqueurs, alors que le week-end est le seul moment où on peut se reposer ». Pascal Vertanessian, maire adjoint chargé de l’urbanisme a tenté de la rassurer en expliquant qu’il y a désormais une charte qui régit le déroulement des chantiers, qu’une sentinelle est désigné pour chaque chantier pour faire l’interface entre les riverains et les entreprises…

    Une question a été soulevée par le maire de Vanves, à cette occasion, dans la mesure où plusieurs propriétaires dans cet îlot,  ont envie de vendre et de faire quelque chose de leurs biens immobiliers  : « 60% de ce secteur est appelé à évoluer, ce qui devient compliqué. L’autorité municipale ne peut pas s’opposer à la vente des terrains par leurs propriétaires surtout si cela est fait dans le respect du PLU. Mais tant à faire, est-ce que tout le monde ne pourrait pas se mettre d’accord sur un projet commun. Nous sommes conscient que chacun regarde son propre intérêt. Ce qui s’avére difficile. Mais je ne peux pas décider à la place des propriétaires. Voilà l’origine du projet First Avenue. S’il y avait espoir que chaque partie prenante est prêt à se réunir pour un projet commun, je suis prêt à faciliter les choses » a expliqué Bernard Gauducheau. Sera t-il entendu ? Tout en expliquant, à chaque réunion, le rôle d’un maire d’une ville qui se regénére sans cesse, et des enjeux actuels : « On a pleinement conscience des exigences de l’Etat pour répondre à la demande de logements  en densifiant. On est parmi les villes les plus denses de France. Les réformes institutionnelles en cours, ont pour objectif de déposséder les maires de leurs pouvoirs pour faire à leur place. L’idée d’un Etablissement Public Foncier d’Ile de France (EPF IDF) et la Métropole du Grand Paris (MGP) est de donner la possibilité à l’Etat de faire à la place des Maires. C’est pourquoi j’ai souhaité accélérer la vente des terrains Aristide Briand, avant que l’Etat ne le fasse à notre place ». 

  • RETOUR SUR LE PASSE DE VANVES : L’ELECTION MUNICIPALE DU 18 JUIN 1995 S’EST JOUEE A 2 VOIX

    Cette semaine est bien particulière pour Vanves qui ne célébre pas, et pour cause, l’anniversaire d’une élection qui s’est jouée à 2 voix un certain 18 Juin 1995. A un moment où 3 élections municipales partielles se sont déroulées ce week-end, parce que le scrutin de Mars 2014 avait été annulé à cause du faible écart de voix pour deux villes, 272 à Clichy et  70 à Asnières. Très loin des 2 voix de Vanves où l’élection n’avait pas été annulé. Le Blog de Vanves Au Quotidien a rencontré trois des protagonistes de cette élection historique dans les annales des Municipales qui vont s’exprimer au cours de cette semaine.  En commençant par Didier Morin, le maire RPR de l’époque (1990-95)

    DIDIER MORIN : « Certains n’ont pas joué le jeu pensant que c’était acquis et qu’il fallait minimiser le score ! ». 

    Vanves Au Quotidien - Quel regard portez-vous 20 ans après  sur cette soirée électorale du 18 Juin 1995 ?

    Didier Morin : « Un regard distant sur une soirée qui aurait pu très mal se passer parce qu’il y avait beaucoup de monde. Elle s’est déroulée dans une relative sérénité, dans le respect relatif des uns et des autres. Un regret : Le préfet n’a pas accepté, ni voulu qu’on ait les moyens nécessaires de recompter dans la sérénité et qu’il a demandé impérativement de proclamer les résultats.

    VAQ – Ne les avez-vous-vous pas proclamé trop vite ?

    D.M. : « J’ai proclamé les résultats à la demande du préfet après qu’il m’ait refusé de m’envoyer une compagnie de CRS pour faire évacuer l’hôtel de ville parce qu’il y avait trop de monde et pouvoir recompter dans la sérénité, y compris avec la liste opposante. Le magistrat qui était présent m’a dit qu’il n’y avait pas besoin de recompter. J’étais responsable des bâtiments, de la sécurité car il y avait du monde sur les balcons, la salle des fêtes était pleine, ainsi que l’escalier. Il était tout à fait irraisonnable de ne pas proclamer les résultats à partir du moment où le prefet refusait d’assurer la sécurité.

    VAQ – Qu’est-ce que vous avez ressentit ce soir là ?

    D.M. : « Rien, seulement une semaine de responsabilité, de passation de pouvoir. Et lors du conseil municipal d’installation de mon successeur, j’ai ressenti le départ de la charge, parce que c’en est une et que c’est mon successeur qui en hérite. Ceux qui n’ont pas assumé cette fonction, quels qu’il soient, ne se rendent pas compte des responsabilités, de tout ce que l’on ne peut pas dire et qui existe dans l’exercice d’une fonction au service d’une population importante avec des responsabilités considérables. J’étais soulagé et je n’ai pas manqué de prévenir mon successeur la veille que s’il y avait un incendie en ville, c’est lui désormais qui en assumerait la responsabilité

    VAQ – Comment expliquez-vous cette défaite d’une à deux voix ?

    D.M. : « J’explique cette défaite comme une absence de victoire, et par une première raison fondamentale : si les élections avaient eu lieu en Mars 1995,  et pas décalés en Juin, à la demande du ministre de l’intérieur de l’époque, à cause des présidentielles, l’élection aurait été certainement acquise au 1er tour. Elle a été loupée de 15 voix. La deuxième liste était à 35%. On ne peut pas dire que ce soit un échec dans la mesure où on fait 49,98% au 1er tour. Il n’y avait pas d’opposition à droite, pas de FN, donc pas réserve de voix, alors qu’ils y avaient 3 listes à gauche. Et que c’était inespéré pour la gauche de passer le deuxiéme tour. A partir de là, mobilisation d’un camp bien plus fort, démobilisation certains dans le notre parce que c’était soi disant acquis. On a vu le résultat. Certains n’ont pas joué le jeu pensant que c’était acquis et qu’il fallait minimiser le score. Et il l’a été. Mais les impôts ont été maximisés !

    VAQ - Est-il vrai que vous n’aviez pas envie de faire ce recours pour essayer d’invalider l’élection municipale ?

    D.M. : « C’est une idée qui ne peut germer que dans les esprits qui méconnaissent ma personne. Le recours a été engagé au tribunal administratif, avec appel au Conseil d’Etat.  Il n’y avait aucune raison que le recours n’ait pas lieu. Non pas par nécessité de revanche, car ce n’était pas mon esprit. Mais ne serait-ce que pour l’intérêt de l’élection d’avoir une majorité qui en soit une. Une majorité de 2 voix quelle qu’elle soit, n’en est pas une. Et lorsqu’on voit lors de ses dernières municipales, toutes ces élections qui ont été annulées avec des écarts de voix bien supérieurs, on peut se poser quelques questions sur les technocrates et les énarques qui sont au conseil d’Etat et aux Tribunaux administratifs

    VAQ – Pensez-vous  à Clichy ?

    D.M. : « Surtout à cette époque là où certains des membre du tribunal administratif ou du Conseil d’Etat n’étaient peut être pas forcément en dehors de tout esprit corporatiste

    VAQ - Est-ce que cette défaite est dûe à certaines erreurs faites durant ce mandat ?

    D.M. : « Avec un 1er tour à 49,98%, cela réduit beaucoup la marge des erreurs ! Succéder à Gérard Orillard n’était pas forcément chose facile pour la simple raison qu’ils y avaient de grands projets engagés dont je n’avais pas la responsabilité, que j’ai dû clore, transformer ou poursuivre, ce qui n’était pas du tout évident. On peut penser éventuellement que j’avais des idées éventuellement clivantes, néanmoins, je me souviens de certaines interventions de Gérard Orillard qui étaient largement plus clivantes et choquantes que les miennes. On a fait preuve vis-à-vis de lui de plus d’indulgence que pour moi.  

    VAQ – Quelles ont été les succés et les échecs de votre mandat ?

    D.M. : « Le maintien à domicile des personnes âgées et le pôle gérontologique, la rénovation de la maison de retraite, le développement des classes de découverte (péniche, aviation, spéléologie ..), l’animation avec thés dansants, soirée jeunes, carnavals, la braderie, la sécurité avec une police municipale trés présente et efficace, la modernisation des services avec l’informatisation des services, la mise en connexion par radio des services techniques et la police municipale, les rencontres inter-service avec l’homogénéisation de toute l’ équipe des fonctionnaires, la rénovation du PMS A .Roche, la création de la section escrime… Ce bilan explique effectivement qu’au 1er tour, on aurait pu être élu. Tout cela avec une maîtrise de la fiscalité. Le regret est de ne pas avoir pu réussir à ouvrir le parc du lycée Michelet. Cela ne s’est pas plus fait après, malgré que le proviseur soit devenu maire adjoint. Et j’avais plein de projet dans les caisses notamment avec le conservatoire qui sera déjà depuis longtemps fini si j’avais été maire.

    VAQ – Comment réagissiez-vous aux  attaques et critiques dont vous avez été l’objet sur les finances, la restauration scolaire et la voiture ?

    D.M. : « Ce sont des questions de formes et pas des jugements de fonds, parce qu’elles paraissaient éminament accessoires. La restauration scolaire était indispensable car la liaison chaude était un risque permanent avec 3500 repas par jour. Ce n’était pas une question de confort, de passe droit ou de marché, mais une nécessité de responsabilité. Elle a permis aussi la mise en place des repas en liaison froide pour les personnes âgées le week-end à Danton. La voiture de fonction  était un épiphénoméne qui n’était que de pure forme et de la calomnie. Pour les finances, on a même été jusqu’à m’accuser de détournements de fonds, avec enquête préliminaire auprès de la brigade financière qui a convoqué les ¾ du cabinet, avec une « Une » du Parisien, pour être classé sans suite. De la basse politique dans l’optique d’un recours qui risquait d’aboutir et qu’il fallait continuer à me calomnier comme on m’avait calomnié durant la campagne sur des sujets qui n’en étaient pas. « L’ami des promoteurs » par exemple.

    VAQ - 20 ans après  quel regard portez-vous  sur Vanves ?

    D.M. : « L’urbanisation qui devait être faite, l’a été, le cadre de vie est plutôt agréable. Je ne suis pas tellement favorable à ces zones 30, ces zones de rencontres, ces cyclistes en sens inverse car d’un point de sécurité, ce n’est pas une grande idée, en particulier dans des rues étroites où il n’y a même pas de la place pour qu’un vélo et une voiture se croisent, d’autant plus que le stationnement est à gauche et que l’automobiliste qui déboite ne les voit pas arriver.

    VAQ - Toujours engagé au niveau politique ?

    D.M. : « Toujours déterminé dans mes convictions et mes opinions, ayant pris beaucoup de recul par rapport à la politique. Les politiques aujourd’hui, n’ont pas de pouvoir. Ils croient en avoir, mais ils n’en ont pas. Ils ont exclusivement une visée électoraliste mais pas du tout réformatrice. Nous sommes  dans une situation où l’intercommunalité, les agglomérations vont ajouter des couches, des dépenses, des fonctionnaires supplémentaires  sans rien résoudre.

    VAQ – Qu’est-ce que fait aujourd’hui Didier Morin ?

    D.M. : « Il a une vie normale. Il avait une vie avant la politique, une vie en dehors de la politique, il avait un métier. A l’époque, j’étais à la fois maire, dentiste avec un cabinet et enseignant à la fac, en prise avec le terrain. Ce qui expliquait pourquoi j’avais besoin d’une voiture avec chauffeur car j’assumais des fonctions hospitalières à Créteil, un cabinet à Levallois, le conseil régional, où je pouvais travailler et signer les parapheurs

    VAQ – Tenteriez-vous un jour d’être élu de nouveau maire à Vanves ou ailleurs ?

    D.M. : « Absolument pas ! On ne peut pas être et avoir été. Quand on a acquis cette fonction à l’âge de 34 ans, ce n’est pas pour la reprendre à plus de 60 ans. Et le contexte ne me parait pas du tout intéressant : les maires n’ont plus de pouvoirs, les finances locales sont à la catastrophes. Il faudrait tellement réformer les choses, que nos politiques en sont tellement incapables. Car tout ce qui les intéresse est d’être réélu, avec les petites querelles de personnes. A partir de là, l’intérêt général n’est plus là. Mon modèle d’intérêt restera toujours le même : C’est le Général de Gaulle !: « Gaulliste je suis, gaulliste je resterai ». Malheureusement la phase qui est au square Charles de Gaulle et que j’ai choisi est une vérité qui devrait être mais qui ne se révèle pas !

  • LES RENDEZ-VOUS A VANVES D’UNE SEMAINE « TOUT POUR LA MUSIQUE »

    Après un week-end « tout pour le sport », Vanves se prépare à un week-end prochain « tout pour la musique » avec l’inauguration du nouveau conservatoire Ode. Il est vrai que ses derniers jours ont été intenses tout d’abord au niveau politique : Un renouvellement des instances locales du PS jeudi soir, Antonio Dos Santos étant réélu Secrétaire de section du PS Vanvéen à 100% des voix. Cette dernière s’est prononcé  à 65,71% pour Nicolas Sfez, un « hollandais » et à 34,29% pour Xavier Iacovelli, un « Vallsiens ». Ce qui n’était pas mal aux yeux de Guillem Gervilla, un vanvéen, conseiller parlementaire de Gérard Collomb,  qui anime les jeunes Vallsiens du 92. D'autant plus que c'est ce dernier qui a été élu 1er fédétal du PS 92.  Les Républicains de Vanves (ex-UMP) se prépare à un jeux de chaises musicales, mais sans élection, dans ses instances locales : Bertrand Voisine, président du groupe L.R. au Conseil municipal devrait  devenir délégué communal, poste occupé par Maxime Gagliardi qui le remplace à la tête du groupe L.R.. Ensuite au niveau sportif avec le tournoi claude Lemel qui devient le tournoi Lemel/Saccard en hommage à ses deux grands présidents du club de football vanvéen, et des galas de la danse rythmique et sportive, de la gymnastique sportive....Théâtre et PMS A.Roche étaient très animé ce dimanche, avec de surcroît le tournoi de tennis annuel.

    Lundi 15 Juin

    A 19H à la mairie de Vanves : Comité de pilotage sur les nouveaux rythmes scolaires qui a fait l’objet d’un sondage par la mairie où les parents d’éléves se sont prononcés pour le retour aux activités périscolaires des centres de loisirs, même s’elles débutent plus tôt  - à l’heure des NAP- et sont payantes.

    A 19H30 à l’hôtel de Ville : Réunion publique du quartier du Centre-St Remy qui devrait être l’occasion de présenter l’un des gros chantier du SEDIF (Syndicat des Eaux d’Ile de France) le long du Bd du Lycée et de l’avenue A.Fratacci en deux phases durant l’été 2015 et l’Hiver 2016 : Le remplacement une grosse canalisation d’eau potable longue de 1100 m datant de 1946 et présentant des signes de faiblesse

    Mercredi 17 Juin

    A 19H à l’Hôtel de Ville : Conseil Municipal avec l’élection d’un nouveau maire adjoint (Delphine Roy), l’approbation du compte administratif 2014, des demandes de subventions pour la rénovation du 2éme étage de l’école primaire Marceau, l’aménagement du local de l’avenue de Verdun en salle polyvalente, et l’attribution de subventions exceptionnelles à St Ex Amitiés, Votre Ecole chez Vous et l’ADPED 94,  l’extension des activités périscolaires à la place des NAP dans le cadre des nouveaux rythme scolaires à la Rentrée 2015, l’actualisation de nombreux tarifs…

    Jeudi 18 Juin

    A 9H30 au conseil Régional : Séance plénière à laquelle participe Bernard Gauducheau

    A 18H au monument aux Morts : Cérémonie commémorative de l’appel historique du général de Gaulle   

    Vendredi 19 Juin

    A 9H30 au Conseil Régional : Séance plénière à laquelle participe Bernard Gauducheau

    A 18H45 au Nouveau conservatoire : Inauguration  avec un film retraçant l’historique de la construction du chantier sur une musique composée par les élèves de Michel Barbe et interprêté par l’atelier Jazz

    A 19H15 au Conservatoire Ode : Visite guidées

    A 20H30 au Conservatoire Ode : Concert de l’orchestre symphonique dirigé par Philippe Duperdu avec au programme : « L’horloge de Flore » pièce de Jean Françaix pour hautbois sol (Catherine Lambord) et une création d’Arthur Aharonyan, concerto triptyque pour saxophone, marimba  et orchestre (Florian Bellecourt et Sébastien Jarrrousse)

    Samedi 20 Juin

    A 10H au Tout Va Mieux : Café Théo sur le théme : « Prendre soin de soi ! »

    A 13H30 au gymnase M.Magne : Tournoi de fin d’année du Tennis de table

    A 14H au Conservatoire Ode : portes Ouvertes et visites guidées

    A 14H30 au parc F.Pic : Fête de la musique avec « les Fonction’Air », « la caravane des valises », « Zoo » par la compagnie Détournement d’elles qui présente un solo aérien, « All Right » par la compagnie le Main s’Affaire, duo de portés… acobatiques…

    A 16H au Conservatoire Ode : Concert du Big band de Vanves sous la direction de Sébastien Jarrousse

    A 18H au Conservatoire Ode : Concert du GPSO’Big Band sous la directon de serge forte et Luc Saint james

    A 21H au Conservatoire Ode : Bal Renaissance  avec les classes de musique ancienne

    Dimanche 21 juin :

    A 15H place de la République et à 16H au parvis du Conservatoire : Fête de la musique avec des groupes amateurs ou confirmés.