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didier morin maire de vanves (1990-95)

  • RETOUR SUR LE PASSE DE VANVES : L’ELECTION MUNICIPALE DU 18 JUIN 1995 S’EST JOUEE A 2 VOIX

    Cette semaine est bien particulière pour Vanves qui ne célébre pas, et pour cause, l’anniversaire d’une élection qui s’est jouée à 2 voix un certain 18 Juin 1995. A un moment où 3 élections municipales partielles se sont déroulées ce week-end, parce que le scrutin de Mars 2014 avait été annulé à cause du faible écart de voix pour deux villes, 272 à Clichy et  70 à Asnières. Très loin des 2 voix de Vanves où l’élection n’avait pas été annulé. Le Blog de Vanves Au Quotidien a rencontré trois des protagonistes de cette élection historique dans les annales des Municipales qui vont s’exprimer au cours de cette semaine.  En commençant par Didier Morin, le maire RPR de l’époque (1990-95)

    DIDIER MORIN : « Certains n’ont pas joué le jeu pensant que c’était acquis et qu’il fallait minimiser le score ! ». 

    Vanves Au Quotidien - Quel regard portez-vous 20 ans après  sur cette soirée électorale du 18 Juin 1995 ?

    Didier Morin : « Un regard distant sur une soirée qui aurait pu très mal se passer parce qu’il y avait beaucoup de monde. Elle s’est déroulée dans une relative sérénité, dans le respect relatif des uns et des autres. Un regret : Le préfet n’a pas accepté, ni voulu qu’on ait les moyens nécessaires de recompter dans la sérénité et qu’il a demandé impérativement de proclamer les résultats.

    VAQ – Ne les avez-vous-vous pas proclamé trop vite ?

    D.M. : « J’ai proclamé les résultats à la demande du préfet après qu’il m’ait refusé de m’envoyer une compagnie de CRS pour faire évacuer l’hôtel de ville parce qu’il y avait trop de monde et pouvoir recompter dans la sérénité, y compris avec la liste opposante. Le magistrat qui était présent m’a dit qu’il n’y avait pas besoin de recompter. J’étais responsable des bâtiments, de la sécurité car il y avait du monde sur les balcons, la salle des fêtes était pleine, ainsi que l’escalier. Il était tout à fait irraisonnable de ne pas proclamer les résultats à partir du moment où le prefet refusait d’assurer la sécurité.

    VAQ – Qu’est-ce que vous avez ressentit ce soir là ?

    D.M. : « Rien, seulement une semaine de responsabilité, de passation de pouvoir. Et lors du conseil municipal d’installation de mon successeur, j’ai ressenti le départ de la charge, parce que c’en est une et que c’est mon successeur qui en hérite. Ceux qui n’ont pas assumé cette fonction, quels qu’il soient, ne se rendent pas compte des responsabilités, de tout ce que l’on ne peut pas dire et qui existe dans l’exercice d’une fonction au service d’une population importante avec des responsabilités considérables. J’étais soulagé et je n’ai pas manqué de prévenir mon successeur la veille que s’il y avait un incendie en ville, c’est lui désormais qui en assumerait la responsabilité

    VAQ – Comment expliquez-vous cette défaite d’une à deux voix ?

    D.M. : « J’explique cette défaite comme une absence de victoire, et par une première raison fondamentale : si les élections avaient eu lieu en Mars 1995,  et pas décalés en Juin, à la demande du ministre de l’intérieur de l’époque, à cause des présidentielles, l’élection aurait été certainement acquise au 1er tour. Elle a été loupée de 15 voix. La deuxième liste était à 35%. On ne peut pas dire que ce soit un échec dans la mesure où on fait 49,98% au 1er tour. Il n’y avait pas d’opposition à droite, pas de FN, donc pas réserve de voix, alors qu’ils y avaient 3 listes à gauche. Et que c’était inespéré pour la gauche de passer le deuxiéme tour. A partir de là, mobilisation d’un camp bien plus fort, démobilisation certains dans le notre parce que c’était soi disant acquis. On a vu le résultat. Certains n’ont pas joué le jeu pensant que c’était acquis et qu’il fallait minimiser le score. Et il l’a été. Mais les impôts ont été maximisés !

    VAQ - Est-il vrai que vous n’aviez pas envie de faire ce recours pour essayer d’invalider l’élection municipale ?

    D.M. : « C’est une idée qui ne peut germer que dans les esprits qui méconnaissent ma personne. Le recours a été engagé au tribunal administratif, avec appel au Conseil d’Etat.  Il n’y avait aucune raison que le recours n’ait pas lieu. Non pas par nécessité de revanche, car ce n’était pas mon esprit. Mais ne serait-ce que pour l’intérêt de l’élection d’avoir une majorité qui en soit une. Une majorité de 2 voix quelle qu’elle soit, n’en est pas une. Et lorsqu’on voit lors de ses dernières municipales, toutes ces élections qui ont été annulées avec des écarts de voix bien supérieurs, on peut se poser quelques questions sur les technocrates et les énarques qui sont au conseil d’Etat et aux Tribunaux administratifs

    VAQ – Pensez-vous  à Clichy ?

    D.M. : « Surtout à cette époque là où certains des membre du tribunal administratif ou du Conseil d’Etat n’étaient peut être pas forcément en dehors de tout esprit corporatiste

    VAQ - Est-ce que cette défaite est dûe à certaines erreurs faites durant ce mandat ?

    D.M. : « Avec un 1er tour à 49,98%, cela réduit beaucoup la marge des erreurs ! Succéder à Gérard Orillard n’était pas forcément chose facile pour la simple raison qu’ils y avaient de grands projets engagés dont je n’avais pas la responsabilité, que j’ai dû clore, transformer ou poursuivre, ce qui n’était pas du tout évident. On peut penser éventuellement que j’avais des idées éventuellement clivantes, néanmoins, je me souviens de certaines interventions de Gérard Orillard qui étaient largement plus clivantes et choquantes que les miennes. On a fait preuve vis-à-vis de lui de plus d’indulgence que pour moi.  

    VAQ – Quelles ont été les succés et les échecs de votre mandat ?

    D.M. : « Le maintien à domicile des personnes âgées et le pôle gérontologique, la rénovation de la maison de retraite, le développement des classes de découverte (péniche, aviation, spéléologie ..), l’animation avec thés dansants, soirée jeunes, carnavals, la braderie, la sécurité avec une police municipale trés présente et efficace, la modernisation des services avec l’informatisation des services, la mise en connexion par radio des services techniques et la police municipale, les rencontres inter-service avec l’homogénéisation de toute l’ équipe des fonctionnaires, la rénovation du PMS A .Roche, la création de la section escrime… Ce bilan explique effectivement qu’au 1er tour, on aurait pu être élu. Tout cela avec une maîtrise de la fiscalité. Le regret est de ne pas avoir pu réussir à ouvrir le parc du lycée Michelet. Cela ne s’est pas plus fait après, malgré que le proviseur soit devenu maire adjoint. Et j’avais plein de projet dans les caisses notamment avec le conservatoire qui sera déjà depuis longtemps fini si j’avais été maire.

    VAQ – Comment réagissiez-vous aux  attaques et critiques dont vous avez été l’objet sur les finances, la restauration scolaire et la voiture ?

    D.M. : « Ce sont des questions de formes et pas des jugements de fonds, parce qu’elles paraissaient éminament accessoires. La restauration scolaire était indispensable car la liaison chaude était un risque permanent avec 3500 repas par jour. Ce n’était pas une question de confort, de passe droit ou de marché, mais une nécessité de responsabilité. Elle a permis aussi la mise en place des repas en liaison froide pour les personnes âgées le week-end à Danton. La voiture de fonction  était un épiphénoméne qui n’était que de pure forme et de la calomnie. Pour les finances, on a même été jusqu’à m’accuser de détournements de fonds, avec enquête préliminaire auprès de la brigade financière qui a convoqué les ¾ du cabinet, avec une « Une » du Parisien, pour être classé sans suite. De la basse politique dans l’optique d’un recours qui risquait d’aboutir et qu’il fallait continuer à me calomnier comme on m’avait calomnié durant la campagne sur des sujets qui n’en étaient pas. « L’ami des promoteurs » par exemple.

    VAQ - 20 ans après  quel regard portez-vous  sur Vanves ?

    D.M. : « L’urbanisation qui devait être faite, l’a été, le cadre de vie est plutôt agréable. Je ne suis pas tellement favorable à ces zones 30, ces zones de rencontres, ces cyclistes en sens inverse car d’un point de sécurité, ce n’est pas une grande idée, en particulier dans des rues étroites où il n’y a même pas de la place pour qu’un vélo et une voiture se croisent, d’autant plus que le stationnement est à gauche et que l’automobiliste qui déboite ne les voit pas arriver.

    VAQ - Toujours engagé au niveau politique ?

    D.M. : « Toujours déterminé dans mes convictions et mes opinions, ayant pris beaucoup de recul par rapport à la politique. Les politiques aujourd’hui, n’ont pas de pouvoir. Ils croient en avoir, mais ils n’en ont pas. Ils ont exclusivement une visée électoraliste mais pas du tout réformatrice. Nous sommes  dans une situation où l’intercommunalité, les agglomérations vont ajouter des couches, des dépenses, des fonctionnaires supplémentaires  sans rien résoudre.

    VAQ – Qu’est-ce que fait aujourd’hui Didier Morin ?

    D.M. : « Il a une vie normale. Il avait une vie avant la politique, une vie en dehors de la politique, il avait un métier. A l’époque, j’étais à la fois maire, dentiste avec un cabinet et enseignant à la fac, en prise avec le terrain. Ce qui expliquait pourquoi j’avais besoin d’une voiture avec chauffeur car j’assumais des fonctions hospitalières à Créteil, un cabinet à Levallois, le conseil régional, où je pouvais travailler et signer les parapheurs

    VAQ – Tenteriez-vous un jour d’être élu de nouveau maire à Vanves ou ailleurs ?

    D.M. : « Absolument pas ! On ne peut pas être et avoir été. Quand on a acquis cette fonction à l’âge de 34 ans, ce n’est pas pour la reprendre à plus de 60 ans. Et le contexte ne me parait pas du tout intéressant : les maires n’ont plus de pouvoirs, les finances locales sont à la catastrophes. Il faudrait tellement réformer les choses, que nos politiques en sont tellement incapables. Car tout ce qui les intéresse est d’être réélu, avec les petites querelles de personnes. A partir de là, l’intérêt général n’est plus là. Mon modèle d’intérêt restera toujours le même : C’est le Général de Gaulle !: « Gaulliste je suis, gaulliste je resterai ». Malheureusement la phase qui est au square Charles de Gaulle et que j’ai choisi est une vérité qui devrait être mais qui ne se révèle pas !

  • LES INCENDIES A VANVES : Beaucoup de dégâts mais heureusement peu de drames humains

    L’incendie de Vanves était dans tous les esprits dimanche au lendemain des incendies dramatique de Saint Quentin (Aisne) et d’Aubervilliers (Seine Saint Denis). Vanves s’en sortait bien sans victimes. Il était aussi le théme de beaucoup de discussions, notamment dans les cafés (ouverts) en ce dimanche Pâques, entre turfistes. « J’ai crû qu’on allait avoir un orage tellement le ciel s’assombrissait. Puis comme c’était par à-coup, j’ai pensé à un incendie » - « Ils l’ont fait voir sur les chaînes TV…i télé » - « D’ailleurs le garage venait de recevoir un camion de pneus »  - « Ca remonte à quand un tel incendie à Vanves ? »

     

    Evidemment revient à l’esprit tout de suite lincendie du marché, et l’explosion de gaz sur le Plateau, qui avaient mobilisé autant de sapeurs pompiers, en dehors des incendies de logements, dernièrement rue Solférino, et des actes délictueux (incendies de voitures, de poubelles etc…). Un incendie avait déjà détruit un ancien bâtiment industriel situé avenue Pasteur  (avant le garage Vaysse) un vendredi 7 Octobre 1994 en début de soirée « Dépêchés sur place, les secours ont déployés 7 lances poour circonscrire le feu et s’y reprendre à trois fois pour sauver un locataire qui a bien crû mourir dans ce petit logement » indiquait alors le Parisien Hauts de Seine qui avait couvert l’événement bien sûr grâce à un jeune journaliste, Bruno Jeudy, aujourd’hui rédacteur en chef du JDD, et auteur du livre (avec Carole Barjon) – dont tout le monde parle – sur l’élection de JF Copé à la tête de l’UMP « le Coup monté »(Edt Plon). Le maire l’époque Didier Morin (UMP) s’était déplacé ainsi que le propriétaire, Jean Chérioux, sénateur de Paris et conseiller de Paris (XVéme)

    Une explosion de gaz le 2 Février 1996 à la limite de Vanves et d’Issy Les moulineaux à l’angle de la rue Jules Guesde et de l’avenue du Général de Gaulle avait provoqué un début d’incendie au rez-de-chaussée d’un immeuble face à la résidence construite à l’emplacement des Laboratoires Logeais, endommagé des véhicules et bloqué cette rue emprunté par les habitants de la rue J.B.Potin. 70 Sapeurs popmiers étaient alors intervenus. Ses années 90 avaient été marquées par plusieurs incendie d’un pavillon rue Murillo, d’une imprimerie de la rue Aristide Briand, à l’emplacement de laquelle est menée actuellement une opératon immobilière

     

    Mais deux événements ont marqué plus particulièrement Vanves : Tout d’abord, l’explosion de gaz la plus spectaculaire provoquant un début d’incendie s’est déroulé le Jeudi 17 Octobre 1991 dans la Résidence Auvergne sur le Plateau, derrière le gymnase Maurice Magne. Il aurait pu être plus dramatique car elle s’était produite à 8H25 juste après la rentrée dans les écoles, dans un studio du 3éme étage, ravageant 14 appartements sinistrés dont 2 dévastés par le feu. Un mort, 6 blessés dont 3 graves. 45 sapeurs pompiers étaient intervenus venant des centres de secours de Plaisance, Issy et Grenelle et avaient déployés 7 lances. Une cellule de crise était mise en place dans le gymnase où était accueillit les locataires de cette résidence qui n’ont pu réintégrer leur logement qu’en début de soirée, la Cuisine centrale étant alors mobilisé pour confectionnner des repas. Le Maire Didier Morin (RPR) était bien sûr sur place avec Roger Aveneau, conseiller général, rejoint par le préfet des Hauts de seine, Charles Noel Hardy. Et le scrétaire Général de mairie, à l’époque, Serge Bauville, s’était démené pour trouver de quoi reloger les sept familles qui ne pouvaient pas réintégrer leur appartement. Le quartier était bouclé pour faciliter les allées et venues des ambulances qui ont évacués les blessés Vers Béclére  

     

    Ensuite l’incendie du Marché dans la nuit du 30 au 31 Mai 2000  entre 22H30 et 22H45 : « Les flammes sortaient par les fenêtres, c’était très impressionnant. Elles dégageaient une fumée noire épaisse. On ne voyait plus à 2 m » témoignait un voisin. Une centaine de pompiers étaient réquisitionnés dans 12 casernes pour maîtriser cet incendie. Les 200 spectateurs au théâtre étaient évacués dans le calme ainsi que  les 250 habitants de la tour,  et accuellis en mairie où s’était installée la cellule de crise. « C’était comme le cœur d’une ville qui s’arrête » résumait Benedicte Goussault 1ére Maire adjointe à l’époque qui était alors en réunion avec le maire Guy Janvier (PS) et des collégues à l’hôtel de ville. Conséquence : le marché dés le week-end suivant s’installait rues Mary Besseyre et Guy Mocquet, certains commerçants étant découragés, la bibliothéque commençait à nettoyer ses 60 000 ouvrages recouverts de suie… Sa reconstruction fut longue et surtout l’objet de vives polémiques entre majorité et opposition municipales qui changérent à l’occasion des élections mubnicipales de 2001.  

  • VANVES SE PREOCCUPE DU SQUARE ETIENNE JARROUSSE QUI FAIT MOUSSER DES GENERATIONS DE PARENTS

    « Le square Etienne Jarousse fait partie des 13 parcs, jardins et squares de la Ville de Vanves. S’il constitue un lieu de détente et de loisirs indéniable pour les riverains, il présente néanmoins malheureusement aujourd’hui certaines faiblesses regrettables : allées peu praticables, vétusté du mobilier, bassins hors service… » reconnait le maire de Vanves dans un courrier où il invite les vanvéens à une réunion publique sur de futurs travaux de requalification aujourd’hui, Jeudi Octobre à 19H30 à l’école Marceau 

     

    Le square Etienne Jarrousse avait fait l’objet d’une question orale d’actualité à l’occasion d’un conseil municipal le 30 Mai dernier de Jean Cyril Le Goff (PS). Il faisait état des réactions des parents qui fréquentent avec leurs enfants, ce square « laissé à l’abandon, avec une pièce d’eau vide, des pelouses mal entretenues, sans parler du stationnement anarchique » notamment rue du docteur Mailfaire qui l’enserre avec ses pavillons. Mauricette Noyer, maire adjoint chargée du quartier du Plateau (et de l’emploi) avait reconnu que « son état n’était pas satisfaisant, et que l’on est en droit d’attendre un entretien un peu plus normal », puis dans un sercond temps elle avait indiqué que « ce site doit faire l’objet d’un travail paysager complet, et de reprise complet de cet espace vert dans le cadre d’un plan pluri annuel de GPSO sur les espaces verts de proximité ».

     

    Rappelons que ce square en a fait couler de l’encre :  un certain 22 Juin 1991, lors de son inauguration, des parents d’éléves menée par la FCPE avaient manifesté et fait signer une pétition contre cet espace vert, car il n’appréciaient pas du tout son réagencement, alors qu’il avait été redessiné, agrandi  grâce au déménagement des ateliers municipaux, par l’architecte Alain Lamy, avec des éléments verts, aquatiques, minéraux, avec deux canaux, une cascade, un  kiosque, des jeux pour enfants dans un enclos réservé pour les plus petits.  A l’époque ses parents considéraient que ce square avait coûté trop cher  « 8 Millions de francs (à l’époque) pour empêcher les enfants de jouer » - et qu’il y avait « trop de béton regrettant l’ancien square « très vert » mais aussi très sablonneux. « Nous ne pouvons pas toujours faire des heureux lorsque nous réalisons un équipement » phihosophait alors le maire de l’époque,  Didier Morin,  qui rappelait alors que ce « square répondait à deux critères : repos et création », imaginant des jeunes venant jouer avec leurs bateaux téléguidés sur le petit canal, alors qu’ils l’avaient inauguré en jetant de la lessive pour faire mousser ce square.

     

    Plus de 20 ans après, ce square fait toujours mousser les parents et ses habitués qui espérent une reconquête de cet espace vert qui pourrait être un petit joyau. Il rend hommage à un maire, Etienne Jarousse(1902-1911) qui a inauguré la nouvelle école Gambetta construite à partir de 1900 et agrandie en 1912.