Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

fcpe

  • LES RENDEZ-VOUS A VANVES D’UNE SEMAINE PLUS PRINTANIERE ET ANIMEE

    Les températures ont grimpés jusqu'à 27 degrés ce week-end de Pentecôte, 27° en Ile de France, ce qui nous change du week-end de l’Ascension  où l’on se posait la question : «C'est pour quand le printemps à Vanves ?» après un mois de mai globalement maussade. «Si les températures matinales sont de saison, les maximales, en hausse sensible, se situent en moyenne 2 à 3 degrés au-dessus des normales, avec 20 à 25 °C sur la moitié nord du pays » indiquait Météo France. En tous les cas, les vanvéens en ont profité, tant au parc Frédéric Pic, qu’aux terrasses de café, pour ceux qui ne sont pas partis lors de ce week-end prolongé.  La semaine prochaine devrait débuter sur la même tendance. La situation météorologique devrait d’ailleurs très peu évoluer en première partie de semaine prochaine. Le temps restera très ensoleillé sur la moitié nord avec des températures se maintenant à un niveau élevé.

    La semaine passée a été marquée, mercredi dernier, par la fête des Centres de Loisirs dans le parc Frédéric Pic (sur la photo) avec un « rallye môme » et pique-nique pour certains afin de profiter du retour du beau temps. La ville a lancé sa plateforme numérique de consultation, d'échanges et de contributions : les vanvéens peuvent donner leur avis (jusqu’au 18 Juin)  sur deux projets comme ce fut annoncé lors des réunions publiques de quartiers : La requalification du square Charles-de-Gaulle dans le quartier du Plateau qui devrait démarrer à l'été 2024. L'avenir de la rue Marcheron, ancienne route départementale et axe majeur de circulation dans la ville. Enfin, pour la 5ème année consécutive, les médiateurs sociaux qui assurent la tranquillité publique dans les rues de Vanves, sont de retour. «Une présence qui permet de maintenir un lien de proximité avec les habitants»

    Aprés toute cette période de «ponts» et de week-ends prolongés, beaucoup de rendez-vous sont programmés, ces prochains jours qui vont animer Vanves, avec la semaine prochaine, la Vanvéenne, course sur 5 ou 10 km,  en présence de Marie José Perec puisque la piste d’Athlétisme qui porte son nom sera inauguré au PMS Roche, la kermesse de la paroisse saint François… et puis le tournoi de Roland Garros qui passionne beaucoup de vanvéens : "cette année les jeux sont très ouvert avec l'absence de Nadal et Fédérer" selon la présidente de lasection Tennis du Stade de Vanves

    Mardi 30 Mai

    A 19H30 à la Palestre : Conseil des usagers de l’ESCAL avec un point d’étape sur le projet social et  la présentation de la saison 2023-2024

    Mercredi 31 mai 23

    A 9H au Conseil Régional : Séance plénière à laquelle participe Bernard Gauducheau, conseiller régional

    Vendredi 2 Juin

    A 14H30 au monastére des Bénédictines (ainsi que Samedi et Dimanche) : Expo-vente des créations mise en carte ou en tableaux des compositions de Soeur Marie Benoit

    A partir de 18H dans le halls d’immeubles ou bout de rues : la fête des voisins

    A 19H à Saint François : Messe pour les engagés dans la paroisse avec apéritif en présence du nouveau foyer d’accueil qui s’installera à la Rentrée dans le pavillon

    Le samedi 3 Juin 2023

    A 10H à l’Espace GINER : Matinée portes ouvertes pour rencontrer M. Erwan Martin, Maire Adjoint en charge de la Vie Associative, les membres du Conseil Local de la Vie Associative, l’équipe du Phare et des responsables d'associations vanvéennes

    A 10H à l’école Larmeroux : Troco-Livres organisé par la FCPE

    A 14H30 au Centre Ancien-Saint Remy : Kermesse organisée par les commerçants

    A 17H à Saint Remy : Ciné Pizza avec le film « Le dîner de con »

    A 19H30 à la Palestre : Concert des Lézards en scéne qui présente un spectacle musical et poétique autour des quatre éléments au profit du peuple ukrainien par le biais de la Croix Rouge Française.

    Le Dimanche 4 Juin

    A 15H à la Maison de Simon de  Cyréne : Conférence sur « les peintres et la bible » animée par Bérangére Verret

    A 15H30 chez les Bénédictines : Concert baroque « Que ma joie demeure » avec des œuvres de Vivaldi. Couperin, Monteverdi par un petit ensemble instrumental et la chorale «un cœur qui bat»

  • L’ABSENCE POUR CONGE DE MATERNITE D’UNE ENSEIGNANTE PROVOQUE UNE PETITION A L’ECOLE MAX FOURESTIER DE VANVES

    L’école primaire Max Fourestier est sous pression depuis le 6 Mars dernier dernier lorsque l’une de ses enseignantes de CM1/CM2 a pris son congé martermité, ayant prévenue en temps utile, l'Inspection d’Académie qui n'a toujours pas été en mesure de déléguer le personnel de remplacement nécessaire pour pallier à  son absence, car il n’y a pas d‘enseignant disponible dans la circonscription. Un enseignant remplaçant est mobilisé 2 jours par semaine seulement (les lundis et mardis), laissant les élèves sans solution les 2 autres jours de la semaine (les jeudis et vendredis). Pour le moment, la direction de l'école n'a pas d'autre choix que de dispatcher les 28 élèves concernés dans les autres classes, ce qui porte le nombre d’enfants par classe très largement au dessus des recommandations.

    «Personnellement, je me refuse à surcharger la classe qui accueillerait ma fille. Ça implique de garder ma fille avec moi, ce qui a un impact sur son apprentissage, mais également sur mes conditions de travail de freelance au planning déjà bien compliqué» témoigne une patente d’éléve qui se demande «comment il possible, en sachant il y a plusieurs mois que l'enseignante partirait début mars, qu'on n'ait pas été capables de recruter des professeurs des écoles ? Parce que l'Education nationale n'a pas les budgets ? Parce que plus personne ne veut faire ce métier dévalorisé et sans moyens, pourtant indispensable ? Mais est-ce bien étonnant vu les politiques préjudiciables à l'enseignement de ces dernières décennies ?La question est vite répondue...Qu’en est-il du sort de ces enfants livrés à eux-mêmes à mi-temps ?Et de leurs apprentissages à la veille de la 6e ?»s’interroge-t-elle
    «Cette solution temporaire ne doit pas perdurer, car elle impacte fortement l’organisation de l’école, les apprentissages de l'ensemble des élèves et complexifie significativement le travail de toutes les enseignantes qui essaient de maintenir le cap !
    Les parents d'élèves, que nous représentons, ne peuvent accepter que les élèves se trouvent ainsi privés de conditions d'enseignement favorables à leurs apprentissages» explique la FCPE pour laquelle, «cette situation est intolérable» en ayant envoyé une lettre au Directeur Académique des Services Départementaux de l’Education Nationale des Hauts-de-Seine, et à l'Inspectrice Académique de la circonscription. «De toute évidence, nos enfants font les frais d’une politique de gestion qui ne met pas leur intérêt au centre des préoccupations et ceci est inacceptable » ajoute-t-elle en leur demandant « de prendre immédiatement les dispositions nécessaires pour assurer les moyens de fonctionnement du service public et permettre à nos enfants de retrouver une scolarité normale». Tout en faisant circuler une pétition ( https://chng.it/cLRCwKhJVP ) et en prévenant que « d’autres actions suivront rapidement si la situation n’évolue pas dans les jours à venir. Et nous aurons besoin de l'aide de tous ! »

  • L’EFFET CABOURG SUR LA CARTE SCOLAIRE DE VANVES : « C’est notre quartier pour aller voter, mais plus pour l’école de nos enfants ! »

    « Nous habitons rue Ernest Laval qui était jusqu’à présent sectorisé à l’école Cabourg. Notre fille aîné qui vient d’entrer au collége a fait toute sa scolarité à l’école élémentaire Cabourg et a vécu les travaux de transformation de l’école du centre avec les classes installées dans des pré-fabriqués à côté du lycée Michelet. Sa sœur est dans la grande section maternelle à Cabourg et elle risque de se retrouver à l’école maternelle Marceau lorsqu’elle rentrera en CM1 à deux ans du collège. Alors qu’elle est à 5 mn de Cabourg, elle va se retrouver à 10 mn de Marceau avec une rue Jean Bleuzen très circulante, dont les trottoirs sont, par endroits, étroits, avec un seul feu rouge au niveau de la boulangerie pour traverser. Et on le sait d’autant plus que notre fille ainée suit des cours de danse au conservatoire, et avant soin installation dans le bâtiment ODE, elle allait suivre ses cours à Marceau, dans les sous-sols. On a apprécié le changement » explique cette mère de famille qui ne comprend pas : « Marceau, ce n’est pas notre quartier. A pied c’est dangereux et en voiture c’est lmpossible ! Nous avons toutes nos habitudes dans ce quartier de la gare, où nous avons nos repères, notre vie sociale avec nos relations, avec des amis retraités qui peuvent venir chercher note fille à Cabourg lorsqu’on n’est pas là, mais pas à Marceau parce que c’est trop loin. D’ailleurs on votait avant à Marceau et maintenant à la Palestre. Alors c’est notre quartier pour aller voter, mais plus pour nos enfants. On a l’impression que les élus ne tiennent pas compte des conséquences » ajoute t-elle

    LES ENFANTS VARIABLE D’AJUSTEMENT

    « On comprend l’argument du maire avec ses nouvelles habitations qui vont faire venir de nouvelles familles que la ville doit bien accueillir, ce est tout à fait louable, et nous y adhérons. Mais pas le raisonnement : Pourquoi les familles qui habitent là depuis longtemps doivent en faire les frais. Et elles sont nombreux dans le quartier, cinq dans mon immeuble à être concerné. Certaines n’en dorment plus la nuit ! » ajoute une autre mére de famille. « C’est une vision administrative des choses. D’autant plus que 30 à 35% des effectifs de cette école Cabourg sont des dérogations accordées à des familles qui avaient leurs enfants dans d’autres écoles ! Et si on commençait par leur demande de mettre leur enfant dans l’école la plus proche de leur domicile, nous pourrions rester à Cabourg ? » explique t-elle en faisant état de ses familles qui sont préoccupées parce qu’ils ont des enfants en maternelle. « Il y a une incompréhension et vraiment une impression que nos enfants sont une variable d’ajustement pour l’administration et l’Education Nationale ».

    INCIDENCE SUR L’AFFECTATION AU COLLEGE

    Ces familles ont eu une première réponse lors du dernier conseil municipal qui a voté cette modification de la carte scolaire autour du groupe scolaire Cabourg : Solliciter une dérogation auprès de la commission où siège les directeurs et directrices d'écoles de Vanves. « En tenant compte de votre place dans la carte scolaire et l'effectif des écoles, ils vous accorderont ou pas le droit de rester à Cabourg. C'est pour cela, que d'expérience, nous sommes très vigilant sur ce sujet et nous tenons à informer les parents bien avant. D'expérience, on vous présente cette commission comme une simple formalité et quand le verdict tombe en juin, vous n'avez aucun recours. Vous devez suivre l'affectation » indique un parent d’élève sur le site Internet de l'API . « Et lorsqu'un parent reçoit un refus, je peux vous dire que l'on se sent bien seul, car la réponse est sans appel. On vous présente la commission comme une simple formalité – comme ce fut le cas au conseil municipal - et ensuite quand la sentence tombe, il est trop tard, on n'a aucun recour : « La décision est collégiale ».C'est à dire que personne n'est responsable de la réponse » ajoute t-ilAinsi l’API comme la FCPE se sont fortement mobilisé sur cette question. D’autant plus que plusieurs familles les ont saisis pour demander de l'aide sur le sujet « car elles ont réalisés qu'ils n'étaient plus dans le secteur de l'école Cabourg » ? Autre source d’inquiétude des parents : l'incidence que cette nouvelle carte engendrera sur l'affectation au collège