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restauration scolaire

  • LES ANNIVERSAIRES DE L’ANNEE 2023 A VANVES

    Retour sur le passé de Vanves durant ce weekend

    Voilà 10 ans, le Préfet de la Région Ile-de-France  a attribué le label « Patrimoine du 20ème siècle » à deux édifices religieux vanvéens : Le prieuré Sainte Bathilde et la chapelle Larmeroux (sur  la photo) la chapelle restaurée de  la maison de retraites Larmeroux. La ville de Vanves signait son premier contrat de développement Ville-département. L’EHPAD Maison Soins et Repos, sur le terrain de la rue Raymond Marcheron où vit une communauté de jésuites de la Compagnie de Jésus, était inauguré. Vanves ouvrait sa nouvelle mini-créche au 1 rue de  Châtillon grâce aux legs généreux de l’un de ses habitants,  Maurice Magne, et d’un don de ses deux enfants héritiers

    Voilà 20 ans en 2003, c’était l’année de la canicule ou plutôt l’été, pendant 3 semaines avec un pic entre les 11 et 14 Août 2003. Pourtant peu de vanvéens sont décédés, par rapport à d’autres communes, 16 (contre 7 en Juillet) , la police ayant dû intervenir 7 fois pour dégager une personne décédée depuis 2 jours. Les prêtres n’ont chômé en célébrant 5 à 6 obséques parsemaine dans la dernière quinzaine d’Août. La piscine avait battue des records de fréquentations avec 600 entrées quotidiennes. Elle avait été quelques semaines auparavant baptisée du nom de Roger Aveneau ancien conseiller général et maire adjoint de Vanves en présence de Kiki Caron, ex-championne de France de Natation. Ou sinon, Vanves a vécu un grand événement sportif avec la rencontre en basket entre la prestigieuse équipe Pau-Orthez et l’équipe du Stade de Vanves en Coupe de France., avec en sein, la moitié de l’équipe de France de Basket. Enfin,,le marché actuel était inauguré un  5 Décembre par Charles Pasqua, président du Conseil Général des Hauts de Seine, après 3 ans et demi de fermeture suite à un incendie et 4,5 M€ de travaux

    Voilà 30 ans, la bibliothéque municipale s’informatisait, l’école de musique lançait son mini-cobservatoire à  destination des  enfants de 2ans et demi à 6 ans, la liaison froide pour la restauration scolaire était lancée à la Rentrée de Septembre avec le Société Générale de Restauration, contrat qui fut au centre de la polémique lors des élections municipales de 1995. Michelet inaugurait les bâtiments rénovés de son collége et son nouveau CID (Centre d’information et de Documentation) dans l’ancien gymnase.  France 3 Paris Ile de France Centre s’installait dans un immeuble voisin de Chenel rue Jean Bleuzen

    Voilà 40 ans, le nouveau groupe scolaire Max Fourestier était inauguré en présent du fondateur des classes de neige et du mi-temps pédagogique, de la créche et du gymnase du Plateau le 19 Février1983

    A SUIVRE….

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    RESTAURATION SCOLAIRE : La modification du règlement intérieur de la restauration et des activités péri et extra scolaire voté par le Conseil Municipal du 22 Février dernier a suscité quelques débats. Pas du tout sur les modifications apportées (nouvelles dispositions du règlement de services régissant les relations entre la ville de Vanves et la société Elior, mise en conformité avec les nouvelles modalités de fonctionnement, notamment en matière de sécurité, modification des délais de réservation et d’annulation de fréquentation des mercredis et des vacances pour une meilleure gestion de ce service). Mais sur un article du réglement  qui prévoit un plat de substitution qui doit être systématiquement proposé en remplacement du plat avec du porc pour les enfants dont les parents en ont fait la demande au moment de l’inscription annuelle. Si ce n’est pas possible, la ville peut servir un repas fourni par les parents (panier repas) à la condition d’être préparé et transporter dans des conditions d’hygiéne précisées dans le protocole afin qu’il soit placé dans l’un des réfrigérateurs au moment de l’arrivée à l’école ou au centre de loisirs. Cette question aurait été évitée si la ville avait demandé à Elior de proposer à chaque repas, deux plats, mais cela n’est pas été possible pour des raisons de coûts. Ce qui a suscité ce débat tant au sein de la majorité qu’avec l’opposition avec un vote négatif de la commission  sur ce règlement qui ne respecte pas le principe de laïcité.      

    EGALITE HOMME/FEMME : A L’occasion du Conseil Municipal du 22 Février dernier,le rapport annuel sur l’égalité entre les femmes et les hommes a été présenté par Marie France Mugnier, conseillére municipale déléguée au personnel. Il concerne la situation tant au sein de l’entreprise mairie que les politiques menées sur son territoire : Si le nombre d’habitants s’élève à 18 170 à Vanves, 14 801 sont des femmes et 13 369 des hommes, ce chiffe étant similaire à celui que l’on retrouve dans Les hauts de seine (52,3%) et en Ile de France (51,7%) ou en France (51,6%). 76% des femmes sont en activités (contre 81 ,7% pour les hommes), 9,8% au chômage (8,6%), 47,4% salariés  dont 14,8% à temps partiel. Les femmes représentent 68% du personnel employées en mairie :  69% de contractuels (70% selon la moyenne nationale), 56% en catégorie A (60%) dont la rémunération moyenne est de 3 086,56€ (contre 3 180,12€) € pour les hommes),  61% en catégorie B (64%) dont la rémunération mensuelle est de 2064 € (2 171,01€), 70% en catégorie C (60%) dont la émunération est de 1 777,72 € (1 848,46€)  , 33,33% des emplois de direction (35%).

    PRESIDENTIELLES : Le maire de vanves, mais aussi la sénatrice de Vanves devraient recevoir aujourd’hui les formulaires de parrainage à l’élection présidentielle. Une retard dû à quelques avatars internes à l’administration et au fait que le conseil des Ministres s’est déroulé Vendredi dernier au lieu du mercredi habituel car le Premier Ministre était en Chine. Tout est déclenché par un décret pris en Conseil des Ministres  qui donne le signal aux préfets pour envoyer les formulaires officiels aux élus  et qui n’a pu être publié que samedi au Journal Officiel. Et ses formulaires  sont envoyés en recommandé, à ces élus qui doivent eux même signer l’accusé de réception, sans pouvoir  déléguer leur signature

  • UN CONSEIL MUNICIPAL TENDU AVEC QUELQUES DOSSIERS CHAUDS

    Pour ce conseil municipal de Rentrée, l’ambiance était chaude, mais personne parmi les élus de la majorité n’en a rien montré, sauf à quelques petits signes ou attitudes. Alors que l’ensemble des élus UDI et de l’opposition étaient déjà installés, et qu’il était 19H Mercredi dernier, les élus groupe UMP sont enfin  arrivés ensemble. Ils s’étaient réunis dans l’un des bureaux du rez-de-chaussé, occupé par Maxime Gagliardi, où Delphine Roy leur a lu la déclaration qu’elle a faîte à la fin du conseil municipal, annonçant sa démission. Certains regardaient leurs chaussures. Le maire n’a pas accepté qu’elle fasse sa déclaration au début. Peut être parce qu’il souhaitait rendre hommage à François Kosciusko Morizet maire de Sévres, décédé fin Juillet. « Il a été un modèle d’intégrité pour beaucoup d’élus qui l’ont côtoyé » a-t-il déclaré. L’examen des 28 délibérations pouvait commencer devant un public clairsemé qui avait quelquefois du mal à entendre les propos des élus à cause d’une très mauvaise sonorisation, le technicien se gardant de mettre trop fort de peur de créer quelques perturbations.

    L’octroi d’une garantie d’emprunt à la SA Logement Français pour des travaux sur l’un de ses immeubles sur le Plateau donna l’occasion au maire de dire « Preuve qu’il se passe quelque chose sur le plateau même s’il s’agit d’une simple rénovation ». Claudine Charfe, ex-conseillère municipale (FG/PC)  qui était dans l’assistance l’a pris pour elle. A l’occasion de demandes de plusieurs subventions concernant des travaux à l’espace Murillo (rénovation des façades), au PMS A.Roche (végétalisation de la toiture des tribunes réaménagés), à l’école Marceau (rénovation du 2éme étage), Lucile Schmid a constatée que ses travaux s’inscrivaient dans la démarche de l’agenda 21 de la ville, en demandant d’avoir « une vision d’ensemble sur ces investissements ».  Bernard Gauducheau (UDI) lui a répondu qu’il est prévu que « chaque année, il y ait un bilan » mais sans dire quand.

    A l’examen de la délibération concernant les tarifs de la  restauration scolaire pour les enfants hors commune, Jean Cyril Le Goff (PS) a posé une question sur la qualité des repas servis dans les cantines scolaires par la société Elior dont s’étaient plaints les parents d’élèves avant les vacances. « On a rencontré quelques problèmes sur la qualité. Nous avons rencontré le directeur régional d’Elior et nous avons décidé de mettre en place un processus sur la qualité des repas pour voir comment améliorer les choses » a répondu Jeremy Coste (UDI) en précisant que sont servis, en plus grand nombre, des plats bio  et que tous les produits proviennent de France. Il en a profité pour dire un mot succins sur la Rentrée qui s’est bien passée grâce à l’implication des parents d‘élèves, après ses dernières années qui ont été quelque peu mouvementées.

    Le conseil municipal a donné un avis favorable sur le projet fixant le périmètre et le siège du futur Etablissement Public Territorial (EPT) qui correspondront exactement à ceux de GPSO : « On n’est pas si mal dotés. On reste avec les mêmes communes. Et la plupart des compétences ont été transférées » constatait Bernard Gauducheau (UDI) qui n’en pas moins constaté : « C’est une montagne qui acouche d’une souris. Ce qui n’est pas de bon augure. Moins d’argent et plus de structure ». Lucile Schmid (EELV) s’est abstenu car elle est assez critique sur ce périmètre de GPSO qui n’inclut pas Clamart, ni Malakoff. Boris Amoriz (FG/PC) a voté contre en expliquant que « dés l’origine nous l’avons dit : notre région-capitale a besoin de rompre avec le repli sur soi, les égoïsmes locaux, la spécialisation et les inégalités territoriales. La métropole à laquelle nous aspirons ne peut être que solidaire, sociale, citoyenne, démocratique et durable. Or, c'est tout le contraire qui émerge de la construction actuelle. Et malgré, les arguments - que l'on peut entendre - sur l'existence d'un mille-feuilles institutionnel, la création de la métropole non seulement rajoute dans un premier temps des couches supplémentaires, pour ensuite sonner le glas de l'autonomie communale, éloigner les citoyens des lieux de décisions et supprimer à l'horizon 2020 les départements de la petite couronne »…. A SUIVRE