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faits divers

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    TENNIS SACCAGES

    Dans la nuit du samedi à dimanche, ce week-end, des individus se sont introduit dans le PMS André Roche  et les deux courts couverts de tennis pour les saccager. Ils ont forcé la porte pour entrer, vider l’extincteur incendie, casser les vitres et baies vitrées. La police s’est rendue dés le lendemain matin sur les lieux pour relever des indices. Heureusement, cette exaction n’a pas eu d’incidence sur le tournoi open que la section tennis organise depuis le 30 Août. Il est vrai que ce n’est pas la première fois que des personnes s‘introduisent de nuit dans le parc municipal des sports. Ses courts couverts avaient déjà été victime d’une inondation, car des individus avaient ouvert les vannes de l’arrosage automatique, ce qui avait empêcher leur utilisation pendant trois semaines.

     EAU NON POTABLE A MAX FOURESTIER

    La Rentrée scolaire a été bousculée à l’école primaire Max Fourestier car les prélèvements régulièrement réalisés par les services techniques sur le réseau potable ont amené la mairie à interdire de boire l’eau du robinet. Un courrier a été envoyé par le maire aux parents d’élèves, au personnel et aux enseignants. Des bouteilles d’eaux ont été mis à leurs dispositions, le temps qu’un nettoyage du réseau d’eau potable soit effectué, les écoliers pouvant amener leurs gourdes  

    RETOUR SUR UNE PASSATION DE POUVOIR AMER

    Même si les vanvéens regrettent de n‘avoir pu rencontrer leur ancien Premier Ministre lors du Forum des associations et de la braderie, samedi dernier, pour lui dire combien ils le regrettent comme beaucoup de Français. Mais peut être avait il envie de s’échapper de Paris en se rendant, par exemple dimanhe matin à la Foire de Châlons en Champagne, fête agricole,  fortement encouragé par «tous vos mots de soutien et d’encouragement» twittait il. « On continue d'avancer. Ensemble pour tous les Français ! » Dans la cour de Matignon (sur la photo), où étaient présent quelques vanvéens parmi les collaborateurs et le personnel de Matignon, jeudi dernier, il avait déclaré que « huit mois c’est court, c’est trop court. Il y a une frustration ! » Et bien sûr remercié son équipe : « Être bien entouré, c’est plus qu’un trésor. C’est ce qui vous permet véritablement d’agir parce que vous êtes en confiance, parce que vous avez autour de vous des femmes et des hommes qui sont engagés et avec qui vous tisser des liens qui vont bien au-delà de la politique ». « Merci très cher Gabriel pour tout le travail accompli au service de la France, des Français et de ta circonscription. Tu es resté tel que tu es toi, bienveillant, chaleureux, sincère et à l’écoute toujours et encore ! La 10e des Hauts de Seine a énormément de chance de t’avoir ! » lui a répondu sa suppléante Claire Guichard sur son site Facebook

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    TAGS ANTI SEMITES

    Depuis le début du conflit entre Israël et le Hamas, les actes antisémites sont en hausse en France :  des étoiles de David symbole de la religion juive et de l'Etat d'Israël, taguées en bleu, ont été découvertes sur des immeubles du 14e arrondissement, d’autres ont été constatés à Saint-Ouen, Saint-Denis et Aubervilliers (93),  à Fontenay aux  Roses…Mais aussi  à Vanves (92) la semaine dernière, soit une cinquantaine faits similaires dans l’agglomération parisienne . «Je condamne avec la plus grande fermeté les tags antisémites. Ces actes immondes sont contraires aux valeurs fondamentales de notre République. A Vanves, nous travaillons au quotidien pour que notre ville soit un lieu d’échanges, de laïcité et de bien vivre ensemble » a réagit Bernard Gauducheau maire de Vanves. La Ville de Paris a saisi dès mardi dernier la Procureure de la République au titre de l'article 40 du code de procédure pénale afin d'identifier, poursuivre et condamner avec la plus grande fermeté les auteurs de ces actes. Ce chef d’accusation est aggravé par la circonstance d’avoir été commise en raison de l’origine, la race, l’ethnie ou la religion. Au total, le délit est puni par une peine maximale de quatre ans d'emprisonnement et de 30.000 euros d'amende. «Les auteurs devront être poursuivis et sanctionnés par la justice avec la plus grande sévérité ». Carine Petit, maire du 14e arrondissement a également publié un communiqué pour dénoncer un «acte de marquage qui rappelle les procédés des années 30 et la seconde guerre mondiale qui ont conduit à l’extermination de millions de juifs.»

    FAUSSE ALERTE

    Après le quiproquo de la place de la République le 22 Octobre où la police est intervenu pour arrêter un tournage non autorisé, ce qui n’est pas très malin, vu l’état de psychose qui régne avec un plan vigipirate au plus haut niveau et ces exactions antisémites, Vanves  a été , de nouveau, le théâtre le 30 Octobre, d’une fausse alerte sur le plateau :  Dans un immeuble de la rue Danton, le  Raid, la police, les pompiers avec un véhicule premier secours, sont intervenus, bloquant tout le quartier. Tout simplement à la suite sûrement d’un signalement de locataires qui ont cru qu’un voisin, quelque peu dérangé psychologiquement, voulait s’en prendre à eux. Cet individu était connu dans le quartier, pour faire les poubelles, et ramener chez lui, le résultat de sa collecte qu’il entreposait et amassait dans son appartement  ou à l’entrée, dans le couloir.  Or il s’avére qu’il aurait mis une affiche du genre « Si vous approchez ou tentez d’entrer, je vous tue ! ». Vu le contexte actuel, la police a été appelé avec cette intervention musclée, pour arrêter cette personne qui a été interné en hôpital psychiatrique

  • VANVES EST UNE VILLE TRES MEDIATISE CETTE SEMAINE EN BIEN ET… EN MAL

    Jamais vanves n’a été aussi présente dans médias grâce à deux vanvéens les médias, l’un sur un 3éme confinement, l’autre sur les violences  sexuelles sur mineurs, sans parler d’un fait divers avec l’agression du jeune Yuriv où des vanvéens seraient en cause puisque 9 ont été arrêtés hier matin à Vanves

    Isabelle Debré en tant que présidente de l'association l'Enfant bleu qui soutient psychologiquement et juridiquement les enfants victimes de violences a presque égalé en temps de parole Gabriel Attal porte parole du gouvernement, en passant sur les mêmes chaînes d’infos TV et radio que lui, après avoir rencontré Eric Dupont Moretti, ministre de la Justice lundi pendant une heure et demi avec André Taquet secrétaire d’Etat chargé de la protection de l’enfance  (sur la photo). Si le premier temporisait sur un re-confinement en début de semaine, il n’a pas caché ses dernières heures que «Le maintien du cadre actuel paraît peu probable…Si différents scénarios demeurent, allant du maintien des mesures aujourd’hui en vigueur jusqu'à un confinement très serré , la première option est donc quasiment écarté». Selon Attal, «le couvre-feu à 18 heures actuellement en vigueur ne freine pas suffisamment la propagation du virus». Mais l’exécutif s’accorde encore un délai supplémentaire pour trancher entre un confinement strict (type mars) ou plus léger (type novembre), ce qui semble le plus probable.

    Isabelle Debré après avoir été reçu par le ministre de la Justice pour plaider «pour la création de la notion de crime contre l’enfance et pour une prise de «conscience du rôle à jouer» de chacun dans la société pour  protéger les enfants victimes  de violences, a expliqué dans plusieurs médias, BFMTV, France Info, Europe 1 où elle était reçu par Patrick Cohen…  «que le ministre de la Justice était très intéressé par notre expérience, par notre expertise et par nos propositions. Donc, nous lui avons dit ce que nous attendions, à savoir que l'Enfant bleu plaide pour la création d'une nouvelle notion juridique de crime contre l'enfance, et cela depuis près de vingt ans. Nous voulons effectivement adapter le droit, faire avancer le droit. Il n'y a pas que le juridique, il faut aussi accompagner les victimes sur le plan thérapeutique, psychologique et réparer ces petites victimes »…. «Lorsque je suis arrivé à la tête de cette association , le délai de prescription était à dix ans. Nous avions beaucoup milité pour le faire passer à 20 ans, ce qui a été le cas. Après, ça a été 30 ans et là, le Sénat a demandé 40 ans. Donc, l'évolution a lieu. Le garde des sceaux nous a écouté, maintenant, on va voir ce qui va se passer pour la suite et comment il va faire évoluer la loi». Elle n’en a pas moins constaté que la parole se libére en matière de dénonciation de l’inceste après l’éclatement de l’affaire Duhamel. «La Familia Grande», le livre dans lequel Camille Kouchner accuse son ex-beau-père d'avoir agressé sexuellement son jumeau à la fin des années 1980 -  «Il met en lumière beaucoup de choses» - dans lesquelles se reconnaissent d'autres victimes d'inceste, anonymes ou médiatiques, à l'image du député LREM Bruno Questel, qui a raconté sa propre histoire sur Twitter. «Mais que peut la justice lorsque des dizaines d'années se sont écoulées ? Beaucoup» estime-t-elle en appelant sur Europe 1 à faire évoluer la loi. 

    Enfin,  8 mineurs et un majeur ont été interpellés jeudi matin notamment  à Vanves à la suite de l’agression de Yuriv qui a fait la une de l’actualité pendant cette semaine, et placés en garde à vue pour tentative d’assassinat, car ils sont susceptibles d’être impliqués dans cette rixe. Certains jeunes impliqués, fréquenteraient le lycée Michelet et même le collège Saint Exupery, notamment le jeune qui aurait été agressé par la bande de Beaugrenelle historiquement fondée autour de la rue des Quatre Frères Peignot, d'où son nom de code supposé, «RD4 » selon les enquêteurs de la police, et aurait provoqué en réplique,  l’agression du jeune Youriv. Comme l’expliquait une ancienne commissaire de police, porte parole du ministére de l’Intérieur, sur BFM TV, ce phénoméne de bandes est courant à Vanves et dans les environs (Malakoff, XIV et XVe arrondissement). Ces rixes sont récurrentes dans le 15e arrondissement. Elles se déroulent toujours selon le même mode opératoire et avec le même type d'armes blanches, documentées par le groupe «Bandes» que la préfecture de police suit au moins depuis 2012. Plusieurs bandes sont répertoriées dans ce coin résidentiel de Paris. De Vanves (92) à Balard (Paris, 15e) en passant par la porte de Vanves (14e). Selon la PP, ces groupes se structurent généralement autour d'une ou deux familles influentes d'un quartier qui attirent des comparses et des complices grâce au trafic de stupéfiants. «Dire de Vanves est une ville caalme est bien mal connaître sa commune ! C’est refuser de voir la réalité ou de faire de la désinformation» régissait l’un des rares vanvéens à avoir vu la réaction du maire de Vanves sur BFM TV