Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Elections municipales - Page 28

  • ELECTIONS MUNICIPALES A VANVES : ISABELLE DEBRE SENATEUR ET 1ére ADJOINTE AU MAIRE UMP : « Aucune élection ne se ressemble ! »

    Isabelle Debré (UMP) sénateur des Hauts de Seine et 1ére maire adjointe de Vanves  assume ce choix d’avoir présenté une liste d’union UMP/UDI renouvelée et rajeunie. Elle ne pense pas du tout que Vanves se retrouve dans une configuration semblable à 1995, dans la mesure où  elle ne croit pas à une vague bleue. A ses yeux, les électeurs se décideront par rapport au contexte local qui est bon pour l’équipe sortante, même si la politique gouvernementale suscite des mécontentements, une certaine abstention, mais pas du côté de la droite.

    Vanves Au Quotidien - Est-ce que vous pensez toujours qu’une liste unique UMP/UDI a été le bon choix ?

    Isabelle Debré : « Oui. Nous avons travaillé dans l’union depuis 2001 et avons voté ensemble tous les budgets et tous les grands projets de notre ville. Pourquoi aurions-nous dû procéder différemment lors de cette élection ? L’union du centre et de la droite est un atout pour mener à bien cette campagne.

    VAQ -Comment vivez-vous cette campagne ?

    I.D. : « Avec enthousiasme. Nous avons une équipe renouvelée, rajeunie, qui mène une campagne dynamique et active sur le terrain. L’ambiance est excellente et nous sommes raisonnablement optimistes, bien que très vigilants, car nous nous appuyons sur un bon bilan et un projet solide pour la prochaine mandature.

    VAQ - Est-ce que c’est la campagne que vous auriez menée si vous aviez conduite la liste ?

    I.D. : « La question ne se pose pas puisqu’il n’a jamais été question que je conduise moi-même une liste. Mais si vous voulez faire de la politique fiction, une liste menée par une femme ou par un homme est toujours différente quant au style. En revanche sur le fond, elle aurait sûrement été similaire puisque nous avons travaillé ensemble pour construire notre projet.

    VAQ - Quels sont les enjeux de cette élection municipale 2014 ? 

    I.D. : « Les enjeux sont très importants. Au-delà du projet en lui-même que nous soumettons aux Vanvéens, il y a l’avenir de notre commune au sein de la Métropole du Grand Paris que nous devons préparer. Avec la disparition programmée de notre communauté d’agglomération Grand Paris Seine Ouest liée à la création de cette métropole, l’avenir s’annonce incertain. Avec GPSO, nous avions su créer une grande famille, avec des projets ambitieux à l’échelle du bassin de vie et surtout les décisions se prenaient au plus près de nos concitoyens. Avec la métropole du Grand Paris, nous assisterons à une recentralisation des compétences au profit d’une lourde structure technocratique bien éloignée de la réalité de l’action et de la gestion locales. C’est pourquoi Vanves et les Vanvéens ont besoin à la Mairie d’une équipe et d’un maire expérimentés capables de défendre leurs intérêts. Cette équipe, c’est celle qui se présente aujourd’hui aux suffrages des électeurs et qui est conduite par Bernard Gauducheau.

    VAQ - Est-on dans la configuration de 1995 ?

    I.D. : « Aucune élection ne se ressemble. Le contexte politique aujourd’hui est très différent, de plus les élections municipales de 1995 s’étaient tenues 2 mois après l’élection présidentielle. 

    VAQ - Quelles sont les 2 à 3 propositions du projet auquel vous tenez le plus ?

    I.D. : « Il est impossible de hiérarchiser nos propositions. La famille a toujours été une priorité pour moi, tant au Sénat qu’à la mairie, alors vous comprendrez que tout ce qui la concerne est très important à mes yeux.  En matière d’urbanisme, je pourrais citer l’achèvement de la construction du conservatoire, la future gare du métro Grand Paris Express au clos Montholon et la construction de logements très haute qualité environnementale rue Aristide Briand.

    VAQ - Le Parisien a parlé d’un résultat incertain ? Etes-vous d’accord ?

    I.D. : « Il faut rester humble en toute circonstance. Nous avons certes un bon bilan, un projet solide, mais c’est aux électeurs qu’il appartiendra de trancher. Plusieurs projets s’opposent : celui que nous portons a l’ambition d’une ville moderne, innovante, apaisée, solidaire et soucieuse de son environnement.

    VAQ - Qu’est-ce qui pourrait permettre à votre liste de passer dès le 1er tour ? Une vague bleue ?

    I.D. : « Je ne crois pas à la vague bleue. N’oublions pas que c’est avant tout le contexte local qui mobilise les électeurs, et non ce qui se passe au niveau national même si les difficultés actuelles du gouvernement peuvent susciter une démobilisation de certains électeurs, et donc une abstention accrue.

    VAQ - Quelles pourraient être les conséquences de ces élections municipales sur le Sénat (alors que son président a annoncé qu’il ne se représenterait pas) ?

    I.D. : « Le collège électoral des Sénateurs est constitué à 95 % de conseillers municipaux. C’est donc la quasi-intégralité des grands électeurs qui va être renouvelée à l’occasion des prochaines élections municipales. Certains voteront aux élections sénatoriales au mois de septembre 2014. En effet, seule la moitié des départements participera à ce scrutin puisque, comme vous le savez, le Sénat est désormais renouvelé par moitié tous les trois ans. Il faudrait à la droite et au centre conquérir de très nombreuses villes moyennes pour que le Sénat change de majorité cette année, ce qui sera d’autant plus difficile que la gauche a modifié la loi électorale au détriment des zones rurales.

    VAQ - La prochaine étape n’est-elle pas un candidat UMP aux cantonales ?

    I.D. : « Cette question est prématurée. Cela étant, le conseiller général élu actuellement appartient à la gauche et il ne me semblerait pas illogique que l’UMP présente un candidat ou plutôt des candidats puisque vous savez que la gauche a modifié le mode de scrutin départemental et instauré l’élection d’un binôme de deux candidats, l’un de sexe féminin, l’autre de sexe masculin tout en redécoupant la carte électorale cantonale à sa façon

    VAQ - Comment réagissez-vous à la profession de foi socialiste violente ?

    I.D. : « Ni ma nature, ni mes convictions ne me portent à l’outrance. Nous avions décidé, tous ensemble, de conduire une campagne sereine, digne et non agressive. Je regrette donc le ton de cette profession de foi qui ne se justifie en rien et qui n’apporte rien au débat local.

    VAQ - Qu'avez-vous pensé du dernier  conseil municipal ?

    I.D. : « C’était le dernier de cette mandature et il y avait beaucoup d’émotion chez certains de nos collègues qui ne se représentent pas. Le comportement de certains autres était peut-être un peu plus incisif qu’à l’accoutumée, mais cela s’explique sûrement par la proximité des élections municipales.

  • ELECTIONS MUNICIPALES A VANVES : GUY JANVIER CONSEILLER GENERAL PS : « Nous sommes dans la configuration de 1995 »

    Même s’il a pris sa revanche aux cantonales de 2004 et 2011, cette élection municipale, après sa défaite de 2001 puis de 2008 a un goût particulier pour Guy Janvier. 13 ans aprés, il souhaite qu’une victoire jette un pont entre son mandat (1995-2001) et celui qu’Antonio Dos Santos entamera (2014-20). C’est la raison pour laquelle, il se consacre pleinement à cette campagne, et a tenu à être sur la liste à la 13éme place. Il s’en explique sur le blog Vanves au Quoditien

    Vanves Au Quotidien - Pourquoi vous êtes vous représenté sur la liste PS alors que vous avez démissionné du Conseil Municipal ?

    Guy Janvier : « J’ai démissionné du conseil municipal avec l’idée que si on voulait regagner la mairie, il fallait renouveler notre équipe – Anne Laure Mondon, Jean Cyril Le Goff, moi-même depuis 1989. Quand j’ai été réélu Conseiller Général, j’avais dit que, dans la perspective des élections municipales, on ouvre les représentants de l’opposition au conseil municipal à des personnalités nouvelles, et notamment à Valérie Mathey qui avait été ma suppléante au moment des cantonales et avec qui j’avais gagné.  Il fallait absolument, pour regagner cette ville, que cela ne repose pas uniquement sur Guy Janvier qui est connu, et sur les deux élus municipaux. Il faut ajouter l’idée du non cumul de mandat, repartant pour un mandat de conseiller général, je ne me sentais pas complétement utile au conseil municipal.

    Je suis de nouveau sur la liste à une position où je ne serais pas élu si on perd, hypothèse que je n’envisage pas, et où je serais élu si nous gagnons. En fonction de ce qu’Antonio Dos Santos souhaitera, je serais à la disposition du futur maire et de l’équipe municipale. Le fait d’être en position éligible à la place 13, petit clin d’œil à la chance, et d’être sur la liste, est une bonne chose 

    VAQ - Comment vivez-vous cette campagne ?

    G.J. : « C’est peut être ma diziéme campagne, entre les campagnes locales et nationales. J’ai un très mauvais souvenir de la campagne de 2008.  Donc, je vis très bien cette campagne 2014, parce qu’elle est bien organisé, cohérente, avec un directeur de campagne, Jean Cyril Le Goff, un candidat, Antonio Dos Santos qui est légitime. C’est une des raisons pour lesquelles, je crois en notre victoire. Car il y a une cohérence, une progression dans la campagne. Tout cela est de bon augure. Parce qu’aujourd’hui, on ne peut plus se permettre, dans les élections politiques, même locales, d’être des amateurs. La campagne a un caractére « professionnel » qui est bonne. Où je me trouve à l’aise

    VAQ - En quoi est elle différente de celle de 2008 ?

    G.J. : « En 2008, nous avions un problème de direction de campagne, puisqu’elle a fait défaut en plein milieu de campagne. Nous avons failli sur le document de campagne, puisque lorsque Robert Badinter est venu faire la première réunion publique, il n’était pas prêt. Nous n’en avions que 60 exemplaires, à trois semaines de l’élection. J’avais conçu un programme sur le développement durale, avec ses trois piliers, économique, environnemental et social. Il n’était pas mauvais. Et d’ailleurs, j’ai crû comprendre qu’un certain nombre de candidats aux prochaines élections, y avaient pioché un certain nombre de choses. Il était déjà vert avant que l’on puisse dire qu’il l’était. Mais nous avons surtout pêché sur l’organisation de la campagne. C’est pourquoi aujourd’hui, notre campagne me parait bien partie parce que l’organisation est bonne, et c’est fondamental en politique. Et je porte ce programme pour 2014-20 car il y a un certain nombre de choses qui me paraissent indispensables, la démocratie participative qui a été un de mes axes forts lorsque j’étais maire, la politique de la  jeunesse  et la cohésion sociale.

    VAQ - Quels sont les enjeux de cette élection municipale 2014 ?

    G.J. : « J’espère que nous allons pouvoir reprendre la mairie le 30 Mars 2014. Je suis moins optimiste qu’Antonio Dos Santos car je ne pense pas que cela se fera le 23 Mars au soir. Je suis assez confiant parce que nous sommes dans la configuration de 1995, avec une seule liste à droite, et 3 listes à gauche. En 1995, il avait manqué 17 voix à la liste de Didier Morin pour passer dés le premier tour. Et malgré cela, on a gagné de 2 voix. Pourtant, ce n’était pas évident avec les deux listes concurrente de MM Deniau et Poly. Je suis plus confiant aujourd’hui parce que Bernard Gauducheau et Isabelle Debré ne vont pas passer au 1er tour.  Je n’y crois pas une seule seconde parce qu’à Vanves, le PS est majoritaire déjà depuis quelques élections. J’ai battu Bernard Gauducheau en 2004 et 2011. François Hollande a fait 56% aux élections présidentielles. Le PS a fait 53% aux élections législatives. Tout cela fait que si Bernard Gauducheau ne passe pas au premier tou comme je le pense, nous aurons une réserve de voix importante que lui n’aura pas. Contrairement à 2008, nous avons à côté de nous, deux listes politiques, les Verts et le Front de Gauche. J’espére que l’écart entre l’UMP/UDI et le PS soit autour de 10 points. Comme nous avons fait alliance avec les démocrates, il est possible que l’écart soit un peu plus réduit. Quand on regarde le résultat des dernières élections, on s’aperçoit qu’à Vanves, on est à 52/53% à gauche, la droite à 46/47%. Il perd normalement une partie des démocrates qui nous ont rejoint. Ainsi, il n’est pas impossible que l’écart se réduise à 7 ou 8 points. Et dans ce cas là, c’est gagné. En tous les cas, ce sera serré. Et il n’y a pas de raison que cela ne se joue pas à 50 ou 100 voix, et que l’on gagne avec un faible écart. Mais on peut aussi gagner avec un score plus fort.

    VAQ - Comment avez-vous vu évoluer cette ville depuis 13 ans ?

    G.J. : « Je ne dirais pas en bien, parce que ce qui a manqué  à Bernard Gauducheau, nous l’apportons dans notre programme. Je pense en particulier à la rénovation du Plateau. J’y habite depuis 30 ans. Qu’est-ce qui a été fait depuis 13 ans ? Strictement rien.  Il a fait des choses dans le bas de Vanves que l’on peut d’ailleurs contester. En matière de jeunesse, sa politique a été une vraie catastrophe et les conséquences sont qu’un certain nombre de jeunes sont devenus des décrocheurs scolaires puis des délinquants. En matière de participation, c’est du « flanc ». Quand on voit les conseils de quartier que nous avions mis en place, avec une fête de quartiers rassemblant 150 à 200 personnes à chaque fois, et qu’aujourd’hui, une fête qui réunit l’ensemble des quartiers n’en réunit de 100 à 150, il y a quelque chose qui ne va pas. Il y a un décalage complet entre les discours sur la citoyenneté, la cohésion sociale. Il est d’ailleurs étonnant que, dans son programme, il insiste dés le départ sur Vanves Solidaire. C’est qu’il y a un manque quelque part. Ce qui ne veut pas dire que des choses n’ont pas été fait comme Cabourg. Mais c’est comme cela parce qu’une association d’habitants s’est opposé au projet de Bernard Gauducheau qui était de construire une tour de 12 ou 15 étages et de mettre l’école en rez de chaussée. Il y a eu une différence entre ce que j’aurais fait si j’avais continué à diriger cette municipalité et ce que Antonio Dos Santos fera s’il est maire le 30 Mars.

    VAQ - Quelles sont les 2 à 3 propositions du projet auquels vous tenez le plus

    G.J. : « Ce n’est pas un programme « clef en main » mais un programme que nous allons faire avec les vanvéens, en les associant, notamment sur le Plateau qui a besoin considérablement d’être rénové. Mais ce n’est pas uniquement une rénovation en dur, mais c’est aussi du lien social, avec tous ces jeunes qui traînent et ne savent plus très bien où ils en  sont. En matière de circulation douce, il faut poursuivre ce que le maire actuel a fait avec le mail Sadi Carnot. En matière d’urbanisme, il y a l’aménagement des terrains A.Briand et des alentours de la gare sur lesquels il va falloir se pencher et revoir  cela de très prés en fonction de l’état d’avancement du dossier.

    VAQ - Le Parisien a parlé d’un résultat incertain ? Qu’est-ce qui pourrait faire pencher Vanves à Gauche ?  

    G.J. : « Vanves est à gauche depuis un certain nombre d’élections. Cela n’aurait rien de surprenant que Vanves redevienne à gauche comme il l’a été pendant quelque temps. Tout cela est de plutôt de bonne augure

    VAQ - Si Antonio Dos Santos se retrouve dans le fauteuil de Maire, est-ce que ce sera quelque part une sorte de revanche ? 

    G.J. : Ce ne sera pas une revanche, Je l’ai prise au moment des cantonales. J’ai battu Bernard Gauducheau deux fois. Pour moi, ce sera un bon pont entre mon mandat et celui d’Antonio Dos Santos, 13 ans après.

  • CARNETS DE CAMPAGNE MUNICIPALE A VANVES : LA LISTE « VANVES AVEC VOUS » DANS LES HAUTS DE VANVES ENVOIE QUELQUES PIQUES A SES OPPOSANTS

    La troisiéme et dernière réunion de proximité de la liste de la majorité municipale (UDI/UMP) s’est déroulé à l’école Larmeroux lundi soir où le cercle de famille s’était énormément agrandi, preuve d’une soudaine forte mobilisation des troupes à J – 6 du 1er tour. « Des promesses tenues ! » est le slogan de l’équipe sortante. Et on en a même fait plus ! » a déclaré Bernard Gauducheau en invitant Bertrand Voisine a commenté notamment le bilan financier et budgétaire de la mandature. « Notre lietmotiv a été de récupérer de l’épargne… » a-t-il ajouté à la veille du vote du budget municipal 2014 mardi soir. Avec toujours quelques piques sur les propositions de ces adversaires : « On pourrait aussi installer une compagnie de CRS rue de Chatillon » à propos de l’antenniste de police municipale. « Cela fait partie des fausses bonnes idées. Il faut se poser des questions sur la base de chiffres, d’études de flux, car il peut fragiliser l’activité commerciale, créer de nouveaux bouchons » à propos de la mise en sens unique de la rue Jean Bleuzen, en aoutant :  « Nous avons réuni les riverains de la rue J.Jézéquel avant de la transformer et la rénover pour avoir leur avis et leur proposer un projet (prochainement) ».

    Il a surtout été question de ce quartier qui « va bouger » avec la gare du GPE  (Grand Paris Express) qui va désenclaver le Clos Montholon, le transfert dans le domaine public de la rue  de l’avenir – dont les riverains seront bientôt invités à une réunion publique pour venir signer l’acte de cession de cette rue privé  dont ils sont chacun copropriétaire, à la ville puisqu’elle tombera dans le domaine public – la construction du mur anti-bruit sur le long de la voie SNCF  - « où la ville ne peut qu’être que l’aiguillon, SNCF et RFF avec le STIF étant décisionnaire » - l’aménagement des terrains A.Briand (150 logements)….qui est l’une des deux plus importantes opérations d’urbanisme qui va marquer ce mandat 2014-20 avec la constructuion de 130 logements par le Secours Catholique sur les terrains du Rosier Rouge…. Et bien sûr des équipements sportifs avec la reconstruction de la tribune et du gymnase André Roche, et des espaces verts avec le parc F.Pic. 

    Ce qui a donné l’occasion à Jeremy Coste de poser une question sur « les affreux jojo qui empêchent les vanvéens de profiter du parc du lycée Michelet  ». Le maire a embrayé avec cette formule bien connue : « Le mur murant Michelet rend Vanves murmurant » en se faisant le chevalier blanc de la lutte contre le dépeçage du territoire vanvéen : « Les vanvéens se sont sentis dépossédés de leur territoire lorsque Malakoff a été créé. Et je l’aurais empêché si j’avais été maire à l’époque. Et ils n’ont jamais pu pénétrer dans la « cité interdite » à propos de la cité scolaire de Michelet (dénomination lorsqu’il y a un cllége et un lycée). « Des millions ont été consacré à rénover Michelet par le Conseil Général qui était alors compétent à la place de la Région jusqu’en 2004 où cette cité scolaire a été transférée à la Région, à un moment où nous avions obtenu 50 M€ de Charles Pasqua pour rénover les équipements sportifs. La Région a récupéré ce dossier et a décreté que Vanves n’était pas prioritaire, qu’ouvrir le parc – alors qu’un projet avait été arrêté – n’était pas prioritaire. Les choses n’ont pas bougé depuis. Je crains que l’accés au public au parc ne se fera pas  malgré la bonne volonté du proviseur. On a obtenu grâce à une convention tripartite ville-département-région la rénovation des équipements sportifs dont la ville pourra profiter »