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Elections municipales - Page 28

  • PORTRAITS DE CAMPAGNE MUNICIPALE A VANVES : PHILIPPE GOAVEC : « Il vaut mieux avoir un maire qui pense que le Grand Paris est une opportunité qu’une menace »

    Dans le cadre des élections municipales de Mars 2014 de nouveaux visages apparaissent dans le paysage politique vanvéen, qu’ils soient ou non candidat sur une liste : C’est l’occasion de les rencontrer, de les interroger sur leurs motivations à être élu sur une liste, et à vouloir servir les vanvéens, ou à soutenir l’une des 4 têtes de listes qui seront présentes à cette élection. Bien sûr  lorsque c’est possible, car il n’y a, de la part, de ce blog, aucune exclusive, alors que d’autres préfèrent s’en réserver la primeur par tactique électorale. Vanves Au Quotidien s’est intéressé à Philippe Goavec, (PS) 33 ans ex-étudiant de Science po, passionné d’histoire et responsable d’un site internet institutionnel qui est candidat  sur la liste PS « Un  nouveau souffle pour Vanves »

    Vanves Au Quotidien - Qu’est-ce qui a décidé… à vous engager sur une liste aux municipales ?

    Philippe Goavec : « J’étais engagé politiquement avant, ayant rejoint le PS lorsque l’adhésion était à 20 €, pendant la campagne de 2007. Son résultat m’a fait mal. J’ai essayé par la suite de me re-mobiliser, mais je n’y arrivais pas, ni même à participer à des réunions. J’ai donc fait une pause. Mais dés Décembre  2010, comme je croyais  en François Hollande, j’ai repris les contacts car je voulais l’aider, bien avant les primaires. Ce qui a correspondu avec mon arrivée à Vanves, où je me suis inscrit à la section PS. Dans ma conception politique, le niveau local est plus intéressant que le niveau national parce qu’on voit le résultat  concret des actions menées. Au niveau national, il faut avoir les reins solides, pour vivre cette pression, donner de sa personne à 100%, avoir un ego surdimensionné. Au niveau local ce qui me plait, c’est de pouvoir aider les gens, et concrètement lorsqu’ils  ont  un souci.

    VAQ - Comment vivez-vous cette campagne municipale ?

    P.G. : « Bien, je m’amuse énormément, je prends beaucoup de plaisir, et Antonio Dos Santos n’y ait pas pour rien, avec sa manière de diriger la campagne, avec une vraie convivialité au sein de l’équipe qui s’entend bien, sans tensions, car on va tous dans le même sens. M’occupant de la communication, j’en profite pour tester des choses, de manière concrète. Une campagne est un accélérateur de temps. Entre Septembre et aujourd’hui, vous travaillez sur un site internet, la mise en forme d’un programme, puis des tracts, c’est intéressant intellectuellement. On fait une bonne campagne et les jeux sont ouverts dans cette élection. On a réussi à montrer que l’on n’était pas des « rigolos », qu’on avait des idées, qu’on avait travaillé, et que ce que l’on fait maintenant, cela se voit et commence à se ressentir. .

    VAQ - Qu’est-ce qui vous semble le plus important à défendre dans le projet du candidat PS Antonio Dos Santos ?

    P.G. : « Tout d’abord, la conception de la politique qu’a Antonio dos Santos en ayant signé la charte Anticor, en voulant donner plus de poids à l’opposition. Un homme politique qui n’est même pas sortant, et fait une telle proposition s’il arrive à la mairie, en essayant de créer beaucoup plus de débats démocratique, c’est très fort. On peut lui faire confiance pour qu’il le fasse. Ensuite, c’est tout ce qui concerne l’enfance, avec une amplitude des horaires plus importante, pour les crèches,  la mise en place des rythmes scolaires, le cartable numérique avec des propositions concrètes. Enfin, le volet numérique avec la dématérialisation des procédures  qui permet de dégager du temps pour les équipes municipales afin d’être plus disponibles pour d’autres tâches, de faciliter les relations entre les vanvéens, le Wi-Fi gratuit, des cyber-référendum. La démocratie sur le web est plus importante sur des échelles locales où on peut ne pas complétement dématérialiser le débat puisque le 100% numérique n’existe pas, car on besoin de se parler, de se rencontrer physiquement,

    VAQ - Si votre liste était élue, quelles sont les 2 à 3 premières mesures que vous prendriez ?

    P.G. : La première priorité est de ne pas augmenter les impôts ! Nous avons un programme que l’on tiendra alors qu’on nous a dit qu’il n’était pas financé, pas tenable. Antonio Dos Santos a toujours dit qu’il l’était grâce à une répartition différente pour bien mettre en oeuvre nos priorités.  La seconde est la mise en place de cette grande réflexion sur le Centre Saint Remy pour en faire un vrai lieu de vie, animé ne serait-ce que les commerces et les vanvéens, en lançant une concertation.  Enfin, investir dans d’aménagement urbain des entrées de la ville, des gens n’ayant comme image de Vances, que cette porte Brancion,  prés du Périph, avec ce logo vanvéen bleu blanc qui fait « années 70 »  

    VAQ - Quels sont vos liens avec Vanves ? 

    P.G. : « Je suis arrivé à Vanves voilà 4 ans par hasard, en venant du XVéme au moment où je voulais acheter. On a eu un coup de cœur en trouvant l’appartement que l’on souhaitait. J’ai découvert cette ville, j’y suis  ravie. Ayant toujours vécu en Bretagne et dans le Limousin, j’y retrouve certains aspects de village, avec la rue Gaudray et ses petits lampadaires, le marché du samedi, le parc F.Pic, la place de la République, le relationnel avec les vanvéens. Et j’ai découvert le Plateau et appris à  connaître ce quartier animé. Tout en étant aux portes de Paris de surcroît. Le petit village au cœur de Paris et du Grand Paris qui est un sujet important. Il faut un maire qui y croit, ou sinon, c’est nous isoler, nous ostraciser. C’est pourquoi il vaut mieux avoir une personne qui pense que le Grand Paris est une opportunité qu’une menace.

    VAQ – Quels sont les enjeux de cette élection municipale ?

    P.G. : « Je pense que  cette élection  est vraiment importante. On a un maire qui a un bilan respectable, honorable, mais Vanves a besoin d’un nouveau souffle, d’un projet et d’une vision.  Lorsque je suis arrivé, à Vanves, ma seule éducation politique vanvéen, si je n’avais pas fait de politique, c’était le « Vanves Infos » pour qui tout va bien dans le meilleur des mondes. Mais quand on creuse et qu’on sort de V.I.,  on se rend compte que des choses ne vont pas. Je ne vois pas la vision, le projet,  la cohérence pour Vanves. Une ville doit avoir un maire qui a une vision, un parti pris à un moment donné. Dans ce qu’a fait le maire actuel, je ne vois pas la vision, alors qu’avec le nouveau souffle, il y a 3 grands axes qui structure toute notre politique, imprimé dans l’esprit de  l’équipe : Vanves plus unie, plus moderne, plus solidaire

  • CARNETS DE CAMPAGNE DES MUNICIPALES A VANVES : 2éme REUNION PUBIQUE DES ECOLOGISTES « Vivre mieux c’est changer notre manière de vivre ! »

    La deuxième réunion publique de la liste « Vanves en Transition »  s’est déroulé samedi en fin d’après-midi à l’école Marceau dans un contexte politique et écologique tout à fait particulier suite au pic de pollution qui dure depuis plus d’une semaine sur notre région Ile de France, et à la veille de la décision d’appliquer dés ce lundi la circulation alternée.

    Elle a commencée avec une présentation de la liste « moins connue que celles de nos collègues des autres listes » selon Pierre Toulouse qui a animé cette soirée, en  rajoutant : « Mais elle veut donner des ailes à notre ville et à notre vie » qui est le slogan de notre  liste ». La plupart des candidats présents ce soir là, se sont présentés en quelques mots : « C’est la liste la plus créative » a déclaré Gabriel Andivero, artiste peintre. « Notre slogan est la rue aux urnes ? Faire de la politique est une façon de pouvoir changer les choses. Il y a des gestionnaires et des visionnaires et Lucile Shmid sera un maire visionnaire » selon Benedicte Goussault, sociologue et ex-maire adjoint de Guy Janvier entre 1995 et 2001. « A travers la diversité des candidats, elle ne correspond pas au modèle actuel. Le fait de constituer cette liste est un projet politique. On pris le risque de la diversité et de la compétence citoyenne. L’écologie politique est une équation nouvelle dans notre paysage politique français. On a fait Vanves 2020 avec des propositions qui remplissent de sens notre action. Il y avait dans le débat de la conflictualité sur l’écologie, et on a fait des propositions créatives. Maintenant il faut passer à l’acte, être en situation de gagner la mairie » a expliqué Lucile Schmid, tête de la liste EELV. Ce qui a suscité la question d’une participante : « Comment convaincre de voter pour les Verts ? » - « On a déjà réussi à vous faire venir. Sur 500 vanvéens tirés au sort, seul un vanvéen était venu lors de notre première réunion. C’est une vraie question. On a rédigé un programme. On a mis du temps à le rédiger. Il faut prendre le temps de le lire » a répondu PierreToulouse.    

    Deux grands thèmes ont ensuite été abordés : La place du piéton dans la ville avec une petite vidéo d’illustration sur la zone de rencontre d’une ville suisse. « A Vanves, on a été obligé de mettre des potelets anti stationnement dans le mail Sadi Carnot. Prendre sa voiture pour faire ses courses est une hérésie totale, surtout lorsqu’on peut le faire à pied. On peut agir sur le stationnement en le limitant ». Une participant a constaté que « ce mail n’est pas du tout sécuritaire pour les enfants » - « Et pourtant la suppression des feux tricolores (place du 8 Mai 1945) va dans le sens de la sécurité. Bernard Gauducheau a été courageux de faire ce qu’il a fait avec ce mail.  Mais la police municipale manque un peu de culture sur le sujet pour sensibiliser les enfants dans les écoles (comme cela été fait). J’aurais pu les former ! Mais cela n’a pas été possible parce que je fais partie de l’opposition » a expliqué ce rare spécialiste français des zones de rencontre (zones 20 et 30),  au ministére des Transports qui voit passer tous les projets en la matière.

    Une seconde question a été posé sur la mise en sens unique de la rue Jean Bleuzen : « Comment allez-vous faire ? » - « Il y a eu des travaux rue Jean Bleuzen voilà 8 ans qui a montré plusieurs choses: Elle peut être mis en sens unique – et cela été le cas pendant le chantier - et même bloqué pendant quelques semaines (durant les vacances d’été) et le trafic s’est reporté naturellement sur d’autres voies. Ce qui montre que c’est possible, en s’accordant avec Malakoff. Et le Conseil Général a pu vendre son revêtement anti polluant qui est une vaste fumisterie » a expliqué Marc Lipinski, co-listier et conseiller régional EELV.   « Justement on veut faire bouger les choses car nos politiques n’osent pas assumer, ni bouger. En votant pour nous, on peut changer le rapport de force. Construire quelque chose de commun avec les socialistes est la question politique ? » a  ajouté Lucile Schmid. Une troisième l’a été sur la navette municipale, les Vers proposant de mettre en place un service à la demande  (sur Internet) ! « Mais on n’a pas Internet » ont réagis deux mamies.

    Le second grand thème a concerné l’agriculture urbaine : « Il y a beaucoup de toits plats à Vanves pour faire des cultures, aménager des jardins partagés, notamment sur le Plateau. Ce sont des endroits où il y a beaucoup de déperdition de chaleur, comme l’a montré une étude thermique de GPSO » a indiqué Claire Papy. Un troisième a été consacré, rapidement à la Petite Enfance qui a été l’occasion de mettre en avant le principe de « consom’acteur » où les gens se prennent en main, comme c’est le cas avec les crèches parentales » a expliqué Guillaume Moucheroud.  « Ainsi un projet écologique traite de questions environnementales et sociales. On est vraiment dans un projet écologique avec le concept d’économie circulaire dont s’est emparé une association comme la Jeune Chambre Economique Française. Vivre mieux c’est changer notre manière de vivre, d’aménager » a martelé Lucile Schmid.

    « Qu’est-ce qui vous distingue de l’équipe Gauducheau » a demandé un participant : « Nous faisons des propositions qui seront re-discutées et re-négociées avec les habitants qui les enrichiront. Ainsi les élus seront plus intelligents avec les habitants » selon Benedicte Goussault qui insiste sur le fait ses projets sont porteurs d’emplois. « Ainsi sur le terrain A.Briand, le conseil Municipal devrait se prononcer sur l’autorisation de vendre les terrains, alors qu’il y a un cahier des charges insuffisants : Pas assez de logements sociaux. Pas d’équipement public alors qu’il y a besoin d’un lieu de culte (pour les musulmans), d’une véritable Maison des associations, et d’un gymnase. L’équipement prioritaire n’est pas un parking » a expliqué Pierre Toulouse. « Nous souhaitons faire de la politique collectivement. Mais il y a encore un culte de l’homme providentiel à la mairie. Vanves vit à l’ombre d’Issy, bénéficient de transferts de fonds (de GPSO), ce qui veut dire que Vanves n’a pas d’identité propre » a conclut Lucile Schmid en invitant les participants à partager un buffet bio.

  • CARNETS DE CAMPAGNE MUNICIPALE A VANVES : SECONDE REUNION DE LA LISTE « VANVES AVEC VOUS » : Lorsque le maire imagine la bibliothéque du futur

    Lors de leurs portes à portes, lors de leur café politique, les différents candidats ont constatés que les vanvéens commencent à entrer vraiment dans la campagne, disant volontiers qu’ils voteront ou non à la tête de liste qu’ils ont devant eux. La liste « Vanves avec vous » a rendu public sa liste de soutien, dans un « quatre feuillet »,  mais pas avec les mille vanvéens qui auraient été atteint ses derniers jours. puisqu'il y en a exactement 967. Avec quelques curiosités: 10% sont des membres de la même famille (98) avec 6 personnes pour la famille Sorensen, l'ensemble des co-listiers y apparaissant alors qu'ils n'y étaient pas en 2008. 20% des signataires avaient déjà signés en 2008. Une dizaine de personnalités mais pas Valérie Pécresse qui apparait en photo sur le document. Enfin apparait un  « Philippe Dos santos », homonyme qui n’a rien à voir avec le fils d’Antonio Dos Santos(PS) tête de la liste « Un nouveau souffle pour Vanves », qui ne se souvient pas avoir signé un quelconque document à son insu.

    Le binôme UDI/UMP de la liste « Vanves avec Vous » cherche bien à savoir quels sont les petits malins qui ont apposés des autocollants UMP sur la tête de Bernard Gauducheau et d’Isabelle Debré sur les affiches officielles au début de la semaine. Ses deux listes tenaient le même jour à la même heure leur réunion de proximité jeudi soir, la majorité municipale à l’espace Murillo, l’opposition socialiste à l’école Marceau  où il a été beaucoup questions du parc des expositions de la porte de Versailles et de ses riverains

    Vanves Au Quotidien avait choisi la réunion de la liste UDI/UMP  à l’espace Murillo dans ce quartier pavillonnaire dénommé des « artistes » jouxtant le parc des Expositions : « Nous avons décidé de faire une réunion pour les riverains après une réunion d’appartement chez M et Mme Lachaud » a indiqué Bernard Gauducheau  en insistant sur le partenariat entre la ville et Viparis dans le cadre des travaux de re-modernisation du parc, et notamment avec l’installation d’un centre de Congrés sur le toit du Palais Sud, et d’un hôtel porte de la Plaine (à l’emplacement des halls 7 et 8). Il est revenu sur les deux établissements scolaires situé dans ce secteur : Le Collège Saint Exupery dont la rénovation est à l’ordre du jour. « Le Conseil Général a déjà investit pour rénover le gymnase, les salle de sports, les classes technologiques avec des paillasses. L’idée est maintenant d’aller plus loin avec une rénovation complète en s’orientant vers des économies d’énergies. Dans le PPI (Programme Prévisionnel d’Investissements) du département, sa rénovation est prévue et inscrit » a indiqué le maire en ajoutant : « que le conseiller général tire la couverture à lui, et c’est normal. Mais c’est la majorité départementale qui en décide. Personne ne l’empêche de dire que c’est grâce à lui. Mais la vérité est qu’il vote contre le budget départemental. Comment rénover le collège, s’il ne vote pas le budget ».

    Il a même reconnu « que réviser la carte scolaire des collèges -  autre marotte de son ex-challenger PS à la mairie -   pour rééquilibrer leur fréquentation, n’est pas évident à mettre en œuvre. Que faire contre l’attractivité très forte de Micheler qui est « blindé » et Saint Exupery qui dispose de places. Rééquilibrer ? Mais le dire à quelle famille ? Nous avons proposé d’accompagner ce mouvement et demander qu’il y ait un travail entre les écoles et le collège Saintt Exupery pour sensibiliser les familles à l’idée de mettre leur enfant dans ce collège. Mais je ne me nous voie pas le dire brutalement aux familles » a-t-il indiqué. Pour le lycée MIchelet, il n’a pas caché que le dossier prioritaire concerne la rénovation ses équipements sportifs inscrits dans le PPI régional. Mais la région est obligé d’investir 1 M€ par an pour éviter de fermer la piscine et les gymnases.  

    Le maire en a profité pour dévoiler un des objectifs de cette prochaine mandature qui consiste à ce que « Vanves soit reconnu grâce à une identité forte. On ne doit pas laisser dire que Vanves ne s’affirme pas comme une ville reconnu, avec Michelet, l’implantation d’Hachette Livre, le groupe Audiens, le festival Artdanthé qui est consacré par le ministère de la culture et la DRAC Ile de France comme un haut lieu de création artistique pour la danse moderne, après une reconnaissance nationale pour la pratique des musiques anciennes. Tout cela bien mis en évidence, peut positionner notre ville comme fer de lance culturel » a-t-il expliqué en annonçant qu’il a l’intention de travailler sur la bibliothéque du futur, avec le concours de Hachette Livre, pour aboutir à un projet significatif : « Ce qui permettra de donner un positionnement à la ville avec le conservatoire ». Un scénario a même été étudié pour implanter la bibliothèque du futur dans un site tout à fait approprié qui va se libérer : Le terrain actuellement occupé l’école de musique (le pavillon à l’angle Mary Besseyre et Guy Mocquet avec l’autre bâtiment le long de la rue G.Mocquet). Il suffirait de prévoir un nouveau bâtiment mieux agencé qui s’intégre dans ce site pavillonnaire. Mais cela, il ne l’a pas dit.  

    Des questions ont été posée ensuite sur la création d’une pépinière d’entreprise – « nous avons prévu un espace co-working (espace partagé) , car les nouvelles entreprises n’ont pas besoin de locaux permanents, comme les  les starts up, mais de structures d’accompagnement, qui sera réalisé avec GPSO. J’espère que la MGP (métropole du Grand Paris) ne viendra pas remettre en cause la possibilité de développer ce type de structure » - et sur l’extension du stationnement réglementé qui couvre déjà 75% de la ville : « Les 25% restant se feront d’ici 2015, c’est à dire les 2 ans qu’ils restent à vivre à GPSO » - ainsi que sur la pollution atmosphérique qui touche depuis  une semaine notre région.