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Elections municipales - Page 30

  • LE PROJET DE LA LISTE « UN NOUVEAU SOUFFLE POUR VANVES » - INTERVIEW D’ANTONO DOS SANTOS: « En 2020, Vanves sera une ville plus unie, plus moderne, plus solidaire »

    Vanves Au Quotidien a décidé de rencontrer chaque tête de liste pour qu’il présente les grandes lignes de leur projet et nous éclaire sur leurs priorités s’ils sont élus les 23 et/ou 30 Mars prochain. Nous terminons avec Antonio Dos Santos, (PS), tête de la liste « Un nouveau souffle pour Vanves » dont le programme est distribué depuis début Février  qui tient ce soir sa troisième réunion de proximité à l’école Marceau. 

    Vanves Au Quotidien - Pourquoi avez-vous présenté votre projet si tôt ?

    Antonio DosSantos : « Tout d’abord parce qu’il était prêt, mais surtout parce que nous avons voulu qu’il le soit très tôt afin que les vanvéens puissent en prendre connaissance, se l’approprier et que nous ayons le temps de le partager avec eux lors des réunions publiques. Ils pourront ainsi faire leur choix éclairé, et ils doivent l’être si on veut espérer les réconcilier avec la politique et qu’à leur tour, ils puissent s’investir dans la vie de  la cité. Et je l’ai fait avec eux lors des portes à portes, des pieds d’immeubles, du travail autour du questionnaire 

    VAQ – Justement comment l’avez-vous conçu et avec qui ?

    A.D.S. : « Ce projet qui définit les objectifs pour 2020 n’est pas seulement une ambition, mais des objectifs ,qui a été conçu tout d’abord par un travail interne avec nos militants à travers des groupes de travail thématiques. J’ai été au contact des Vanvéens dés l’été 2013 dans les cafés, au pied des immeubles, et en diffusant un questionnaire auxquels ils ont été nombreux à répondre sur Internet ou sur papier. Démarche qui a donné l’occasion à certains d’envoyer des contributions, quelquefois de plusieurs pages. Sans parler de celles de nos élus expérimentés qui connaissent bien la ville et m’ont aidés à faire le tri, à agencer ensemble les propositions. Nous avons pris pour base, un diagnostic, recherché des solutions, élaboré des propositions, organisé notre document afin qu’elles soient lisibles et compréhensibles. 

    VAQ – A quoi ressemblera Vanves en 2020 grâce à ce projet si vous êtes élu ?

    A.D.S. : « Nous nous retrouverons dans une ville plus unie, plus moderne, plus solidaire. Je ne vais pas me mettre à rêver sur les petits oiseaux qui vont passer, mais rien n’arrêtera cet élan, car toutes les mesures que nous présentons, concourrent de façon transversale à ses 3 objectifs comme c’est le cas, par exemple, pour le développement durable : Poursuite de l’agenda 21 qui ne sera pas uniquement un cahier de procédures, création de pistes cyclables, rédaction d’une charte de la rue, mise à disposition d’une caméra thermique aux habitants, restauration scolaire à partir d’aliments bio et de produits de proximité, distribution d’un  fruit à la récré dans les écoles etc…

    VAS – Quel est la proposition emblématique pour chacun de ces 3 objectifs ?

    A.D.S. : « Pour Vanves Solidaire, la Maison des Jeunes avec toute une dynamique inter générationnelle qui mobilisera jeunes, écoliers par le biais de parrainages des seniors qui pourraient leur faite bénéficier de leurs expériences pour les accompagner. Pour Vanves plus moderne, il s’agira de la dématérialisation administrative qui libérera les communaux de certaines tâches pour se consacrer à d’autres et facilitera les démarches des habitants sur tout support numérique et le wi-fi gratuit dans la ville. Pour Vanves plus unie, c’est la ville où chacun, quel qe soit son âge, son quartier, ses origines, puisse grandir, s’éduquer, travailler, et bien vivre ensemble, à travers plusieurs actions : valoriser une identité vanvéenne avec l'embellissement des entrées de ville, la promotion de clubs de supporters, une signalétique spécifique commerces et un concours pour la création de spécialités vanvéennes. Favoriser les activités pour tous et pour tous les âges, avec un pass loisirs culture et sport avec un politique tarifaire incitative et une saison culturelle pluridisciplinaire pour tous, les séances de cinéma au Parc Pic l'été et un festival "talents dans la ville"

    VAQ - Quelles sont les premières propositions que vous allez mettre en chantier si vous êtes élu ?

    A.D.S : « Nous commencerons par faire immédiatement, car ce n’est pas compliqué, une analyse des besoins sociaux (ABS). Nous avons besoins qui évoluent et des moyens contraints qui peuvent être ainsi orientés au plus prés des priorités ou des besoins plus pertinents. La seconde mesure, parce qu’elle n’est pas énormément couteuse, est la mise en place des instances participatives. Certains existent mais qui doivent être complétement refondus comme les conseils de quartier et le Conseil Municipal des Jeunes qui ne correspondent pas à ce qu’attendent les vanvéens, d’autres seront crées comme le CESE (Conseil Economique, Social, environnemental) local de façon à y associer des citoyens nommément en raison de leurs compétences et de leurs notoriétés, mais aussi des acteurs collectifs comme des associations ou des organisations locales, comme la JCE par exemple parce que en tant qu’organisation, elle le mérite, mais parce que je sens qu’aujourd'hui, elle est composée de jeunes extrêmement dynamique et attentif à la vie de la cité.. Enfin, je m’investirais, parce que le calendrier l’impose,  et parce que j’y crois, sur la préfiguration de la MGP. Cette phase peut permettre d’améliorer et d’infléchir un certain nombre de choses, corriger et préparer les phases de transition. Rien ne sert à s’opposer à la loi. Il vaut mieux s’y investir,infléchir, ajuster. Et c’est une chance pour nos communes dans le territoire élargi qui est le nôtre

    VAQ - Est-ce que ce ne sera pas compliqué de gérer une ville comme Vanves avec une baisse des aides aux collectivités locales ?

    A.D.S. : «  Ce sera certainement difficile, d’autant plus que, sauf évolution très favorable au budget 2014 que j’ai vu lors du DOB (Débat d’orientation budgétaire), il y a une épargne nette de 13 000 € alors que les années précédentes, nous étions à 2,5 M€. Ce sera donc difficile d’agir avec un budget qui est fabriqué par d’autres, avec un gel des dotations d’état qui ne sont pas tout à fait récentes, puisque ce n’est pas ce gouvernement qui a commencé à l’appliquer, mais qu’il a raison de reconduire car rien n’est pire que de revenir en arrière, alors que des économies s’imposent à tous les niveaux, si on veut diminuer la dette publique, dégager des marges.

    Mais si l’on revient à GPSO, nous avions une taxe professionnelle (TP) très forte, qui a été supprimée sous Sarkozy, ce qui a impliquée une réduction brutale des ressources à GPSO, puisque nous avons une activité économique qui en rapportait beaucoup. Ce gouvernement a tenté d’infléchir les conséquences en autorisant les communes à prélever une taxe sur les droits de mutations. Mais il ne peut pas revenir en arrière sur ce séisme de la perte de la TP qui va dans le sens de l’histoire, et tout le monde y a participé. Quand on veut bien faire les choses, il faut soit baisser les dépenses, soit augmenter les ressources, soit ajuster pour satisfaire les besoins prioritaires, et il y a des réductions de dépenses que l’on peut faire, y compris avec la dématérialisation.

  • CARNETS DE CAMPAGNE MUNICIPALES A VANVES : CE N’EST PAS SUR LE WEB, NI FACEBOOK, NI TWEETER QU’UNE CAMPAGNE SE GAGNE !

     

    La campagne officielle pour le 1er tour des municipales, au cours de laquelle plus de 900.000 candidats vont se disputer les suffrages des électeurs, a commencé depuis lundi 10 mars 00h,  avec l'apparition des premières affiches sur les panneaux électoraux, comme ce fut le cas à Vanves. Entre 00H et 3H lundi matin, 3 à 4 équipes mobilisées par Bernard Gauducheau ont apposées les affiches officielles de la liste « Vanves avec vous »  sur les 19 panneaux électoraux, ce qu’ont pu constater les vanvéens en se réveillant et en partant au travail. Et le maire a accompagné ses équipes constituées surtout d’anciens et de « vieux de la vieille » des campagnes électorales de l’UMP et de l’UDI, sans aucun des jeunes co-listiers qui n'ont pas goûté aux joies du collage.  Les socialistes ont commencé à afficher leurs affiches lundi soir seulement.  Les militants UMP/UDI ont miontré leur savoir-faire en prévoyant un fonds sur lequel mettrent les affiches officiles, alors que les militaqnts sociaistes ont plutôt fait du "brut d'affichage".  Ainsi, il n’y a rien de tel que les bonnes et vieilles recettes pour faire campagne, affiches, tracts, porte à porte, réunions d’appartements… car ce n’est pas sur le web qu’une campagne se joue ou se gagne, ni sur Facebook et tweeter. Il suffit d’écouter les spécialistes en la matière qui se sont penchés sur Vanves et d’autres villes

    Première leçon : « Ce n’est pas sur le web qu’une campagne se joue ou se gagne. Vous n’allez pas sur ce média, changer le paradigme politique d’une personne qui est le fruit d’une éducation, de pensées. Ce n’est pas sur le web, en faisant énormément de contenus que l’on va changer la perception des gens.  Le web est un outil qui peut structurer des militants comme l’a fait Obama  qui s’est servi du Web d’une manière exceptionnelle. Et il a gagné grâce à cela. On mobilise, on structure et on anime ses troupes. Il n’en a pas fait plus. Pour  une campagne municipale, c’est différent parce qu’il est difficile d’installer un site dans le temps, d’avoir de l’audience et de faire en sorte qu’il y ait du monde ». Ce qui n’empêche pas d’être présent sur Internet, chaque liste à Vanves, disposant d’un site, car il n’est pas question d’être absent.  « Un nouveau souffle pour Vanves » (PS)  a  choisi de faire un site « vitrine » dans lequel les électeurs retrouvent l’équipe, le programme et des informations sur la tête de liste conduite par Antonio dos Santos. Les socialistes ont choisi de gérer l’actualité sur  Facebook, et les réseaux sociaux car « c’est là que tout se joue » à les entendre. C’est en tous les cas,  leur  parti pris, avec un souci économique : « on s’est dit qu’on  ne va pas mettre la priorité sur un terrain sur lequel on ne croit pas au niveau budget campagne. On a cherché,  par contre à avoir quelque chose d’assez propre, d’assez clair, d’assez beau, sans vouloir tout faire » explique l’un des animateurs du site. Certains vanvéens ont  considéré qu’il n’y avait pas assez de contenus. 

    Les écologistes  ont utilisé une plateforme qui existait déjà, qu’ils ont quelque peu transformé pour la campagne, après quelques bugs au départ. Ils ont insisté sur le fond, mais leur audience ne doit dépasser 5 visites par jour selon les spécialistes. La liste « Vanves avec vous » a fait toutes les erreurs qu’il fallait éviter : Aller chercher tout ce qu’il y a sur le web aujourd’hui, et essayer de  compiler tout cela, avec des rattachements ou des renvois  à tweeter, facebook,  du contenu… « C’est un peu Internet pour les Nuls que l’on retrouve, sans parti pris, sans se dire que ce que je fais, cela va être vu autrement que par les gens qui sont dans l’équipe. C’était bien il y a 5 ans ou 6 ans au moment où le web pouvait faire une campagne. Ce n’est plus le cas. Il y a une erreur assez stratégique » selon ce spécialiste. Beaucoup de choses non relues, beaucoup de fautes d"orthographes, des couleurs mal choisies.

    Seconde leçon : Comme le blog l’a dit, cette bataille de tweets notamment entre les deux listes UMP/UDI et PS, passe vraiment au dessus de la tête des vanvéens. « Sur tweeter, les équipes de campagne sont entre elles, mais les vanvéens  n’en savent rien du tout, à quelques exceptions prés. Ce  n’est pas le tweet qui fera l’élection. Ainsi, ils mettent beaucoup d’énergie sur pas grand chose au lieu de la mettre ailleurs. C’est du centrisme ! » indique ce spécialiste pour qui « Tweeter est un canal assez intéressant, parce que par rapport à Facebook, vous ne choisissez pas qui vous suivez. Il y a une sorte d’asymétrie de la relation. Je peux suivre quelqu’un sans être suivie. On n’est vraiment plus dans une sphére publique comme sur  Facebook, mais plus dans une sphére privée. N’importe qui prend la parole dans tweeter et elle a un poids.  Elle est devenue un exutoire de violence. On le voit au quotidien. Avant,  les gens venaient expulser leurs pulsions dans un stade,  Maintenant, c’est sur tweeter que cela se passe ».

    Il n’en reste pas moins que les rares vanvéens qui ont accés aux tweets de campagne, sont étonnés par  la violence et l’agressivité de certains tweets, de certaines personnes qui provoquent et sont agressives. Même le compte officiel  de la liste « Vanves avec vous » a  des tweets curieux, violents, et ont même étonnés certains habitués de ce genre de communication qui ont trouvé cela complément déplacé de la part d’une parole soi disant officielle. Que certaines personnes de l’équipe, quelle qu’elle soit, en leur nom propre, soit un peu agressif, pourquoi pas, car cela fait parti du jeu d’une campagne électorale. Mais pas du fait de la parole officielle du compte « Vanves avec Vous » alors qu’en face,  le compte officiel  de la liste « Nouveau souffle à Vanves » ou de son candidat, il n’y a jamais eu de dérapages. Mais plus on s’approchera de l’échéance du 23 mars,  et plus chacun va essayer d’amener l’autre au combat, le PS ne cherchant pas à répondre aux provocations de 3 à 4 co-listiers de la liste UMP/UDI.

  • PORTRAITS DE CAMPAGNE MUNICIPALE A VANVES : GUILLEM GERVILLA : « Vanves n’a pas la vocation à être la niche de M.Santini ! »

    Dans le cadre des élections municipales de Mars 2014 de nouveaux visages apparaissent dans le paysage politique vanvéen, qu’ils soient ou non candidat sur une liste : C’est l’occasion de les rencontrer, de les interroger sur leurs motivations à être élu sur une liste, et à vouloir servir les vanvéens, ou à soutenir l’une des 4 têtes de listes qui seront présentes à cette élection. Bien sûr  lorsque c’est possible, car il n’y a, de la part, de ce blog, aucune exclusive, alors que d’autres préfèrent s’en réserver la primeur par tactique électorale. Vanves Au Quotidien s’est intéressé à Guillem Gervilla, jeune étudiant de 20 ans en classe préparatoire en Maths Sup  au lycée Charlemagne, un an après Michelet qu’il avait choisi alors qu’il a fait toutes études et vécut  à Toulouse après être né à Barcelone : « Lorsque j’ai mes demandes de prépa, j’avoue que le lycée Michelet m’avait plu, notamment parce qu’il était prêt de Paris, relativement compétitif.  Je n’ai pas été interne dés la première année, alors que je venais de loin (700 km). Mais j’ai réussi à décrocher  l’internat en deuxième année parce que j’ai une mention « A » en 1étre année. C’est un très beau et bon  lycée parce que nous avons une équipe pédagogique très compétente, et surtout un proviseur remarquable, Patrick Sorin avec lequel j’ai eu l’occasion de discuter plusieurs fois en tête à tête. Il m’a soutenu pour des prises d’engagements citoyens, parce que c’est le rôle d’un proviseur d’encourager ses élèves à s’engager dans la vie citoyenne. Mais j’ai été marqué par son discours devant les élèves de la promotion alors qu’il les reçoit tous à la Rentrée, hypokagne, ECT, ECS… où il expliquait qu’effectivement, le lycée Michelet n’était pas au niveau de Louis le Grand et Henri IV, mais ce n’était pas  ce qu’il recherchait ? C’est à dire qu’il  recherchait des jeunes qui ne s’étaient pas donné les moyens d’exploiter toutes leurs potentialités, et que c’était le rôle de Michelet de faire en sorte qu’ils se réalisent. Cela m’a parlé tout de suite, je me suis senti concerné » explique ce jeune étudiant qui vit maintenant dans son appartement à Vanves et vise Central Paris ou Polytechnique.

    Vanves Au Quotidien - Qu’est-ce qui a décidé… à vous engager sur une liste aux municipales ?

    Guillem Gervilla : « Mon engagement sur la liste découle de mon engagement au PS, lors des élections présidentielles de 2012 après les primaires que F.Hollande a remporté face à Martine Aubry. J’ai ressenti le besoin de m’engager parce que j’avais senti la déception des gens après le quinquennat de Sarkozy, et que je n’avais pas envie que l’on reparte  avec lui. Je me suis dit qu’il y avait une alternative crédible, une possibilité de rassembler que l’on n’avait pas en 2007 avec Ségoléne Royale. Là nous avions un parti regroupé. J’ai rencontré à ce moment là, Jean Cyril Le Goff qui m’a convaincu de rejoindre la section PS de Vanves qui est particulièrement intéressante. J’étais en première année de Maths Sup au lycée Michelet. On avait des examens de 4H tous les samedis matin. Je suis passé devant la Poste, il était en train de tracter, on a discuté, et je suis venu les aidé. Je n’ai pris ma carte qu’en Novembre 2012.

    VAQ - Comment vivez-vous cette campagne municipale ?

    G.G : «  Cette campagne a commencé voilà très longtemps, car j’ai participé aux différents groupes de travail qui ont été mis en place en janvier 2013 au sein du PS pour établir ce programme. C’est excitant de voir ce que cela donne, car c’est ma première campagne locale. J’ai dirigé le groupe de travail sur la santé, l’éducation, la formation, la prévention. Cela permet de mieux connaître la ville, de trouver ce qui ne va pas, de chercher à trouver ce qui peut être mieux fait, sur tel ou tel point concret, avec des solutions. Cette campagne est l’aboutissement de ce travail là, mais le plus beau reste à faire, avec cette campagne de proximité, porte à porte, réunion de proximité, au format novateur. Et c’est une première pour moi, car je découvre, ce que l’on voit dans les films hollywoodiens. Je m’occupe du site Internet avec M.Goavec.

    VAQ - Comment artive t-on à concilier prépa et campagne ?

    G.G. : « On prend le temps. Là où d’autres feraient de la natation, du foot, je fais de la politique parce que c’est quelque chose qui m’intéresse pour la ville et défendre mes idées.

    VAQ - Qu’est-ce qui vous a le plus étonné dans cette campagne jusqu’à présent ?

    G.G. : « Que l’on parle beaucoup du manque de crédibilité des politiques, de leur discrédit après les affaires. Et pourtant lorsqu’on vient parler du local, les gens nous écoutent. On voit que le maire, les élus locaux sont les gens envers qui, ils ont le plus confiance, car ce sont, effectivement, les plus proches. Et ils croient plus au changement que l’on peut leur apporter. C’est cela qui me donne plus envie de me battre.

    VAQ - Qu’est ce qui vous semble le plus important à défendre dans le projet de  votre liste ?

    G.G. : « Tout ! Si j’ai commencé à être à gauche, c’est parce que je vivais seul avec ma mère, et elle m’a toujours dit que la gauche s’intéresse aux gens qui ne sont pas dans la meilleure situation, parce qu’ils  estiment que leur voix compte tout autant. C’est pour cela que je me suis intéressé à la gauche, et je défends une gauche qui sait prendre des responsabilités, ce que cela implique de gouverner. On croit à la justice sociale, sans pour autant oublier les réalités. Quand on propose aux personnes vulnérables de les accompagner pour retirer de l’argent à la banque, pour raccompagner les élèves seuls à la sortie de l’école… Ce n’est pas une gauche qui élude les problèmes et qui va parler d’aides sociales…mais qui s’intéresse à une jeunesse à laquelle le maire ne parle pas.

    VAQ - Si vous étiez élu à la mesure, quelles seraient les 2 à 3 premières mesures prioritaires à prendre ?

    G.G. : « En terme de santé, la création d’une maison médicale ; d’emploi, le maintien de la maison de l’emploi ; de petite enfance, la garde avec des structures d’accueil. Ce programme est chiffrable et réalisable. Vanves devra s’inscrire dans le Grand Paris. En tous les cas, lorsque je lis dans le parisien un article où André Santini parle de ses collaborateurs comme des animaux, de compagnie, je crois que Vanves n'a pas vocation à être la niche de M.Santini

    Quand M. Santini pzrlede ces coléborateurs come des animaux der compazgnie dans led Parisien. Je crois que Vanves n’a pas vocationà être la niche ded M.Santini

    Quand M. Santini pzrlede ces coléborateurs come des animaux der compazgnie dans led Parisien. Je crois que Vanves n’a pas vocationà être la niche ded M.Santini

    Quand M. Santini pzrlede ces coléborateurs come des animaux der compazgnie dans led Parisien. Je crois que Vanves n’a pas vocationà être la niche ded M.Santini