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hachette - Page 3

  • VANVES PAR LE PETIT BOUT DE LA LORGNETTE

    STADE DE VANVES : PROBLEMES DE CRENEAUX HORAIRES

    La section Hand ball du Stade de Vanves vient de ruer dans les filets en posant le problème des créneaux horaires et des occupations de gymnases en mettant en cause la section basket. Un véritable brulot envoyé par l’un de ses dirigeants bénévoles par  mail à des membres du Comité Directeur du Stade de Vanves  : « Il faut savoir que la section Basket, utilise en grande partie, la majorité des creneaux de gymnase de la ville : Roche, Magne, Michelet. Même à certain moment, de la journée, ils ont les deux principaux gymnase ( Roche et Michelet) en même temps. Ce qui n’est pas normal » explique t-il en ajoutant :  « Nous avons demandé à la section Basket de déplacer leur école le samedi matin au gymnase Roche (qui est vide), pour nous laisser le creneau du Mercredi soir à Magne de 18h30-20h. Elle a refusé, car soit disant les parents ne veulent pas, alors qu’au Hand, la section et les parent n'ont pas le choix. Et  nous ne pouvons pas disposer du gymnase Roche, à cause de la tribune métallique, car la salle est trop petite et dangereuse pour la pratique du Handball ».

    Mais il n’y a pas que l’école de hand à être victime du Basket. Il y a aussi l’équipe premiere de Hand qui évolue en National 3, joue et s’entraine à Meudon (au gymnase Bec) : «  Les dirigeants de la section hand sont obligés de se couper en deux lorsque Vanves reçoit, entre les matchs qui se jouent à Magne, et l'équipe premiere à Meudon. C'est un sacrée boulot, gérer les deux salles, transporter le matériel, les journée du samedi sont bien rempli, et il faut aussi remettre ça le dimanche. De plus nous avons aussi une équipe qui s'entraine là bas tous les lundi soir. Car ils n’ont pas le choix. Et l'hiver il faut allez s'entrainer à Meudon la fôret, dans un gymnase ou il n'y a aucun transport en commun, mis à part la gare RER de Meudon Bellevue, à 20 min à pied, !  Il faut prendre les voitures » explique ce dirigeant bénévole très en colère. Mais on peut le comprendre ! D’ailleurs cela rappelle l’époque d’avant les courts couverts du tennis, où des dirigeants du tennis occupaient le gymnase André Roche pour des parties de tennis en salle le samedi matin. Et à ce moment là, c’était la section Basket qui ruait dans les filets, parce qu’elle ne pouvait pas l’utiliser pour son école de basket.   

     

     

    CHANTIERS : UN SITE INTERNET POUR HACHETTE ET DES SENTINELLES POUR A.BRIAND

    Deux initiatives sont prises par la municipalité de Vanves pour Informer, expliquer, ouvrir le dialogue sur les chantiers en cours sur son territoire. Telles sont les missions assignées au blog « Chantier 58 Bleuzen » qui est mis aujourd’hui en ligne par la Ville de Vanves ( www.chantier-58-bleuzen.vanves.fr). « Démarré à l’été 2012, le chantier du 58 rue Jean Bleuzen à Vanves offrira à l’horizon 2014 un nouveau visage à cette adresse retenue par Hachette Livre pour l’implantation de son futur siège social. Le premier éditeur de France a en effet choisi Vanves pour héberger son nouveau siège social conçu par l’architecte Jacques Ferrier, concepteur notamment du « Pavillon France » lors de l’Exposition Universelle de Shanghai 2010 » indique un communiqué de presse de la ville. « Le blog Chantier 58 Bleuzen a été conçu comme une passerelle entre la Ville, les acteurs du chantier et les Vanvéens, dans un souci d’information et de transparence » ajoute ernard Gauducheau. Ainsi ce site comprend une présentation exhaustive du projet, un suivi richement illustré de l’actualité du chantier semaine après semaine, une foire aux questions très utile pour l’information des riverains, un formulaire de contact permettant aux Vanvéens de poser directement leurs questions, demandes ou remarques aux différents acteurs du projet.

    Une semaine plus tard, le mardi 23 Octobre à 19H30, le maire animera la ptemière réunion du comité de suivi d’Aristide Briand  à l’ex-école mateernelle provisoire. Cette instance de concertation inédite rassemblera des sentinelles, c'est-à-dire des citoyens volontaires qui résident à proximité des chantiers, des élus, des responsables de services municipaux sous la responsabilité d’un coordinateur chargé des relations et du suvi des actions en directions des entreprises et des promoteurs. Il s’agit de limiter l’impact des chantiers pour les riverains. Occasion de rappeler la liste de ces chantiers : MARTEK Promotion à l’emplacement de l’ex-imprimerie, sur 3600 m2 SHON avec trois bâtiments de R+4 à R+7, de 60 logements. AREKA Developpement  avec un immeuble R+3 de 26 logements avec 26 parkings, construit sur un  terrain de 785 m2 Shon à l’entrée de la villa des Matraits. Une autre résidence comprenant deux immeubles de 4 étages rue RenéCoche, l’un en façade accueille des logements (12) avec porte cochére, façade traitée avec de la pierre et du zinc, l’autre derrière des duplex (2) et une petite coulée verte.  Enfin, sur l’ex-Cat, Vinci, une résidence classique beaucoup mieux intégré dans le site pavillonnaire et résidentiel, en jouant sur la déclinivité du terrain sur ses 1700 m2 de surfaces constructibles : 34 logements en accession avec 25 répartis dans deux cages d’escaliers, porche d’entrée, et 8 duplex dans l’autre bâtiment derrière.

  • VANVES SOUS LA RIGUEUR D’UN HIVER PRECOCE QUI SUSCITE DES QUESTIONS

    C’est un véritable marronnier, dans le terme journalistique, qui revient chaque année au même titre que l’immobilier, les retraites, les feuilles mortees qui font glisser et déraper nos trains de banlieue (dans le JDD et le Parisien de ses de’rnières semaines) dés que le thermométre descend en dessous de zéro pour atteindre cette semaine – 9 aujourd’hui ou demain dans notre commune et la région, comme ce fut le cas au début de cette année. Mais ce ne sont pas encore les 25 cm de neige et les -15,3 degrés enregistrés à Orléans, les -16,8° en Eure-et-Loir, la région Centre ayant pulvérisé ses deux jours de nombreux records, qui remettront en cause le réchauffement climatique, selon un expert de Météo France. En tous les cas, neige et gel suscitent des questions lorsque le maire de Vanves rencontre ses administrés.

     

    Rappelez-vous les terribles hiver de 1985, 1986 et 1987…  annoncé par de petites rigueurs en 1984. Vanves Infos avait relaté particulièrement en Février 1987 les « intempéries hivernales » avec des photos de Vanves croulant sous la Neige. Certains se souviennent de ce banquet des aînés qui se déroulaient alors dans l’un des restaurants du Parc des expositions où arrivés sous un ciel plus ou moins clément, les cars repartirent difficilement dans les rues enneigées de nos communes.  Nos parents ou grands- pourraient  nous rappeler le terrible trio de 1940-41-42 durant la seconde guerre mondiale suivis par les grands froids de Février 1956, de décembre 1962 et de Janvier-Février 1963.

    Vanves comme toute la Région parisienne a connu ses jours et ses nuits les plus froide comme durant les hivers 1985-86-87, où la température était même descendu jusqu’à moins 16° en plein centre de Paris (quartier du Marais). Mais ce n’était pas le record enregistré le 10 Décembre 1879 avec – 23,9°.  Ce qui est très rare car le caractère océanique du climat francilien se traduit par des hivers frais (des étés modérés et des pluies médiocres) de plus en plus perturbé par la densité de l’urbanisation. Du coup l’hiver est devenu plus doux, le brouillard et les brumes ont plus ou moins disparu (100 jours par dans les années 20, une douzaine actuellement),  les pluies sont moins fréquentes et le soleil brille plus longtemps comme l’ont constaté des spécialistes de la climatologie qui se sont intéressés plus particulièrement à l’Ile de France.

     

    Les écarts de température entre le Grand Paris (Paris et son agglomération) et la région Ile de France (Grande Couronne) varient de 4° C à 6 C° en hiver. Et ses 2°C d’écart se vérifient si vous montez sur le plateau du Petit Clamart à Béclére par exemple. Et c’est particulièrement visible en hiver, car cet écart peut être de 14°C entre un quartier très dense du Grand Paris et une vallée verdoyante et peu habité des Yvelines. Et notamment pour les températures nocturnes : les points les plus chauds sont le 9éme arrondissement de Paris (1°C à 1,5°C en plus) en hiver et les quartiers centraux situés à quelques distances de la Seine, généralement sans espaces verts et à forte densité de bâtiments.

     

    De même et sûrement entre le Plateau et le quartier du parc F .Pic ou du PMS André Roche, car les espaces verts font sentir leurs influences sur plusieurs centaines de métres. Il suffit de se promener dans la rue JB Potin lorsque les premiers gels se sont sentir. Tous les véhicules au dessus de la porte d’entrée du parc entre les HLM sur pilotis et les cours de tennis sont blancs le matin, pas ceux qui se trouvent en dessous. Sauf évidemment en cas de grands froids où ils sont tous logés à la même enseigne.  D’ailleurs durant les journées de grand froid et de neige, dans cette rue comme d’autres, qui ne sont pas encore sous le régime du stationnement payant, nous assistons à un phénoméne curieux : Des places disponibles à des heures où ce n’est généralement pas le cas. A croire  que certains ont quand même garé leur véhicule dans leur parking.

     

    Alors que nous commencons depuis quelques jours à subir le gel et ses conséquences, les jours de gel ont diminué en Ile de France : 54 au début du XXéme siécle, plus d’une vingtaine actuellement avec des variations importantes entre les quartiers du Grand Paris (14 à Montsouris, 4 à la Tour Saint Jacques) et des villes comme Trappes (58) et Melun (63). Sans parler du vent dont la densification augmente les effets, comme peuvent quelquefois le constater les habitants du Plateau.

    Enfin, malgré l'apparent paradoxe, cette vague de froid précoce « ne remet pas en cause le réchauffement climatique » nous expliquent les experts de Météo France. Depuis la fin du 19e siècle, la température moyenne de la France s'est élevée d'un degré. « Là où vous rencontriez des hivers à -20 degrés, aujourd'hui ça fait -19. Ce n'est pas parce qu'on parle de réchauffement climatique que d'un seul coup on va avoir des températures positives tout l'hiver et 40 degrés tout l'été ».

     

    L’actualité météorologique a suscité des questions lors de la dernière réunion de quartier publique de cet automne 2010 hier soir à l’école Larmeroux pour les Hauts de Vanves : « Lorsqu’il y a de la neige, je fais le trottoir, et cela depuis 60 ans monsieur le maire », ce qui suscita quelques sourires dans l’assistance. « Ne pourrait on pas avoir du sel ou du sable ? » Daniel Barois, maire adjoint, a alors répondu un peu strictement en « pére la rigueur : « Chaque habitant est tenu de dégager et de balayer la neige devant sa porte ». Du coup Bernard Gauducheau a essayé de rattraper le coup : « L’idée est de responsabiliser les citoyens. Mais nous aidons bien sûr les vanvéens qui ne le peuvent pas lorsque c’est possible ». Et un participant a rebondit sur cette question en indiquant que rue Jean Bleuzen, au début de l’année, des dizaines de personnes ont chûtés devant les siéges d’Hachette, de France 3 Paris Ile de France. « Pourquoi ces sociétés ne font pas leur travail dans ce cas ? » - « En ville c’est compliqué. On a du mal avec les entreprises et les services. Nous dégageons devant les écoles, les créches, en priorité… Mais la neige tombe partout. Il faut partir du principe qu’on n’est pas une assurance risque. Et nous faisons de l’information vis-à-vis des sociétés, des services etc... » a répondu le maire en laissant la parole au représentant de GPSO dont le sang bouillait, parait il : « On met du sel, comme ce fut le cas en Décembre dernier et en Janvier. Mais à -18° cela ne sert rien, car il faut repasser 4H après. Les voies principales sont faîtes en priorité, ainsi que certains trottoirs qui donnent accés à des services publics, ou alors à des services de transports en commun comme l’îlot du métro ou la gare ! ». Du coup le maire fait appel à l’indulgence. Un autre participant parle du sable plutôt que du sel qui est rejeté dans les eaux et pollue. « le sable est moins eficace que le sel. En encore, comme je vous l’ai dit. A -18°, il fait repasser ! ».   

  • LE PLATEAU DE VANVES : ENCORE ET TOUJOURS

    Plein d’autres sujets ont été abordés durant cette réunion de 2H40 à l’école Marceau Lundi soir devant une assistance nombreuse et participative qui n’a pas assez goûté au thé à la Menthe offert par l’un des habitants de ce quartier de vanves, bien connu, de l’association Tous Ensemble

     

    Dans cet exercice, le maire excelle dans les petites phrases au détour d’une présentation ou d’un exposé. En présentant les élus présents, Bernard Gauducheau en parlant d’Alain Toubiana, conseillermunicipal chargé des entreprises, des commerces, du marché, n’a pu s’empecher d’ajouter : « On dit souvent que l’on n’a pas de maire adjoint chargé du commerce. Mais on a un élu qui est chef d’entreprise lui-même. Et c’est mieux ! ».

     

    VERBALISER LES CONTREVENANTS !  

    Evidemment les habitants se sont plaints de divers petits maux qui ont échappés à la sagacité de nos élus : Ses voitures qui stationnement rue Pasteur face au café. « C’est dangereux alors que c’est interdit ! ». Et surtout la saleté de nos rues et de nos places dont se plaignent sans cesse les habitants face à un maire qui répond que ses services restent très vigilants. « Mais je ne peux pas être avec ma baguette magique derrière tout le monde. C’est une question d’éducation ! D’ailleurs nous allons entrer dans une période où les gens devront retrousser leurs manches. Il va falloir arrêter de demander de tout faire au maire comme au président de la République ».

    Avec Mauricette Noyer, Adjoint au Maire chargée du Plateau, il a parlé de ses habitants qui jettent tout sur les trottoirs, sans respect pour personne, qui ne respectent pas les interdictions de circuler et de stationner dans les voies piétonnes, obligeant de multiples fois la mairie à réparer les bornes de la rue Jean Jaurés (2650 € à chaque fois). « Nous réfléchissons maintenant à verbaliser ses actes, car les gens ne comprennent pas ! ».

    D’autres se sont plaints du bruit fait par certains commerçants très tôt le matin, et de ceux qui n’utilisent pas les containers qui leur sont attribués pour leurs déchets, ou des clients de Macdo qui se garent n’importe où et ne rspectent rien.

     

    UN MAIL POUR LA VILLE

    Le maire en a profité pour présenter et défendre ces projets, notamment immobilier avec cet immeuble qui sera construit à l’angle des rues Sadi Carnot et Danton pour la SCA Danton (SMI) pour du personnel militaire : 43 logements locatifs dont la première pierre a été officiellement le lendemain matin de cette réunion. Ensuite de voirie avec le Mail Sadi Carnot entre la place du 8 Mai 1945 et la place du Val (du Maréchal de Lattre de Tassigny) qui lui est très cher et qu’il a dû retarder après avoir interverti ce projet avec l’aménagement de la place de la République qui était urgent à réaliser. « Ce mail sera aménagé sur 3 ans à partir de la fin 2010, sur 800 m pour les piétons, les vélos, avec suppression des trottoirs, réfection de l’éclairage, suppression du stationnement… On recherche ainsi à redonner vie à nos villes ! » a-t-il expliqué.

     

    INVENTAIRE DU PLATEAU

    Il a prévu de lancer un inventaire complet sur la répartition des espaces publics et privés sur le plateau afin de pouvoir s’y retrouver et faciliter les interventions pour requalifier certains secteurs de ce quartier, comme la rue Auguste Comte qui en a bien besoin. Il a expliqué que la ville a toujours la volonté de récupérer un étage de parkings (100 places) aux Papillons. Mais le projet a pris du retard car la BSPP (Brigade des Sapeurs Pompiers de Paris) a demandé d’ajouter quelques travaux de sécurité dont le montant avoisine 700 000 €. « Comme la communauité d’agglomération doit élargir ses compétences, nous allons chercher à ce qu’elle prenne en charge ses travaux ». Il a annoncé que le groupe qui est présent à Vanves rue Jean Bleuzen avec 300 employés, a l’intention d’agrandir son immeuble pour y accueillir 700 personnes