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gpso - Page 9

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    HACHETTE : REGROUPEMENT A VANVES

    Pour des raisons d’économies demandées par leurs actionnaires, les deux premiers groupes d’édition français, Hachette et EDITIS vont intégrer le personnel de certaines de leurs filiales dans les locaux de leur maison mère selon le journal Le Monde : « Quitte à tenter une opération au chausse-pied, en pariant sur les vertus du télétravail » selon son commentaire. Ainsi les représentants du personnel d’Hachette ont été récemment avertis par la direction que près de 250 salariés, issus notamment de la maison d’édition scolaire Hatier, allaient rejoindre les bureaux d’Hachette Livre, situés rue Jean-Bleuzen. Ils quitteront donc leurs splendides locaux – le siège historique d’Hatier – rue d’Assas, dans le 6e arrondissement de Paris, qui pourrait, à terme, être vendu.

    ACTUALISATION DE TARIFS DU CINEMA

    Comme chaque année, le conseil municipal a actualisé plusieurs tarifs et notamment ceux du cinéma Le Vanves : il augmente de 20 centimes passant à 7,20  pour le plein tarif, à 6,20  pour le tarif réduit, avec une carte de 10 entrées à 50 €  avec création d’un tarif de 2 € pour l’achat de chaque carte magnétique rechargeable

    ACTUALISATION DU PERIMETRE DE L’EPFIF

    A l’occasion du dernier conseil municipal de l’année, voilà une semaine, la municipalité  a recentre l’action de l’Etablissement Public Foncier d’Ile de Franc (EPFIF) dans la commune sur le Clos Montholon. Il a profité du renouvellement de la convention tripartite entre la ville, GPSO et l’EPFIF,  pour abandonner l’action foncière sur les secteurs « Rue d’Issy » et « Raymond Marcheron » suite à des permis de construire délivré sur ces sites.

    Seul le secteur « GPE Clos Montholon » au bout de ce triangle constitué par la rue du Clos Montholon, les avenues de la Paix et du  Général de Gaulle, face à la gare fait l’objet du prolongement pour 3 ans cette convention : Ce secteur est constitué de 19 parcelles abritant 12 pavillons, un bâtiment industriel, 2 immeubles en propriété où l’EPFIF a déjà acquis 4 maisons et le bâtiment industriel. Une réflexion est en cours avec GPSO pour engager une procédure de dévlaration d’utilité publique, et pour actualiser les dispositions sur  la qualité environnementale des constructions en fonction des objectifs de transition écologique définis dans le programme de l’EPFIF : contribuer à l’objectif de zéro artificialisation des sols, contribuer au maintien de la biodiversité et au développement de la nature en ville, réduire l'impact carbone des bâtiments avec notamment l'utilisation de matériaux bio-sourcés etc… C’est dans ce bout de triangle d’or de l’immobilier vanvéen que seraient prévus des commerces dont une supérette  quimanquent dans ce nouveau quartier

  • DU WHITE TUESDAY AU BLACK FRIDAY, VANVES PRESQUE TOUT EN BLANC

    La tempête Caetano qui a traversé toute la France d’Est en Ouest, Jeudi et en cours de nuit de jeudi à Vendredi  a provoqué un premier épisode hivernal précoce pour la saison, avec des vents violents et de la neige (4 cm à Paris, 7 cm à Orly). Sous l’influence d’une descente d’air polaire, les températures ont chuté à des niveaux dignes d’un mois de janvier. Mais elles remontent ce week-end sous l’impulsion d’un courant de sud-ouest, avec une perturbation qui touchera à la marge les côtes de la Manche.  La hausse des températures se poursuivra dimanche avec une douceur remarquable et des maximales pouvant approcher les  15°à 17° à Paris, 20 °C au nord, les 25 °C dans le Pays basque.

    Les franciliens avaient été prévenus, mais la neige a semé la pagaille sur la route, avec 300 km de bouchons cumulés lorsqu’elle a commencé de tomber Jeudi,  et dans les airs et sur les rails, avec des retards. Les autorités avaient anticipé cet épisode neigeux et déclenché le plan « neige-Verglas » qui entraîne un abaissement de la vitesse de 20 km/h jusqu’à l’amélioration des conditions météorologiques ».  Tant le département des Hauts de Seine que GPSO venaient de communiquer sur le déclenchement du plan hivernal du 15 Novembre au 17 Mars prochain. Leurs agents ont été tout de suite mobilisé pour assurer des conditions de circulation selon les dispositifs du plan de viabilité hivernale.

    Pour le département, 160 agents de voirie sont susceptibles d’intervenir. Un suivi météo quotidien et une surveillance du réseau routier dès que les températures chutent sont réalisés. En cas de précipitations neigeuses ou verglacées,  comme ce fut le cas, ce jeudi, ils interviennent pour le raclage et le salage des voies de circulation. 40 agents sont placés sous astreinte prêts à intervenir 7 jours/7 et 24 heures/24.  32 saleuses équipées de lames de déneigement et 4 000 tonnes de sel sont mis à leur disposition. Si nécessaire, des réapprovisionnements en sel sont réalisés pendant l’hiver. Il en est de même à GPSO où ses agents disposent de saleuses, lames de déneigement, chargeurs, épandeurs, traceurs GPS, stocks de sel… avec réapprovisionnements des dépots de sels : 1 500 tonnes sont disponibles en cas de besoin.

    Dés jeudi matin, les services de la Ville de Vanves et les équipes de GPSO ont identifié les zones à risque et sont mobilisés pour sécuriser les déplacements : Pré-salage des rues et routes depuis le début de la journée, salage régulier des trottoirs aux abords des crèches, des écoles et des différents bâtiments communaux, traitement des trottoirs glissants par Véolia Propreté, pose de moquettes sur les accès du métro et sur la place de la République. Le parc F.Pic a été fermé jusqu’à Vendredi.  En tous les cas, sur les réseaux sociaux, nombreux ont été vanvéens à faire paraitre des photos sur leur quartier presque blanc

  • LA RUE RAYMOND MARCHERON A VANVES ENTAME SA REQUALIFICATION SOUS LA CONTESTATION

    « Le chantier de la Rue Raymond Marcheron à Vanves va perturber toute la ville. Est-ce que les conséquences ont été bien mesurées ? » s’est interrogée l’association des Riverains de la rue Marcheron (ARRM) qui s’inquiétait de sa mise en sens unique de cette pendant 11 mois – alors qu’il était précisé pendant les réunions publiques des quartier hauts de Vanves et du Centre Ancien-saint Remy que ce ne serait que durant deux mois – qui va perturber la ville. Un internaute demandait à la ville de rallonger la durée au vert du feu tricolore au bas de l’avenue Antoine Fratacci pour éviter une longue file de voiture remontant jusqu’à la mairie aux heures. « L’entreprise Colas TP, chargée de la réalisation de ce chantier a été sensibilisée afin que celui-ci soit réalisé dans les meilleures conditions de sécurité et de confort » a assuré Bernard Gauducheau maire de Vanves,  dans un courrier dressé à la mi-octobre aux riverains  assurant que « j’ai demandé que toutes les précautions soient prises afin de limiter la gêne que vous pourrez subir ». Ainsi l ’accès aux parkings privés sera maintenu, une continuité piétonne et les accès aux commerces seront assurés. Enfin, une base de vie pour les ouvriers sera installée au niveau de la rue des Frères Chapelle.

    Ce projet a même été contestée  par deux riverains qui voulaient faire stopper les aménagements, jusque devant les tribunaux parce que « aucun aménagement n’avait été prévu pour les cyclistes », ce qui était « en contradiction » avec le « plan vélo territorial 2021-2025 » de GPSO « Le projet de réaménagement de la rue prévoit un dévoiement des flux cyclistes vers d’autres rues, sans aménagements cyclables adaptés », faisaient-ils valoir, en s’inquiétant que les travaux prévus allaient présenter « un caractère définitif » et rendre « impossible tout aménagement ultérieure». Ils demandaient qu’une « nouvelle décision sur la demande de mise en conformité du projet d’aménagement » d’un « itinéraire cyclable » soit prise « dans un délai de deux mois ». Cela pourrait prendre « la forme d’une piste, d’une bande cyclable, de voies vertes ou d’une voie de rencontre », avaient-ils suggéré. Une urgence non justifiée pour les juges puisque, « dès le mois de mai 2023 », ils avaient « vainement demandé la modification  du plan vélo territorial ».

    Il n’empêche que ses riverains comme l’ARRM espèrent que le résultat sera à la hauteur des 2 M€ investis. Comme ce fut expliqué lors des réunions publiques de quartier, ses travaux consisteront à faire la part belle à toutes les mobilités grâce à l’installation de  plateaux surélevés (5) sécurisant les croisements de rues et les traversées piétonnes, de chicanes (9) pour inciter les automobilistes à ralentir, de SAS vélos pour sécuriser les cyclistes d’un accroissement de places de stationnement deux roues (vélos et motos), d’emplacements PMR (2), de places de livraisons (1), et de dépose-minute au droit des commerces, mais une réduction de 37 à 20 places de stationnement. L’éclairage sera entièrement rénové ainsi que les trottoirs (élargis de 1,80 m à 2 m) et la chaussée. La végétalisation de la rue sera poussée à son maximum, eu égard aux contraintes techniques rencontrées, avec la plantation de sept nouveaux arbres, le réaménagement des abords du square Jean Monnet et la création de nouveaux espaces végétalisés. En parallèle, les aménagements vélos de la rue Aristide Briand seront renforcés pour proposer une continuité cyclable sur un axe sud-nord/nord-sud, dégagée du flux principal de circulation de la rue Raymond Marcheron.