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gpso - Page 12

  • RETOUR SUR L’ACUALITE A VANVES APRES 3 SEMAINES D’INTERRUPTION INVOLONTAIRE

    Pendant ces trois semaines d’interruption involontaire du Blog, beaucoup d’événements se sont déroulés à Vanves ou ont impactés notre commune sur lesquels revient le blog

    Notre ville a tout d’abord a pris un air de vacances depuis le 18 Février, puisque les vanvéens partent ailleurs, notamment à la montagne pour beaucoup. Une équipe de France 3 a d’ailleurs réalisé un reportage au chalet de la Féclaz, début Février sur les 70 ans de la 1ée classe de neige de France. Si quelques jeunes vanvéens profitent d’un séjour de ski pendant les vacances organisé par la ville, ceux qui sont restés à Vanves profitent pour les uns des centres de loisirs, pour les autres des activités de l’ESCAL qu’apprécient leurs enfants selon  un parent rencontré qui citait quelques activités auxquelles a participé son fils comme une après-midi jeux vidéo, une journée McDo, une autre au jeu TV  Fort Boyard…

    La densité malheureuse

    Pour l’actualité locale, le blog s’est arrêté entre le débat d’orientation budgétaire où le futuur budget 2023 a été présenté et débattu lors d’un conseil municipal qui s’est déroulé un samedi matin, le 11 Février  sur lequel reviendra le blog, et la signature fin février de Vanves avec les 7 Communes de GPSO d’une convention d’engagement Ecowatt qui permet de prendre une part active au déploiement des bons gestes en matière de maîtrise de la consommation électrique. Des travaux de requalification de la gare S NCF/Transilien Vanves-Malakoff, ont débuté le 27 Février, visant à mettre en valeur ce patrimoine. ils prévoient la rénovation des façades et des espaces intérieurs, une augmentation de la surface des espaces d'accueil, la modernisation des guichets et des portillons d'accès aux quais.

    Vanves se classe 332e dans le palmarés des villages et villages où il fait bon vivre publiée par le JDD de dimanche dernier, et à la 35e place des communes des Hauts de Seine qui apparait comme le « Paradis de l’Ile de France ». Beaucoup de raisons expliqueraient ce mauvais classement à cause d’une politique de l’urbanisme qui a encore fait 3 victimes ces derniers jours : la destruction des deux pavillons de la rue Raymond Marcheron, et la démolition d’un troisiéme place du Général Leclerc à côté de l’église protestante de Vanves et du terminus du 58, avec des signes de démarrage du chantier rue Solférino, du promoteur Carre  à l’emplacement de trois pavillons en face du Conservatoire d’Ode. Avec cette politique de construction à tout va, Vanves est très loin de sa presque voisine Montrouge, où son maire préconise « la densité heureuse », c’est-à-dire l’art de bien conjuguer « densité et qualité de vie », c’est à dire « rendre la densité actuelle plus acceptable et agréable à vivre pour chacun». A Vanves, c’est tout le contraire 

    Morosité ambiante

    I n’en reste pas moins, qu’en cette Rentrée, on sent une certaine morosité ambiante, alors que les manifestants battent le pavé, les gréves se multiplient contre la réforme des retraites, avec le grand rendez-vous du 7 Mars dans deux jours : « IL y a le Covid et les confinements, la guerre en Ukraine et ses répercussions, et maintenant les problèmes de pouvoir d‘achat »expliquait ces jours-ci un vanvéen rencontré  lors de courses dans une supérettte, où s’on s’attend en ce début mars à une valse des étiquettes. D’ailleurs les enquêtes montrent que la part des ménages qui considèrent que les prix ont augmenté au cours des 12 derniers mois atteint son plus haut niveau depuis 1977, tandis que la proportion de ceux qui estiment que les prix vont continuer à accélérer au cours des 12 mois à venir augmente légèrement et se situe «bien au-dessus de sa moyenne de longue période

    D’ailleurs certains vanvéens ont suivi ce débat des retraites à l’Assemblée Nationale où l’un d’entre eux, Gabriel Attal, conseiller municipal et ministre du budget s’est distingué en se lançant dans la bataille sur un texte impopulaire, par des interventions qui ont frappé, en constituant un duo avec son collégue Dussopt : « Quand il fallait être offensif, Attal faisait ça très bien et quand il fallait répondre dans le détail, il y avait Dussopt » constatait un journaliste politique qui ajoutait : «Il avait envie de se jeter dans la bataille ». Mais à Vanves, ses proches savent que «ce n’est pas sa nature de se planquer ». Pour eux, « Gabriel Attal est le fer de lance du gouvernement, très présent, relativement populaire, adoré dans la majorité et même salué dans les oppositions » comme l’indiquait Séverine Edou conseillére municipale qui twittait à la fin  du débat sur les retraites : « Quelle suffisance ! Vos sourires satisfaits ne sont que le reflet de votre bêtise et de votre manque de respect pour la fonction que vous ont confié certains français. Cette façon de les représenter ne vous fait vraiment pas honneur depuis que vous êtes présents ds l’hémicycle » alors que les députés de la France Insoumises quittaient l’hémicycle en chantant l’hymne des « gilets jaunes » : « On est là, même si Macron ne le veut pas, nous on est là »

  • UN PREMIER SECTEUR CONCERNE DEPUIS LUNDI A VANVES PAR LA NOUVELLE COLLECTE DESDECHETS ALIMENTAIRE DU GPSO

    Un premier secteur de la ville de Vanves est concerné par la collecte des déchets alimentaires depuis 6 février 2023 : IL s’agit de tout les quartier riverain du parc des expositions et du lycée Michelet jusqu’à l’Avenue Victor Hugo, et dans le bas de Vanves entre le parc du lycée, de l’avenue du Général de Gaulle et du Centre Ancien. Des éco-animateurs passeront à partir de fin janvier 2023 chez les habitants des pavillons ou des immeubles pour les équiper et  présenter les bonnes pratiques. Les nouveaux bacs de collecte seront distribués entre le lundi 23 janvier et le vendredi 3 février 2023. Pour ce secteur, deux collectes pour les déchets alimentaires auront lieu chaque semaine (nouveau bac marron) : les mercredi et samedi.

    Le déploiement de la collecte des déchets alimentaires s’effectuera progressivement de 2023 à 2025 sur l’ensemble du territoire de GPSO, et à Vanves dans d’autre secteurs : Lorsqu’un secteur sera concerné, ses habitants recevront un courrier dans leur boîte aux lettres pour les en informer en amont et des éco-animateurs se présenteront à leur domicile pour vous équiper et vous présenter les bonnes pratiques.

    Ainsi,  Grand Paris Seine Ouest (GPSO), «fidèle à son identité de territoire innovant et durable», a souhaité franchir une nouvelle étape en matière de tri des déchets, en lançant progressivement la collecte des déchets alimentaires. «Ainsi, pour la première fois sur un territoire tel que le nôtre, une collecte des déchets alimentaires va être progressivement mise en place à Boulogne-Billancourt, Chaville, Issy-les-Moulineaux, Meudon, Sèvres, et Vanves, Marnes-la-Coquette et Ville-d’Avray en bénéficiant déjà» explique GPSO sur son site.

    Un tiers de nos déchets ménagers sont des déchets alimentaires. Aujourd’hui ces déchets, quand ils ne sont pas compostés, sont traités sans différenciation. Epluchures mais également carcasses de poulet, arêtes de poisson ou encore les restes de nos repas sont autant de ressources à valoriser. GPSO anticipe l’échéance fixée par la loi. En effet, la généralisation du tri à la source des biodéchets est rendue obligatoire en France à partir du 1er janvier 2024 dans le cadre de la loi du 10 février 2020 relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire, dite loi anti-gaspillage (loi AGEC). Après de premières expérimentations réussies depuis 2018 à Marnes-la-Coquette et Ville-d’Avray, le territoire de GPSO, chargé de la collecte des déchets, s’engage dès maintenant dans cette démarche afin de réussir au mieux cette transition et de continuer à porter son engagement environnemental.

    «L’enjeu économique de cette nouvelle collecte est particulièrement important quand on sait que le tarif de traitement d’une tonne d’ordures ménagères s’élève à 103€, alors que celui d’une tonne de déchets alimentaires n’est que de 19€ (Tarifs de traitement SYCTOM 2022). Elle permettra d’optimiser le coût global de traitement de nos déchets. Mais l’enjeu est aussi environnemental, puisque les déchets issus de nos assiettes vont à terme produire de l’énergie par méthanisation et contribuer ainsi à la production d’une énergie renouvelable se substituant aux énergies fossiles. Ils seront aussi utilisés pour fabriquer un compost destiné à l’agriculture, limitant ainsi le recours aux engrais chimiques».

  • PAS DE TROTTINETTES EN LIBRE SERVICE A VANVES MAIS UNE CAMPAGNE «PARTAGEONS LA RUE»

    Avec la réforme des retraites, le retour des gréves, le retour du grand froid, l’actualité de cette semaine concerne les trottinettes avec l’annonce d’u référendum à Paris par Anne Hialgo sa maire. A Vanves, le problème ne se pose pas puisque dès 2019, au moment où elles se popularisaient, l’intercommunalité Grand Paris Seine Ouest  (GPSO) bannissait les trottinettes électriques en libre-service sur son territoire ( Boulogne-Billancourt, Chaville, Marnes-la-Coquette, Vanves, Issy-les-Moulineaux, Ville-d’Avray, Meudon et Sèvres). Mais GPSO méne tout de même une campagne de sensibilisation sur le théme « Partageons la rue, c’est un espace pour tous », avec guide pratique,  car d’autres moyens de locomotions existent comme les scooters en libre-service, gyropodes, hoverboards et autres

    La maire de Paris a annoncé un référendum sur les trottinettes en libre-service car elle souhaite les interdire : «Mon idée, c’est qu’on arrête, mais je respecterai le vote des Parisiens, même s’il est contraire à ce que j’aimerais». Seules les 15.000 trottinettes de location qui sont en circulation sont concernées. Il n'est pas question d’interdire aux Parisiens qui ont leur propre trottinette de rouler avec, comme c’est le cas à Vanves. Force est de reconnaitre qu’elles sont à l’origine de nombreux problèmes: des usagers indisciplinés, qui ne respectent pas le code de la route, montent parfois à plusieurs sur une trottinette, roulent en contre sens, frôlent des piétons, ce que redoutent nos seniors.

    Les accidents ont augmentés de 37 % par rapport à l’année d’avant. Le Journal du dimanche a de son côté estimé que les trottinettes électriques avaient fait 6 000 blessés en 2022. La sécurité routière n’a pas confirmé ce chiffre et assure que le nombre d’accidents les impliquant avait augmenté de 177 % entre 2019 et la période s’étalant d’août 2021 à juillet 2022. La sécurité n’est pas le seul grief relevé par Anne Hidalgo à l’encontre des trottinettes électriques en libre-service. La maire de Paris estime aussi que ces véhicules n’ont rien d’écologique et pointe du doigt les conditions de travail des employés des opérateurs, estimant que ceux-ci s’avèrent très mal protégés

    A ces menaces d'interdiction, les opérateurs ont d’ailleurs formulé plusieurs propositions en novembre dernier,  comme mettre des plaques d’immatriculation pour identifier les contrevenants, plus de patrouilleurs et un contrôle des cartes d’identité pour interdire aux mineurs de les utiliser, ce qui est le cas depuis le 27 novembre dernier