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centenaire de la guerre 1914-18 - Page 15

  • VANVES PAR LE BOUT DE LA LORGNETTE APRES UN WEEK END TRES PATRIMONIAL

    FOOTBALL : Vanves/Antony 2/2 pour l’équipe senior. « Résultat logique pour un match équilibré, avec  une 1ére mi-temps pour Vanves, seconde pour Antony » selon Jean Claude Vignal, président de la Section Football qui donne rendez-vous Dimanche prochain pour le  4° tour de Coupe de France contre Le Bourget

    BENEDICTINES : Peut être jamais autant de monde n’était venu pour ces journées du patrimoine au prieuré Saint Bathilde où cette communauté vit depuis 1928. Comme l’a montré un diaporama sur ces bâtiments conçu et monté par Sœur Pascale qu’ont découvert les visiteurs. Prés de 350 visiteurs  (130 Le samedi, plus de 200 le dimanche), tous accueillis par la mére prieure qui est la supérieure de cette communauté ont découvert, pour la première fois, leur immense jardin, partagé maintenant avec l’association Simon de Cyréne qui s’étend des bâtiments de la rue d’Issy (avec ceux de la communauté des Xavières) à la villa Quincy et le Boulevard du Général de Gaulle face au Rosier Rouge. Un véritable petit havre de paix vert. Il a accueillit une exposition « Regards croisés en terre d’humanité : argile et couleur » de Sœur marie Boniface et Anne Sophie Boutry, un concert qui a attiré 80 personnes et la messe dominicale a été retransmise en direct sur France Culture

    ORGUE : Il est dommage que peu de vanvéens aient profité de la présentation du grand orgue de l’église Saint Remy dimanche. Car Loïc de Lacombe, organiste titulaire, a pris le temps, par deux fois dans le courant de l’après-midi de présenter cet orgue, les principes de fonctionnement, les différents jeux et les mélanges  avec des extraits d’œuvres très illustratives. Une initiative très intéressante de l’association Orgues de Vanves qui organise un concert pour trompette et Orgue le 9 Novembre à 16H à l’église Saint Remy avec Yves Gersant (trompette), Baptiste Florian Marie Ouvrard titulaire du grand orgue de Saint Vincent de Paul de Clichy.     

    CENTENAIRE GUERRE 14/18  : C’était le thème choisi par la ville pour ces journées du patrimoine marqué par deux initiatives : l’exposition conçue par le service des Archives,  « Vanves dans la Grande Guerre » présentée jusqu’au 4 Octobre dans le Hall de l’hôtel de Ville avec différents panneaux sur le lycée Michelet pendant la guerre, sachant que peu de photos existent sur le lycée à cette époque, l’intendance militaire qui stockait les vêtements, L’Ouvroir Municipal qui en confectionnait, les actions solidaires qui se multipliaient,  son maire Aristide Duru, les bombardements et les menaces aériennes, les morts vanvéens au combat…. Cette exposition devrait s’enrichir d’autres panneaux à l’occasion du 11 Novembre lorsqu’elle sera de nouveau présentée au Théâtre. Quelques vanvéens ont assisté à la conférence de Jean Marc Valentin, président des généalogistes de Vanves, sur le carré militaire du cimetière où sont enterrés 21 soldats dont 112 vanvéens. 11 étaient des enfants de Vanves dont il a rappelé le souvenir et les circonstances de leur mort. Mais Vanves a perdu 607 des siens inscrits sur la plaque commémorative au 1er étage de l'hôtel de ville  dont 130 d'entre eux ont perdu la vie entre Août et Décembre 1914   

    SUBVENTIONS : Vanves a reçu plusieurs subventions de fonctionnement du Conseil Général des Hauts de Seine lors de la dernière commission permanente, dans le cadre  de la politique de contractualisation (Vanves-Hauts de Seine) :  462 724 € dont 340 000 € au titre des structures municipales d’accueil de la petite enfance, 24 000 € au titre des relais petite enfance (RAM/RAP), 37 700 € au titre des accueils de  loisirs, 3 024 € au titre des manifestations festives, 25 000 € au titre des activités sportives, 33 000 € au titre des activités culturelles (dont 8 000 € au titre des bibliothèques). L’assemblée départementale a approuvée l’acquisition de locaux situés 12 rue Mary Besseyre à Vanves du local de l’ancienne trésorerie (365 m²) situé au rez-de-chaussée d’un immeuble du 12, rue Mary Besseyre à Vanves, avec deux places de stationnement en sous-sol, au prix de 1 649 000 € pour y installer un centre de protection maternel et infantile (PMI) et une permanence de l’Espace Départemental d’Action Sociale  (EDAS).

    CATECHESE : La dominante de la Rentrée dans les deux paroisses de Vanves est le catéchisme. Elles ont beaucoup insisté sur l’inscription des enfants au cathéchisme lors du Forum des associations sur leur stand, et le pére curé Vincent Hauttecoeur a signé un éditorial dans « Sel et Lumière » de ce week-end sur le théme : « Le catéchisme est une chance pour la vie ! » : « La découverte du Christ au Catéchisme nous aide à mieux découvrir qui est le Christ pour moi et à voir comment il peut prendre « corps », « chaire » dans les différentes activités de ma vie de tous les jours » explique t-il en invitant ses paroissiens à se poser la question : « Que vais-je faire cette année pour alimenter ma foi et ma relation avec le Christ ? » et à participer à différentes à la catéchése, à des formations qui prennent plusieurs formes (Eveil à la Foi de 4 à 18 ans, Formations paroissiales ou diocésaines pour les adultes). Ainsi dans le cadre de « l’année de la vie Consacrée », la formation paroissiale pour adultes invitera chaque mois pour deux heures de rencontres des religieux (ses) des communautés présentes sur la ville  pour présenter et parler de leurs ordres religieux : La voie franciscaine le 17 Octobre, la voie bénédictine le 28 Novembre. 

  • CENTENAIRE DE LA GUERRE 1914-18 A VANVES : 5 - La difficile gestion d’un budget mis à mal par l’état de guerre

    Le Blog Vanves Au Quotidien rappelle au fil de chaque week-end (d’ici le 11 Novembre) et de l’actualité qui marque l’année, les événements qui se sont déroulés voilà cent ans. Cet état de guerre n’a pas facilité la gestion de la commune sur le plan budgétaire et financier en rendant de plus en plus difficile le bouclage du budget communal. Les budgets (BP) votés par la ville entre 1914 et 1919 sont passés  de 723 737 Frs (de l’époque) à  972 965 frs, sans compter les budgets supplémentaires (BS). Selon un premier bilan dressé en 1919, les dépenses extraordinaires de la guerre avaient augmenté considérablement la dette communale qui s’élevait à 1 374 144 frs avant la guerre, et le déficit qui se montait à 79 000 frs. Pour y arriver la commune a dû émettre au total pour 1 090 000 frs bons communaux dont 390 000 frs destinés à faire face à des dépenses de guerre, 100 000 frs pour des dépenses courantes et 600 000 frs non encore employés.   

    Le rapport sur le Compte Administratif de 1914 examiné par le Conseil Municipal de 30 Mai 1915 montrait que la commune a pu supporter de lourdes charges financières durant les 5 premiers mois de la guerre, notamment grâce à la création d’un compte spécial. Ainsi le Bureau de bienfaisance (ancêtre du CCAS) a versés 10 000 Frs (de l’époque) aux familles des mobilisés avant même les instructions du pouvoir central, un fonds spécial totalisant 18 236 frs était constitué le 28 Novembre 1914 grâce à des subventions de l’Etat, du département de la Seine et des souscriptions de particuliers pour venir en aide aux chômeurs. En 1915, le conseil municipal commençait véritablement à rencontrer des difficultés à établir et à boucler ses budgets (BP et BS)  selon son rapporteur qui constatait que « les événements que nous traversons jettent un, trouble profond dans toutes les branches administratives de la vie de ce pays. Les divers échelons administratifs avec lesquels nous sommes en relation d’affaire, à quelque degré de la hiérarchie qu’il appartiennent, se ressentent des exigences de la défense nationale. Ils sont plus ou moins désorganisés, de sorte qu’il nous a été difficile de rassembler les matériaux nécessaires à l’établissement d’un BS ».

    Les budgets se montent à 581 254 Frs en 1915,  à 543 134 frs en 1916 avec une contribution à la caisse des écoles justifiée par les nécessités auxquelles elle doit face et qui résulte de l’état de guerre (achat et distribution de chaussures, relèvement de salaires des femmes de services dans les groupes scolaires… ). « Etant donné la dure et longue période de guerre que nous traversons, nous étions en droit d’avoir des craintes sur les fâcheuses répercussions de cet état de chose pouvait avoir sur notre budget qui a eu à faire face à de lourdes tâches. Jusqu’ici, ses craintes ne se sont pas réalisés, grâce à la sagesse de notre administration municipale et à la vigilante activité du Maire qui surent par la création des œuvres  - et notamment de l’œuvre des Prisonniers de guerre et des combattants de Vanves  le 27 Novembre 1915, pour récolter des dons pour aider ces soldats en leur envoyant des colis et leurs familles  par des secours -  alléger les finances communales de la plupart de nos charges » expliquait M.Richard,  rapporteur du budget, le 27 Mai 1916 en constatant, tout comme le 30 Novembre 1916 lors du vote du BS 1917,  une réduction  très sensible, à cause de l’état de guerre, des recettes :  Taxes spéciales l’octroi – qui existait encore aux entrées de Vanves – qui ne rapportent plus que 61 000 € au lieu de135 000 Frs,  produits des impositions extraordinaires, avec des  retards ou  des impayés de loyers… Ce qui n’empêche pas nos élus de maintenir  intégralement, certains crédits « de façon à ce que la guerre terminée, la vie de la commune puisse reprendre normalement » : Le Conseil municipal décide (31 Octobre 1916) du « goudronnage » des cours d’écoles et de travaux de viabilité rue Falret,  du pavage de trottoirs, de l’augmentation du traitement du personnel communal, de l’acquisition définitive du terrain pour aménager le square Jarrousse (30 Décembre 1916). « Dans ce grand naufrage de tant de projets d’avenir, partout élaborés avec tant de soin, du moins nous reste t-il, ici, la consolation que les nôtres n’ont pas sombré. Ils sont retardés. Sans doute. Mais ils se réaliseront » constate le rapporteur lors du vote du budget 1918

    Il vote  un « budget d’attente »  pour 1917 de 680 965 frs,  comme en 1915 et 1916,  et prévoit des crédits  - pour donner une idée des charges supportées  - de 14 000 frs pour l’indemnité de cherté de vie, 2500 frs pour la soupe populaire, 2000 frs pour le fonds municipal de chômage, 50 000  pour les Ouvroirs, 5000 pour l’œuvre des prisonniers de guerre et des combattants, 100 000 frs pour les secours aux réfugiés, une subvention de 1000 frs au bureau de bienfaisance pour secours aux permissionnaires nécessiteux auxquels s’ajouteront d’autres dépenses en cours d’années, comme par exemple  25 000 frs pour permettre au Comité Municipal d’approvisionnement de constituer un stocks de précaution de denrées alimentaires. En, 1918, le budget s’élève à 910 965 frs, et en 1919 à 972 965 frs, voté après la fin de la guerre le 23 Novembre 1918 : « En raison des événements de guerre qui touchent heureusement à leurs fins, et les changements apportés par une législation nouvelle et inachevée dans la prescription de certains revenus communaux, il n’a pas été possible de faire un travail d’ensemble aussi bien tenu qu’il l’était antérieurement à 1914. C’est une fois encore un budget d’attente aussi bien établi que les circonstances de fait et de temps le permettent » explique le rapporteur M.Richard 

    Evidemment, l’état de guerre a mis le budget communal en déficit comme le constate le Conseil Municipal du 31 Octobre 1916. « Ce qui est la règle pour les budgets de guerre » expliquait Aristide Duru  qui a du faire alors appel aux bons communaux pour équilibrer ses budgets, pour 130 000 frs en 1915, 84 000 frs pour le BP 1916 et 95 000 pour le BS 1916, 110 000 frs pour le BP 1917. « Malgré le chiffre élevé pour l’équilibre de nos budgets, il a été possible jusqu’à présent de se passer  des bons » constatait le rapporteur Fournet. La ville émettra encore cette année là pour 220 000 frs de bons communaux afin de faire face à un remboursement d’un prêt de 100 000 frs consentis à  la société ECFM pour permettre l’exploitation de gaz et qui a donné lieu au paiement d’une première annuité de 7430frs à la ville de Paris. « Il n’est pas douteux qu’un emprunt de consolidation sera nécessaire après la guerre pour faire face aux dettes que nous contractons  en ce moment. Jusqu’à présent la municipalité a pu éviter, de faire appel aux bons, sauf ceux nécessités par ce prêt de 100 000 frs ». Puis 35 000 frs de bons pour équilibrer le BS 1917 (de 612 955 frs), 340 000 frs pour équilibrer le budget 1918… soit 230 000 frs constate le rapporteur du budget lors de l’examen du compte administratif 1917 le 1er Juin 1918. « La guerre continue malheureusement à  influer fâcheusement sur la situation des finances de la commune, la dette flottante s’accroît chaque jour. On ne pourra en connaître le chiffe exact qu’à la fin des hostilités ». 7500 frs de bons communaux sont émis de nouveau en Août 1918 pour équilibrer le BS 1918 de 940 200 frs. Ainsi que 600 000 frs pour équilibrer le budget 1919, et 290 000 frs pour équilibrer le BS 1919, soit 890000 frs au total.

    A Suivre :  La bataille contre la pénurie de charbon

  • LES RENDEZ-VOUS A VANVES D’UNE SEMAINE TRES PARTIMONIALE

    Cette semaine sera marqué par les traditionnelles journées Européennes du Patrimoine, avec les traditionnelles visites du lycée Michelet, du prieuré des bénédictines, de l’orgue – le nouveau – de l’église St Remy…  et les célébrations du centenaire de la guerre 1914-18 avec à l’hôtel de ville, l’exposition  « Vanves dans la grande guerre ». De nombreux tableaux ont été conçus  par le service des Archives sur le maire de l’époque, Aristide Duru, le lycée Michelet, l’Ouvroir municipal et ses ateliers de confection qui travaillaient en lien avec l’intendance militaire, le ravitaillement en charbon et en denrées alimentaires de la population qui devenait de plus en plus difficile etc… En même temps, une autre exposition est organisé par le Conseil Général et les Archives départementales (entre le 15 Septembre et le 29 Mai 2015)  sur « Les Hauts-de-Seine dans la Grande Guerre (1ère partie : mobiliser, soutenir, soigner). Elle donnera un aperçu du déroulement et de l’impact de la Première Guerre mondiale dans les différentes communes qui composent actuellement le département des Hauts-de-Seine. Elle présentera notamment une très importante collection d’affiches administratives et de propagande, de cartes, de gravures et cartes postales, et des collections de presse périodique locale, dont certains titres assez rares comme « Vanves-Malakoff » sur la période 1914-1917. A Vanves, il est prévu une conférence de Jean Marc Valentin, président de l’association des généalogistes sur le « carré militaire du cimetière » le samedi 20 Septembre à 17H. 

    Lundi 15 Septembre 2014

    A 19H30 à l’Hôtel de Ville :  Remise des labels « Eco-Défis » dans le cadre du Programme local de prévention des déchets initié par  Grand Paris Seine Ouest (GPSO) à l’attention des artisans du territoire, en partenariat avec la Chambre de Métiers et de l’Artisanat des Hauts-de-Seine (CMA 92), en présence de Pierre Christophe Baguet, président de GPSO, Daniel Goupillat Président du CMA92 et du maire de Vanves. 119 artisans,  qui ont mis en place au moins trois actions concrètes en faveur de l’environnement, ont été retenus par le comité de labellisation., come par exemple,un salon de coiffure qui propose des teintures végétales, un artisan qui fabrique des meubles à partir de fûts recyclés, une boulangerie qui sensibilise les enfants en leur offrant uner friandise en échange de leurs sachets de bonbons vides…

    A 19H30  à l’espace La Tuilerie : Conférence organisée par le Challenger Club avec la JCE GPSO et animée par Maître Roxana Bungartz sur le thème : « Comment gérer ses impayés »: "Un sujet auquel "nous sommes malheureusement parfois confrontés. Venez découvrir, lors de cette conférence, les erreurs à ne pas commettre et les moyens de se protéger…"

    Mardi 16 Septembre

    A 19H à l’Hôtel de Ville : Remise de la  décoration des Arts et Lettres à Jacques Brachet, qui est un peintre licier. Il est un acteur important du mouvement de la Nouvelle Tapisserie, avec des artistes qui se sont extirpés du statut de simple peintre cartonnier, pour se collecter directement avec la matière, comme le fit à la même époque Grau Garriga. Cet artiste qui a redonné ses lettres de noblesse à la tapisserie, a formé des tas d’élèves et exposé dans de nombreux pays, a installé son atelier à Vanves dans une ancienne épicerie de la rue de Châtillon, tout à côté de son épouse Monique Corsi qui occupait l’un des logements d’artistes peintres de la cité Payret Dortail. Elle  avait reçu la même distinction des mains du maire voilà deux ans.  Jacques Brachet qui forme un couple indissociable avec Corsi, avait alors expliqué que chacun vivait sa vie d’artiste de son côté, dans leur atelier respectif, et découvrait leurs œuvres comme les autres lorsqu’elles étaient terminées, se refusant à interférer sur le travail de l’autre

    Mercredi 17 Septembre

    A 19H30 à la MJC de Malakoff : Réunion de l’ARGC (Association des Riverains de la Gare de Clamart) qui regroupe les riverains du projet de la gare du Grand Paris Express. La plupart d’entre eux, en tous lescas, ceux qui se situent dans le faisceau des 100 m du tracé, font l’object actuellement de contaxct par le bureau Véritas  pour effectruer des visitees afinde recueillir le maximum d’informations concernant les sols et les batis, en lien avecle Spociété du Grand Paris

    Vendredi 19 Septembre

    A 19H30 à la Palestre : Lancement Officiel du Mois du Commerce 2014

    Samedi 20 Septembre

    A 11H30 au Relais de Vanvres : Apéritif et chansons françaises, avec Pierre Meige,  dans le cadre du Mois du Commerce

    A 14H au Lycée Michelet : Visite commentée du lycée qui a célébré en Mai ses 150 d’existence dans un site qui a plus de 300 ans d’histoire

    A 14H30 au Prieuré Sainte Bathilde : Visite de ce monastére édifié par Dom Bellot, moine bénédictin, et consacré par Mgr Roncalli, Nonce et futur pape Jean XXIII en 1949, avec l’ouverture exceptionnelle de son jardin, une exposition des œuvres de Sr Marie Boniface Stolberg…

    A 15H à l’Hôtel de Vile : Ouverture de l’exposition consacrée à « Vanves dans la Grande Guerre » qui se déroulera jusqu’au 4 Octobre 2014

    A 17H à l’Hôtel de Ville : Conférence de Jean Marc Valentin président de l’Association des Généalogistes de Vanves sur « le carré militaire 1914-18 »

    A 20H au Gymnase A .Roche : Match de Basket Vanves -  Cergy / Osny / Pontoise

    A 20H au Plaisir des Mets : Soirée musicale autour  de spécialités vietnamiennes

    Dimanche 21 septembre

    A 10H30 (et à 15H30) au Parc F.Pic : Visites commentées autour des arbres remarquables par le Conseil des Seniors.

    A 14H30 au Prieuré Sainte Bathilde : Visite de ce monastére où vivent les bénédictines avec des vêpres à 18H

    A 14H30 Et à 16H à l’église Saint Remy : Visite comentée  de l’église suivie d’une présentation du nouvel orgue Kern et d’une audition de l’instruiment par Loic de Lacombe

    A 15H (et à 18H30) à l’Hôtel de Ville : Visites-conférence des peintures murales d’Henri Daien, « une vision de Vanves à la veille de la Grande Guerre, entre réalisme et lyrisme » proposées par les Archives

    A 15H place Michel Ange (derrière l’hôtel Mercure) : Visite commentée des églises de la Sainte Trinité et des Nouveaux Martyrs de la Terre Russe om sont conservés les icônes de Grégoire Krug e Léonide Guspensky

    A 15H30 au parc F.Pic : Crêtes party animée au kiosque O’Ben

    A 15H30 au PMS A.Roche : Mach de football Stade de Vanves-Antony