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Ecole - Page 26

  • RESTAURATION SCOLAIRE A VANVES : II - DSP RENOUVELEE POUR ELRES 20 APRES LE LANCEMENT DE LA LIAISON FROIDE

    A Vanves, la délégation de service public (DSP) relative à la restauration municipale a été renouvelée pour six ans par le Conseil Municipal du 25 Juin et ré-attribué à la société Elres (groupe Elior)  qui était en  concurrence avec Sodexo. A quelques semaines prés, voilà 20 ans que la liaison froide avait été choisie par la municipalité de  Vanves dans un souci de sécurité, car le nombre de repas servis ou livrés augmentait considérablement. Avenance avait été choisi par l’équipe municipale dirigée par Didier Morin (UMP). Le contrat avait été énormément critiqué par l’opposition socialiste conduite par Guy Janvier et François Bordes qui n’avaient pu rien y changer lorsqu’ils dirigérent la ville entre 1995 et 2001. Dés son arrivée aux affaires, Bernard Gauducheau avec son adjoint aux écoles, Philippe Nicolas, créa un groupe de travail qui a permis, au bout de 2 ans, d’améliorer ce contrat en intensifiant le contrôle du prestataire, en assurant un contrôle de qualité des prestations et des services grâce à un contrôleur de restauration…. « L’objectif essentiel est de garantir au maximum la sécurité alimentaire des enfants » expliquait alors le maire.  

    Le nombre de repas consommés a été évaluée, pour cette nouvelle concession,  à 339 000 équivalents repas/an (350 993 en 2013 selon le rapport d’activités 2013)  se répartissant en  plus de 320 000 repas ou piques-niques  pour le temps scolaire et accueils loisirs (118 697 en maternelle, 169 734 en élémentaire, 43 083 repas adultes scolaires, 58 150 Goûters périscolaires en élémentaire en 2013),   5000 repas et 5000 goûters pour les structures petite enfance, 12 000 repas et 1000 goûters pour les personnes âgées, 300 repas pour la piscine municipale. Le principal enjeu des négociations menées par la ville concernaient la qualité des denrées et des approvisionnements, celle-ci  ayant insisté sur plusieurs points :  Produits bruts, frais (notamment crudités et poissons) et bios ; Respect de la saisonnalité ; Structure et variété des menus ; Respect des spécificités des prestations proposées aux crèches, aux communaux, aux personnes âgées ; Mode de confection des prestations (dites « maisons » notamment les pâtisseries et les potages) ; Programme des animations scolaires ; Suivi de la satisfaction des convives ; Communication auprès des familles ; Justification du choix de l’outil de production des repas au regard du projet de restauration proposé  la ville. Mise à disposition d’une assistance technique auprès du personnel municipal dans les offices et leur accompagnement dans la mise en œuvre des prestations livrées ; Actions en matière de développement durable mise en œuvre de manière concréte et visible sur les restaurants (modes de livraisons, gestion des déchets, lutte contre le gaspillage…) ; Maintien en bon état du patrimoine communal sur les offices (maintenance et renouvellement des équipements de restauration par le délégataire) ; Recouvrement du prix des repas auprès des familles et la prise en charge des impayés

    Le choix des élus vanvéens n’a pas été simple, car les deux candidats avaient présenté une politique d’approvisionnement très satisfaisante, basée sur le volume d’achat des deux groupes auxquels ils appartiennent (Elior et Sodexo, leader dans le secteur de la restauration collective) et sur un choix de denrées qualitatives (origine et label). Les engagements portaient sur les modes de préparation, tant sur la cuisine centrale (optimisation de l’utilisation de produits bruts et du fait « maison ») que sur les offices (découpe et dressage) répondant aux exigences qualitatives de la ville. L’objectif de variétés des menus était atteint par l’intégration d’un nombre significatif de nouvelles recettes par cycles de menus, ceux-ci étant validés par la diététicienne de la ville avant sa mise en oeuvre. Ils ont présentés des modalités différentes de livraisons, à J et j-1…..

    Ils ont répondu favorablement aux demandes de la ville d’intégrer une composante bio par jour, et de proposer des actions de développement durable qui, quoique différents, répondent à un des objectifs de la ville de lutte contre le gaspillage alimentaire. Enfin, les deux candidats ont présentés des outils permettant une communication étendue et lisible autour de l’offre de restauration (notamment auprés de familles) et une possibilité de valorisation par la ville  du respect de leurs engagements qualitatifs respectifs. Sodexo avait proposée de réaliser des enquêtes de satisfaction des convives au plus prés du terrain (une fois par semaine via une tablette directement par le référent service client auprès des enfants).

    L’offre d’Elior a été apprécié et retenue pour deux raisons : le choix de deux cuisines centrales, une pour les scolaires, les accueils de loisirs et les personnes âgées, récemment restructurée et présentant les caractéristiques nécessaires à la mise en œuvre du projet qualitatif de restauration (légumes, pâtisserie) et une autre dédiée à la petite enfance (besoins spécifiques en lien avec l’âge des convives). Enfin, l’affectation d’un référent client à 80% pour les seuls  besoins de la ville, induisait de fait une présence soutenue sur le terrain et auprès des agents municipaux. 

  • VANVES PAR LE PETIT BOUT DE LA LORGNETTE

    RYTHMES SCOLAIRES : « C'est mercredi, et comme tous les mercredis, il y a école pour les élèves de primaire, et donc plus de cours de tennis, de dessin ou de musique à la maison de quartier et au club voisin. Les nouveaux rythmes scolaires ont bouleversé leur fonctionnement. Est-ce que les changements de rythmes scolaires, avec l'arrivée des NAP (les Nouvelles activités périscolaires) ont-ils des conséquences sur la vie des associations sportives, culturelles ou cultuelles ? En tout cas, l'absence des enfants mercredi matin, pour cause d'école, a modifié les emplois du temps. De plus, qui dit "mercredi matin en moins" dit aussi "choix réduit d'activités » ont pu entendre hier matin à 7H15 les vanvéens qui avaient allumés leur radio sur France Inter  dont l’une des journalistes s’était déplaces à Vanves. « Florence Pétillat, présidente de l'API (association de parents d'élèves indépendants) à Vanves, pressent aussi que certaines familles se contenteront désormais des NAP, proposées en lien avec le temps scolaires, sans aller chercher plus loin d'autres activités. Si l'on ajoute les budgets serrés pour certains ménages, à cause de la crise, on comprend l'inquiétude du mouvement associatif. Toutefois cette inquiétude est aussi nuancée par le fait que le mercredi matin à l'école est déjà connu depuis un an. Certaines associations n'ont donc pas buté dessus pour cette rentrée, elles ont anticipé et adapté leurs activités. La mairie de Vanves, par exemple, a embauché une douzaine d'éducateurs sportifs des associations locales, pour les activités périscolaires. Les clubs associatifs ont ainsi l'occasion de rabattre des jeunes vers leurs structures en semaine. La municipalité leur a également dégagé de nouveaux créneaux dans les gymnases. Reste à savoir si les emplois du temps des parents seront compatibles avec ces nouveaux horaires. La réforme des rythmes scolaires fera peut être des heureux... Mais dans certaines associations, menacées directement, elle fait déjà des malheureux ».

     

    EXPOGRAH : « Les anciens du club ayant tire leur révérence,15 nouveaux joueurs sont arrivés pour renforcer les rangs de notre club. Tous les postes sont largement doublés ,et la sauce est en train de prendre ,déjà, avec une première victoire à l'extérieur, 2/0 ou technique et maîtrise du jeu ont été les point forts!  L'apport de joueurs de niveau national devrait être sans aucun doute, une pièce maîtresse, dans l'assise de l'équipe » indiquait au Forum des Associations Jean Royer, le coach de cette équipe de football qui évolue en championnat de football inter-entreprises, où Expograph Vanves disposait, pour la première fois d’un stand. Prochain match au PMS André Roche à 16H30 Samedi, avec une rencontre déjà au sommet entre Expograph /Apsap « où l'on pourra voir la nouvelle mouture Expograph contre certains anciens joueurs dissidents d'Expograph. Match ou la suprématie sera à affirmer pour les uns et les autres »

  • LA RENTREE SCOLAIRE A VANVES : INTERVIEW DE CINDY LANDI PRINCIPALE DU COLLEGE SAINT EXUPERY : « Je n’ai pas l’impression que le collège souffre d’une très mauvaise image. Bien au contraire ! »

    Le Blog Vanves Au Quotidien a rencontré Cindy Landi,  principale du collège Saint Exupery depuis maintenant 3 ans, qui a abordé la Rentrée sous les meilleurs auspices, sereine et réussie avec des emplois du temps fonctionnels : « Nous avons abordé le lundi 1Er Septembre tout d’abord, avec 100% des professeurs nommés, ce qui est, pour une Rentrée, gage de sérénité pour l’équipe de direction, les enseignants et les parents : 33  dont 9 nouveaux après 3 départs à la retraite, sachant que l’on complète les services avec des titulaires de zones de remplacement (TZR) dont certains effectuent 12H ici et 12H dans un autre établissement, l’Académie de Versailles étant le berceau des professeurs stagiaires – le collège en accueille 2 cette année :une en musique, une en mathématiques. Nous avons d’ailleurs rencontré tous les enseignants entre le 23 Août et le 1er Septembre et nous avons organisé une réunion le 1er Septembre avec tous les personnels du collège.  Ensuite, les inscriptions d’élèves étaient totalement à jour, et nous avons absorbé une dizaine d’inscriptions entre le 2 Juillet et le 1Er Septembre, avec des jeunes venants de Marseille, Martinique, Peyssac, pour des raisons professionnelles ou des déménagements à l’intérieur des Hauts de Seine. Le collège accueille 454 éléves :  4 classes de 6éme avec une classe de 28 et les autres de 24, 4 classes de 5éme avec une moyenne de 27, 5 classes de 4éme avec 4 classes à 29 élèves et une classe à 21 élèves puisque nous avons le projet d’une classe « ambition, innovation, réussite ». Elle est constitué d’élèves, un peu en difficulté, avec un effectif un petit peu plus resserré pour leur redonner confiance, avec un projet pédagogique qui les motive de façon à ce qu’ils fassent une année de 3éme un petit peu plus sereine. Enfin,  4 classes de 3éme avec 28 élèves. Et un dispositif Ulis (Unité locale d’Inclusion Scolaire) avec des élèves qui ont des troubles des fonctions cognitives, mais qui sont intégrés dans les classes (1 éléve en 6éme, 2 en 5éme, 3 en 4éme 3 en 3éme), avec un maître spécialisé » indique t-elle. VAQ l’a surtout interviewé sur les nouveautés de cette Rentrée, et notamment ces tablettes numériques pour classes nomades qui a fait l’objet d’un reportage dans le dernier "HDSMAG" du conseil général des Hauts de seine,  et deux dossiers importants : la rénovation du collège et la désectorisation

    Vanves au Quotidien - Qu’est-ce que cela change pour vous le nouveau système de restauration mis en place par le Conseil général (CG92) avec paiement en ligne  ?

    Cindy Landi : « Nous avons bien anticipé le nouveau fonctionnement de cette restauration qui est passée en délégation de service public, ayant été associé et bien informé par les services du CG92. Les familles peuvent maintenant choisir combien de fois par semaine, une ou deux, trois ou quatre fois,  leurs enfants pourront déjeuner à la cantine selon leur emploi du temps, car auparavant, soit ils étaient inscrits pour les 4 jours, soit pas du tout.  Nous avons dû nous organiser en terme de sortie des élèves à midi, car auparavant c’était facile dans la mesure où ils déjeunaient ou pas du tout. Nous avons dû remettre à jour le cahier de correspondance. Nous avons décidé que jusqu’au 27 Septembre, tous les demi-pensionnaires déjeunaient les 4 Jours, et après nous donnerons un coupon par parents qui nous indiqueront leur choix de façon définitive pour le trimestre quand leur enfant déjeune à la cantine. Les services intendance et vie scolaire ont été très mobilisés ces jours-ci avec la société délégataire qui ont mobilisé 2 jeunes étudiants pour venir prêter main forte au début.

    VAQ - Comment vous êtes vous approprié cet outil ENC ( Environnement Numérique des collèges ) qui s’étoffe ?

    C.L. : « Le Collège St Ex fait parti des premiers établissements qui ont expérimenté l’ENC, depuis 5 ans. L’un des avantages est d’avoir été doté d’un ordinateur par classe et salle. Les établissements scolaires avaient des logiciels qui permettaient aux professeurs de rentrer leurs notes en ligne. L’ENC permet maintenant de fédérer les équipes autour d’un programme commun. C’est le seul outil de communication avec les professeurs et les familles pour la direction. Avec un site unique qui permet aux familles de voir au jour le jour, l’emploi du temps des enfants, les devoirs, les retards de leurs enfants, pouvant communiquer en direct avec les professeurs, voir les documents mis en ligne. Nous souhaitons que ce soit un outil de communication comme le cahier de correspondance, qui doit être consulté une fois ou deux dans la semaine. Car il  fait tomber des barrières, les parents nous envoyant des mails directement, certains l’ayant même mis dans leur « tablette ». Pour les professeurs, nous leur adressons les circulaires et les notes grâce à cet outil, sans les saturer, et ils l’utilisent pour faire l’appel qui redescend à la Vie scolaire pour lancer le système d’appel aux familles lorsque l’élève n’est pas en cours. Ils donnent aussi les retards, et à la fin du cours,  mettent les devoirs

    VAQ – Ne donne t-il pas assez à de nouveaux services pour enrichir les cours ?

    C.L. : « L’ENC permet maintenant d’avoir accès à de nouveaux outils pédagogiques, comme des images inter-actives, des ressources à l’échelle départementale qui peuvent être utilisée dans les cours par les enseignants

    VAQ - Comment les élèves et les enseignants se sont appropriés cet outil ?

    C.L. : « L’utilisation s’est complètement démocratisé puisqu’un enseignant ne peut plus travailler  au collège sans utiliser l’ENC ou sinon, il est coupé de tout. L’ENC fait parti complètement du quotidien des enseignants, de la Vie scolaire, du personnel de direction.

    VAQ - Qu’est-ce qu’a donné l’expérimentation des tablettes numériques ?

    C.L. : « Nous avons eu la chance en 2013-14 avec 2 autres collèges (Nanterre et Levallois) d’avoir 30 tablettes qui ont vocation  à remplacer les classes nomades. Nous avons organisé 2 journées de stages pour tous les professeurs, début Juillet et bientôt en Septembre, de façon à ce qu’ils puissent complètement intégrer ce nouvel outil dans la pratique pédagogique. 3 professeurs les ont utilisés lors de l’année scolaire passée dans leur classe, et nous allons mettre en place un système de réservation, pour qu’elles soient utilise au maximum, dans des cours aussi varié que le français, la technologie etc…Nous sommes en train de développer quelque chose qui va complètement coller avec l’ambition du ministèrede développer un nouveau plan du numérique. Il faut ensuite que les professeurs puissent le prendre en main, ce qui exige un gros travail en amont de préparation des enseignants qui révolutionne un petit peu leur pratique pédagogique. L’idée est que la totalité des enseignants soit formé, de les inciter à utiliser cet outil, et s’entraider entre eux.

    VAQ - De quels dispositifs mis en place par le CG92 dans le cadre d’ERMES  (Ensemble pour la Réussite et la Mobilisation des Elèves dans leur Scolarité) profite le collège St Exupery ?

    C.L. : « Dans le cadre de ce projet, nous avons fait deux grandes demandes : La première concerne le dispositif SIEL où nous avons inscrit 4 projets : Un premier sur « Vanves ville de demain » animé par un professeur d’arts plastiques avec le professeur de technologies sur une projection de Vanves dans quelques années avec le concours d’un architecte. Le second « un conte au théâtre » pour les élèves de l’ULIS avec un professeur de Théâtre. Un troisième avec le professeur documentaliste, le professeur de français et une écrivaine sur « Je ne te raconte pas ce que j’ai vu » sur l’écriture pour une classe de 5éme. Enfin, nous avons et cela depuis des années, une mini entreprise dans le cadre de l’option « découverte professionnelle 3H » pour les 3éme. Nous avons aussi postulé aux « ateliers éducatifs pour tous » qui nous permettra d’organiser des études encadrées, de la formation aux secourisme pour les enfants de 4éme, un ou deux ateliers de théâtre, de jeux de rôle pour occuper la pause méridienne.

    VAQ - En quoi consiste ce conseil « Ecole-collège » que vous avez expérimenté  ?

    C.L. : « Nous avons mis en place, cette année,  le conseil « Ecole Collège » qui est obligatoire et dont l’objectif est la réussite des élèves : il s’agit d’un dispositif présidé par le principal et l’inspecteur du 1er degré, avec des grands temps de concertation entre les professeurs de CM2 et de 6éme pour que cette liaison se fasse mieux, grâce à un cycle CM1-CM2-6éme. Nous l’avons expérimenté depuis 2 ans, en travaillant sur des temps institutionnel avec nos collègues de CM2 et de 6éme en ciblant des questions extrêmements importantes pour faire en sorte que la première année de 6éme soit une réussite, et la liaison mieux instauré. Nous disposons ainsi de temps pour s’asseoir et se voir, où les professeurs de CM2 peuvent exprimer leurs problématiques, et ceux de 6éme peuvent leur indiquer où cela pêche en maths, par exemple,  où l’élève ne sait pas s’organiser. Nous arrivons à identifier leurs problématiques d’entrée au collège et du coup, en amont, être mieux préparé par nos collègues du 1er degré. On a réalisé des documents en commun que l’on peut travailler dés l’école et le collège. Nous organisons des classes avec eux, des CM2 viennent au collège assister au cours avec leur camarade de 6éme, et visiter le collège. Les nouveaux textes, à terme, devrait permettre à un professeur du 1er degré de venir assister à un cours de leurs collègues de maths et que nos professeurs de collèges puissent aller en CM2.

    VAQ - Où en est le dossier de la rénovation du collège ?

    C.L . : «  L’échéancier est à peu prés en ordre. J’ai été reçu avec le gestionnaire du collège par les services du CG92 à plusieurs reprises. Il s’agit d’un projet de plus de 10 M€ inscrit dans le PPI du CG92 qui doit être voté en fin d’année. Les procédures, consultations, cahier des charges, appels d’offres devraient occuper plus d’une année, ce qui impliquerait un début de chantier au plus tôt en 2018.  Le CG92 a déjà organisé le déroulement du chantier qui s’effectuera dans un collège en fonctionnement, avec des préfabriqués qui permettront de réaliser des opérations tiroirs comme c’est le cas actuellement au collège Paul Eluard de Châtillon, car il n’y a pas de terrain libre dans la ville pour nous accueillir pendant les 2 ans de travaux. Peu de choses changeraient, car ce collège est enclavé,donc il ne va pas s’étendre, ni monter en hauteur. L’ensemble des bâtiments au niveau de l’extérieur (façades, visseries, fenêtres, toits./..), seront rénovés. Nous en profiterons pour repenser la cours avec le bâtiment vie scolaire posé sur pilotis de façon à avoir une gestion optimisé des flux. L’idée est de garder le bâti en le rénovant et en le réhabilitant. 

    VAQ – Où en est on du dossier de la sectorisation  ?

    C.L. : « L’inspecteur d’Académie, le maire de Vanves, les services du CG92 qui sont compétents, les équipes de direction de Michelet et de Saint Exupery partagent le même esprit sur cette question. La problématique est simple : Au vu de la sectorisation, les rues qui alimentent soit Michelet, soit Saint Exupery, sont déséquilibrés, car Michelet a trop de collègiens, et Saint Exupery peut accueillir une classe de plus par niveau. Notre idée est que la sectorisation puisse être mis en œuvre dés la prochaine rentrée de Septembre 2015, selon les informations provenant de ma hiérarchie et de mes échanges avec MM Sorin puis Gary.

    VAQ - N’y a-t-il pas à faire franchir un mur psychologique dans l’imaginaire familial qui privilégie Michelet à Saint Exupery  ?

     

    C.L. : « Ce  n’est pas tout à fait vrai !  Michelet jouie d’une certaine réputation grâce à un site très beau, chargé d’histoire, avec une proximité du collège avec les classes prépas et un lycée aux excellents résultats. Mais il s’agit beaucoup de « on dit », de « rumeurs ». Un gros travail de communication a été engagé par ma prédécesseur. Et depuis que je suis là, je n’ai pas l’impression que le collège souffre d’une très mauvaise image. Bien au contraire, puisque je travaille beaucoup avec les fédérations de parents d’élèves qui me disent beaucoup que l’image du collège a  changé, que des problèmes existent dans tous les collèges, tant à St Ex qu’à Michelet comme à Paris et à Marseille, avec des jeunes qui passent de l’enfance à l’adolescence. Cela évolue, grâce à une bonne communication avec les familles, en rassurant certainement, avec  une implication de tous les acteurs concernés.