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Ecole - Page 22

  • NOUVELLE SECTORISATION A CABOURG A VANVES (suite et fin) : Brianne à sa maman : « Mais pourquoi le maire, il veut me faire partir de mon école ! »

    « Matin et soir, avec mon mari, nous courons à travers la ville de Vanves pour déposer et récupérer ma fille à l’école Cabourg pour l’instant, à l’école du Parc à partir de la Rentrée,  et mon fils à la créche du Plateau (Boule de Gomme) avant de prendre le métro ou en revenant du travail, alors que nous habitons à la limite de Vanves et d’Issy les Moulineaux, Bd du Lycée. Il faut compter à chaque fois près d’une heure (de course) pour les déposer et surtout les récupérer le soir dans les temps impartis, avant 19H. Avec toutes les conséquences que cela implique lorsqu’on arrive à 18H25 à la créche et à Cabourg à 18H55. Avec l‘école du Parc, ce sera très limite !  Surtout lorsqu‘on a du retard, cela se passe mal avec le Centre de loisirs, car au 3éme retard, c’est l’exclusion du Centre de Loisirs ( ?). Heureusement cela n'a pas été le cas.  Mais ma fille est d'un naturel angoissé et il est vrai qu'elle vit mal ces retards du soir. Mon époux a dû demander des horaires aménagés  pour pouvoir partir de son travail à 17H15 et joue beaucoup avec ses RTT sur chaque quart d’heure de retard. Et je ne vous parle du regard des collégues de travail lorsque vous devez partir à 18H » témoigne cette mére de famille à bout en cette fin d’année scolaire.

    Surtout face à l’indifférence, car n’ayant pas de « relations », ils n’ont pas de réponse à leurs questions qu’un « débrouillez-vous » lorsqu’ils demandent un changement de créche du côté de la rue Aristide Briand par exemple, un silence radio lorsqu’ils demandent un rendez-vous à la mairie. Mais le sumum a été atteint lorsqu’ils ont appris par l’instituteur  de sa fille qui lui a remis une lettre l’invitant à participer à une réunion à l’école du Parc,  que sa fille ferait la Rentrée 2016 là bas en CP « Il pensait que nous avions reçu une réponse à notre demande de dérogation. Mais la directrice ne nous porte dans son cœur. Ce qui me met hors de moi, c’est le mépris » conclut elle.  « Mais pourquoi le maire, il veut me faire partir de mon école ! » lui a demandé sa fille Brianne un de ses derniers jours

  • SECTORISATION DE CABOURG A VANVES : UN EFFECTIF HISTORIQUEMENT BAS AUX FRAIS DE PLUSIEURS FAMILLLES

    2 familles auraient reçus des refus pour scolariser leur enfant à Cabourg l’année scolaire prochaine alors qu’ils entrent en CP,   à la suite d’une modification de la sectorisation de ce groupe scolaire effectué à la fin de l’année dernière pour prendre en compte l’installation de nouveaux vanvéens dans les projets immobiliers réalisés dans les Hauts de Vanves et au Centre Ancien. Cette situation est incompréhensible pour les associations de parents d’élèves, au regard des effectifs annoncés par la directrice lors du dernier conseil d’école, laissant la très nette impression d’éviter le sur-effectif pour garder un certain confort.
    Ce groupe scolaire qui verra la suppression d’une classe maternelle comprend 119 enfants en Maternelle (36 en PS, 38 en MS ert 45 en GS)  et 230 en primaire (43 en CP, 53 en CE1, 45 en CE2, 45 en CM1 et 44 en CM2), avec une moyenne qui oscille de 18 à 26,5 éléves par classes. Ainsi ce groupe scolaire accueille 340 élèves actuellement et a déjà 352 inscrits pour l’année scolaire  2016-17 dont 1 venant la nouvelle résidence de la rue Pruvost (9 inscriptions sont prévus), ce qui fera monter la moyenne prévue à la Rentrée 2016 à 27,2 éléve avec 66 CP, 66 CE1, 70 CE2, 73 CM1 et 77 CM2. L’ouverture d’une 14éme classe a été sollicitée par la directrice de ce groupe scolaire sans succès auprès du directeur académique. Ce constat est d’autant plus choquant qu’à l’école du Parc qui est proposée à certaines familles, la moyenne est déjà de 33 éléves par classe par exemple en CP.  Mais la mairie a fait des projections pour arguer d’un hypothétique trop-plein à venir sur cette école, appliquant le principe de « précaution » très cher au maire.  
    Ainsi rien n’explique ce refus opposé à des familles de laisser leur enfant dans cette école, alors qu’elles habitent vraiment dans son quartier ou son secteur. D’autant plus, que lorsque les langues se délient, il apparait que des enfants scolarisés dans cette école habitent vers le Plateau. Car voilà quelques années, la municipalité a fait des appels du pied à des familles habitant le Plateau pour venir re-peupler le groupe scolaire Cabourg (ex-centre), et éviter sûrement des fermetures de classes. «Elle a fait maints appels du pied aux familles aux 4 coins de la ville pour remplir Cabourg, jusqu’il y a encore 3 ans. Et maintes fatries sont du Plateau, de la rue de l’Avenir et poursuivent aujourd’hui sans perturbations leur scolarité dans cette école loin de leur domicile » témoigne une parent d’éléve. La ville  est en train de créer un chassé croisée ubuesque, entre le Plateau ou  les Hauts de Vanves et le Centre Ancien. Une des familles concernée  est même obligé d’aller chercher un enfant à la créche du Plateau et un autre à l’école Cabourg  alors qu’elle habite Bd du Lycée à la limite de Vanves et d’Issy les Moulineaux, par exemple… A Suivre

  • L’EFFET CABOURG SUR LA CARTE SCOLAIRE DE VANVES : « C’est notre quartier pour aller voter, mais plus pour l’école de nos enfants ! »

    « Nous habitons rue Ernest Laval qui était jusqu’à présent sectorisé à l’école Cabourg. Notre fille aîné qui vient d’entrer au collége a fait toute sa scolarité à l’école élémentaire Cabourg et a vécu les travaux de transformation de l’école du centre avec les classes installées dans des pré-fabriqués à côté du lycée Michelet. Sa sœur est dans la grande section maternelle à Cabourg et elle risque de se retrouver à l’école maternelle Marceau lorsqu’elle rentrera en CM1 à deux ans du collège. Alors qu’elle est à 5 mn de Cabourg, elle va se retrouver à 10 mn de Marceau avec une rue Jean Bleuzen très circulante, dont les trottoirs sont, par endroits, étroits, avec un seul feu rouge au niveau de la boulangerie pour traverser. Et on le sait d’autant plus que notre fille ainée suit des cours de danse au conservatoire, et avant soin installation dans le bâtiment ODE, elle allait suivre ses cours à Marceau, dans les sous-sols. On a apprécié le changement » explique cette mère de famille qui ne comprend pas : « Marceau, ce n’est pas notre quartier. A pied c’est dangereux et en voiture c’est lmpossible ! Nous avons toutes nos habitudes dans ce quartier de la gare, où nous avons nos repères, notre vie sociale avec nos relations, avec des amis retraités qui peuvent venir chercher note fille à Cabourg lorsqu’on n’est pas là, mais pas à Marceau parce que c’est trop loin. D’ailleurs on votait avant à Marceau et maintenant à la Palestre. Alors c’est notre quartier pour aller voter, mais plus pour nos enfants. On a l’impression que les élus ne tiennent pas compte des conséquences » ajoute t-elle

    LES ENFANTS VARIABLE D’AJUSTEMENT

    « On comprend l’argument du maire avec ses nouvelles habitations qui vont faire venir de nouvelles familles que la ville doit bien accueillir, ce est tout à fait louable, et nous y adhérons. Mais pas le raisonnement : Pourquoi les familles qui habitent là depuis longtemps doivent en faire les frais. Et elles sont nombreux dans le quartier, cinq dans mon immeuble à être concerné. Certaines n’en dorment plus la nuit ! » ajoute une autre mére de famille. « C’est une vision administrative des choses. D’autant plus que 30 à 35% des effectifs de cette école Cabourg sont des dérogations accordées à des familles qui avaient leurs enfants dans d’autres écoles ! Et si on commençait par leur demande de mettre leur enfant dans l’école la plus proche de leur domicile, nous pourrions rester à Cabourg ? » explique t-elle en faisant état de ses familles qui sont préoccupées parce qu’ils ont des enfants en maternelle. « Il y a une incompréhension et vraiment une impression que nos enfants sont une variable d’ajustement pour l’administration et l’Education Nationale ».

    INCIDENCE SUR L’AFFECTATION AU COLLEGE

    Ces familles ont eu une première réponse lors du dernier conseil municipal qui a voté cette modification de la carte scolaire autour du groupe scolaire Cabourg : Solliciter une dérogation auprès de la commission où siège les directeurs et directrices d'écoles de Vanves. « En tenant compte de votre place dans la carte scolaire et l'effectif des écoles, ils vous accorderont ou pas le droit de rester à Cabourg. C'est pour cela, que d'expérience, nous sommes très vigilant sur ce sujet et nous tenons à informer les parents bien avant. D'expérience, on vous présente cette commission comme une simple formalité et quand le verdict tombe en juin, vous n'avez aucun recours. Vous devez suivre l'affectation » indique un parent d’élève sur le site Internet de l'API . « Et lorsqu'un parent reçoit un refus, je peux vous dire que l'on se sent bien seul, car la réponse est sans appel. On vous présente la commission comme une simple formalité – comme ce fut le cas au conseil municipal - et ensuite quand la sentence tombe, il est trop tard, on n'a aucun recour : « La décision est collégiale ».C'est à dire que personne n'est responsable de la réponse » ajoute t-ilAinsi l’API comme la FCPE se sont fortement mobilisé sur cette question. D’autant plus que plusieurs familles les ont saisis pour demander de l'aide sur le sujet « car elles ont réalisés qu'ils n'étaient plus dans le secteur de l'école Cabourg » ? Autre source d’inquiétude des parents : l'incidence que cette nouvelle carte engendrera sur l'affectation au collège