Bernard Gauducheau avec Xavière Martin, adjoint au maire chargé de l’éducation ont participé, hier matin, à l’inauguration du nouveau bâtiment « Dujarié » de l'Institution Notre-Dame de France par Patrick Devedjian Président du Conseil Départemental des Hauts de Seine, Luc-Olivier Vignaud, président du conseil d'administration de l'OGEC et d'Alain Bossard, chef d'établissement du collège. La déconstruction/reconstruction du nouveau bâtiment « Dujarié » de l'Institution Notre-Dame a été réalisée en 2016 dans un temps record malgré desproblèmes de carrières, d’inondations et de vols. Le nouveau bâtiment abrite désormais 1 grande salle polyvalente, des salles de classes, le centre de documentation, les salles des enseignants et un espace collégiens. « Le Département s’est engagé régulièrement auprés de vous comme il le fait pour l’enseignement privé », a expliqué Patrick Devedjian, avec une enveloppe dédiée de 3 M€ pour l’équipement de ses établissements (sur un budget de 163 M€ consacré à l’éducation dont 71 M€ pour les travaux dans les colléges). Pour ND de France, il a alloué deux subventions de 343 011€ chacune en 2015 et 2016 pour la réalisation de ces travaux. Cet établissement privé accueille 850 enfants de la maternelle à la 3éme dont beaucoup devanvéens. Au moins un ancien éléve de Vanves, chef scout à Saint Remy, a assisté à l’événement
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A COTE DE VANVES : INAUGURATION A NOTRE DAME DE FRANCE
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ENQUETE SUR LES NOUVEAUX RYTHMES SCOLAIRES A VANVES ET DANS LES 1281 COMMUNES FRANCILIENNES
A l’occasion d’un colloque sur « la Réforme de l’Ecole en questions, L’AMIF (Association des maires d’IDF) a présenté les résultats d’une enquête réalisé auprès des maires sur les nouveaux rythmes scolaires entre le 1er Juillet et le 31 Août 2016.
«La réforme a été imposée aux maires qui, réticents au départ mais responsables, ont dû devant la demande très forte des parents s’adapter et chercher des solutions pour mettre en place des activités» constate l’AMIF en indiquant «qu’en 2013, 13% des communes volontaires ont mis en place la réforme, 81% en 2014 lorsqu’elle est devenue obligatoire - comme à Vanves - et les 6% restant s’y sont pliées en 2015». Cette enquête montre que 90% des maires sondés ont estimé avoir rencontré des difficultés dans la mise en place de la réforme et 90% des communes franciliennes ont établi un Plan éducatif de territoire (PEDT).
Les difficultés les plus importantes ont été : la fatigue des élèves (76%) constaté par l’ensemble des enseignants et des parents d’élèves surtout pour les maternelles comme ont témoignés ces derniers sur le blog autour de la Toussaint 2014. Le recrutement et la formation des personnels (64%). Vanves a vraiment rencontré des difficultés avec les recrutements extérieurs la première année, certains des animateurs extérieurs dans les différents ateliers ayant des comportements qui « laissaient à désirer ». C’est pourquoi, dés la Rentrée 2015, la ville adoptait une formule plus souple, en remplaçant les ateliers par une prise en charge par les centres de loisirs chargés de l’accueil, avec des activités de qualité, animées par du personnel connu et formé. Enfin, le financement (22%) : Il en a coûté 600 000 € la première année à Vanves, beaucoup plus que les évaluations faites avec l’aide du fonds de compensation. C’est pourquoi une participation des parents a été demandée, en pratiquant le tarif des centres de loisirs.
Cette enquête montre que les dépenses qui risquent de croître en 2016-17 concernent : les personnels (75%), le matériel (43%), la restauration (26%), les transports (10%). Les NAP sont fréquentées par 62% des élèves en élémentaire et 57% des élèves en maternelle. Elles sont encadrées par des animateurs (75%), des ATSEM (63%), des enseignants (41%), des entraîneurs sportifs (41%), des animateurs d’associations d’éducation populaires (37%) et des bénévoles retraités ou des étudiants (22%). A Vanves, seuls les animateurs des Centres de loisirs animent ces NAP, le maire exigeant le BAFA. « Le temps passé par les animateurs avec les écoliers est aujourd’hui plus long et important que les enseignants. Il ne faut pas négliger cette nouvelle donne, car les animateurs ont un rôle pédagogique. C’est pourquoi j’exige une formation BAFA ! » indique Bernard Gauducheau pour qui c’est une filière qui s’est professionnalisé depuis les années 1980/90
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RENTREE SCOLAIRE A VANVES : LES REPONSES DE BERNARD GAUDUCHEAU, MAIRE, SUR LA SECTORISATION DE CABOURG
Le Blog de Vanves Au Quotidien a reçu un droit de réponse du Maire de Vanves suite aux articles sur la sectorisation de l’école Cabourg qu’il publie, bien sûr, in extenso. Les vanvéens jugeront et pourront commenter s’ils le souhaitent.
Dans votre blog du vendredi 2 septembre et du mardi 6 septembre derniers, vous avez évoqué la nouvelle sectorisation de l’école primaire Cabourg, en vous appuyant notamment sur des informations incomplètes et imprécises, qui auront malheureusement pu fausser votre jugement, comme celui de vos lecteurs.
Permettez-moi donc, à ce titre, de vous demander de publier un droit de réponse afin de clarifier la situation et de rétablir la réalité des faits.
Tout d’abord, l’élaboration de cette modification des secteurs scolaires vient trois ans avant la livraison de nouveaux logements et l’arrivée estimée d’environ soixante-dix nouveaux élèves sur le secteur Cabourg, afin de pouvoir affecter progressivement des enfants d’un secteur vers un autre, dans le respect des cycles éducatifs.
Depuis 2011 et la création de l’école Cabourg, quatre nouvelles classes ont été ouvertes pour accueillir les petits Vanvéens. A ce titre, ouvrir encore de nouvelles classes dans cet établissement n’apparaît désormais plus possible matériellement ni souhaitable pour les enfants et le personnel éducatif.
Voilà pourquoi cette nouvelle sectorisation est le fruit d’un long travail associant les directeurs d’écoles, l’Inspection d’Académie, les représentants des fédérations de parents d’élèves ainsi que les élus de la municipalité. Il ne s’agit en aucun cas d’une décision unilatérale, mais bien d’une décision collective longuement réfléchie.
La nouvelle carte est le résultat d’une concertation validée et acceptée par l’ensemble des protagonistes.
Se faire aujourd’hui reprocher l’anticipation des mouvements démographiques à venir, tout en prenant en compte le bien-être des enfants et des familles, a de quoi rendre pour le moins perplexe.
En outre, j’insiste sur le fait que la municipalité a opté pour une application souple et progressive de la nouvelle sectorisation afin que les enfants, les parents et les équipes pédagogiques aient le temps d’adaptation nécessaire pour réussir la transition.
La délibération du 10 février 2016 spécifie que le changement de secteurs scolaires n’est valable que pour les élèves entrant en petite section et en CP et qui n’ont pas de fratrie scolarisée dans l’établissement souhaité par la famille, démontrant là encore un choix réfléchi et cohérent.
Rien à voir donc avec la situation de Montrouge, évoquée dans votre article du mardi 6 septembre, où une fratrie s’est vue séparée dans trois écoles différentes.
Enfin, concernant la récente décision du Tribunal administratif, elle précise qu’il n’appartient pas au juge des référés de prendre des mesures revêtant un caractère définitif et que l’exécution de l’ordonnance implique seulement que le Maire de Vanves réexamine, dans un délai de huit jours, la demande de dérogation présentée par la famille citée dans votre blog.
C’est pourquoi, j’ai demandé à ce que soit réétudiée cette demande et que le choix a finalement été celui d’accorder à titre exceptionnel la dérogation scolaire de cette famille en raison de l’état de santé de l’enfant, et uniquement pour cette raison.
En effet, il m’aurait été bien plus agréable et plus simple de pouvoir donner satisfaction à tous, mais en tant que responsable et garant de l’équité de traitement entre tous les Vanvéens, déroger à cette ligne de conduite pour une autre raison que celle évoquée précédemment, aurait été incompréhensible pour la très grande majorité des autres familles ayant acté le refus de dérogation.
Enfin, pour répondre à la question de la traversée de la rue Jean Bleuzen, je rappellerais qu’il s’agit d’un axe déjà emprunté par dizaines de familles tous les jours, depuis des années, et que nous avons tenu à sécuriser grâce à la présence d’un agent municipal chargé de faire traverser les enfants et leurs parents aux heures de début et de sortie des classes, comme c’est d’ailleurs le cas à proximité des autres établissements de la Ville.
De plus, comme cela a déjà été évoqué, la Ville, avec le concours de GPSO, va très prochainement engager des travaux de réaménagement de la rue Jean Bleuzen, qui passeront notamment par la création d’un passage piéton surélevé face à l’école Marceau, afin d’accroître encore la sécurisation du cheminement piéton sur cet axe.
La Majorité Municipale actuelle est extrêmement attentive aux conditions de prise en charge des jeunes Vanvéens et l’éducation a toujours été et demeure l’une de nos priorités.
Aussi, je suis certain que ces informations auront été de nature à éclairer vos lecteurs sur cette rentrée scolaire 2016 à Vanves.
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