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Vie municipale - Page 4

  • LA TOUSSAINT A VANVES (suite et fin): DES SERVICES FUNERAIRES EN PLEINE EVOLUTION

    Les vanvéens retrouvent ces jours-ci le chemin du cimetière de leur ville ou d'ailleurs pour rendre hommage à leurs proches qui les ont quittés. Vanves Au Quotidien a rencontré à cette occasion, Jacques Landois, Maire Adjoint chargé de l’Etat Civil qui a en charge le cimetière communal et représente la commune au Sifurep (Syndicat Intercommunal Funéraire de la Région Parisienne) qui l’un des plus vieux syndicat intercommunal en Ile de France. Il nous esplique la nouvelle réglemementation qui gére tout ce qui touche au service funéraire.

     

    RENCONTRE AVEC JACQUES LANDOIS CHARGE DU CIMETIERE

     

    Vanves Au Quotidien – Qu’est-ce que c’est ce Sifurep dont un vanvéen serait à l’origine ?

    Jacques Landois : « Il s’agit d’un syndicat  intercommunal syndicat qui regroupe 74 communes dont Vanves, crée en 1905. Il faut savoir que du temps de Napoléon et Pie VII en 1804, les services funéraires ont été confiée aux Fabriques et aux Consistoires des religions catholiques et juives qui étaient alors chargé d’entretenir et gérer les lieux de cultes (églises, synagogues...). Mais ils ont connu des difficultés car ce n’est pas simple à gérer, préférant déléguer à des entreprises privées. Notamment en 1840, lorsque fut créé une entreprise de pompes funébres, Langlé, qui a commencé à gérer tout ces services funéraires et s’est transformé en Pompes Funébres Générales (PFG). En 1904, avec la séparation de l’Eglise et de l’Etat, toute cette gestion a été  confié aux communes qui se sont rendus compte que cette activité revenait très chére, avec corbillard, entretien des chevaux à l’éppoque, tendeurs, porteurs… d’où la création des services extérieures  obligeant à fournir corbillard, cercueil, poignées, capitons,  et intérieurs qui restent aux religions. Un syndicat intercommunal a été crée, qui doit être le plus ancien avec les Eaux et le Gaz, pour mutualisé les moyens, assurer les services funéraires, gérer les crématoriums et conseiller les collectivités. Etienne Jarrousse, maire de Vanves entre 1902 et 1911 a été très impliqué dans sa création. Ce syndicat intercommunal a délégué la gestion aux Pompes Funébres Générales qui ont exercé un monopole jusqu’en 1993. Compte tenu des prix pratiqués, l’Etat a décidé de casser le monopole en l’ouvrant à la concurrence. Mais voilà, contrairement au but recherché, les prix n’ont pas baissé. Du coup, le Sifurep a crée un service tarifaire qui est appliqué pour toutes les personnes décédées sur le territoire de l’une des communes adhérentes du Sifurep. Ainsi pour 2400 € de coût pour les services extérieurs, il y a une réduction de 50% qui fait baisser le prix à 1256 €. Mais peu en profitent car sur les  530 000 décés  enregistrés par an en France, 80% se déroulent des communes où ces personnes habitent. Ainsi si un vanvéen décéde à Paris, il ne pourra pas bnénéficier de cette réduction car Paris ne fait pas partie de ce syndicat.   

    VAQ - Comment sont gérés les concessions du cimentière par la ville de Vanves ?

    J.L. : « Nous avons des concessions de 10, 30, 50 ans et perpétuelles qui sont gérés maintenant sur informatique.  Ce qui implique de faire régulièrement des reprises administratives et techniques. Avec la première, nous prévenons les personnnes – on n’est pas obligé de le faire – par lettre recommandé que la concession est arrivée à échéance et qu’elles doivent la renouveler. S’il y aucune réponse, nous renouvelons ce courrier un an après. Au bout de deux ans et un jour, on peut, mais nous le faisons pas tout le temps, reprendre la concession pour l’affecter à uner autre personne. Pour les concessions perpétuelles, c’est différent,  car on ne peut pas le faire, à moins d’engager une procédure de reprise qui est très longue et spéciale. Nous le faisons lorsque la tombe est en état de péril, ce qui fut le cas une fois à Vanves, celle-ci s’étant écroulé sur une sépulture voisine.

    Ce qui implique une gestion des ossuaires. Avant, nous pouvions mettre les restes mortuaires à l’intérieur d’un ossuaire. Depuis par une nouvelle loi en 2008, nous sommes obligés, lors d’une reprise technique, de mettre les restes du corps dans un reliquaire qui est conservé dans l’ossuaire avec le nom de la personne et l’endroit où elle était. La difficulté est qu’avant on pouvait emmener les restes mortuaires à la crémation, ce qui devient de plus en plus difficile cart l’on doit s’assurer que la personne décédée ne souhaitait pas être crématisée. Ce qui est quasiment impssible. Nous sommes est obligé de conserver ces restes mortels dans l’ossuaire à l’intérieur d’un reliquaire. Ce qui se fait à Vanves. 

    VAQ – Justement qu’en est il  justement de la nouvelle réglémentation gérant la crémation ?

    J.L. : « Depuis le 28 décembre 2008, une nouvelle réglementation organise la destination des cendres. Elles sont considérées maintenant comme un corps. On ne peut plus les séparer. Elles doivent être conservée entièrement, mais on ne peut plus les garder chez soi. On doit indiquer au maire ce que l’on va en faire et quelle sera leur destination.  On peut les mettre ainsi soit dans une case de colombarium, à l’intérieur d’une cave-urne, petite sépulture en terre qui peut accueilir une douzaine d’urnes, ou d’un caveau, les disperser sauf sur un lieu public, en mer, dans un parc mais à la condition d’informer le maire de la commune où est née la personne. L’objectif est d’avoir une gestion décente des cendres. Enfin Vanves dispose depuis depûis 1994 d’un colombarium qui a été étendu, car 30% des décés se font par crémation, pour différentes raisons, dont le coût est moins cher, plus écologique etc…Nous devons avoir plus de 60 places de coombariums dans le cimetière actuellement.

  • CONSEIL MUNICIPAL RONRONNANT ET SEREIN A VANVES

    45 délibérations inscrites à l’ordre du jour du Conseil Municipal de Rentrée dont certaines très importantes mais débattues dans la sérénité…devant un public peu nombreux, avec des résidents de l’immeuble racheté par Toît et Joie du Plateau qui a fait l’objet d’une décision du Conseil, et du nouveau président de l’association Tous Ensemble, avec un ou deux adhérents. Seule ombre au tableau : Cet immense écran qui empêche le public d’être face au Conseil Municipal, et se retrouve dans la pénombre avec un rétro projecteur et un ordinateur défaillant à chaque conseil. Lorsque l’image n’est pas floue toutes les cinq minutes c’est l’ordinateur qui lâche. Pourquoi ne pas installer de petits écrans comme pour les soirées électorales, ce sera plus simple et moins gênant. Quant à la sono, cela dépend.  

     

    Vanves au Quotidien s’en tiendra aujourd’hui aux débats qui ont marqué ses 3H30 de délibérations. Justement en commençant par l’immeuble Toît et Joie avec l’octroi d’une garantie d’emprunt de 2,9 M€, la ville obtenant, en contrepartie,  la possibilité d’attribuer 6 logements. Claudine Sharfe (PC) a rappelé qu’elle avait eu l’intention de poser une question orale sur ce rachat et les surloyers, sans succés pour cause de délais, et que maintenant… « Il n’y avait pas lieu de vous répondre avant » lui a séchement répliqué le maire. Guy Janvier (PS) s’est réjoui que cet immeuble reste dans le patrimoine social et a de nouveau demandé comment étaient attribué les logements sociaux.  « Sûrement mieux qu’entre 1995 et 2001 » a répliqué Bernard Gauducheau (NC) qui a donné quelques critéres ( notamment l’urgence). « Mais je reçois des concitoyens dont certains sont demandeurs de logement depuis longtemps. Plus il y a de transparence, mieux c’est ! » a répondu Guy Janvier. « Quand on demande un logement, c’est toujours trop long ! » a constaté le Maire.

     

    VIDEOPROTECTION

    Le second grand débat a concerné la vidéoprotection à l’occasion de l’installation d’une diziéme caméra au Fun Park, rue Louis Vicat. Riverain de cette zone, Fabian Estellano (PS) a exprimé son opposition à la vidéosurveillance – « vidéoprotection » a précisé le maire, « mais c’est pareil ! » lui a-t-il répondu  – «  qui coûte chére, qui stigmatise ce quartier, et sa population ». Jean Cyril Le Goff (PS) a demandé « une évaluation prouvant que la vidéosurveilance apporte un plus à la population. Est-ce que cela a amélioré sa sécurité ? ». Laurent Lacomére, maire adjoint (UMP) a précisé que les caméras fonctionnent 24H sur 24, permet à la police d’identifier les délinquants. « Et dans ce cas là, nous pourrons voir qui casse les installations rue Louis Vicat. Mais comment voulez-vous qu’on vous donne le rendement exact de telle ou telle caméra. La police municipale a pu grâce à ces caméras arrêter et appréhender des individus. Et depuis l’installation d’une caméra rue Louis Dardenne, les problèmes ont cessé ! » a-t-il affirmé.  Bernard Gauducheau (NC) a insisté : « Le meilleur indicateur, ce sont les chiffres de la délinquance sur la commune. Et on n’a jamais voulu développer un systéme très important. Et il y a eu des effets bénéfiques après l’installation de caméras. Pour le Fun Park, au-delà des installations, c’est aussi pour la sécurité de ses utilisateurs. Enfin, l’une des subtilité de cette vidéoprotectuon est d’être relié au commissariat ».

    Du coup, Lucile Schmid (Verts) a surenchérit en considérant qu’il y a plusieurs arguments contre : « S’il y a eu des résultats à Dardenne, c’est grâce au travail avec les professeurs. Je ne crois pas que cela soit efficace, car je ne crois pas à ce sentiment d’insécurité, et nous ne voulons pas d’une société de vidéosurveillance ! ». Du coup Laurent Lacomére (UMP) s’est exclamé : « Mais c’est un moyen de tranquillité publique ! ». Isabelle Debré (UMP) s’est réjoui que la Vidéosurveillance permet à des jeunes d’éviter de trainer dans la rue. Guy Janvier a repris son antienne « Mais dans quelle société voulons nous ? Il faut évaluer cette politique. La meilleure prévention est d’avoir des éducateurs (de rue) pour encadrer les jeunes. Cette caméra en plus, c’est de la sécurisation rampante. Et la mettre sur un terain de jeux pour les jeunes, ce n’est pas bon ! ». Ce qui fit réagir Bernard Gauducheau : « Ne mélangez pas tout ! Arrêter avec des positions dogmatiques. Laisssez-nous faire. Et vous expliquerez à la population pourquoi, vous êtes contre ! ».  

     

    JEUNES ET ESCAL 

    Le débat a démarré sur la mise en place d’une carte d’adhérent au pôle jeunesse (16-25 ans). « Il s’agit d’essayer de fidéliser les 16/25, de leur faire profiter des équipements culturels et de s’nsécrer dans la vie associative et locale : 15 € pour un simple adhérent, 100 € pour ceux qui veulent suivre les activités Fitness, musculation et remise en forme confiéés à une association clamartoise Movies » a expliqué Marie François Goloubtzoff, maire adjoint (NC). « Votre politique manque d’ambition. C’est rop cadré. C’est plus pour servir à faire des statistiques. Et il y a peut être plus prés de Clamart » a réagit Jean Cyril Le Goff (PS) en parlant de l’Aquaboulevard. « C’est plus cher, avec moins d’avantages, et cela ne les intéresse pas » a-t-elle répliquée en parlant des responsables de l’Aquaboulevard. « Mais on a du mal à comprendre la raison et l’intérêt  de cette carte par rapport à ce qui existe déjà sur la ville avec le théâtre, Albert Gazier etc… » a continué Jean Cyril Le Goff. « D’autant qu’il y avait une salle de musculation à l’espace Sébastien Giner » surenchérit Guy Janvier. «  Giner a été réaffecté à autre chose » a précisé Bernard Gauducheau qui précise « que pour les 16/25 ans il y a d’autres associations avec le stade de Vanves, le conservatoire. Et on n’est pas loin de 100% de satisfaction chez les jeunes qui trouvent des activités à leur pied ».

    Il a continué  avec la demande de subvention pour la journée « Visite du Parlement Européen de Bruxelles » lors de la Tousssaint pour des jeunes de 11-17 ans et le Conseil des Jeunes. Lucile Schmid (Verts) a demandé « quel député allaient ils rencontrer ? » - « C’est en cours d’organisation » a répondu Bernard Gauducheau – « Mais il faut qu’ils rencontrent des députés de toutes tendances ! » -  « Lorsque je fais visiter le Sénat, je reçois des écoles de toutes les villes, quelles que soient leurs couleurs politiques » a précisé Isabelle Debré – « Mais je ne comprends pas comment on peut parler du Parlement européen sans parler des jeux politiques » surenchérit Claire Papy (Verts). Du coup, Jean Cyril Le Goff explique qu’il n’est pas choqué par le député qui les recevra : « Les jeunes sont bien loin de savoir pour qui ils vont voter. C’est une visite civique ! » - « D’ailleurs M.Le Goff est venu à l’une des visites que j’organise au Sénat » a précisé Isabelle Debré.    

     

    QUESTIONS DIVERSES

    Quelquefois, l’opposition municipale profite d’une délibération pour poser une question d’actualité ou affirmer une position ; Ainsi Fabian Estellano a demandé au Maire « s’il avait du  temps pour les vanvéens » lorsqu’il voyait « toutes ses fonctions cumulées : Vice président du GPSO, du SIGEIF, conseiller général, maire…et candidat aux cantonales ! » - « Pour l’instant ma candidature n’est pas officialisée ! » s’est il contenté de répondre. Un peu plus tard Claudine Sharfe  (PC) a constatée « qu’il devient compliqué de savoir quel terrain appartient à la ville ou à l’une des résidences du Plateau ! ». Du coup, le maire a indiqué qu’une étude parcellaire sera lancée par GPSO pour s’y retrouver entre les espaces publics et privés. « Cela pourra nous faire des économies car des fois, on nous dit que c’est à la Mairie, et d’autres fois que c’est à nous et on paie des charges en plus » constatait la représentante du PC. Jean Cyril Le Goff (PS) a demandé «  ce qu’il en était de ce faux plafond qui s’est effondré à l’école du Parc ?». Gérard Laubier, maire adjoint (UMP) a précisé « qu’il s’agissait d’un faux plafond en plâtre d’une classe qui est tombé, entraînant des morceaux de béton à cause d’infiltrations d’eaux. Un bureau de contrôle a vérifié et a rasssuré sur la solidité de la structure. Il faudra trouver l’origine de la fuite avant de faire les travaux. Le maire a demandé le contrôle de toutes les écoles et bâtiments où il y a des enfants »     

  • RETOUR SUR LE CONSEIL MUNICIPAL DE VANVES (Suite et Fin)

    Tous ces événements passés – 18 Juin, fête de la Musique, Mondial…nous ont empêché de traiter complètement le Conseil Municipal du Mardi 15 Juin. C’est pourquoi Vanves au Quotidien (VAQ) revient pour la dernière fois sur cette réunion où des décisions importantes ont été prises,  notamment en matière de prévention vis-à-vis des jeunes ù beaucoup d’actions nouvelles ont été lancées.

     

    EQUIPEMENTS SPORTIFS

    La Ville de Vanves a demandé deux subventions auprès du Centre National de Développement du sport (CNDS) pour la rénovation du gymnase A.Roche (remplacement des lames défectueuses du parquet, ponçage, vernissage, traçage des lignes) dont le coût s’éléve à 242 000 €. Et pour la rénovation du revêtement de la piste d’athlétisme du PMS A.Roche qui remonte à 1992, dont le coût s’éléve à 167 250 €. Pierre Toulouse (Verts) en a profité pour constater « qu’il manque clairement un gymnase dans la ville » et que « le gymnase Maurice Magne n’a aucun moyen pour accueillir des spectateurs ».

    Maxime Gagliardi, maire adjoint chargé des Sports, en a profité pour annoncer « un accord entre les sections Basket et Hand pour que cette dernière puisse bénéficier du gymnase André Roche pour jouer devant ses supporters et ses spectateurs ». Il est vrai qu’un accord est nécessaire car durant la grippe A H1N1, c’est avec beaucoup de mauvaise volonté que le basket avait laissé joué le hand dans « son gymnase ». A tel point que le président du Stade de Vanves avait dû taper du poing sur la table…sans grand résultat.

    CONSEIL DE QUARTIER

    Le Conseil municipal a apporté quelques modifications au règlement intérieur des Conseils de Quartiers afin de pouvoir leur « donner une base de représentativité plus large lors de leurs renouvellements » : création de commissions thématiques afin que leurs membres puissent davantage s’investir dans des projets leur tenant à cœur. Création d’une liste de réserve, suite au tirage au sort,  afin que tous les candidats puissent participer aux conseils de quartier et remplacer un conseiller de quartier démissionnaire. Possibilité pour permettre aux conseils de quartiers de se réunir tous les 2 mois (et non plus tous les 3 mois. Claire Papy (Verts) en a profité pour demander « à quoi servait le comité de la Charte locale qui n’a pas été réunie ». Du coup Bernard Gauducheau a invité Françoise Saimpert, maire adjoiny chargée de la vie associative à le faire d’autant plus qu’il doit donner son avis sur le fonctionnement de la particiption locale et évaluer l’action menée dans les différentes instances de participation.

     PREVENTION : BEAUCOUP DE NOUVELLES ACTIONS

    La ville a fait une demande de subvention de 60 600 € au Conseil Général pour financer ses actions de prévention de la délinquance menées par les services municipaux de la Prévention Jeunesse (Club 11/17 ans et 189/25 ans), ainsi que de l’éducation et de la prévention santé. Occasion de s’apercevoir que la ville réalise prés d’une vingtaine d’actions. 

    Parmi les actions déjà lancées :

    - La Caféteria (Service Jeunesse) qui consiste à permettre à des élèves du lycée de disposer d’un lieu d’accueil à l’heure du déjeuner à proximité de leur établissement.

    - Le sport insertion (Service Jeunesse) afin de permettre à des adolescents marginalisés de pratiquer des activités sportives encadrées par des professionnels.

    -  « Coup de Pouce (serice Education) qui permet d’offrir une aide aux devoirs personnalisée et un soutien au développement personnel et culturel de l’enfant en école élémentaire.

    - « Coup de Pouce CLE » (Service Education) qui est un service individualisé par groupe de 5 éléves de CP repérés comme en difficulté d’apprentissage de la lecture.

    -  Club Santé (Service Prévention Santé) avec tenue dans le LEP Dardenne d’un stand d’infos, de sensibilisation et d’orientation vers des professionnels pour les risques liés a tabac, à ‘alcool, aux drogues.

    - « Les Jeux dangereux » (Service Prévention Santé) qui est une sensibilisation des CM1/CM2 et des collégiens sur les dangers et les conséquences physiques, psychologiques et pénales de jeux dangereux comme le jeu du foulard.

     

    Parmi les actions nouvelles :   « Je(ux)Jeunes citoyens » (Service Education)  qui est une réflexion menées sur les notions de citoyenneté, de démocratie, de la place des institutions, la portée des règles et de la loi grâce à des jeux. Et toute une série d’actions menées à Albert Gazier par le service Jeunesse 11/17 ans :

    - Aide aux devoirs pour offrir une aide personnalisée et un soutien au développement personnel et culturel du colégien

    - Contrat d’aide scolaire : suivi individualisé du collégien sur un problème scolaire spécifique et ciblé

    - Atelier Slam : Favoriser la créativité et l’écriture des participants et la nécessité de dire et de partager un vécu par la rime et l’oralité

    - One Man Woman Show : Découvrir la forme théâtrale et circassienne du clown en créant un personnage, en apprenant à improviser seul ou à plusieurs, et en travaillant l’écoute et la spontanéité

    - Hip-Hop et création chorégraphique : Apprendre au travers du hip hop l’importance de la chorégraphie et l’expérimentation de l’acte artistique dans une création collective

    - Body gym et Initiation Capoiera : Pratique sportive permettant de canaliser son énergie, d’acquérir une discipline et une assiduité

    - Jeux d’opposition : pratique sportive de la lutte selon des régles d’arts martiaux avec les mêmes objectifs que le Body Gym.

    - After school jeux de société : Découverte ou redécouverte de jeux de société en apprenant les régles du jeu, à gagner et à perdre, à jouer collectif

    - Stages cirque : L’objectif est de permettre aux ados de mieux s’approprier son corps (motricité, dextérité, jonglage, repère dans l’espace) et apprendre la pratique de la scéne

    - Courts métrages sur téléphone portable : Faire prendre conscience aux jeunes que le téléphone portable est un outil de communication, d’expression et de création et qu’il y a des risques de déviance.

    - Mode et stylisme : Apprendre aux jeunes filles à se réapproprier leur féminité.

    - Stages cuisines : Apprendre à cuisiner des plats faciles et équilibrés (et prendre conscience que l’on peut bien manger même avec un budget restreint).