Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 11

  • A VANVES UN WEEK-END BASKET ET GALETTES

    La neige, le gel, les intémpéries n’y feront rien. Vanves cultivera ce week-end deux grandes traditions : Le basket et la galette.  

     

    BASKET : SYLVAIN FAIT NOUS RÊVER !

     

    L’une est sportive avec le basket et un match exceptionnel entre son équipe première et Caen. Mais pas dans son gymnase habituel du PMS André Roche. A Issy les Moulineaux, au Palais des Sport de la Communauté d’Agglomération Robert Carpentier.  La section Basket, le club des Sponsors, la ville ont mobilisé les vanvéens pour remplir la salle où se déroulera ce match historique. 1000 vanvéens et plus sont attendus. En tous les cas c’est le pari. Des billets ont été distribués partout. Des affiches ont été apposés sur les vitrines de beaucoup de commerçants par Bernard Roche, fidèle supporter acharné et Cédric Davy, auteur du Blog Vanves92170 qui tient régulièrement la rubrique chaque week-end. Pour atteindre ce premier résultat. Après, tout dépendra de l’équipe première de basket devant une belle palette de spectateurs, du maire au Sénateur en passant peut être par le député, le conseiller général, de nombreux élus quel que soit leurs couleurs. Ce sera la soirée politico-mondaine-sportive de l’année.

    Comme un certain 15 Mars 2003. Rappelez-vous, pour la Coupe de France,  Vanves avait rencontré la prestigieuse équipe de Pau-Orthez  lors d’un match historique et magique mais au gymnase André Roche. Elle s’était bien défendue, notamment lors de la première mi-temps, où l’écart était faible entre les deux équipes. Mais il s’était creusé par la suite (125-68). Ce match est resté à jamais gravé dans la tête des joueurs vanvéens et de Sylvain Mousseau,  simplement pour le fait d’avoir joué contre une équipe tenante du titre, avec la moitié de l’équipe de France…. alors que Vanves, à l’époque, était très menacée de relégation en Nat.3 aprés une saison catastrophique. Là ce soir, Sylvain et ses joueurs peuvent nous faire rêver encore.

     

    GALETTE DES ROIS : PATRICK REVIENT !

     

    L’autre (tradition) n’en est pas moins sportive : la galette des Rois. Certains peuvent battre des records pour le nombre de galettes des rois auxquels ils ont participé, notamment parmi nos élus. Dimanche, pour le banquet des aînes au pavillon Dauphine, nos seniors auront le droit à la galette à la fin du repas. Le même jour à 16H, à Saint François, la communauté paroissiale vous invite à venir partager une galette. Le 12 Janvier, le Rosier Rouge organisera sa traditionnelle galette des rois à l’occasion des vœux. Sans parler dans nos associations où c’est l’occasion de retrouvailles après la trêve des confiseurs.  Mais c’est l’association Saint Vincent de Paul qui a attaqué la première, dimanche dernier, 3 Janvier, avec une galette des Rois « chantante » dans les locaux de la paroisse Saint François. Cette association caritative avait invité plus d’une cinquantaine de personnes âgées et isolées à venir partager la galette avec Pierre Meige qui sait généralement mettre de l’ambiance. Il fallait voir les mamies reprendre en chœur de nombreux succès populaire, car il est le seul à savoir créer une ambiance… intergénérationnelle puisqu’il y avait quelques enfants dans l’assistance qui ont participé à la fête.

    Point n’est besoin de revenir sur les origines de cette tradition qui existe en France depuis le XIVéme siécle. Mais de rappeler certains faits : du XVIIéme siécle à 1910 environ, les boulangers avaient coutume d’offrir gratuitement une galette des Rois à leurs clients. L’usage s’est perdu et la galette est devenue un produit commercial qui est même vendu dés Décembre, avant la fête de l’épiphanie. Durant le Moyen âge, c’est un enfant, caché sous la table qui attribue la part de chacun, mais aussi «la « part de Dieu » pour les pauvres. Enfin, le processus de fabrication s’est industrialisé. Fini la galette rustique du Moyen, ou plus élaboré en devenant un feuilletage inspiré du Pithiviers, puis selon une tradition qui perdure au dessus de la Loire, une abaisse de pâte feuilletée ciselée d’entailles croisées et dorée à l’œuf, fourrées d’amandes ou à la pâte d’amande ou nature. La plupart des boulangers bénéficient de la chaîne du froid aujourd’hui car le feuilletage est confié à des industriels qui livrent galettes surgelées et fourrées. Le dernier qui la faisait toujours à la main à Vanves, a été un certain Patrick Leguyader qui tenait rue Louis Blanc une épicerie fine à l’emplacement actuel du nouveau bâtiment de logements et de la permanence de l’UMP. Beaucoup venait se fournir chez lui à l’époque car sa galette des rois était la meilleure. Mais il y passait des heures et des heures durant pratiquement tout le mois de janvier avant de passer aux crêpes de la chandeleur.

  • VANVES EN 2010 : L’ANNEE DES CHANTIERS

    Il devrait avoir, proportionnellement, autant de grues à Vanves qu’à Isssy les Moulineaux durant l’année 2010 comme l’a indiqué Bernard Gauducheau dans ses réunions publiques de quartier fin novembre/début Décembre Tout simplement par le fait du hasard, car beaucoup de projets se sont débloqués ou peuvent démarrer en même temps avec les opérations 36/42Marcheron, le Clos Saint Remy à l’emplacement du bâtiment utilisé pour le tournage de la série Julie Lescaut, place de la République, le projet de l’association Simon Cyréne de maison d’habitation pour adultes handicapés sur une partie des terrains du prieuré Saint Balthilde rue d’Issy, sans compter l’ilôt Cabourg dont les travaux de démolition des écoles sont presque terminés.  

     

    Mais il a tenu à rassurer ses administrés sur les conditions de réalisation de ces chantiers à l’instar de ce qui se déroule actuellement dans l’ilôt Cabourg : « Nous avons la chance d’avoir une entreprise très sérieuse sur ce chantier. Ils sont très bien organisés. Ils savent faire » a-t-il expliqué en laissant entendre que ce sera le cas pour les autres chantiers, avec si c’est nécessaire,  un plan de circulation provisoire sur l’axe Raymond Marcheron lorsque le chantier du 36/42 commencera. Beaucoup de vanvéens ont constaté d’ailleurs que systématiquement à la sortie du chantier, les roues des camions étaient lavées notamment. D’autres sont en cours comme c’est le cas dans la rue Mary Beyssere,  ou à l’angle des rues Sadi Carnot/Danton : Il s’agit d’un immeuble de 43 logements sociaux réservés aux militaires.  Ces habitations à vocation sociale seront attribuées à des agents de l'Etat appartenant au Ministère de la Défense.  Les travaux qui viennent de débuter devraient se terminer vers fin 2010 début 2011. Enfin, deux sont en  stand by : les projets de résidence hôtelière rue Aristide Briand, car le promoteur modifie son projet,  et étudiante à côté du commissariat, à l’angle Raymond Marcheron/Diderot, à cause d’un recours. 

     

    MARY BEYSSERE (EDDI)

    Ce nouvel immeuble au 50 de la rue Mary Besseyre est en cours de construction. Son architecte et son promoteur (EDDI) ont prévu de laisser une grande place à la végétation. Ils ont déjà œuvré à Vanves au 18 de la même rue et surtout rue d’Issy avec une maison (toute blanche) primée par le Palmarés de l’Habitat dans les années 80. Ils construisent actuellement sur le terrain occupé auparavant par une maison à l’abandon avec un jardin magnifique, un  édifice qui jouera sur la différenciation des différents étages – 5 sont prévus – avec  duplex et jardin au rez-de-chaussé, 3 pièces au second étage, 5 au dernier étage avec  terrasse… et beaucoup de végétations.

     

    LA CAVERNE DES PARTICULIERS (COGEDIM)

    Cette opération va entrer dans sa phase opérationnelle, avec une démolition des bâtiments qui accueillaient la Caverne des Particuliers jusqu’en Mars 2010 puis démarrage du gros oeuvre. Il s’agit de deux bâtiments à l’angle des rues Jean Bleuzen et Barbés : Une résidence de services de 198 appartements exploités par le groupe ICADE destinés à des étudiants ou des cadres en mobilité, avec des services (petit déjeuner, ménage, blanchisserie…) et deux commerces de 300 m2 en rez-de-chaussée, peut être une brasserie, avec une salle de sports ( ?). Un immeuble de 29 Logements du studio aux 5 piéces avec terrasses dont 27 ont déjà trouvés preneurs. La livraison de la résidence service est prévue pour la Rentrée 2011. 

     

    LE CLOS SAINT REMY (OGIC)

    Le « Clos Saint Rémy » dont on ne peut pas rater le bureau de vente place de la République sera édifié par le promoteur OGIC à l’emplacement de la société DEF Incendie et de l’ex-commissariat (fictif) de Julie Lescaut. Un petit immeuble de 26 appartements du studio au 4 pièces, dont l’architecture est  respectueuse du passé avec de la pierre meulière pour rappeler les anciens bâtiments que l’on peut voir encore et qui explique la différence de traitement des façades à l’angle de la place et de la rue de la République. Le maire a expliqué lors de réunions de quartiers, qu’après quelques difficultés, un accord a pu être trouvé entre le promoteur (OGIC) et les propriétaires du terrain (SCI) sur les conditions de vente. Ce qui a été long parce que la SCI rassemble par moins de 7 co-propriétaires. Les travaux seront entreprises après démolition, puis fouilles archéologiques prévues entre Février et Septembre 2010 qui devrait durer 6 mois et  construction ne commence réellement, avec livraison prévue en 2012

     

    LE 36/42 MARCHERON (COGEDIM) 

    Beaucoup de retard avait été pris à cause d’une entreprise installée sur ce site quii avait fait monter les enchères, alors que l’agence bancaire et les commerces étaient déjà partis depuis 2 à 3 ans. Ce projet Cogedim est constitué d’une résidence étudiante de 200 chambres  avec 3 commerces au rez-de-chaussée d’un immeuble à l’angle des rues René Coche et Raymond Marcheron, avec conservation du porche qui remonterait à Henri IV et Gabrielle d’Estrée, une entrée de parkings souterrains sur un seul niveau de 70 places rue René Coche, et 2 bâtiments de 4 étages (30 logements) villa de la Gare. Les travaux de démolition devaient débuter en Décembre et durer 3 mois, suivi par les travaux de terrassement entre Mars et Mai, le gros oeuvre, avec livraison de la résidence étudiante pour la Rentrée 2011, les logements à la fin 2011.

     

    LA MAISON RELAIS SIMON CYRENE (LOGIREP)

    Il s’agit d’une Maison Relais spécialement dédié pour des gens qui ont basculés dans l’handicap en cours de vie (après un anévrisme, trouble neurologique, accident de voiture…), selon un concept développé par l’association Simon Cyréne – personne qui a aidé le Christ à porter sa croix -  dont l’idée est d’apporter, de porter les handicapés sur leur chemin. Le bâtiment sera le long de la rue d’Issy à la place d’un  vieux bâtiment qui cache quelque peu le Monastère construit dans les années 30 selon les plans du moine architecte Don Bello, inscrit à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques. Sa conception a été faîte en étroite relation avec l’Architecte des Bâtiments de France. Il s’agira d’un bâtiment R+3 avec certaines spécificités permettant de toujours de voir de loin le prieuré, conservation du parement de briques dans les matériaux pour rappeler celui de Don Bello, avec des induits de ton clair. Le front bâti sera recrée avec le porche pour accéder à l’entrée de l’église qui est juste derrière. De grands logements (3) sont prévus dans lequel il y aura 6 chambres handicapés dont une aménagée pour les handicapés très lourds et 4 chambres pour les assistants, avec un appartement pour une maîtresse de maison ; ainsi que des petits T1 et T2 pour des handicapés vraiment autonomes qui seront au rez-de-chaussée. Ce bâtiment comportera de la domotique pour les handicapés, des portes qui s’ouvrent tout seul, des volets électriques, deux ascenseurs et des toitures végétalisées.

  • VANVES EN 2010 : UN DESTIN LIE AU GRAND PARIS SEINE OUEST

    VANVES TRES PRESENT A LA SEANCE D’INSTALLATION

     

    Il n’y avait pas que le maire et les représentants du conseil municipal de Vanves à Meudon, mardi soir pour l’installation du Conseil communautaire de Grand Paris Seine Ouest, mais quelques élus vanvéens venus en spectateurs (Michel Dingreville, Mauricette Noyer…) et le photographe de la mairie bien sûr pour immortaliser cet événement. L’histoire retiendra de cette soirée tout qu’un Santini Boys a pris la présidence de cette nouvelle communauté d’agglomération, PC Baguet, député maire de Boulogne, puisque son mentor avait décidé que ce serait le maire de la ville la plus importante.  Ensuite que Jean Pierre Fourcade, ex-maire de Boulogne,  a présidé en tant que doyen d’âge cette séance inaugurale face à son vieil adversaire et ami de toujours, André Santini, qui a reçu deux beaux vases d’Ormoy de la Manufacture de Sévres offert ses 6 collégues « pour avoir su assumer sa charge en homme visionnaire, rigoureux et brillant qu’il est, pendant 7 ans à la tête d’Arc de Seine » a déclaré PC Baguet en ajoutant : « Sachez que je ne puis qu’être fier d’avoir croisé son chemin il y a bien des années. L’expérience acquise à ses côtés se révèle au quotidien précieuse ». Enfin, que ce fut vraiment une affaire de famille : Sur 84 présents, 10 n’ont pas pris part au vote, 6 ont voté Blancs ou Nul, 68 se sont exprimés dont 67 pour le député maire de Boulogne et 1 pour le député maire d’Issy les Moulineaux. Sachant que l’opposition est représenté par 9 PS, 1 PC, 1 Vert (Claire Papy) et 4 Modem. Les 6 maires ont été élu Vice Présidents d’une seule traite par 72 voix à l’exception de celui de Sévres qui n’a eu que 71 voix, dans l’ordre alphabétique des communes, sauf pour André Santini qui est le 1er Vice Président, chacun ayant eu droit à un bulletin de vote de couleur différente, Bernard Gauducheau ayant hérité du « rose ». 

    PC Baguet a dessiné les enjeux de cette nouvelle CA dans cette salle de réunion du Potager du Dauphin à Meudon qui « résume à lui seul ce qui caractérise notre nouvelle agglomération : un territoire riche de son patrimoine, où la volonté politique n’est pas un vain mot »…. « Nous n’avons pas le droit à l’erreur, au moment où tous s’accordent à constater la nécessité de réformer les collectivités et de doter la région parisienne d’une organisation propre à relancer le défi de la mondialisation. Le rayonnement de la région parisienne passe par sa structuration autour de pôles majeurs, tout à la fois lieux de vie et bassins d’activités et d’emplois…Il convenait désormais que l’organisation démocratique et institutionnelle coïncide avec ce territoire vécu » par les 300 000 habitants du GPSO qui « comptent sur nous pour assurer les grands services de proximité, tout en préparant leur avenir » et « les 20 000 entreprises de notre territoire » qui « attendent de nous une implication sans faille ».