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  • UN RIVERAIN MECONTANT D’UN CHANTIER A VANVES ECRIT A BOUYGUES HABITAT

    Les chantiers en cours de réalisation actuellement, même s’ils bien tenus selon la Mairie de Vanves, créent quelques nuisances pour les riverains les plus proches qui s’en plaignent plus ou moins ouvertement.  L’un d’entre eux se déroule rue d’Issy sur une partie du terrain du prieuré Sainte Balthilde : Il s’agit de la construction d’une Maison Relais pour Adultes Handicapés de l’association Simon de Cyréne construit par bouygues Habitat pour le compte de Logirep. Depuis la première pierre le 7 Mai dernier, le chantier a commencé créant quelques nuisances pour les riverains qui ont constaté un manque d’informations sur son déroulement alors que des places de stationnement étaient supprimés, des tranchées creusées…sans trop savoir pour quelles raisons, gênant la circulatioon et le statioonnement. Et pour certains, c’est devenu l’enfer, depuis que la grue a été installée, avec le début des travaux de fondations, de constrctions et de réhabilitation du bâti existants.  Voilà un témoignage d’un riverain qui a fait l’objet d’un courrier envoyé à Bouygues Habitat :

     

    « Résident contigüe à votre chantier, au 15 rue d’Issy, mon véhicule en stationnement autorisé devant l’entrée de mon domicile a subit des dégradations de carrosserie lors des différentes livraisons de chantier. Ayant signalé le fait à votre conducteur et responsable du chantier, celui-ci restant courtois a été désolé de constater les dommages, mais en bon professionnel bien éduqué par vos soins, a évoqué sa non responsabilité devant la malveillance de tous les fournisseurs de ce chantier.

    Or, vous devriez savoir, que sur un chantier, lorsqu’il y a des démolitions, des livraisons de toupies de béton ou autre, vous devez le nettoyage de la voie publique car vous êtes responsable des dégradations provoquées par le fonctionnement du chantier sur le domaine public, même si ces dégradations sont provoquées par des fournisseurs ou intervenants ne faisant pas parti de votre groupe. Vous conviendrez qu’il est difficile de faire un « référé préventif » pour les véhicules garés proche de ce chantier ! Je conçois que si votre grue qui tourne au dessus de ma tête et s’effondre sur moi, votre assurance de chantier sera d’une grande utilité, mais mon véhicule ne semble vous intéresser.

    Les travaux doivent durer encore plusieurs mois et je me demande dans quel état nous allons retrouver nos véhicules, dégradés, sans que vous vous sentiez responsables. Supprimez encore deux places de parking dans la rue d’Issy n’est que repousser le problème  de deux places. Ce n’est surement pas la bonne solution.

    N’oubliez pas que votre chantier ne fait que commencer et, étant donné votre réaction, je crains le pire quand vous allez attaquer plus sérieusement ce chantier et l’intervention également du second œuvre. Votre plan de prévention concerne aussi les personnes et les véhicules se déplaçant à proximité de votre chantier.   Je ne compte pas attendre le nombre de chantiers ou le nombre d’accidents pour que vos responsables sur le terrain comprennent qu’un chantier n’est pas uniquement une rentabilité financière liée à un plan de carrière mais un savoir-faire et un savoir-vivre ».

  • PREMIERE PIERRE D'UNE MAISON-RELAIS UNIQUE EN FRANCE A VANVES

    Le plus beau souvenir, la plus belle image de cette première pierre de la  future Maison-Relais pour personnes handicapés « Simon de Cyréne » restera pour tous en ce vendredi 7 Mai au matin,  ce rassemblement dans le jardin du Prieuré Sainte Barthilde des bénédictines de Vanves de tous les invités autour d’un mur symbolique. Et surtout lorsque Laurent de  Cherisey directeur général de cette association a invité ses membres, handicapés, bénévoles, dirigeants, de venir au premier rang, avec, et même,  devant les personnalités. L’une des futures résidents a inséré  le parchemin dans le rouleau qui a été placé dans une des pierres de ce mur tout blanc. Et dirigeants comme futurs résidents ont manié la truelle tout comme les élus. « Cette première pierre revêt pour nous tous une importance car chacun a apporté la sienne » a-t-il expliqué  en ajoutant que « c’est la première pierre du désir de François », un résident qui avait eu cette phrase lors d’un échange et qu’il a citée plusieurs fois durant cette matinée : « On ne peut plus créer notre famille. Ne voulez-vous pas qu’on la recrée ensemble ». Avec l’aide bien sûr de Simon de Cyréne ».  Il a rappelé bien sûr tout l’historique du projet « qui a suscité plusieurs années de combat » en racontant cette anecdote : « Au début, nous pensions la réaliser à 40 km de Paris. Et c’est un  handicapé qui nous a dit : Et pourquoi pas trouver une ville à taille humaine, prés d’un métro, avec des espaces verts…c’est ce qui correspond à Vanves ». Il a présenté l’esprit et l’objectif du projet en expliquant bien que c’est la loi de Février 2005 qui les a beaucoup aidé : recréer au cœur des villes des appartements partagés pour personnes adultes handicapés et maîtresse de maison, étudiants, volontaires associatifs, redonner du sens à l’existence en créant ces lieux de vie et d’amitié….

    Cette première pierre a évidemment donné lieu à beaucoup de discours des différents acteurs et surtout financeurs de ce projet,  Conseil Général avec Christian Dupuy, Vice Président, Région avec Laure Lechatellier, Etat avec le Sous Préfet d’Antony et de Boulogne, ce qui a peut être paru long pour certains invités parmi lesquels on reconnaissait Isabelle Debré, sénateur, Guy Janvier, Conseiller Général, des élus de Vanves mais aussi beaucoup de vanvéens engagés dans des associations sociales. Bernard Gauducheau a parlé d’un « projet plein d’humanité » considérant que les mots « solidarité, dignité, combat » le résume bien. Le directeur général de Polylogis a présenté le projet conçu par l’architecte Pierre Villeminot qui prévoit d’installer 8 logements dans le bâtiment de l’ancienne hostellerie qui sera refait, et  une construction neuve  (2500 m2) de 4 étages le long de la rue d’Issy, avec 19 logements aux étages,  avec table d‘hôte, ciné club, salon de thé, ateliers d’activités au rez de chaussée. Mais c’est la mère Lazare supérieure de ce prieuré qui a eu le mot de la fin : « Il fallait que cette maison reste pour être un lieu de vie ! ». Il est vrai que ce projet unique en France permet aux bénédictines de rester dans leur prieuré cher au cœur des vanvéens. 

     

    UN PREMIER LIEU DE VIE OUVERT POUR DES SEJOURS D’ESSAIS

    Patrick Devedjian qui n’a pu assister à cette première pierre, a eu une idée du projet de cette association que le Conseil Général finance,  en visitant tout seul – peut être est-ce la raison pour laquelle personne n’a été prévenu, même pas le maire, ni le conseiller général de Vanves -  avec Laurent de Cherisey, juste avant, l’appartement de type familial comprenant 5 studios dont 2 adaptés à la vie en fauteuil, 3 chambres dédiées aux assistants et un studio indépendant pour la maîtresse de maison. Il est installé au rez de chaussée de l’immeuble du 18 av. du Général de Gaulle qui était occupé auparavant par une petite communauté de sœurs de la congrégation des franciscaines Missionnaires de Marie. Elles s’étaient installé là après avoir cédé leur couvent au Rosier Rouge pour en faire ce foyer d’accueil pour familles d’hospitalisés initiés par le Secours Catholique et permis la construction de cet immeuble sur une partie de leur terrain.

     

    Depuis le 20 Janvier 2010, 24 personnes dont la vie a basculé dans le handicap viennent passer 4 séjours d’essais  de 10 jours pour voir s’ils sont prêts à vivre dans un appartement partagé à partir de l’an prochain, avec 4 bénévoles et une maîtresse de maison. « 10 000 personnes basculent dans un handicap lourd chaque année et rencontrent soudain une grande solitude » a expliqué Laurent de Cherisey au ministre en lui expliquant le contexte – « les progrés de la médécine d’urgence permet de sauver les personnes victimes de ces accidents (traumatisme crânien, accident cérébro-vasculaire, lésion cérébrale…) qui ne l’auraient pas été voilà 25 ans et dont la vie est cassée  »- en présentant le projet Simon de Cyréne, en lui faisant visiter cet appartement  et rencontrer les cinq personnes accueillis ce jour là et qui arrivaient à la fin de leur 3éme  séjour : « L’appartement est très coal et très agréable ! C’est important de ne pas se sentir enfermé » a expliqué l’une d’entre elle. « On se retrouve comme dans une grande famille. C’est très important de se bien se sentir dans ses baskets ! » a ajouté un autre.

     

    Il a ainsi passé trois quart d’heure pour se rendre compte et écouter : « C’est une expérience intéressante car il tend de recréer une vie sociale et familiale pour des gens dont le handicap les conduit à l’isolement qui aggrave en fait le handicap. Et en même temps, c’est une recherche ! » expliquait Patrick Devedjian à la fin de sa visite qui donnait les raisons du soutien du conseil général : « C’est un projet innovant, qui est intéressaant car il peut transformer complètement la vie d’un certain nombre de gens. On voit bien qu’il ne suffit pas d’avoir l’accompagnement que l’on a aujourd’hui sur l’handicap, car souvent celui-ci provoque l’isolement qui est désespérant. Ces gens apprécient une vie collective, une vie sociale, car l’homme est un animal social, et ne peut pas vivre longtemps tout seul ».A ses yeux, l’effort considérable du département en faveur des handicapés, doit laisser la place à l’innovation : « Cette association est en train de frayer la voie à une organisation nouvelle de traitement de l’handicap. Le souci là, est l’accompagnement : Faire vivre plusieurs handicapés tout en recherchant dans la diversité du handicap, la possibilité de recréer un tissu social, avec en même temps un accompagnement fort et permanent à caractère bénévole et professionnel »

  • VANVES EN 2010 : L’ANNEE DES CHANTIERS

    Il devrait avoir, proportionnellement, autant de grues à Vanves qu’à Isssy les Moulineaux durant l’année 2010 comme l’a indiqué Bernard Gauducheau dans ses réunions publiques de quartier fin novembre/début Décembre Tout simplement par le fait du hasard, car beaucoup de projets se sont débloqués ou peuvent démarrer en même temps avec les opérations 36/42Marcheron, le Clos Saint Remy à l’emplacement du bâtiment utilisé pour le tournage de la série Julie Lescaut, place de la République, le projet de l’association Simon Cyréne de maison d’habitation pour adultes handicapés sur une partie des terrains du prieuré Saint Balthilde rue d’Issy, sans compter l’ilôt Cabourg dont les travaux de démolition des écoles sont presque terminés.  

     

    Mais il a tenu à rassurer ses administrés sur les conditions de réalisation de ces chantiers à l’instar de ce qui se déroule actuellement dans l’ilôt Cabourg : « Nous avons la chance d’avoir une entreprise très sérieuse sur ce chantier. Ils sont très bien organisés. Ils savent faire » a-t-il expliqué en laissant entendre que ce sera le cas pour les autres chantiers, avec si c’est nécessaire,  un plan de circulation provisoire sur l’axe Raymond Marcheron lorsque le chantier du 36/42 commencera. Beaucoup de vanvéens ont constaté d’ailleurs que systématiquement à la sortie du chantier, les roues des camions étaient lavées notamment. D’autres sont en cours comme c’est le cas dans la rue Mary Beyssere,  ou à l’angle des rues Sadi Carnot/Danton : Il s’agit d’un immeuble de 43 logements sociaux réservés aux militaires.  Ces habitations à vocation sociale seront attribuées à des agents de l'Etat appartenant au Ministère de la Défense.  Les travaux qui viennent de débuter devraient se terminer vers fin 2010 début 2011. Enfin, deux sont en  stand by : les projets de résidence hôtelière rue Aristide Briand, car le promoteur modifie son projet,  et étudiante à côté du commissariat, à l’angle Raymond Marcheron/Diderot, à cause d’un recours. 

     

    MARY BEYSSERE (EDDI)

    Ce nouvel immeuble au 50 de la rue Mary Besseyre est en cours de construction. Son architecte et son promoteur (EDDI) ont prévu de laisser une grande place à la végétation. Ils ont déjà œuvré à Vanves au 18 de la même rue et surtout rue d’Issy avec une maison (toute blanche) primée par le Palmarés de l’Habitat dans les années 80. Ils construisent actuellement sur le terrain occupé auparavant par une maison à l’abandon avec un jardin magnifique, un  édifice qui jouera sur la différenciation des différents étages – 5 sont prévus – avec  duplex et jardin au rez-de-chaussé, 3 pièces au second étage, 5 au dernier étage avec  terrasse… et beaucoup de végétations.

     

    LA CAVERNE DES PARTICULIERS (COGEDIM)

    Cette opération va entrer dans sa phase opérationnelle, avec une démolition des bâtiments qui accueillaient la Caverne des Particuliers jusqu’en Mars 2010 puis démarrage du gros oeuvre. Il s’agit de deux bâtiments à l’angle des rues Jean Bleuzen et Barbés : Une résidence de services de 198 appartements exploités par le groupe ICADE destinés à des étudiants ou des cadres en mobilité, avec des services (petit déjeuner, ménage, blanchisserie…) et deux commerces de 300 m2 en rez-de-chaussée, peut être une brasserie, avec une salle de sports ( ?). Un immeuble de 29 Logements du studio aux 5 piéces avec terrasses dont 27 ont déjà trouvés preneurs. La livraison de la résidence service est prévue pour la Rentrée 2011. 

     

    LE CLOS SAINT REMY (OGIC)

    Le « Clos Saint Rémy » dont on ne peut pas rater le bureau de vente place de la République sera édifié par le promoteur OGIC à l’emplacement de la société DEF Incendie et de l’ex-commissariat (fictif) de Julie Lescaut. Un petit immeuble de 26 appartements du studio au 4 pièces, dont l’architecture est  respectueuse du passé avec de la pierre meulière pour rappeler les anciens bâtiments que l’on peut voir encore et qui explique la différence de traitement des façades à l’angle de la place et de la rue de la République. Le maire a expliqué lors de réunions de quartiers, qu’après quelques difficultés, un accord a pu être trouvé entre le promoteur (OGIC) et les propriétaires du terrain (SCI) sur les conditions de vente. Ce qui a été long parce que la SCI rassemble par moins de 7 co-propriétaires. Les travaux seront entreprises après démolition, puis fouilles archéologiques prévues entre Février et Septembre 2010 qui devrait durer 6 mois et  construction ne commence réellement, avec livraison prévue en 2012

     

    LE 36/42 MARCHERON (COGEDIM) 

    Beaucoup de retard avait été pris à cause d’une entreprise installée sur ce site quii avait fait monter les enchères, alors que l’agence bancaire et les commerces étaient déjà partis depuis 2 à 3 ans. Ce projet Cogedim est constitué d’une résidence étudiante de 200 chambres  avec 3 commerces au rez-de-chaussée d’un immeuble à l’angle des rues René Coche et Raymond Marcheron, avec conservation du porche qui remonterait à Henri IV et Gabrielle d’Estrée, une entrée de parkings souterrains sur un seul niveau de 70 places rue René Coche, et 2 bâtiments de 4 étages (30 logements) villa de la Gare. Les travaux de démolition devaient débuter en Décembre et durer 3 mois, suivi par les travaux de terrassement entre Mars et Mai, le gros oeuvre, avec livraison de la résidence étudiante pour la Rentrée 2011, les logements à la fin 2011.

     

    LA MAISON RELAIS SIMON CYRENE (LOGIREP)

    Il s’agit d’une Maison Relais spécialement dédié pour des gens qui ont basculés dans l’handicap en cours de vie (après un anévrisme, trouble neurologique, accident de voiture…), selon un concept développé par l’association Simon Cyréne – personne qui a aidé le Christ à porter sa croix -  dont l’idée est d’apporter, de porter les handicapés sur leur chemin. Le bâtiment sera le long de la rue d’Issy à la place d’un  vieux bâtiment qui cache quelque peu le Monastère construit dans les années 30 selon les plans du moine architecte Don Bello, inscrit à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques. Sa conception a été faîte en étroite relation avec l’Architecte des Bâtiments de France. Il s’agira d’un bâtiment R+3 avec certaines spécificités permettant de toujours de voir de loin le prieuré, conservation du parement de briques dans les matériaux pour rappeler celui de Don Bello, avec des induits de ton clair. Le front bâti sera recrée avec le porche pour accéder à l’entrée de l’église qui est juste derrière. De grands logements (3) sont prévus dans lequel il y aura 6 chambres handicapés dont une aménagée pour les handicapés très lourds et 4 chambres pour les assistants, avec un appartement pour une maîtresse de maison ; ainsi que des petits T1 et T2 pour des handicapés vraiment autonomes qui seront au rez-de-chaussée. Ce bâtiment comportera de la domotique pour les handicapés, des portes qui s’ouvrent tout seul, des volets électriques, deux ascenseurs et des toitures végétalisées.