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  • CONSEIL MUNICIPAL RONRONNANT ET SEREIN A VANVES

    45 délibérations inscrites à l’ordre du jour du Conseil Municipal de Rentrée dont certaines très importantes mais débattues dans la sérénité…devant un public peu nombreux, avec des résidents de l’immeuble racheté par Toît et Joie du Plateau qui a fait l’objet d’une décision du Conseil, et du nouveau président de l’association Tous Ensemble, avec un ou deux adhérents. Seule ombre au tableau : Cet immense écran qui empêche le public d’être face au Conseil Municipal, et se retrouve dans la pénombre avec un rétro projecteur et un ordinateur défaillant à chaque conseil. Lorsque l’image n’est pas floue toutes les cinq minutes c’est l’ordinateur qui lâche. Pourquoi ne pas installer de petits écrans comme pour les soirées électorales, ce sera plus simple et moins gênant. Quant à la sono, cela dépend.  

     

    Vanves au Quotidien s’en tiendra aujourd’hui aux débats qui ont marqué ses 3H30 de délibérations. Justement en commençant par l’immeuble Toît et Joie avec l’octroi d’une garantie d’emprunt de 2,9 M€, la ville obtenant, en contrepartie,  la possibilité d’attribuer 6 logements. Claudine Sharfe (PC) a rappelé qu’elle avait eu l’intention de poser une question orale sur ce rachat et les surloyers, sans succés pour cause de délais, et que maintenant… « Il n’y avait pas lieu de vous répondre avant » lui a séchement répliqué le maire. Guy Janvier (PS) s’est réjoui que cet immeuble reste dans le patrimoine social et a de nouveau demandé comment étaient attribué les logements sociaux.  « Sûrement mieux qu’entre 1995 et 2001 » a répliqué Bernard Gauducheau (NC) qui a donné quelques critéres ( notamment l’urgence). « Mais je reçois des concitoyens dont certains sont demandeurs de logement depuis longtemps. Plus il y a de transparence, mieux c’est ! » a répondu Guy Janvier. « Quand on demande un logement, c’est toujours trop long ! » a constaté le Maire.

     

    VIDEOPROTECTION

    Le second grand débat a concerné la vidéoprotection à l’occasion de l’installation d’une diziéme caméra au Fun Park, rue Louis Vicat. Riverain de cette zone, Fabian Estellano (PS) a exprimé son opposition à la vidéosurveillance – « vidéoprotection » a précisé le maire, « mais c’est pareil ! » lui a-t-il répondu  – «  qui coûte chére, qui stigmatise ce quartier, et sa population ». Jean Cyril Le Goff (PS) a demandé « une évaluation prouvant que la vidéosurveilance apporte un plus à la population. Est-ce que cela a amélioré sa sécurité ? ». Laurent Lacomére, maire adjoint (UMP) a précisé que les caméras fonctionnent 24H sur 24, permet à la police d’identifier les délinquants. « Et dans ce cas là, nous pourrons voir qui casse les installations rue Louis Vicat. Mais comment voulez-vous qu’on vous donne le rendement exact de telle ou telle caméra. La police municipale a pu grâce à ces caméras arrêter et appréhender des individus. Et depuis l’installation d’une caméra rue Louis Dardenne, les problèmes ont cessé ! » a-t-il affirmé.  Bernard Gauducheau (NC) a insisté : « Le meilleur indicateur, ce sont les chiffres de la délinquance sur la commune. Et on n’a jamais voulu développer un systéme très important. Et il y a eu des effets bénéfiques après l’installation de caméras. Pour le Fun Park, au-delà des installations, c’est aussi pour la sécurité de ses utilisateurs. Enfin, l’une des subtilité de cette vidéoprotectuon est d’être relié au commissariat ».

    Du coup, Lucile Schmid (Verts) a surenchérit en considérant qu’il y a plusieurs arguments contre : « S’il y a eu des résultats à Dardenne, c’est grâce au travail avec les professeurs. Je ne crois pas que cela soit efficace, car je ne crois pas à ce sentiment d’insécurité, et nous ne voulons pas d’une société de vidéosurveillance ! ». Du coup Laurent Lacomére (UMP) s’est exclamé : « Mais c’est un moyen de tranquillité publique ! ». Isabelle Debré (UMP) s’est réjoui que la Vidéosurveillance permet à des jeunes d’éviter de trainer dans la rue. Guy Janvier a repris son antienne « Mais dans quelle société voulons nous ? Il faut évaluer cette politique. La meilleure prévention est d’avoir des éducateurs (de rue) pour encadrer les jeunes. Cette caméra en plus, c’est de la sécurisation rampante. Et la mettre sur un terain de jeux pour les jeunes, ce n’est pas bon ! ». Ce qui fit réagir Bernard Gauducheau : « Ne mélangez pas tout ! Arrêter avec des positions dogmatiques. Laisssez-nous faire. Et vous expliquerez à la population pourquoi, vous êtes contre ! ».  

     

    JEUNES ET ESCAL 

    Le débat a démarré sur la mise en place d’une carte d’adhérent au pôle jeunesse (16-25 ans). « Il s’agit d’essayer de fidéliser les 16/25, de leur faire profiter des équipements culturels et de s’nsécrer dans la vie associative et locale : 15 € pour un simple adhérent, 100 € pour ceux qui veulent suivre les activités Fitness, musculation et remise en forme confiéés à une association clamartoise Movies » a expliqué Marie François Goloubtzoff, maire adjoint (NC). « Votre politique manque d’ambition. C’est rop cadré. C’est plus pour servir à faire des statistiques. Et il y a peut être plus prés de Clamart » a réagit Jean Cyril Le Goff (PS) en parlant de l’Aquaboulevard. « C’est plus cher, avec moins d’avantages, et cela ne les intéresse pas » a-t-elle répliquée en parlant des responsables de l’Aquaboulevard. « Mais on a du mal à comprendre la raison et l’intérêt  de cette carte par rapport à ce qui existe déjà sur la ville avec le théâtre, Albert Gazier etc… » a continué Jean Cyril Le Goff. « D’autant qu’il y avait une salle de musculation à l’espace Sébastien Giner » surenchérit Guy Janvier. «  Giner a été réaffecté à autre chose » a précisé Bernard Gauducheau qui précise « que pour les 16/25 ans il y a d’autres associations avec le stade de Vanves, le conservatoire. Et on n’est pas loin de 100% de satisfaction chez les jeunes qui trouvent des activités à leur pied ».

    Il a continué  avec la demande de subvention pour la journée « Visite du Parlement Européen de Bruxelles » lors de la Tousssaint pour des jeunes de 11-17 ans et le Conseil des Jeunes. Lucile Schmid (Verts) a demandé « quel député allaient ils rencontrer ? » - « C’est en cours d’organisation » a répondu Bernard Gauducheau – « Mais il faut qu’ils rencontrent des députés de toutes tendances ! » -  « Lorsque je fais visiter le Sénat, je reçois des écoles de toutes les villes, quelles que soient leurs couleurs politiques » a précisé Isabelle Debré – « Mais je ne comprends pas comment on peut parler du Parlement européen sans parler des jeux politiques » surenchérit Claire Papy (Verts). Du coup, Jean Cyril Le Goff explique qu’il n’est pas choqué par le député qui les recevra : « Les jeunes sont bien loin de savoir pour qui ils vont voter. C’est une visite civique ! » - « D’ailleurs M.Le Goff est venu à l’une des visites que j’organise au Sénat » a précisé Isabelle Debré.    

     

    QUESTIONS DIVERSES

    Quelquefois, l’opposition municipale profite d’une délibération pour poser une question d’actualité ou affirmer une position ; Ainsi Fabian Estellano a demandé au Maire « s’il avait du  temps pour les vanvéens » lorsqu’il voyait « toutes ses fonctions cumulées : Vice président du GPSO, du SIGEIF, conseiller général, maire…et candidat aux cantonales ! » - « Pour l’instant ma candidature n’est pas officialisée ! » s’est il contenté de répondre. Un peu plus tard Claudine Sharfe  (PC) a constatée « qu’il devient compliqué de savoir quel terrain appartient à la ville ou à l’une des résidences du Plateau ! ». Du coup, le maire a indiqué qu’une étude parcellaire sera lancée par GPSO pour s’y retrouver entre les espaces publics et privés. « Cela pourra nous faire des économies car des fois, on nous dit que c’est à la Mairie, et d’autres fois que c’est à nous et on paie des charges en plus » constatait la représentante du PC. Jean Cyril Le Goff (PS) a demandé «  ce qu’il en était de ce faux plafond qui s’est effondré à l’école du Parc ?». Gérard Laubier, maire adjoint (UMP) a précisé « qu’il s’agissait d’un faux plafond en plâtre d’une classe qui est tombé, entraînant des morceaux de béton à cause d’infiltrations d’eaux. Un bureau de contrôle a vérifié et a rasssuré sur la solidité de la structure. Il faudra trouver l’origine de la fuite avant de faire les travaux. Le maire a demandé le contrôle de toutes les écoles et bâtiments où il y a des enfants »     

  • GRAND PARIS : VANVES ADHERE A PARIS METROPOLE ET RE-RENTRE DANS LE JEU

    Vanves a adhéré à Paris Métropole hier soir lors du conseil municipal, seuls  les Verts ayant voté contre. Vanves re-rentre dans le jeu après être resté un an au dehors, et rejoint les 110 collectivités membres de cette structure issue des travaux de la conférence métropolitaine mise en place en 2006 par le maire de Paris Bertrand Delanoë (PS), dont deux seulement sont de droite comme Nogent-sur-Marne et Sceaux.

     

    Il faut rappeler que Vanves avait été l’une des communes à l’origine de la création de la Conférence Métropolitaine en 2006 avait reçu sa réunion constitutive le 7 Juillet de la même année, à l’hôtel de ville, et participé à ses 12 réunions entre Juillet 2006 et Juillet 2009. Mais voilà, lorsque  le syndicat d’études mixte Paris Métropole avait été créé au printemps 2009, la plupart des élus de droite avaient refusé d’y adhérer pour de multiples raisons dont son fonctionnement « démocratique » et voulaient obtenir quelques assurances, dont la possibilité d’y entrer comme d’en sortir, et diverses autres mesures au niveau des votes, alors que le principe d’une présidence tournante entre la droite et la gauche avait été acquis. Jean Yves Le Bouillonnec, député Maire PS de Cachan (94) avait été élu président, et Jacques JP Martin, maire UMP de Nogent sur Seine (94) devrait lui succéder à l’automne pour un an. Ce dernier n’avait pas caché lors des assises de l’AMIF (Association des Maires  d’Ile de France) à la mi Avril 2010 qu’il considérait stupide ce blocage des élus de droite, comme ses élus des Hauts de Seine arc que bouté dans leur village altoséquanais qui empêchait d’avancer dans le dossier du Grand Paris. D’autant plus que beaucoup de maires, quels que soient leur étiquettes, regrettaient de ne pas être assez entendu sur le devenir du Grand Paris. Entretemps, il y a eu les régionales, désastreuses pour la droite régionales, des avancées entre Paris Métropole et la Droite. Ainsi,  au printemps dernier, Patrick Devedjian a donné le feu vert, et du coup, GPSO dont les maires expliquaient qu’ils avaient l’intention de peser dans le débat du Grand Paris lorsde sa création en Janvier dernier, conseil général et maintenant communes ont commencé à adhérer.

     

    Peser dans le débat du Grand Paris, c’est exactement ce qu’a exliqué hier soir Bernard Gauducheau. « Le dévelopement de l’agglomération parisienne doit répondre en effet à des enjeux communs qui dépassent le simple cadre communal. Le rayonnnement métropolitain, le maintien de la diversité social, la maîtrise du foncier et la construction de logements, l’harmnisation des politiques de déplacements, la réduction des disparités territoriales sont autant de problématiques qui ne peuvent êtte efficacement traitées que par une coopération renforcée entre tous les acteurs de ce territoire dense à vocatyion internatioonale ». Il a rappelé que ce syndicat mixte d’études a pour ambition de préciser des objectifs communs, d’anticiper les évolutions économiques, sociales, environnementales, financières, et d’optiliser la coordination des actions en matière de développement urbain. Paris Métropole s’est donné plusieurs objerctifs : Définir des partenariat possible pour des projets de dimension métropolitaine, réfléchir sur la solidarité financière au sein de la métropole età l’échelle régionale, ainsi que  sur l’évolution de la gouvernance.

     

    Le Conseil municipal a désigné ses deux représentants, l’opposition ayant tentée par la voie de Claire Papy (verts) d’obtenir le poste de suppléant sans succés : bernard Gauducheau et Jacques Landois ont été élu, ce dernier ayant accepté de remplacer au pied levé Daniel Roche qui avait été proposé dans un premier temps, mais il a refusé pour des raisons de disponibilités. Marie Laure Mondon (PS) a rappelé que le « PS avait montré sa volonté d’adhérer (dés le début)  à Paris  Métroopole à travers une question orale ». Claire Papy (Verts) a constaté que « le Grand Paris est lourde de menace pour Paris Métropole et pour la politique d’aménagement de la Région Ile de France. Car notre volonté chez les Verts, est de réduire les inégalités territoriales et sociales comme cela est inscrit dans le projet de SDRIF (Schéma Régional d’aménagement) ». Fabian Etallano (PS) a rappelé que Paris Métropole a travaillé avec les différents cabinets d’architectes qui ont réfléchit sur le Grand Par(i)s de demain, et devrait continuer au sein d’un Grand Atelier « à partir de 4 objectifs : volonté de travailler globalement, poenser audéveloppement durable, intégrer tous les quartiers, mobiliser autiur de Paris Métropole »   

  • UN RIVERAIN MECONTANT D’UN CHANTIER A VANVES ECRIT A BOUYGUES HABITAT

    Les chantiers en cours de réalisation actuellement, même s’ils bien tenus selon la Mairie de Vanves, créent quelques nuisances pour les riverains les plus proches qui s’en plaignent plus ou moins ouvertement.  L’un d’entre eux se déroule rue d’Issy sur une partie du terrain du prieuré Sainte Balthilde : Il s’agit de la construction d’une Maison Relais pour Adultes Handicapés de l’association Simon de Cyréne construit par bouygues Habitat pour le compte de Logirep. Depuis la première pierre le 7 Mai dernier, le chantier a commencé créant quelques nuisances pour les riverains qui ont constaté un manque d’informations sur son déroulement alors que des places de stationnement étaient supprimés, des tranchées creusées…sans trop savoir pour quelles raisons, gênant la circulatioon et le statioonnement. Et pour certains, c’est devenu l’enfer, depuis que la grue a été installée, avec le début des travaux de fondations, de constrctions et de réhabilitation du bâti existants.  Voilà un témoignage d’un riverain qui a fait l’objet d’un courrier envoyé à Bouygues Habitat :

     

    « Résident contigüe à votre chantier, au 15 rue d’Issy, mon véhicule en stationnement autorisé devant l’entrée de mon domicile a subit des dégradations de carrosserie lors des différentes livraisons de chantier. Ayant signalé le fait à votre conducteur et responsable du chantier, celui-ci restant courtois a été désolé de constater les dommages, mais en bon professionnel bien éduqué par vos soins, a évoqué sa non responsabilité devant la malveillance de tous les fournisseurs de ce chantier.

    Or, vous devriez savoir, que sur un chantier, lorsqu’il y a des démolitions, des livraisons de toupies de béton ou autre, vous devez le nettoyage de la voie publique car vous êtes responsable des dégradations provoquées par le fonctionnement du chantier sur le domaine public, même si ces dégradations sont provoquées par des fournisseurs ou intervenants ne faisant pas parti de votre groupe. Vous conviendrez qu’il est difficile de faire un « référé préventif » pour les véhicules garés proche de ce chantier ! Je conçois que si votre grue qui tourne au dessus de ma tête et s’effondre sur moi, votre assurance de chantier sera d’une grande utilité, mais mon véhicule ne semble vous intéresser.

    Les travaux doivent durer encore plusieurs mois et je me demande dans quel état nous allons retrouver nos véhicules, dégradés, sans que vous vous sentiez responsables. Supprimez encore deux places de parking dans la rue d’Issy n’est que repousser le problème  de deux places. Ce n’est surement pas la bonne solution.

    N’oubliez pas que votre chantier ne fait que commencer et, étant donné votre réaction, je crains le pire quand vous allez attaquer plus sérieusement ce chantier et l’intervention également du second œuvre. Votre plan de prévention concerne aussi les personnes et les véhicules se déplaçant à proximité de votre chantier.   Je ne compte pas attendre le nombre de chantiers ou le nombre d’accidents pour que vos responsables sur le terrain comprennent qu’un chantier n’est pas uniquement une rentabilité financière liée à un plan de carrière mais un savoir-faire et un savoir-vivre ».