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vanvesauquotidien - Page 4

  • VANVES DANS LE CREUXDE L’OREILLE

    PANNE D’ELECTRICITE : Une partie de Vanves a été touchée par la grosse coupure d’électricité Jeudi matin à 6H30  qui a touché 170.000 foyers dans plusieurs arrondissements de Paris, les villes de d’Issy les Moulineaux, Malakoff, Chaville, Sèvres, Châtillon et Meudon. L'incident est arrivé suite à «une avarie dans un poste électrique de RTE à Issy-les-Moulineaux» précisait le réseau. En cinq minutes, l’alimentation a pu être rétablie pour 112.000 foyers impactés, précisait le Réseau de transport d’électricité sur son compte X. En milieu de matinée, vers 9h20, les 2.600 derniers foyers ont retrouvé l’usage de leur chauffage, lumière et autres appareils électriques. Certaines lignes de transports en commun ont été affectées : la ligne 12, dont le terminus est Mairie d'Issy, a été perturbée, avec des rames moins fréquentes avant 9h, et de nombreux usagers qui patientaien 

    DISPARITION : Vanves a été marqué par le décés de Fabienne Roulleaux, conseillère municipale déléguée à la santé publique (sur la photo), survenu mercredi 19 novembre 2025, alors qu’elle pratiquait son sport favori. «Élue engagée, Madame Roulleaux était un visage familier des Vanvéens. Son dévouement au service de sa Ville et sa personnalité rayonnante étaient unanimement reconnus. Comme conseillère municipale déléguée à la santé publique, elle a œuvré auprès des professionnels de santé avec passion et détermination. Sa bienveillance, son enthousiasme et son énergie ont marqué durablement celles et ceux qui ont eu le bonheur de travailler à ses côtés » a réagit Bernard Gauducheau maire de Maire, comme beaucoup d’autres  élus et vanvéens sur les réseaux sociaux.  

    RENDEZ-VOUS : L’événement aujourd’hui est la Journée Portes Ouvertes à l’école qui ouvrira ses grilles pour permettre à tous les curieux de découvrir le site requalifié. Cette visite prendra la forme d’une déambulation organisée dans les locaux par les agents de la Ville, en présence du Maire de Vanves, Bernard Gauducheau, et des élus. Les visiteurs pourront ainsi découvrir les nouveaux espaces comme les bâtiments des accueils de loisirs, le dortoir, les réfectoires ou encore les cours de récréation. Une présentation sur écran des différentes étapes du projet de reconstruction et d’extension sera diffusée. A Retenir aussi la braderie Bout’Choux à la Palestre et l’Atelier organisé à l’école Marceau par la Ruche de Vanves et l’AMAP « Les Paniers de l’échange »  pour découvrir ou redécouvrir le bio, comprendre sur le bio, les prix, le goût, l’impact, dans une ambiance conviviale avec dégustation de produits bio, échanges avec les producteurs

  • GABRIEL ATTAL RESTERAIT A VANVES POUR LES MUNICIPALES DE MARS 2026 ET FERA SOCLE COMMUN

    Après avoir été tenté de se présenter à Paris où finalement Renaissance dont il est le secrétaire général, soutiendra Pierre Yves Bournazel (Horizons), puis cité pour être aux côtés d’André Santini à Issy les Moulineaux où finalement, il n’est pas le bienvenu – Il y a du gaz dans l’air – le député de la 10éme circonscription resterait à Vanves.

    Pas question cette fois-ci de constituer une liste Renaissance comme cela avait été le cas en 2020 avec Séverine Edou, mais plutôt de se rallier à Bernard Gauducheau (UDI) pour faire socle commun, comme ce dernier l’avait soutenu aux élections législatives provoquées par la dissolution de Juin 2024. D’ailleurs, au cours de ce mandat 2020-2026, les trois élus Renaissance (Gabriel Attal, Séverine Edou, Jean Cyril Le Goff) se sont rapprochés de la majorité municipale, en votant ou en s’abstenant.

    C’est pourquoi Le maire et le député de Vanves ont entamé des négociations pour faire liste commune ou plutôt que Renaissance ait quelques candidats sur la liste de la majorité municipale. Elles ont même commencé après les cérémonies du 11 Novembre, car lors du vin d’honneur qui a suivi, ils ne sont pas venus salle Henri Darien, car ils se sont rencontrés dans le bureau du maire (sur la photo). D’après des sources bien informées, il risque d’y avoir quelques surprises parmi les candidats Renaissance retenues, en dehors de Gabriel Attal

    La stratégie choisie tant à Vanves qu’au plan national par Gabriel Attal est la prudence, après l’échec de 2020 dont il estime avoir tiré les leçons, même si elle est contestée en interne : « contrairement à 2020, Renaissance préfère miser sur des accords et négocier un nombre de présents sur les listes ainsi que la reprise de ses points de programme plutôt que de partir fleur au fusil. En mars dernier, en lançant la campagne de son parti pour les municipales, Gabriel Attal avait revendiqué une approche « humble et pragmatique » expliquent les journalistes politiques. A Vanves, la section locale de Renaissance a planché sur des propositions que Gabriel Attal proposera de reprendre dans le programme municipal de la liste UDI-LR-Renaissance-Modem.

    Ainsi tant à Vanves qu’au plan National, Gabriel Attal souhaite oublier ces élections de 2020 qui ont laissé un souvenir traumatique car les listes d’En marche s’étaient fait battre à plate-couture, même si le mouvement avait élire 400 maires et 2300 élus locaux dont 3 à Vanves. De toute façon, il a fait la sienne l’analyse des observateurs politiques qui expliquent : « Pour les municipales, il n’est pas exclu que les électeurs fatigués de l’instabilité gouvernementale, choisissent la continuité dans leur commune, rassurés par la présence d’un élu de terrain qu’ils connaissent bien ». Bref de reconduire les sortants

  • EN 2026, VANVES COMME LA REGION VA DEVOIR SE SERRER LA CEINTURE

    Alors que le gouvernement débat du budget 2026, la présidente d’Île-de-France affirmait «ne plus avoir assez d’argent» pour tenir ses engagements auprès des Franciliens, en tirant  la sonnette d’alarme sur la situation financière de sa collectivité à quelques jours avant le débat d’orientations budgétaires qui s’est déroulé  hier au Conseil Régional. Elle avait  rappelé que « sa région participe à l’effort depuis dix ans» en affirmant avoir réduit de 20 % les dépenses de fonctionnement, notamment par la fermeture de vingt agences. Elle déplorait un déséquilibre budgétaire : «l'’Île-de-France est la plus mal lotie. C’est certes, une région riche, mais qui reverse 1,2 milliard d’euros aux territoires plus pauvres. Nous touchons 100 € de moins par habitant que les autres régions». Selon elle, cette situation compromet les engagements pris devant les Franciliens : «Toute ma trajectoire financière a été cassée par ce gouvernement. Je n’ai plus assez d’argent pour tenir mes engagements».  Un message adressé alors que le nouveau budget pourrait encore restreindre la marge de manœuvre des collectivités.

    Beaucoup d’élus, notamment dans l’opposition, s’attendaient  à ce que « la majorité supprime des crédits dans des proportion supérieures à la stricte traduction des décisions  de l’Etat sur le budget de la collectivité». Et de citer parmi les nouvelles coupes : L’extinction des dispositifs régionaux de formation professionnelle (-47,6% soit 156,5 M€), la suppression de 50 postes pour la seconde année, un recul des aides aux associations, une refonte des aides aux communes après les élections municipales…

    Les communes comme Vanves, ne sont guére mieux loties, comme le laissent entendre les maires qui tiennent congrés actuellement au parc des Expositions. A entendre, par exemple l’association des Maires d’Ile de France (AMIF), les communes sont, une nouvelle fois, la cible de l’État dans le Projet de loi de finances 2026 pour venir compenser une dette qu’elles n’ont elles-mêmes pas engagée. «Parmi les différents dispositifs technocratiques inventés par Bercy pour contraindre leurs dépenses, nous découvrons un DILICO (dispositif de lissage conjoncturel des recettes fiscales) revisité qui devrait peser sévèrement sur les équilibres budgétaires locaux» explique l’AMIF en citant le nombre de 530 communes (dont Vanves) qui seraient concernées en 2026, soit une contribution de 280 M€ (contre 354 communes en 2025 qui ont contribué pour 155 M€ selon l’Institut Paris Région). Un quart des communes assujetties pourraient voir leur contribution multipliée par 5 ou plus, et pour certaines passer de quelques milliers d’euros à des centaines de milliers d’euros en 2026. «Au délà du DILICO, la contribution des collectivités, est estimée à 4,7 milliards d’euros alors même qu’elles ne sont pas responsables du déficit public puisque leurs budgets sont votés à l’équilibre» rappelle cette association

    L’AMIF tient à alerter le gouvernement et les parlementaires sur les effets délétères de telles mesures sur l’équilibre des territoires. «Les communes ne sont pas des variables d’ajustement : fragiliser les moyens mis à disposition des communes, c’est fragiliser le quotidien des citoyens ! L’Etat doit pleinement prendre la mesure de cette réalité et savoir reconnaître, à sa juste valeur, le rôle essentiel des communes»