Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vanvesauquotidien - Page 3

  • SEQUENCE JEUNE POUR LA FUTURE LISTE VANVES AUTREMENT ET PREPARATIFS POUR VANVES EN TETE

    L’union de la gauche à Vanves (PS-PC-Ecologistes-Place Publique-Collectif citoyen vanvéen…) a démarré sa campagne  avec une séquence jeunes cette semaine à travers trois rendez-vous : Mercredi au café de l’avenir avec une réunion sur le thème « les jeunes prennent les clés de la ville » ; Vendredi salle Latapie à 19H  sur l’aménagement et l’ouverture des cours d’école, samedi au Fun Park à 14H pour réfléchir à l’accessibilité de tous aux sports.

    « C’est grâce à vous que l’on relancera la ville de Vanves, que l’on initiera une dynamique. Dans ce climat moribond, on a envie de vous donner envie de prendre les clefs de la ville, de dire ce que les jeunes veulent pour leur ville, et que vous soyez en capacité de le faire » a déclaré Alexia Pescreminoz, tête de liste d’une union de la gauche et de citoyens   qui lançait un groupe de jeunes pour vivre en campagne. Elle donnait corps à ce pôle jeunes que le collectif citoyen vanvéen a créé depuis quelques mois  pour « redonner la voix aux jeunes, imaginer ce qu’ils veulent »

    Une vingtaine de jeunes avait été réuni mercredi soir  pour réfléchir sur les lieux vacants existants à Vanves « afin de les redynamiser pour se retrouver en citoyenneté, pour créer un lieu intergénérationnel, et créer des liens entre les jeunes. Un lieu de créativité et d’expression ». Parmi ces lieux, la crèche Pain d’Epice au bas de la rue Châtillon, l’immeuble Gambetta mitoyen de l’école, l’ex-libraire-marchand de journaux place de la République, notamment  

    La majorité municipale qui  n’a pas encore lancée sa campagne, contrairement à gauche en début de semaine dernière, devrait réunir plus  d’une centaine de personnes à l’école Marceau dimanche en fin d’après-midi.  « afin d’échanger pour partager un regard sur le chemin parcouru mais surtout pour évoquer les grands enjeux qui attendent notre ville et réfléchir aux orientations que nous pourrons porter lors de la prochaine campagne » indique le maire dans l’invitation adressée à « ceux qui ont été aux côtés de notre majorité lors des temps forts de la mandature, mais aussi au quotidien pour nous soutenir et participer à la vie de commune ».

    Occasion de confirmer qu’il envisage « de poursuivre cette belle aventure collective en portant un nouveau projet pour les six années à venir ». Sachant que des négociations ont été entamé  pour constituer une liste UDI-LR-Renaissance-Modem. Bernard Gauducheau et Gabriel Attal  ont eu une longue conversation à la suite des cérémonies du 11 Novembre.  Ainsi Bernard Gauducheau a l’air d’adopter un plan de campagne qui ressemble fort à ceux des campagnes précédentes, puisqu’il avait tenu une réunion semblable le 15 novembre 2019 pour préparer sa campagne suivie, un peu plus tard d’une grande réunion publique de lancement avec Valérie Pécresse, présidente de la Région Ile de France et Hervé Marseille sénateur et futur président de l’UDI

  • TOUT LE MONDE A VANVES SE SOUVIENT DE CE QU’IL FAISAIT CE SOIR TERRIBLE DU 13 NOVEMBRE

    Cette journée sera marquée, bien sûr, par plusieurs temps d’hommages et de commémorations qui ont débuté ce week-end, à l’occasion des attentats du 13 novembre 2015 qui ont fait 132 victimes, dont une mère de famille vanvéenne de 39 ans, tuée au Bataclan, et des centaines de blessés à Paris et à Saint Denis.

    Tout le monde a le souvenir de ce qu’il faisait ce soir, d’autant plus s’ils étaient dans Paris comme chaque début de week-end, comme beaucoup de jeunes vanvéens dont Sandrine Bourg qui a tout de suite rassuré les siens via les réseaux sociaux.  Comme ceux qui étaient chez eux à regarder le match France-Allemagne, puis à zapper sur les chaînes d’infos qui commençaient tout juste à donner une idée de l’ampleur du drame que vivaient Paris et la France. Les riverains de la rue Larmeroux et Raymond Marcheron ont sursautés en fin de soirée en entendant ou en voyant ses véhicules toute sirène hurlante qui ont traversé Vanves en direction de Paris, sûrement le GIGN ou le RAID venant des Yvelines pour se diriger cers le Bataclan.

    Dés le lendemain à 8H en mairie, Bernard Gauducheau présidait une cellule de crise, avec l’ensemble des chefs de service, afin de mettre en place les mesures appropriées à la situation  « d’état d’urgence » déclarée par le président de la République, et les prévenir qu’ils étaient tous d’astreinte. Les vanvéens ont alors vraiment découvert les effets de cet état d’urgence qui allait durer plusieurs mois, perturbant leurs allées et venues, limitant les réunions et les animations. Dés le samedi matin, le parc F.Pic, les équipements sportifs étaient fermés, l’école de Tennis, les cours de danses, les matchs et rencontres qui devaient se dérouler au PMS A.Roche, étaient arrêtés et annulée, comme toutes les manifestations, les soirées… « On n’avait pas à l’esprit de parler d’écologie et de religion ! Il était de notre responsabilité de ne pas mettre les gens en difficulté. Ce n’est pas la psychose. Mais faire comme si de rien n’ était, était difficile » expliquait l’un des organisateurs du café Théo qui devait se réunir au Tout Va mieux et avait été annulé, ce samedi matin. Même la campagne électorale pour les régionales était en mis sommeil, tractage et boîtage aux lettres ayant été reporté à plus tard. 

    D’ailleurs, comme beaucoup l’avaient remarqué, Samedi matin, les jeunes vanvéens qui ont l’habitude d’aller passer leurs soirées à Paris, avaient pris un air grave et sombre, peu causant. D’autant plus chez ceux qui n’étaient pas loin du Bataclan ou des bars mitraillés, ou qui ont perdu un ami ou une connaissance, ce soir là. Dés le lundi matin, une minute de silence était organisée devant l’hôtel de ville, comme au lycée Michelet, Le LEP Dardenne, le collége St Ex et les écoles vanvéennes, et respectée, peut être plus qu’au lendemain de Charlie Hebdo et de l’hyper Casher. Tout simplement parce que ce n’étaient pas des journalistes ou une communauté religieuse qui étaient visé, mais « nos jeunes concitoyens ».

    Avec le 8 Janvier 2015, ces événements du 13 Novembre ont marqué profondément les vanvéens, avec le plan Vigipirate qui ont amené de nombreuses modifications dans leur vie quotidienne à Vanves : Plus de stationnement devant les établissements scolaires et bâtiments publics, installation de tourniquets au PMS A.Roche avec maintenant de la vidéosurveillance, création de périmétre de sécurité lors de manifestations publiques festives avec présence d’agents de sécurité pour des contrôles et des fouilles de sacs à l’entrée etc… « Tout le monde doit être vigilant » comme le rappelait le maire dans ces contacts avec les responsables associations lors d’Assemblée Générale, ou auprès des agents communaux, notamment ceux qui veillent à la sécurité des équipements publics communaux.

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

     UN 11 NOVEMBRE INTERGENERATIONNEL

    Ce 107e anniversaire de l’Armistice du 11 novembre 1918 est à marquer d’une pierre blanche. Car Jamais Vanves n’avait réuni une assemblée aussi intergénérationnelle autour de son monument aux morts, de ces familles avec leurs très jeunes enfants aux ainés combattants ou du conseil des seniors en passant par ces jeunes collégiens de la classe de 6e C du collège Saint  Exupery, porte-drapeaux, lecteurs de poémes dont certains ont déposés des gerbes, ses scouts de la meute de Vanves-Malakoff…  Ainsi  comme dans tous les villages de France, la communauté vanvéenne s’est retrouvé aux côtés des anciens combattants, des associations patriotiques, des élus, avec la présence(rare) du député Gabriel Attal, pour honorer tous ceux qui ont donné leur vie pour la France, et plus particulièrement nos 629 vanvéens dont la plupart avaient 25 ans, comme l’a rappelé le maire Bernard Gauducheau : « En rappelant la mémoire des Poilus et de toutes les victimes de la « Grande Guerre », nous affirmons notre devoir de transmission et notre attachement à la paix -  un bien précieux, toujours à défendre, alors que notre continent est encore marqué par les conflits » a-t-il déclaré. C'était aussi une première, pour la nouvelle chef du protocole, Camille Barrière qui a organisé ces cérémonies avec maestria, avec à ses côtés, Paul Guillaud 

     

    COP 30 AU BRESIL : TOULOUSE SE DISTINGUE

    Pierre Toulouse chef de file des Ecologistes est le seul élu vanvéen parmi les 400 élus locaux  dont 112 franciliens à avoir signé une tribune proposée par la Fondation Européenne pour le Climat (et diffusé par France Ouest)   avec des personnalités notamment franciliennes  comme Anne Hidalgo, Valérie Pécresse, Stéphane Troussel… pour «préserver à la fois notre démocratie et notre environnement», alors que se déroule depuis le 10 novembre la COP à Belem dans l’Amazonie (Brésil). D'une seule voix, ils souhaitent faire vivre l’accord de Paris dans leur territoire face à «la montée des autoritarismes et l'affaiblissement des démocraties sur tous les continents ». Ils affirment avec force « que l’action territoriale est une réponse essentielle pour préserver à la fois notre démocratie et notre environnement. C’est à l’échelle locale que le niveau de confiance en l’action publique persiste, et c’est aussi là que la transition écologique prend corps : selon le GIEC, 50 à 70 % des politiques de décarbonation et d’adaptation se feront aux échelons infranationaux. C’est également à l’échelon territorial que la majeure partie des investissements publics sont réalisés et que les habitants ressentent le plus directement les effets du dérèglement climatique ».

    Ils réaffirment « leur engagement  à atteindre la neutralité climatique pour la seconde moitié du siècle, à développer des politiques climatiques concrètes dans les domaines clefs que sont les transports, la biodiversité, l’énergie, l’aménagement et l’agriculture, etc… et à renforcer la résilience de nos territoires face aux impacts du changement climatique : inondations, sécheresses, canicules »…Enfin, ils  demandent que « l’action des collectivités soit reconnue et valorisée à Paris, à Bruxelles et à Belém, comme un levier indispensable de la lutte contre le dérèglement climatique ».

    « Or, ce n’est pas la trajectoire suivie aujourd’hui. Depuis plusieurs années, les collectivités subissent une contrainte budgétaire renforcée, alors qu’elles ne représentent qu’une part marginale des déficits publics. Les orientations prévues pour 2026 laissent présager une pression accrue, alors même que l’action décentralisée prouve son efficacité.

    Représentantes et représentants des territoires, garants du lien entre nos concitoyens et l’action publique, nous prenons cette direction avec détermination : celle de faire vivre l’accord de Paris, ici et maintenant »