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subventions - Page 5

  • BUDGET 2013, SUBVENTIONS ATTRIBUEES ET RECUES PAR VANVES : Un conseil municipal aux petits oignons !

    Il a fallu 4H de débats, de discussions, de votes pour examiner les 24 délibérations inscrites à l’ordre du jour du conseil municipal de mercredi dernier qui s’est terminé vers 23H. Il y avait autant de politiques qui siegeaient d’un côté et qui assistaient de l’autre dans le public, avec le secrétaire de section PS de Vanves élu la veille tête de liste pour les municipales de Mars 2014, Antonio Dos Santos, avec 58% des voix contre Guy Janvier qui a obtenu 42% des voix, quelques militants PS, et un futur maire adjoint de Vanves UDI qui anime le site Internet de cette formation présidée par le maire, si bien sûr, la majorité municipale est reconduite.

     

    Les votes du budget municipal primitif 2013 ( PS votant contre, EELV s’abstenant)  et des taux d’imposition (l’opposition s’est abstenue),  ont été finalement une formalité,  car tout avait été dit lors du débat d’orientation budgétaire du 6 Février dernier, les conseillers municipaux ont eu le droit à la déclaration préliminaire du maire, l’exposé du maire adjoint des finances, Bertrand Voisine (UMP) – le budget se monte à 45,3 M€ dont 33,9 M€ pour le fonctionnement et 11,4 M€ pour l’investissement – un débat  durant lequel chaque groupe a campé sur ses positions : Anne Laure Mondon (PS) a constaté que « les équipements sont financés par l’emprunt et les subventions », que « si les taux d’imposition sont stables à Vanves, par contre ce n’est pas le cas pour GPSO où la part de la taxe d’habitation communautaire augmente de 9%  même si la communauté d’agglomération explique que c’est à cause de la péréquation et qu’elle augmente la DSC (Dotation de Solidarité communautaire) ». Valérie Mathey (PS) a constaté « qu’aucune action de prévention n’est prévue dans ce budget ». Claire Papy (EELV) a essayé d’identifier (en vain) les choix municipaux en faveur des économies d’énergie, de fluides,  de consommation… « On aimerait trouver des estimations ! ».

     

    Elle a été servie puisque Gérard Laubier, maire adjoint, a présenté un bilan de la consommation des fluides des équipements municipaux en donnant des chiffres intéressant : + 8,6% de consommation d’électicité (250 000 kw/h) représentant 50 000 € de plus sur la facture (+13,30%). Avec des postes importants : Centre administratif ( +50 000 kw/h) à cause d’un extracteur, de la ventilation du projecteur numérique et de la climatisation du local projection du théâtre, Ecole Max Fourestier (+ 40 000 kw/h) à cause du chauffage électrique, Service informatique ( + 50 000 kw/h) à cause du  systéme de refroidissement. Le maire adjoint chargé des bâtiments publics a indiqué de plusieurs actions ont été lancée pour améliorer les économies de consommations d’électricités : Audit énergétique à la piscne, reprise de l’éclairage à l’école Larmeroux en jouant sur la lumière naturelle…  La consommation de gaz a augmenté de 1,5 million kw/H (+25,8%) à cause de la rigueur climatique et de l’augmentation de la surface chauffée (Espace J.Monnet et groupe scolaire de l’ilôt Cabnourg). Des travaux d’isolations, d’étanchéité, des changements de chaudières sont prévus. La piscine et le marché sont les deux plus gros consomateurs d’eaux des équipements communaux qui a augmenté de + 25,33m3. « Des données attendues depuis longtemps » s’est réjouit Pierre Toulouse (EELV) face à Gérard Laubier qui indiquait que « des actions par bâtiment seraient mis en place »

     

    Le groupe EELV s’est abstenu, et Claudine Charfe (PC) n’y a pas prit part,  sur le vote des subventions municipales de fonctionnement aux associations  - 941 022,62 € au total – « à cause de choix prédéterminés et de  critéres opaques » selon Lucile Schmid, et parce que l’association « Art et Culture » créée et présidée par la conseillère municipale communiste s’est vu refusée sa seconde demande de subvention ( la première est toujours refusée par on ne sait quelle tradition), alors qu’elle travaille avec le théâtre, comme elle l’a fait remarquer, tout en laissant entendre « qu’on peut craindre que cela soit à cause d’un membre de son bureau » - « Bien sûr que non » a répliquée Françoise Saimpert (UMP), maire adjoint qui a fait remarqué que Vanves accueille beaucoup de nouvelles associations, et que « nous sommes en période de crise. Nous avons constaté que cette association faisait doublons avec le syndicat d’initiatuve. Elle n’apportait rien de nouveau à la ville ! Et cela fait partie des critères ». Fermez le ban !  

     

    Par contre sur les subventions demandées par la ville (pour l’enfouissement des réseaux de la rue Murillo, les travaux de végétalisation de la toiture-terrasse de Boule de la créche Gomme), aucun groupe n’a voté contre, ni ne s’est abstenue sauf Claudine Charfe qui s’est aligné sur celui du groupe PC au Conseil Général,  à propos du Contrat de développement département des Hauts de Seine – Ville de Vanves qui sera signé le Mercredi 3 Mars à 18H à l’Hôtel de ville par le maire et le président du Conseil Général – et qui a déjà été présenté sur le Blog de Vanves Au Quotidien qui reviendra dessus à l’occasion de sa signature. Face à Jean Cyril Le Goff (PS) qui demandait « quels critères avaient été définis par le Conseil Général pour retenir ses projets » inscrits dans ce contrat de développement (qui concerne l’hôtel de ville, des créches et des écoles, le PMS A.Roche…), le maire a indiqué que « l’initiative du Conseil Général va dans le bon sens, avec cette rationalisation des dossiers de subventions. Vanves va se voir attribuer 1,3 M€ au lieu de 758 000 € dans le cadre plus traditionnel de la demande de subventions. Ce qui simplifie les procédures. Et nous avons pris des projets qui ne font pas polémiques ». Bien lui a pris, car Pierre Toulouse (EELV) n’a pas manqué de s’étonner  que « ce contrat soit signé juste avant les élections municipales, et que l’équipe qui sera alors élue, devra assumer » - « Auriez-vous préféré que l’on ne fasse rien » s’est exclamé Isabelle Débré (UMP) en ajoutant « surtout sur des projets qui intéressent tous les vanvéens et font consensus ! ».

  • LOGEMENTS ET CONSTRUCTIONS A VANVES : Laisser le temps au temps !

    Contrairement à ce que certains disent en ville, on construit et on équipe à Vanves : Un conservatoire dont le chantier a pris du retard qui a fait l’objet d’une réunion publique à l’école J.Cabourg sur lequel Le Blog reviendra. Il a d’ailleurs été confié à la même entreprise qui a réalisé les écoles et les équipements de l’îlot Cabourg. Hachette  est passé à la phase du gros œuvre avec l’arrivée des grues au milieu de Janvier, et les projets immobiliers autour de la rue Aristide Briand dont les chantiers sont entrés dans la phase active. Notamment  le projet de MARTEK Promotion à l’emplacement de l’imprimerie  - sur 3600 m2 shon, trois bâtiments de R+4 à R+7, de 60 logements avec parking souterrain, espaces verts – qui est en cours de démolition avec déjà quelques incidents graves puisque des parpaings ont atterris dans des propriétés voisines en détériorant certains pavillons dont celui d’un célébre architecte de Vanves. D’après les proches riverains, l’entreprise de démolition n’en fait qu’à sa tête et ne veut rien entendre, arguant que c’est un terrain privé.

     

    Le Conseil municipal du 6 Février dernier a d’ailleurs donné son aval à la proposition de la société OSICA de prendre en  location pour une durée de 55 ans, le petit immeuble situé à l’angle de l’avenue de Verdun et de la rue Jean Bleuzen afin d’y réaliser 6 logements sociaux après sa réhablitation, la ville conservant l’espace vert public aménagé sur le terrain voisin côté avenue de Verdun.  Ce bâtiment  actuellement muré pour éviter d’être squatté, est composé d’un rez-de-chaussée, de 2 étages et un sous sol, avec 5 logements. Cette société devrait ravaler l’immeuble avec remplacement des menuiseries extérieurs, et assurer une réfection complète de l’intérieur avec un aménagement de la petite courette à l’arrière. Jean Cyril Le Goff (PS) a demandé s’il était prévu « un logement d’urgence puisqu’on n’en a pas à Vanves ». Bernard Gauducheau maire (UDI) l’a rassuré : « Il est prévu dans le bal qu’il y ait un tel logement. Mais pour l’instant, OSCICA va utiliserr cet immeuble pour faire une opération tiroir avec la résidence des 34-38 rue Jean Bleuzen en cours de réhablitation, et dont les logements  pourraient être utilisé pour le relogement provisoire des occupants de cette résidence pendant les travaux »

     

    Il a fait deux demandes de subventions : Tout d’abord au Sipperec pour l’aménagement d’un acceuil petit enfance de 10 berceaux situé au 1 rue de Châtillon, suite au don de la famille Magne. D’autant plus que le programme de travaux prévoit une amélioration de la performance énergétique du bâtiment cpmprenant une isolation des murs et plafond, la mise en place de double vitrage et l’utilisation de matériel performant pour l’éclairage. Ensuite au Conseil Régional, pour les audits énérgétiques préalables aux travaux de rénovation des bâtiments comunaux. Il s’agit d’identifier les solutions qui permettront d’améliorer leurs performances énergétiques et intégrées.

    Enfin, le conseil municipal a renouvelé sa vente par adjudication d’un petit terrain de 75 m2 de forme trapézoïdale rue Gabrielle d’Estrée lui appartenant, tout simplement parce que la première décidée le 29 Mars 2011 n’avait pas pu se faire, et qu’entretemps les régles d’urbanisme avaient changée ainsi que l’évaluation du prix de ce bien  passée de 83 00 à 225 000 €. Un immeuble collectif R+4 de 3 logements développant 216,01 m2 de surface de plancher avec une façade sur rue de 16 m pourrait ainsi être construit, mais sans parking impossible à réaliser vu la forme et la déclinivité du terrain

  • VANVES COURT APRES LES SUBVENTIONS : « MOINS ON PAIERA, MIEUX CE SERA ! »

    La présentation du budget 2011 lors des réunions publiques, qui ne passionnent pas vraiment l’assistance sauf quelques spécialistes, aurait mérité un plus grand effort au niveau marketing avec un « power-pint » plus liosible, des fromages et des tableaux en couleur, des photos…afin de rendre les propos plus vivants et intéressants. Mais voilà, Bertrand Voisine, maire adjoint chargé des finances n’a pas le temps de le faire, car il n’st pas retraité, et le service communication de la ville a d’autres choses importantes à s’occuper. Ce qui est bien dommage.

     

    Résultats : Les participants au fond de la salle ne voient rie, et les autres cherchent à lire ou font mine decomprendre les chiffres ou attendent que cela passe. Résultats des courses : A la réunion publique du quartier Saint Remy, le 5 avril dernier,  pas une seule question du public. Sauf une déclaration de Bernard Gauducheau : « Nous travaillons à la modernisation de la commune en évitant l’inflation fiscale ». A la réunion publique du quartier du Plateau, lundi dernier, il y a eu une ou deux questions sur la fiscalité et la dette, et quelques explications et rappels du maire. Notamment sur les subventions : « Nous avons souhaité être offensif en matière de recherche de subventions et de recettes, en se donnant les moyens d’aller chercher des financements extérieurs. Du coup, nous sommes capable de faire deux fois plus de choses. Et moins on paiera, mieux ce sera » a-t-il déclaré en donnant l’exemple des rues Jean Bleuzen et Antoine Fratacci qui  n’ont rien coûté à la ville. Sur la dette, il a expliqué que « la ville est à un nivea raisonnable d’endettement cmpte tenu de Cabourg qui est le chantier du siécle. Un challenge que nous avons relevé et dont nous sommes fier, car il était compliqué à réaliser. Et grâce à la comunauté d’agglomération GPSO, nous allons lancer la Conservatoire. Sans elle, il aurait été impossible de réaliser ses opérations dans un temps ausssi rapproché »