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immobilier

  • GRAND PARIS EXPRESS : + 10% D’HABITANTS AUTOUR DE LA GARE FORT D’ISSY VANVES CLAMART

    Les nombreux projets urbains en cours autour des 68 Gares du Grand Paris Expresse, ont contribué à augmenter de 3% leur population entre 2010 et 2015, contre seulement 1% dans la Métropole du Grand Paris, selon une récente étude de l'Apur (Atelier parisien d'urbanisme) consacrée aux caractéristiques des habitants de ces quartiers franciliens. Ces secteurs des gares du GPE accueillaient 1 454300 habitants (contre 1 410 000 en 2010), soit 21% de la population de la MGP, répartis sur 13 280 hectares, ce qui représente seulement 16% de son territoire. En moyenne, chacun de ces quartiers comptabilise 23 200 habitants, avec des ménages comptant 2,49 personnes, contre 2,35 dans la MGP. Elle indique de surcroît que «Les quartiers ayant fait l'objet d'un rythme de construction accru entre 2008 et 2012 ont vu leur population bondir de plus de 10%» en citant, sur la ligne 15 Sud, les quartiers Pont de Sèvres, Fort d'Issy - Vanves - Clamart et Issy RER,  qui ont connu la plus forte dynamique de construction, et conséquemment la plus importante augmentation du nombre d'habitants entre 2010 et 2015».

    Enfin, l’ORF (Observatoire du Foncier) de la région Ile de France a indiqué que le prix moyen des appartements s'élevait en 2018 à 5 220 € le mètre carré dans les quartiers des 67 gares du réseau du GPE, soit une progression de 5,3% par rapport à 2017 (4958€/Le m2) Le quartier de la gare Fort d’Issy/.Vanves/Clamet fait partie des 11 quartiers de gares se trouvant dans des communes où le prix moyen du mètre carré est supérieur à la moyenne francilienne, avec  +1,7%.

  • APPARTEMENT : LES PRIX CASSENT LA BARAQUE A VANVES

    Les prix des logements grimpent en région parisienne et battent des revords à Paris. Après avoir franchi la barre symbolique des 10 000 € dès la fin du mois de décembre dernier (il pointait alors à 10 008 € du m²), les chiffres constatés par le baromètre LPI-SeLoger font état de prix de vente signés avoisinant 10 451 €/m² pour une hausse annuelle de 6,3 % !. Au hit parade parisien  : 13 855 € le m2 dans le 6e, 13 708 dans le 7e, 12 588 dans le 8e, 12 392 dans le 4e, 12 305 dans le 16e … 9 948  dans le 15E et 10 150 dans le 14e proche de Vanves.

    C’est pourquoi certains familles parisiennes déménagent dans des villes comme Vanves parce que les prix tournent autour de 6130 à  7000/7500 le m2 dans l’ancien. Dans le Neuf, c’est autre chose : Les promoteurs immobiliers annoncent autour de 10 000 € le m2 côté Paris, comme Franco-Suisse avec son projet à Gabriel d’Estrée, mais 8000 à 8500 € le m2 du coté du Clos Montholon (Bouygues Immobilier/ Franco Suisse). Les acquéreurs  sont prêt à débourser 503 300 €, pour un T3 à Vanves (92) qui fait parti des 5 villes les plus chéres après Paris (772 600) et Issy (592 600) et Montrouge (575 600) pour un T3

  • LOGEMENTS ET CONSTRUCTIONS A VANVES : Laisser le temps au temps !

    Contrairement à ce que certains disent en ville, on construit et on équipe à Vanves : Un conservatoire dont le chantier a pris du retard qui a fait l’objet d’une réunion publique à l’école J.Cabourg sur lequel Le Blog reviendra. Il a d’ailleurs été confié à la même entreprise qui a réalisé les écoles et les équipements de l’îlot Cabourg. Hachette  est passé à la phase du gros œuvre avec l’arrivée des grues au milieu de Janvier, et les projets immobiliers autour de la rue Aristide Briand dont les chantiers sont entrés dans la phase active. Notamment  le projet de MARTEK Promotion à l’emplacement de l’imprimerie  - sur 3600 m2 shon, trois bâtiments de R+4 à R+7, de 60 logements avec parking souterrain, espaces verts – qui est en cours de démolition avec déjà quelques incidents graves puisque des parpaings ont atterris dans des propriétés voisines en détériorant certains pavillons dont celui d’un célébre architecte de Vanves. D’après les proches riverains, l’entreprise de démolition n’en fait qu’à sa tête et ne veut rien entendre, arguant que c’est un terrain privé.

     

    Le Conseil municipal du 6 Février dernier a d’ailleurs donné son aval à la proposition de la société OSICA de prendre en  location pour une durée de 55 ans, le petit immeuble situé à l’angle de l’avenue de Verdun et de la rue Jean Bleuzen afin d’y réaliser 6 logements sociaux après sa réhablitation, la ville conservant l’espace vert public aménagé sur le terrain voisin côté avenue de Verdun.  Ce bâtiment  actuellement muré pour éviter d’être squatté, est composé d’un rez-de-chaussée, de 2 étages et un sous sol, avec 5 logements. Cette société devrait ravaler l’immeuble avec remplacement des menuiseries extérieurs, et assurer une réfection complète de l’intérieur avec un aménagement de la petite courette à l’arrière. Jean Cyril Le Goff (PS) a demandé s’il était prévu « un logement d’urgence puisqu’on n’en a pas à Vanves ». Bernard Gauducheau maire (UDI) l’a rassuré : « Il est prévu dans le bal qu’il y ait un tel logement. Mais pour l’instant, OSCICA va utiliserr cet immeuble pour faire une opération tiroir avec la résidence des 34-38 rue Jean Bleuzen en cours de réhablitation, et dont les logements  pourraient être utilisé pour le relogement provisoire des occupants de cette résidence pendant les travaux »

     

    Il a fait deux demandes de subventions : Tout d’abord au Sipperec pour l’aménagement d’un acceuil petit enfance de 10 berceaux situé au 1 rue de Châtillon, suite au don de la famille Magne. D’autant plus que le programme de travaux prévoit une amélioration de la performance énergétique du bâtiment cpmprenant une isolation des murs et plafond, la mise en place de double vitrage et l’utilisation de matériel performant pour l’éclairage. Ensuite au Conseil Régional, pour les audits énérgétiques préalables aux travaux de rénovation des bâtiments comunaux. Il s’agit d’identifier les solutions qui permettront d’améliorer leurs performances énergétiques et intégrées.

    Enfin, le conseil municipal a renouvelé sa vente par adjudication d’un petit terrain de 75 m2 de forme trapézoïdale rue Gabrielle d’Estrée lui appartenant, tout simplement parce que la première décidée le 29 Mars 2011 n’avait pas pu se faire, et qu’entretemps les régles d’urbanisme avaient changée ainsi que l’évaluation du prix de ce bien  passée de 83 00 à 225 000 €. Un immeuble collectif R+4 de 3 logements développant 216,01 m2 de surface de plancher avec une façade sur rue de 16 m pourrait ainsi être construit, mais sans parking impossible à réaliser vu la forme et la déclinivité du terrain