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siége d'hachette

  • LOGEMENTS ET CONSTRUCTIONS A VANVES : Laisser le temps au temps !

    Contrairement à ce que certains disent en ville, on construit et on équipe à Vanves : Un conservatoire dont le chantier a pris du retard qui a fait l’objet d’une réunion publique à l’école J.Cabourg sur lequel Le Blog reviendra. Il a d’ailleurs été confié à la même entreprise qui a réalisé les écoles et les équipements de l’îlot Cabourg. Hachette  est passé à la phase du gros œuvre avec l’arrivée des grues au milieu de Janvier, et les projets immobiliers autour de la rue Aristide Briand dont les chantiers sont entrés dans la phase active. Notamment  le projet de MARTEK Promotion à l’emplacement de l’imprimerie  - sur 3600 m2 shon, trois bâtiments de R+4 à R+7, de 60 logements avec parking souterrain, espaces verts – qui est en cours de démolition avec déjà quelques incidents graves puisque des parpaings ont atterris dans des propriétés voisines en détériorant certains pavillons dont celui d’un célébre architecte de Vanves. D’après les proches riverains, l’entreprise de démolition n’en fait qu’à sa tête et ne veut rien entendre, arguant que c’est un terrain privé.

     

    Le Conseil municipal du 6 Février dernier a d’ailleurs donné son aval à la proposition de la société OSICA de prendre en  location pour une durée de 55 ans, le petit immeuble situé à l’angle de l’avenue de Verdun et de la rue Jean Bleuzen afin d’y réaliser 6 logements sociaux après sa réhablitation, la ville conservant l’espace vert public aménagé sur le terrain voisin côté avenue de Verdun.  Ce bâtiment  actuellement muré pour éviter d’être squatté, est composé d’un rez-de-chaussée, de 2 étages et un sous sol, avec 5 logements. Cette société devrait ravaler l’immeuble avec remplacement des menuiseries extérieurs, et assurer une réfection complète de l’intérieur avec un aménagement de la petite courette à l’arrière. Jean Cyril Le Goff (PS) a demandé s’il était prévu « un logement d’urgence puisqu’on n’en a pas à Vanves ». Bernard Gauducheau maire (UDI) l’a rassuré : « Il est prévu dans le bal qu’il y ait un tel logement. Mais pour l’instant, OSCICA va utiliserr cet immeuble pour faire une opération tiroir avec la résidence des 34-38 rue Jean Bleuzen en cours de réhablitation, et dont les logements  pourraient être utilisé pour le relogement provisoire des occupants de cette résidence pendant les travaux »

     

    Il a fait deux demandes de subventions : Tout d’abord au Sipperec pour l’aménagement d’un acceuil petit enfance de 10 berceaux situé au 1 rue de Châtillon, suite au don de la famille Magne. D’autant plus que le programme de travaux prévoit une amélioration de la performance énergétique du bâtiment cpmprenant une isolation des murs et plafond, la mise en place de double vitrage et l’utilisation de matériel performant pour l’éclairage. Ensuite au Conseil Régional, pour les audits énérgétiques préalables aux travaux de rénovation des bâtiments comunaux. Il s’agit d’identifier les solutions qui permettront d’améliorer leurs performances énergétiques et intégrées.

    Enfin, le conseil municipal a renouvelé sa vente par adjudication d’un petit terrain de 75 m2 de forme trapézoïdale rue Gabrielle d’Estrée lui appartenant, tout simplement parce que la première décidée le 29 Mars 2011 n’avait pas pu se faire, et qu’entretemps les régles d’urbanisme avaient changée ainsi que l’évaluation du prix de ce bien  passée de 83 00 à 225 000 €. Un immeuble collectif R+4 de 3 logements développant 216,01 m2 de surface de plancher avec une façade sur rue de 16 m pourrait ainsi être construit, mais sans parking impossible à réaliser vu la forme et la déclinivité du terrain

  • UNE RENTREE SOUS LE SIGNE DES CHANTIERS ET DES CONSTRUCTIONS

    Les chantiers sont très nombreux à Vanves pour cette Rentrée 2012 entre Hachette et la Conservatoire de Musique, et surtout les projets immobiliers qui entrent dans leur phase concréte de travaux dans le quartier de la rue Aristide Briand qui « va connaître une évolution dans le cadre des régles définies par le PLU (Plan Local d’Urbanisme ». Au lieu de traiter au coup par coup, chacun de ses projets qui a été présenté en réunion publique depuis prés d’un an, le maire a souhaité créer un Comité de suivi face aux risques de nuisances liés aux opérations sur ce périmétre restreint. « Son objectif sera d’assurer un contact régulier entre les responsables des travaux et des riverains, avec des réunions spécifiques dans le quartier en partenariat avec les promoteurs-constructeurs, la population du secteur avec leurs représentants, des sentinelles pour chaque chantier, afin de faire régulièrement le point sur l’évolution, gérer les questions de circulation, de réalisation de chantier lors de réunions que je présiderais avec Gérard Laubier maire adjoint chargé des travaux, et la participation des maires adjoints de quartier» indique Bernard Gauducheau, maire de Vanves. Il envisage de mettre en place une plateforme de dialogues qui prendra la forme d’un blog.

     

    Tous ces nouvelles constructions se situent donc  dans un  quartier compris entre les rues René Coche-Raymond Marcheron-Docteur Lafosse et la voie SNCF  opérations :  MARTEK Promotion  a prévu à l’emplacement de l’ex-imprimerie, sur 3600 m2 shon, trois bâtiments de R+4 à R+7, de 60 logements avec parking souterrain, espaces verts. AREKA Developpement  a prévu un immeuble R+3 de 26 logements avec 26 parkings, construit sur un  terrain de 785 m2 Shon pour du personnel du ministére de la Défense, à l’entrée de la villa des Matraits. Une autre résidence comprenant deux immeubles de 4 étages à taille humaine, s’intégrant dans l’existant et atténuant l’effet d’un mur pignon d’un immeuble voisin, doit être construit rue RenéCoche. L’immeuble en façade accueille des logements (12) avec porte cochére, façade traitée avec de la pierre et du zinc, l’autre derrière des duplex (2) et une petite coulée verte.

     

    Sur l’ex-Cat, Vinci a prévu un  projet de résidence classique beaucoup moins dense que le projet précédent d’une résidence hôtelière de 120 studios, et beaucoup mieux intégré dans le site pavillonnaire et résidentiel, en jouant sur la déclinivité du terrain sur ses 1700 m2 de surfaces constructibles : 34 logements en accession et 34 places de stationnements, répartis dans un immeuble donnant sur la rue Aristide Briand avec 25 logements répartis dans deux cages d’escaliers, porche d’entrée, et 8 duplex dans l’autre bâtiment derrière, avec des espaces verts en  terre plein, et un accés piéton par l’impasse donnant sur la rue R.Marcheron. Enfin, à l’emplacement du garage rue Marcheron, le projet du promoteur-constructeur Sofiane dont la première version avait  fait l’unanimité des riverains contre lui, et la seconde beaucoup de réserves et d’inquiétudes sur le chantier. Ce projet avait été désensifié, avec une dizaine de logements en moins (soit 400 m2) dans un bâtiment R+5 avec une seule entrée au lieu de deux, un jardin redessiné sur terrasses avec 2 pavillons (duplex), une rue intérieure avec des locaux d’activités sous la terrasse jardin.

     

    D’ailleurs ce promoteur a enfin terminé la résidence étudiante à l’angle Diderot/R.Marcheron après moultes problèmes où le rôle de la Sentinelle s’est révélé très importante. Elle doit être livré ses prochains jours. Tout comme  l’EHPAD Maison Soins et Repos, contruit rue R.Marcheron sur le terrain où vit une communauté de jésuites de la Compagnie de Jésus, sans nuisances, ni problèmes particuliers. Une petite structure de 27 lits (24 médicalisés, 2 convalescents et 1 de passage).

    Un peu plus loin rue Jean Bleuzen, après démolition des infrastructures en Août/début septembre, le chantier du gros œuvre d’Hachette devrait commencer en Septembre. Alors que rue Solférino, l’entreprise Melchior entamera le chantier de démolition de l’ancien garage Citroen et entrepôt de la ville -  où est prévu le Conservatoire de musique -  et d’évacuation des gravats, en respectant une démarche HQE avec traitement des poussières grâce à de l’arrossage, du bruit avec recours à du matériel insonorisé, limitation des vibrations  et de la taille des gravats broyés à la pince à béton, avec tri des déchets en sélection continu sur le chantier.