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sncf - Page 8

  • LE MUR ANBTI BRUIT FERRE DE VANVES RELANCE PAR LA REGION

    Enfin, une éclaircie dans la longue opération de lutte contre les nuisances de la voie ferrée Paris Montparnasse, avec le coup d’accélérateur donné par le conseil Régional Vendredi matin dans sa politique en faveur de la résorption des nuisances sonores provoqués par les voies ferrées et la route.

     

    40 M€ seront investis pour  finaliser les dernières opérations identifiées au programme 2001 pour lutter contre les points noirs ferrioviaires, notamment à Vanves-Malakoff (Transilien) avec 4 autres opérations. Elles font partie du coup d’accélérateur que la Région a donné dans sa lutte contre les nuisances sonores  avec un engagement de 290 M€ sur les 10 prochaines années, soit pour le ferré un effort financier multipié par 4 par rapport à la période 2000/10  jusqu’en 2025, et 25% de plus pour le routier avec la résorption des 10 principaux points noirs. D’ici 2020, la Région lancera de nouvelles études de chantiers expérimentaux et à définir, mais elle demandera à la RATP et à la SNCF de lancer un programme de  recherche sur de futurs matériels roulants plus silencieux.

     

    C’est une bonne nouvelle pour les vanvéens concernées au premier chef qui ne cessaient d’interroger le maire lors des réunions de quartier pour savoir où en était le mur anti bruit,  comme ce fut le cas en Juin dernier : « On a réussit à faire prendre en compte ce dossier. Mais on se heurte à RFF qui fait traîner le dossier à cause d’une technostructure qui considére que notre affaire n’est pas importante. Nous avons financé les études qui permettent de déterminer s’il faut mettre là le mur anti bruit et dans un autre endroit, des doubles-vitrages. Mais encore faut il maintenant que les agents de RFF rendent visite aux riverains sur le terrain pour le déterminer » avait répondu Bernard Gauducheau.

     

    Il faut rappeler que le projet consiste, entre la gare de Vanves et le Clos Montholon à réaliser un mur anti bruit de 700 m de long accompagné d’isolation de façades et de fenêtres. Des mesures et les études acoustiques avaient définis un secteur entre la gare de Vanves/Malakoff et le Pont du Clos Montholon sur la ligne Paris-Montparnasse, où le bruit s’étend dans un rayon de 300 m de part et d’autre de la voie ferrée. 27 bâtiments avaient été déterminés à Vanves, 5 à Malakoff, mais plus d’une centaine étaient plus ou moins impactés.

     

    Le traitement choisi devrait être des écrans acoustiques étalé sur 730 m à Vanves de prés de 2 m de haut, couplés pour certains immeubles (plus haut que l’écran acoustique)  par des isolations de façades. A l’époque de son lancement le coût de cette opération se montait à 600 000 € si l’isolation des façades était retenu ou 3,5 M€ si les écrans acoustiques étaient choisis en sachant que le financement est assuré à 50% par RFF, et 50% pour les collectivités locales (25% pour la Région, et 25% à se répartir entre le départements et les deux communes de Vanves et Malakoff).  

    Malakoff avait accepté d’y participer même si l’impact du bruit est moins important de son côté. Mais dés le lancement de la phase de l’étude, RFF considérait que Vanves n’était pas un des secteurs les plus prioritaires. Mais voilà, le chantier ne pouvait commencer qu’après la réalisation d’une série d’enquêtes individuelles auprès des riverains qui devaient être consultés sur le choix d’une isolation phonique individuelle (fenêtre et./ou façade) ou collective (mur anti bruit).

  • PLU DE VANVES : QUEL DEVENIR POUR LES TERRAINS ARISTIDE BRIAND ?

    Le débat sur le PLU au Conseil municipal de Vanves jeudi dernier a permis à l’opposition de poser la question du devenir du terrain Aristide Briand occupé auparavant par la DDE et la CPAM 92 et jusqu’au vacanves par l’école élementaire du Centre. Un secteur qui a fait l’objet d’observations des riverains lors de l’enquête publique qui souhaitaient préserver sa dominante habitat (notamment pavillonaire) et empêcher la construction de résidences de services

     

    « Le POS est mort, vive le PLU » s’est donc exclamé Julien Gazel, conseiller municipal délégué au PLU en dressant le bilan de la concertation qui s’est étalé sur 2 ans et demi entre le 17 Décembre 2008 et le 22 Juin 2011, avec 15 rencontres organisées dans chaque quartier, une exposition… et une enquête publique menée en Mars 2011 : 7 personnes publiques sur 14 consultées ont répondu  (Etat, Département, Syndicat Mixte des Côteaux et du Val de Seine, GPSO, Chambre des Métiers, CCIP 92, Syndicat des Eaux, SNCF et Société Réseau de Transports d’Electricité) en donnant leur avis. Ainsi l’Etat a estimé « qu’une ouverure plus importante du règlement en faveur d’une augmentation de la constructibilité, afin de répondre aux enjeux de rapprochement des grands secteurs d’emplois et des quartiers d’habitat, aurait pu être envisagé ». Il a recommandé de privilégier dans le parc F.Pic la délimitation d’espaces verts à protéger plutôt que le maintien des secteurs identifiés en espaces boisés classés. Le département a demandé la prise en compte du plan dépatemental des circulations douces et du schéma des parcours buissonniers dont la promenade des parcs et côteaux du Val de seine dont Vanves est une des extrémités avec le parc du Lycée michelet. D’ailleurs son objectif principal est « de rendre plus accessible les espaces de nature existants, notamment le parc du lycée Michelet ». Les Chambres consulaires ont insisté sur la nécessité de prévoir des aires de livraison (comme à Paris) ans certains cas. La SNCF a émis des des réserves sur les secteurs « espaces verts à protéger » délimités sur les talus dépendants des emprises ferroviaires. Du coup le règlement du PLU prévoit d’autoriser des constructions liées à l’activiré ferroviaire dans ces espaces.

     

    63 observations ont été inscrites sur le registre du commissaire enquêteur, dont 35 concernaient un changemet de zonage dans le secteur  Raymond Marcheron/Aristide Briand/Villa Matrets sur unterain d’environn 1,3 ha pour préserver la dominante de l’habitat (réduction de la hauteur à 12 m, limitation de l’emprise maximale à 50%, obligation de réaliser la moitié des espaces verts en pleine terre) avec une volonté d’avoir une garantie sur l’arrêt du développement des résidences-services, l’hébergement hôtelier.   16 observations ont concernées des régles de constructibilités sur l’implantation, les hauteurs, l’aspect extérieur ds constructions, sur les clôtures et les normes de stationnement dans des rues à dominante pavillonnaire.

    Trois observations concernaient la part des logements sociaux dans les programmes de constructions. Une personne s’est inquiétée notamment des conséquences des normes de stationnement imposées pour les vélos sur la construction de logements sociaux. D’ailleurs deux observations suggéraient de réserver une surface affectée au stationnement des vélos de 4%  qui a été réduit à 2% de la surface hors œuvre nette, le pourcentage de 4% étant jugé disuasif pour les investisseurs et trop élevé du fait de la présence de Vélib. Des riverains de l’allée de la Ferme ont contestée l’utilitée du terme « d’emplacement réservée » en invoquant des questions de sécurité. Deux observations ont relevé que le PLU ne respecte pas le projet d’aménagement et de développement durable.

     

    Bernard Gauducheau qui avait expliqué juste avant l’exposé de Julien Gazel, qu’il s’agissait d’élaborer un projet de ville pour les 10 ans à venir, a reconnu que « les amendements apportés au projet ne portaient pas atteinte à l’économie du projet, et ne remettaient pas en cause les 5 objectifs poursuivis (Valoriserl’identité d’une ville, relever le défi d’une offre renforcée en logements, préserver la dynamique économique, promouvoir des pratiques de mobilité durable, préserver l’environnement et ses ressources) ». Le commissaire enquêteur a considéré que ce projet de PLU permet de répondre aux objectifs prévus, et il a fait 4 recommandations  justemet sur Marcheron/Briand/Matrais pour reconsidérer le zonage. Ensuite  sur l’école Gambetta en demandant que « l’emplacement réservé pour son extension, soit ré-évaluée au regard de la possibilité ou non d’agrandir cet équipement sur son emprise actuelle ». Du coup la commune a décidée de ne pas maintenir cet emplacement réservé, considérant que les besoins d’extension de cette école ne portent plus sur les locaux, pmais uniquement sur les espaces extérieurs. Par contre elle a suivi la 3éme recommandation visant à ce que les réles de constructions dans les zones UD et UE permettent l’évolution des bâtis existants notamment en matière de  développement durable, notamment pour la Villa Jeanne et le long de la rue Greset. Enfin, le Commmissaire Enquêteur a recommandé de prendre en considération la demande l’Etat sur « la délimitation d’espaces verts à protéger à l’intérieur du parc F.Pic ».

     

    Pierre Toulouse (EELV) comme il l’avait déjà dit, a trouvé « un document extrêmement lisse, difficile à attaquer, qui devrait plaire à tout le monde. Il adapte l’existant sans ambition politique ». Il a fait part de sa déception sur les mesures prévues cncernant le vélo, l’absence de mesures permettant de limiter l’implantation d’antennes …  - « Pourtant on a retenu un certain nombre de choses » a répondu  le maire. « Ce PLU n’engendre pas de changement majeur » constatait de son côté Jean Cyril Le Goff (PS). « Le passage du POS au PLU permet la coghérence des politiques locales en matière d’environnement, de développement durable… » a-t-il ajouté en posant la question du devenir du terrain Aristide Briand(ex-SS et ex-DDE) qui a acceuillit l’école élémentaire du centre pendant les travaux de l’îlot Cabourg  et « sur lequel le PS sera très vigilant. Nous souhaitons une vraie réflexion sur des équipements publics (créches), des logements sociaux sur ce terrain » a-t-il demandé.

     

    « Vous dites que ce PLU n’est pas assez révolutionnaire. Mais on n’a pa cherché à ce qu’il le soit. Nous auros l’occasion de revenir sur certains poiints. Que l’on donne un droit de suite aux remarques des habitants est tout à fait normal  » a répondu Bernard Gauducheau en se voulant rassurant : « Le terrain A.Briand n’est pas une réserve foncière, mais il est actif puisqu’il est occupé par des équipements pubbics pour l’instant ». Occasion de rappeler que « le métre carré est cher à Vanves. C’est plus important de le consacrer à l’homme plutôt qu’au vélo ! ». Du coup, Guy Janvier (PS) a relevé qu’à propos du terrain Aristide Briand, le maire de Vanves avait déclaré que « c’était l’un des dernières parcelles appartement à des collectivités (territtoriales) » et que « sur Cabourg, le projet initial sur lequel vous êtes revenu,  était un immeuble avec une école en rez-de-chaussé. Il est intéresant que vous fassiez part de vos intentions sur Aristide Briand » - « J’avais enviagé des logementds dans Cabourg poiur financer les équipements publics. Du coup, il a fallu emprunter plus en contrepartie, car je regarde les équilibre financier » a-t-il répliqué mais sans en dire plus sur le devenir des terrains Aristide Briand.

  • LES HAUTS DE VANVES EN REUNION PUBLIQUE DE QUARTIER (suite et fin): GRAND PARIS EXPRESS, VELIB, AUTOLIB, SNCF...

    PLU circulation et transports ont été les thémes de la dernière réunion publique de quartier qui s’est tenu Jeudi dernier à l’école Larmeroux. Bernard Gauducheau a tenu à parler du futur réseau de transport « Grand Paris Express » et sa station « Fort d’Issy/Vanves/Clamart », et les vanvéens présents l’ont interrogé sur Vélib et autolib, et sur la façon dont on se déplace dans la commune même ».

     

    Un vanvéen a demandé « ce que devenaient ses projets de lignes de bus supplémentaires ? » -  « On a déjà travaillé sur la liaison entre le métro (ligne 13) et le Clos Montholon voilà 2 à 3 ans. La RATP ne l’a pas jugé prioritaire, ni d’actualité » a répondu le maire en rappelant qu’il y a « deux liaisons supplémentaires de la navette, le matin et le soir, entre le Clos Montholon et le métro ». Bernard Gauducheau en a profité pour indiquer qu’une enquête de l’Express a récemment classé Vanves comme l’une des premières villes en matière de transports. Ce blog en avait fait état en indiquant que Vanves faisait partie des 7 communes franciliennes les mieux desservies en Ile de France avec Puteaux (92), la Courneuve (93), Ivry (94), Malakoff (92), Issy les Moulineaux (92) et Saint Denis (93) selon une enquête parue dans le supplément Ile de France de l’Express  car elles ont au moins un métro ou un RER, un transilien et bientôt peut être pour les 3 premières dont Vanves, le Grand Paris Express. Et pour rappeler que « ce n’est pas le maire de Clamart qui a obtenu la gare, parce qu’il a pétitionné 15 jours avant », mais bien lui « qui s’est bagarré pour l’avoir » notamment en intervenant lors de l’une des réunions du débat public à Isssy les Moulineaux où le maire de Clamart n’était pas présent, ni le conseil général de Vanves.

     

    Une vanvéenne a demandé s’il y aurait une station vélib installée à côté de la résidence étidiante à l’angle des rues Diderot et Raymond Marcheron. « Nous avons 7 Stations pour l’instant ! Nous pouvons en demander une suppplémentaire. Mais où la mettrions-nous. Ils peuvent aller jusqu’à la gare ! » a-t-il répondu. Du coup, un autre intervenant a demandé « où allez-vous mettre les stations Autolib ? » - « Une station, c’est 6 places de stationnement. Il en est prévu  rue Larmeroux (vers la rue Mansard), au métro Plateau de Vanves/Malakoff, à la gare de Vanves/Malakoff, Bd du Lycée Rue Mary Besseyre, rue Marcel Martine, Carrefour Legris, ce qui va supprimer 36 places de stationnement dans la ville » a-t-il constaté, mais ce nombre de stations est nécessaire pour assurer une rotation. Il en a profité pour indiquer que le nombre de véhicules immatriculé à Vanves baisse, « ce qui donne l’impression que les vanvéens se satisfont de l’offre de transports publics ».

     

    La SNCF a été dans le collimateur des riverains de la ligne Paris Montparnasse dont l’un d’entre eux a demandé où on en était du mur anti bruit ? « On a réussit à faire prendre en compte ce dossier. Mais on se heurte à RFF qui fait traîner le dossier à cause d’une technostructure qui considére que notre affaire n’est pas importante. Nous avons financé les études qui permettent de déterminer s’il faut mettre là le mur anti bruit et dans un autre endroit des doubles-vitrages. Mais encore faut il maintenant que les agents de RFF rendent visite aux riverains sur le terrain pour le déterminer » a répondu le maire en ne cachant pas « qu’une action des riverains nous aiderait bien ».

    Il a d’ailleurs pris l’exemple de l’ouverture du parc du lycée Michelet qu’il avait lancé et bien fait avancé «  jusqu’au jour où la Région a pris en main la gestion des cités scolaires et considéré que cela ne faisait plus parti des urgences ». Enfin, un riverain a soulevé la question du mauuvais état de la passerelle au dessus de la voie ferrée entre les rues Clemenceau et du docteur Delafosse, où il y a un trou. « La passerelle appartient à la SNCF. On l’a signalé à la SNCF qui ne s’occupe que de la sécurité ! Ce n’est pas la ville de faire les travaux ! ». Rappelons que la SNCF a toujours répondu à la ville qui voulait réaménager les abords des voies SNCF, propriété de cette entreprise nationale qu’elle sait très bien rappeler en divers occasions, qu’elle pouvait le faire à ses frais.