Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

sncf - Page 8

  • PLU DE VANVES : QUEL DEVENIR POUR LES TERRAINS ARISTIDE BRIAND ?

    Le débat sur le PLU au Conseil municipal de Vanves jeudi dernier a permis à l’opposition de poser la question du devenir du terrain Aristide Briand occupé auparavant par la DDE et la CPAM 92 et jusqu’au vacanves par l’école élementaire du Centre. Un secteur qui a fait l’objet d’observations des riverains lors de l’enquête publique qui souhaitaient préserver sa dominante habitat (notamment pavillonaire) et empêcher la construction de résidences de services

     

    « Le POS est mort, vive le PLU » s’est donc exclamé Julien Gazel, conseiller municipal délégué au PLU en dressant le bilan de la concertation qui s’est étalé sur 2 ans et demi entre le 17 Décembre 2008 et le 22 Juin 2011, avec 15 rencontres organisées dans chaque quartier, une exposition… et une enquête publique menée en Mars 2011 : 7 personnes publiques sur 14 consultées ont répondu  (Etat, Département, Syndicat Mixte des Côteaux et du Val de Seine, GPSO, Chambre des Métiers, CCIP 92, Syndicat des Eaux, SNCF et Société Réseau de Transports d’Electricité) en donnant leur avis. Ainsi l’Etat a estimé « qu’une ouverure plus importante du règlement en faveur d’une augmentation de la constructibilité, afin de répondre aux enjeux de rapprochement des grands secteurs d’emplois et des quartiers d’habitat, aurait pu être envisagé ». Il a recommandé de privilégier dans le parc F.Pic la délimitation d’espaces verts à protéger plutôt que le maintien des secteurs identifiés en espaces boisés classés. Le département a demandé la prise en compte du plan dépatemental des circulations douces et du schéma des parcours buissonniers dont la promenade des parcs et côteaux du Val de seine dont Vanves est une des extrémités avec le parc du Lycée michelet. D’ailleurs son objectif principal est « de rendre plus accessible les espaces de nature existants, notamment le parc du lycée Michelet ». Les Chambres consulaires ont insisté sur la nécessité de prévoir des aires de livraison (comme à Paris) ans certains cas. La SNCF a émis des des réserves sur les secteurs « espaces verts à protéger » délimités sur les talus dépendants des emprises ferroviaires. Du coup le règlement du PLU prévoit d’autoriser des constructions liées à l’activiré ferroviaire dans ces espaces.

     

    63 observations ont été inscrites sur le registre du commissaire enquêteur, dont 35 concernaient un changemet de zonage dans le secteur  Raymond Marcheron/Aristide Briand/Villa Matrets sur unterain d’environn 1,3 ha pour préserver la dominante de l’habitat (réduction de la hauteur à 12 m, limitation de l’emprise maximale à 50%, obligation de réaliser la moitié des espaces verts en pleine terre) avec une volonté d’avoir une garantie sur l’arrêt du développement des résidences-services, l’hébergement hôtelier.   16 observations ont concernées des régles de constructibilités sur l’implantation, les hauteurs, l’aspect extérieur ds constructions, sur les clôtures et les normes de stationnement dans des rues à dominante pavillonnaire.

    Trois observations concernaient la part des logements sociaux dans les programmes de constructions. Une personne s’est inquiétée notamment des conséquences des normes de stationnement imposées pour les vélos sur la construction de logements sociaux. D’ailleurs deux observations suggéraient de réserver une surface affectée au stationnement des vélos de 4%  qui a été réduit à 2% de la surface hors œuvre nette, le pourcentage de 4% étant jugé disuasif pour les investisseurs et trop élevé du fait de la présence de Vélib. Des riverains de l’allée de la Ferme ont contestée l’utilitée du terme « d’emplacement réservée » en invoquant des questions de sécurité. Deux observations ont relevé que le PLU ne respecte pas le projet d’aménagement et de développement durable.

     

    Bernard Gauducheau qui avait expliqué juste avant l’exposé de Julien Gazel, qu’il s’agissait d’élaborer un projet de ville pour les 10 ans à venir, a reconnu que « les amendements apportés au projet ne portaient pas atteinte à l’économie du projet, et ne remettaient pas en cause les 5 objectifs poursuivis (Valoriserl’identité d’une ville, relever le défi d’une offre renforcée en logements, préserver la dynamique économique, promouvoir des pratiques de mobilité durable, préserver l’environnement et ses ressources) ». Le commissaire enquêteur a considéré que ce projet de PLU permet de répondre aux objectifs prévus, et il a fait 4 recommandations  justemet sur Marcheron/Briand/Matrais pour reconsidérer le zonage. Ensuite  sur l’école Gambetta en demandant que « l’emplacement réservé pour son extension, soit ré-évaluée au regard de la possibilité ou non d’agrandir cet équipement sur son emprise actuelle ». Du coup la commune a décidée de ne pas maintenir cet emplacement réservé, considérant que les besoins d’extension de cette école ne portent plus sur les locaux, pmais uniquement sur les espaces extérieurs. Par contre elle a suivi la 3éme recommandation visant à ce que les réles de constructions dans les zones UD et UE permettent l’évolution des bâtis existants notamment en matière de  développement durable, notamment pour la Villa Jeanne et le long de la rue Greset. Enfin, le Commmissaire Enquêteur a recommandé de prendre en considération la demande l’Etat sur « la délimitation d’espaces verts à protéger à l’intérieur du parc F.Pic ».

     

    Pierre Toulouse (EELV) comme il l’avait déjà dit, a trouvé « un document extrêmement lisse, difficile à attaquer, qui devrait plaire à tout le monde. Il adapte l’existant sans ambition politique ». Il a fait part de sa déception sur les mesures prévues cncernant le vélo, l’absence de mesures permettant de limiter l’implantation d’antennes …  - « Pourtant on a retenu un certain nombre de choses » a répondu  le maire. « Ce PLU n’engendre pas de changement majeur » constatait de son côté Jean Cyril Le Goff (PS). « Le passage du POS au PLU permet la coghérence des politiques locales en matière d’environnement, de développement durable… » a-t-il ajouté en posant la question du devenir du terrain Aristide Briand(ex-SS et ex-DDE) qui a acceuillit l’école élémentaire du centre pendant les travaux de l’îlot Cabourg  et « sur lequel le PS sera très vigilant. Nous souhaitons une vraie réflexion sur des équipements publics (créches), des logements sociaux sur ce terrain » a-t-il demandé.

     

    « Vous dites que ce PLU n’est pas assez révolutionnaire. Mais on n’a pa cherché à ce qu’il le soit. Nous auros l’occasion de revenir sur certains poiints. Que l’on donne un droit de suite aux remarques des habitants est tout à fait normal  » a répondu Bernard Gauducheau en se voulant rassurant : « Le terrain A.Briand n’est pas une réserve foncière, mais il est actif puisqu’il est occupé par des équipements pubbics pour l’instant ». Occasion de rappeler que « le métre carré est cher à Vanves. C’est plus important de le consacrer à l’homme plutôt qu’au vélo ! ». Du coup, Guy Janvier (PS) a relevé qu’à propos du terrain Aristide Briand, le maire de Vanves avait déclaré que « c’était l’un des dernières parcelles appartement à des collectivités (territtoriales) » et que « sur Cabourg, le projet initial sur lequel vous êtes revenu,  était un immeuble avec une école en rez-de-chaussé. Il est intéresant que vous fassiez part de vos intentions sur Aristide Briand » - « J’avais enviagé des logementds dans Cabourg poiur financer les équipements publics. Du coup, il a fallu emprunter plus en contrepartie, car je regarde les équilibre financier » a-t-il répliqué mais sans en dire plus sur le devenir des terrains Aristide Briand.

  • LES HAUTS DE VANVES EN REUNION PUBLIQUE DE QUARTIER (suite et fin): GRAND PARIS EXPRESS, VELIB, AUTOLIB, SNCF...

    PLU circulation et transports ont été les thémes de la dernière réunion publique de quartier qui s’est tenu Jeudi dernier à l’école Larmeroux. Bernard Gauducheau a tenu à parler du futur réseau de transport « Grand Paris Express » et sa station « Fort d’Issy/Vanves/Clamart », et les vanvéens présents l’ont interrogé sur Vélib et autolib, et sur la façon dont on se déplace dans la commune même ».

     

    Un vanvéen a demandé « ce que devenaient ses projets de lignes de bus supplémentaires ? » -  « On a déjà travaillé sur la liaison entre le métro (ligne 13) et le Clos Montholon voilà 2 à 3 ans. La RATP ne l’a pas jugé prioritaire, ni d’actualité » a répondu le maire en rappelant qu’il y a « deux liaisons supplémentaires de la navette, le matin et le soir, entre le Clos Montholon et le métro ». Bernard Gauducheau en a profité pour indiquer qu’une enquête de l’Express a récemment classé Vanves comme l’une des premières villes en matière de transports. Ce blog en avait fait état en indiquant que Vanves faisait partie des 7 communes franciliennes les mieux desservies en Ile de France avec Puteaux (92), la Courneuve (93), Ivry (94), Malakoff (92), Issy les Moulineaux (92) et Saint Denis (93) selon une enquête parue dans le supplément Ile de France de l’Express  car elles ont au moins un métro ou un RER, un transilien et bientôt peut être pour les 3 premières dont Vanves, le Grand Paris Express. Et pour rappeler que « ce n’est pas le maire de Clamart qui a obtenu la gare, parce qu’il a pétitionné 15 jours avant », mais bien lui « qui s’est bagarré pour l’avoir » notamment en intervenant lors de l’une des réunions du débat public à Isssy les Moulineaux où le maire de Clamart n’était pas présent, ni le conseil général de Vanves.

     

    Une vanvéenne a demandé s’il y aurait une station vélib installée à côté de la résidence étidiante à l’angle des rues Diderot et Raymond Marcheron. « Nous avons 7 Stations pour l’instant ! Nous pouvons en demander une suppplémentaire. Mais où la mettrions-nous. Ils peuvent aller jusqu’à la gare ! » a-t-il répondu. Du coup, un autre intervenant a demandé « où allez-vous mettre les stations Autolib ? » - « Une station, c’est 6 places de stationnement. Il en est prévu  rue Larmeroux (vers la rue Mansard), au métro Plateau de Vanves/Malakoff, à la gare de Vanves/Malakoff, Bd du Lycée Rue Mary Besseyre, rue Marcel Martine, Carrefour Legris, ce qui va supprimer 36 places de stationnement dans la ville » a-t-il constaté, mais ce nombre de stations est nécessaire pour assurer une rotation. Il en a profité pour indiquer que le nombre de véhicules immatriculé à Vanves baisse, « ce qui donne l’impression que les vanvéens se satisfont de l’offre de transports publics ».

     

    La SNCF a été dans le collimateur des riverains de la ligne Paris Montparnasse dont l’un d’entre eux a demandé où on en était du mur anti bruit ? « On a réussit à faire prendre en compte ce dossier. Mais on se heurte à RFF qui fait traîner le dossier à cause d’une technostructure qui considére que notre affaire n’est pas importante. Nous avons financé les études qui permettent de déterminer s’il faut mettre là le mur anti bruit et dans un autre endroit des doubles-vitrages. Mais encore faut il maintenant que les agents de RFF rendent visite aux riverains sur le terrain pour le déterminer » a répondu le maire en ne cachant pas « qu’une action des riverains nous aiderait bien ».

    Il a d’ailleurs pris l’exemple de l’ouverture du parc du lycée Michelet qu’il avait lancé et bien fait avancé «  jusqu’au jour où la Région a pris en main la gestion des cités scolaires et considéré que cela ne faisait plus parti des urgences ». Enfin, un riverain a soulevé la question du mauuvais état de la passerelle au dessus de la voie ferrée entre les rues Clemenceau et du docteur Delafosse, où il y a un trou. « La passerelle appartient à la SNCF. On l’a signalé à la SNCF qui ne s’occupe que de la sécurité ! Ce n’est pas la ville de faire les travaux ! ». Rappelons que la SNCF a toujours répondu à la ville qui voulait réaménager les abords des voies SNCF, propriété de cette entreprise nationale qu’elle sait très bien rappeler en divers occasions, qu’elle pouvait le faire à ses frais.

  • DERNIERE REUNION PUBLIQUE DE QUARTIER A VANVES (Suite et Fin) : BASSIN, SECURITE ROUTIERE, STATIONNEMENT, PLU…

    Vanves Au Quotidien revient sur cette dernière réunion publique de quartier qui s’est déroulé dans le préau de l’école Larmeroux Mardi dernier. La seconde partie de cette réunion de 2H a été vraiment consacrée à des questions concernant ce quartier des Hauts de Vanves

     

    BASSIN DE RETENTION : Le maire a indiqué que ce bassin avait bien rempli son rôle lors des deux grandes pluies décennales des 12 et 14 Juillet 2010, « car le bassin a joué son rôle de stockage et s’est rempli aux deux tiers. Nous avons pu vérifier en même temps la marge de sécurité et sa capacité de vidange, puisque le temps imparti entre ses deux épisodes pluvieux a été court » a-t-il indiqué en précisant que le bassin est équipé d’un systéme  « qui permet d’affinerla  prévention, avec un systéme d’alarme sur les niveaux d’eaux ». Tout en précisant que « tout cela coûte cher ».

     

    CONSEIL DE QUARTIER : Daniel Barois, président et maire adjoint a indiqué que l’orientation prise par cete instance de concertation est de s’intéresser plus à l’aspect humain que matériel des choses en adhérant au concept de « Voisins Solidaires ».

     

    MUR ANTI BRUIT : Le principe des travaux a été retenu. La Région a débloquée les crédits pour l’étude finale. Il devrait y avoir une phase de concertation, sachant que les foyers concernés seront directement contactés.

     

    AVENUE DE LA PAIX : Une participante a soulevé les problèmes de sécurité dans cette avenue tant des piétons, notamment pour le passage cloutée face au « contrôle-Sécurité » que des cyclistes, notamment à cause de ses camions qui se garent systématiquement sur la piste cyclable chaque matin. « Je demande de sécuriser le carrefour du Clos Montholon depuis longtemps. Il faut un vrai projet complet sur cette voie départementale qui reléve du Conseil Général » a répondu le maire. « Il faudrait mettre un radar, car beaucoup roulent au dessus de 50 km/h » demande un autre participant. « Il faudrait que j’en récupére surtout  un. Mais si on doit en mettre un en priorité, c’est d’abord rue Antoine Fratacci que je l’installerai, puis un second rue Jean Bleuzen, puis avenue de la Paix » a-t-il précisé. « Catherine Margaté a relancé le Conseil Général sur la sécurité du carrefoir du clos Montholon » a alors indiqué Guy Janvier.

     

    RESIDENCE HOTELIERE : « J’ai été étonné par le nombre de résidences de services ? Est-ce que c’est un axe de développement et qu’est-ce que cela peut provoquer ? » a demandé une nouvelle habitante. « Le précédent POS permettait ce genre de projet…qui était attractif sur le plan fiscal et permettait de construire sur une surface plus importante que si cela avait été du logement. Ce qui n’est pas inintéressant car cette formule se situe entre l’hôtel et le logement, mais ces structures n’apportent rien à la commune. Sauf depuis que Vanves est classée zone touristique et que ces établissements versent une taxe de séjour de 1 € par nuit. Comme il y a 500 chambres  ou studios, cela fait 500 € chaque matin de l’année qui tombent dans la caisse communale. Dans le PLU, nous avons exclut ce genre de projet, ce qui ne veut pas dire que l’on n’aura pas d’hôtels » a-t-il indiqué en précisant que le projet de résidence étudiante se fera bien bien à l’angle Diderot/Raymond Marcheron : « J’essaie de  faire signer une convention entre Michelet et cette résidence pour que les étudiants de ce lycée en profitent ».

     

    PLU : « Il ne faut pas s’imaginer où que vous habitiez, cela n’évoluera pas et sera figé, car la ville vie, respire, évolue selon les besoins de la vie  » a prévenu Bernard Gauducheau qui a informé ses interlocuteurs que l’un des secteurs sur lequel il portera son attention après la rue A.Fratacci est l’axe Jean Bleuzen-RaymondMarcheron-Larmeroux, après aboir répondu à une question sur le calendrier du PLU, notamment par un vanvéen qui demandait à partir de quand le PLU s’appliquerait. Après le vote du Conseil Municipal qui devrait intervenir en Juin prochain.  

     

    STATIONNEMENT : Du coup, un participant lui a demandé quelles étaient les orientations de la ville en matière de stationnement ? » - Laurent Lacomére, maire adjoint a fait constater « qu’en faisant payer le stationnement, on libére des place. Et nous pourrons ainsi le faire dans le quartierde la gare de Vanves  et des endroits les plus sensibles. Car c’est une façon de reconquérir notre territoire par rapport aux envahissseurs venuis d’ailleurs garer leurs véhicules ». Ainsi 50% des places de stationnement restent gratuites à Vanves. L’objectif de la ville est de passer totalement au stationnement payant en deux phases. « Nous choisirons les voies qui posent problèmes dans la première phase » a prévenu le maire.