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bibliothéque de vanves

  • LES 140 ANS DE LA BIBLIOTHEQUE MUNICIPALE DE VANVES SERONT ILS CELEBRES ?

    A l’occasion de cette Rentrée, la médiathéque-Bibliohéque de Vanves a été mis en avant avec cette exposition sur les résistants de Vanves à l’occasion des Journées Euopénnes du Patrimoine, et la Rentrée littéraire avec  la conférence de Güler Le Pape de la Librairie le Cheval Vapeur sur la rentrée littéraire. Mais rien sur sa propre histoire, puisque le 1er Octobre, dans deux jours, c’est son anniversaire : Elle aura 140 ans. A même qu’il le soit célébré autour du 1er Décembre prochain date de son officialisation par le Conseil municipal de l’époque

    La création de la Bibliothéque remonte un 1er Octobre 1884 sur la proposition d’un professeur du lycée Michelet qui fut élu maire quelques années plus tard, Eugéne Baudoin (1896-1900), et qui fut avalisé le 1er Décembre 1884 par le conseil municipal présidé alors par M.Pruvost. L’assemblée municipale lui avait attribué une somme de 1000 frs et avait demandé au Conseil Général de la Seine une subvention de 21 500 frs dans le cadre de l’aide consacrée aux communes surburbaines. Ainsi naissait la bibliothéque municipale de Vanves, au début de la IIIé République, à une époque où les bibliothéques municipales et associatives se développaient.

    En 1885, les livres dont une bonne partie provenait de dons du Conseil Général de la Seine, étaient rangés dans une armoire installée dans un couloir ou une pièce de l’hôtel de ville. Elle s’est installée plus tard dans l’un des pavillons qui entouraient la mairie, puis un baraquement avant de s’installer dans le centre administratif à côté du théâtre. C’est grâce à la persévérance d’Annie Jouhet, maire adjoint chargée de la culture, enseignante à Clamart et passionnée de livres,  avec l’aide de Dominique Lahary qui s’occupait alors du Bibilobus, qu’elle a pu s’installer et ouvrir en 1979 dans ses locaux historiques  qui viennent d’être réaménagé  dans le cadre de la nouvelle médiathéque. Elle est maintenant l’un de ses deux espaces dénommé Carnot dédié à la section Jeunesse ainsi qu’à la famille avec les livres sur la parentalité, et l’espace Mocquet avec les collections pour les adultes, inauguré à l’automne 2022 face à la Mairie à l’emplacement d’un ancien pavillon et d’un bâtiment qui ont accueillis le secrétaire du Stade de Vanves et l’Ecole de Musique

    Parallèlement à cette histoire, il faut signaler deux initiatives qui ont complétés cette institution : Le bibliobus créé en 1978 pour desservir les quartiers de Vanves et les écoles primaires, afin de privilégier le contact avec les livres de la population et des jeunes. Il a disparu à la fin ds années 1980. Et le biblioclub qui a ouvert ses portes le 5 Octobre 1976 grâce à l’initiative d’Annie Jouhet et perdure encore, première réalisation d’une politique du livre et de la lecture en direction des enfants, sur le Plateau : « Le biblio club a été un des premiers outils éducatif et culturel de ce quartier. Je trouvais ce lieu magique parce que des professionnels avaient introduit la lecture en intégrant des ateliers, notamment de contes, en faisant de cet espace, un lieu de vie. Il a eu un rôle social très important » constatait le maire de Vanves lors de l’inauguration des travaux de rénovation de ses locaux actuels en 2014. C’est Françoise de Challonge, directrice entre 1988 et 2007, qui l’a développé et ancré son existence dans la ville tout en restant fièéle à ses axes fondateurs : « Donner aux enfants de la ville ou solarisés à Vanves, le goût de la lecture et les aider à développer leur personnalité »

  • DES ANNNIVERSAIRES A PROFUSION A VANVES EN 2014

    Le Blog Vanves Au Quotidien termine ce cycle historique par quelques rappels d’anniversaires dont certains seront marqués ou célébrés d’une façon ou d’une autre

    Voilà 150 ans, en 1864 : 3 jours après la visite du jeune prince impérial à Vanves, Napoléon signait le 6 Août 1864, un décret par lequel le petit collége Louis-le-Grand installé en 1853 à Vanves, était érigé en lycée autonome. « C’était le premier lycée parisien établi hors les mur de la capitale, au grand air, lycée jardin » et non plus « lycée caserne » raconte Hyppolite Chailley dans son livre « Des origines au début du XXéme siécle ». « Sous le nom de lycée Impérial, le nouvel établissement allait bénéficier de la faveur du gouvernement qui lui donnait pour chef, avec  des collaborateurs d’élites, le proviseur même de Louis Le Grand, Jean Baptiste Jullien, recteur honoraire. Ce fut tout de suite le lycée à la mode. Les élèves affluèrent, l’effectif passant de 350 internes en 1864 à 767 en 1869 ».  Xavier Renard explique dans son livre consacré au Château et au lycée de Vanves,  que « la personnalité de M.Jullien a beaucoup contribué à fonder la réputation du lycée dés l’origine. Agé de 62 ans, en 1864, il offrait l’image rassurante du pater familias à qui les familles confiaient personnellement leurs enfants qui, ne l’oublions pas avaient moins de 11 ans »

    Voilà 130 ans, en 1884 : Création de la Bibliothéque le 1er Octobre 1884 sur la proposition d’un professeur du lycée Michelet qui fut élu maire quelques années plus tard : Eugéne Baudoin (1896-1900). L’assemblée municipale lui attribuait une somme de 1000 frs et demandait au Conseil Général  de la Seine une subvention de 21 500 frs. En 1885, les livres étaient rangés dans une armoire installée dans un couloir ou une pièce de l’hôtel de ville. Elle s’est installée plus tard dans l’un des pavillons qui entouraient la mairie, puis un baraquement avant de se trouver dans son emplacement actuel. C’est grâce à la persévérance d’Annie Jouhet, maire adjoint chargée de la culture avec l’aide de Dominique Lahary qui s’occupait alors du Bibilobus,  que son aménagement actuel a pu se faire lors de la construction du Centre Administratif avec son théâtre, son marché et la tour d’habitation. Les locaux au départ étaient mal adaptés, les architectes n’ayant pas consultés les spécialistes afin de réserver, par exemple, plusieurs piéces aux bibliothécaires pour entreposer  les livres et les documents afin de les préparer à la consultation. Elle réussit alors à récupérer des pièces qui étaient réservées au Stade de Vanves. Elle a ouvert ses portes en 1979.

    Voilà 100 ans, en 1914 : Aristide Duru, maire  de Vanves entre 1911-1919, est  l'un des plus méconnus alors qu’il a été très proche des vanvéens lors du premier conflit mondial (1914-1918). Au Conseil Municipal du 31 Juillet 1914, il faisait voter à l’unanimité le vœu suivant : « Considérant que dans les circonstances présentes, tous les français doivent se serrer autour du drapeau et de ceux qui le portent. Adresse au gouvernement de la République et à l’armée nationale, l’expression de son ardente confiance patriotique et un salut affectueux à ceux de ses membres mobilisables qui vont aller combattre pour la défense sacrée de la patrie »… alors que Jean Jaurés était assassiné à Paris. Deux jours plus tard l’Allemagne déclarait la guerre à la France. On imagine l’ambiance alors qui devait régner à Vanves comme ailleurs, avec ses affiches placardées appelant à la mobilisation. Aristide Duru indiquait alors à ses collègues que la Mairie faisait face à ses obligations de mobilisation et pour rassurer ceux qui partaient sur le sort de leur famille. Frédéric Pic, lorsqu’il lui a succédé en 1920,  a toujours pris soin de rappeler tout le bienfait qu’il a fait à Vanves pendant cette guerre, parlant de son urbanité, sa courtoisie, sa grande bonté qu’il a toujours su montrer envers ses administrés.

    Voilà 40 ans, en 1974 : Création du biblio club, première réalisation d’une politique du livre et de la lecture en direction des enfants : En moins de 4 ans, 560 enfants étaient inscrits, et pouvaient utiliser un fonds de 2000 livres. 10 ans plus tard, ils étaient 1550 disposant de 7150 livres. Le Foyer Danton était ouvert avec son restaurant pour les aînés vanvéens 

    Voilà 30 ans en 1984 : L’opération de rénovation du Plateau prenait fin. Si la première ZAC a été achevé en 1978, la seconde le fut en 1984 non sans mal, avec un déficit de11 M€ à cause de la crise immobilière qui a faillit mettre en cause la bonne fin de cette opération qui a demandé 25 ans pour aboutir. Le mode de cadencement des feux tricolore en 3 phases était mis en place au carrefour du Maréchal de Lattre de Tassigny. Un rond point était aménagé au carrefour de l’Insurrection pour éviter de trop nombreux accidents. La section de la LICRA qui était créée en 1984, a tenu sa première réunion avec JP Bloch qui avait dédicacé son livre « jusqu’au dernier jour » et reçu sur son stand du forum des association Richard Berry et Jane Masson qui vivaient alors ensemble. Pierre Bousquet était nommé à la Rentrée 1984 proviseur du lycée Michelet et remplaçait M.Jehl qui prenait sa retraite après 14 ans de service. La police municipale était créée avec un seul agent municipal, sous la direction de Marcel Gaumard, délégué Sécurité auprès du maire. Saint Français lancait la construction de son église actuel dessiné par l’architecte vanvéen, Alain Lamy. Enfin, Vanves accueillait le Congrés Départemental de l’UNC 92 à la mi-Mai. Projet que souhaiterait rééditer en 2018 le président actuel de l’UNC Vanves, Paul Guillaud.

    Voilà 20 ans, en 1994 : Les travaux de rénovation de la Maison de retraites Larmeroux prenaient fin après 3 ans de chantiers pour transformer les dortoirs en 41 chambres avec sanitaire lavabo-douche, un second ascenseur, réfection des cuisines et accessibilités

  • LES HAUTS DE VANVES : BEAUCOUP DE SUJETS BRULANTS… SANS VERITABLES REPONSES IMMEDIATES

    Pour sa 3éme et dernière réunion publique de quartier du dernier semestre 2012 à l’école Larmeroux, lundi soir, Bernard Gauducheau était bien entouré, avec plusieurs adjoints :  Daniel barois président du Comité de quartier des Hauts de Vanves dont tous les membres n’étaient pas présent, Laurent Lacomére, chargé de la sécurité, Gérard Laubier des travaux publics, et Valérie Vignaud de la culture pour l’un des deux exercices obligés de cette session sur la politique culturelle avec  l’Agenda 21, le Directeur Général des Services, le DGS chargé des services technique, le représentant de GPSO, et bien sûr le photographe-reporter aux commandes du Power Point.

     

    Le premier (théme) n’a guére suscité de questions, Valérie Vignaud ayant abordée cette fois-ci d’autres actions non traitées lors des précédentes réunions comme la restauration de l’orgue de l’église Saint Remy : « Cette reconstruction permettra d’ouvrir une classe d’orgue qui sera assez représentative, permettant d’organiser des concerts, et de rendre acccessible à tout public cet instrument » a-t-elle expliqué. L’un des assistants de José Alfarroba, directeur du Théâtre  qui est intervenu sur la programmation de la saison culturelle, a cette fois-ci, beaucoup insisté sur le cinéma  qui bénéficie d’un projecteur numérique depuis la Rentrée, avec une programmation intéressant adultes et enfants durant la trêve des confisseurs. Seule question posée : « Pourquoi la bibliothéque est-elle fermée pendant les vacances ? » - « C’est pour des raisons logistiques. 3 à 4 personnes s’occupent de la bibliothéque. Il faut qu’elles puissent prendre des vacances ! ». Pas très satisfaisante comme réponse par rapport à la continuité de service (public).  Guére plus de succés pour l’Agenda 21. Bernard Gauducheau a expliqué qu’il regroupe un certain nombre de dispositifs environnementaux, économiques et sociaux  pour améliorer notre cadre de vie, mis en œuvre par GPSO et décliné au niverau local, qui « permettent de remettre en cause nos habitdes et nos pratiques ». Il a parlé de cet énergiticien recruté voilà 3 ans pour ré-étudier tous les contrats d’eau, d’électricité, de gaz…et a permis d’économiser jusqu’à 300 000 €, des travaux d’isolation à l’Ecole Marceau. « Ces investissements lourds au départ se révélent bénéfiques par la suite ».

     

    SNCF ET RFF

    Le mur anti-bruit a réveillé l’assistance grâce à Daniel Barois qui a fait le point : « Les études d’Avant Projet ont débuté en Septembre et seront suivis d’une consultation publioque, puis d’une étude d’avant-travaux pour permettre de réaliser en 2015 un mur anti-bruit et des isolations de fenêtres. RFF a fait trainé les choses » a-t-il reconnu. « Depuis que la SNCF et RFF se sont séparés, c’est catastrophique » a surenchérit le maire. « Ils se renvoyaient la balle et on en a fait les frais. RFF considérait que Vanves n’était pas prioritaire par rapport à d’autres endroits en France. Mais on a réussit à se mettre d’accord avec Malakoff et à recevoir une aide du Conseil Régional. Après c’est une question de calendrier ! »  

    Un participant a demandé quand les travaux effectués sur les passerelles pour les sécuriser et les remettre en état, seront terminés, un autre s’est plaint qu’ils aient été effectué de nuit, en s’étonnant que les travaux sur les tapis aient été effectués avec l’installation des cages métalliques « alors que l’on aurait pu se satisfaire de grilles qui existaient déjà ». Bernard Gauducheau a insisté sur la nécessité de les sécuriser, et a annoncé leur ré-ouverture, notamment pour la passerelle de la rue du Docteur Lafosse pour la fin de l’année, alors qu’un riverain se plaignait de ne pouvoir pas aller acheter son journal à Malakoff.

     

    CHANTIERS ET VOIE PUBLIQUE

    Un riverain a demandé quelles mesures sont prises pour faciliter la circulation durant les chantiers prévus le long de la rue Aristide Briand. « Un plan de circulation sera mis en place au coup par coup. Mais les chantiers n’ont pas encore commencé. Le 7 A.Briand (où il y a le Palmier) devrait débuter début Janvier et Vinci 3 mois plus tard, car tous les appartements n’ont pas été vendus » a indiqué Gérard Laubier. « Les constructeurs ont signé une charte de bonne conduite avec des contraintes trés précise qu’on vérifiera en matière de livraisons, de propreté, d’installation et de déménagement des grues... Mais ils n’ont pas encore déposé encore le dossier d’organisation de leur chantier. Et on ne donnera le feu vert que si on l’a et s’il convient » a assuré le directeur général des services. Il a d’ailleurs donné des précisions sur le dossier de la rue de l’avenir dont le classement en voie publique, toujours d’actualité, a été retardé. Tout simplement parce que l’impasse de l’avenir a été rajouté dans le classement alors que ce n’était pas prévu dans le projet initial. Ce qui provoque de nouvelles recherches parcellaires, sachant que l’enquête (publique) prendra plusieurs mois, que le classement ne pourra intervenir que vers le milieu de l’année 2013. Enfin le maire a indiqué que l’extension du stationnement réglementé aux voies non concernés encore, est précvu pour l’été 2014. « Mais s’il y a une demande insistante, dans certains quartiers, on pourra étudier la possibilité de l’avancer ». Beaucoup pensent qu’il devrait le faire rapidement vu la pression que subissent les riverains des rues non réglementées du fait des véhicules ventouses venus d’aiileurs et d’Issy autour du parc F.Pic et du Stade de Vanves.

     

    SECURITE

    Le maire a tenté d’évacuer le sujet en affirmant que  « la ville suit les difficultés de la rue de châtillon avec des occupations excessives d’un hall d’immeuble » dans un premier temps. Puis des riverains ont témoigné dans un second temps, comme cet homme bloqué par les jeunes dans l’ascenseur pendant un quart d’heure qui a su garder son calme parce qu’il a montré par son attitude qu’il n’acceptait pas leur diktat. « Il faut beaucoup de chance pour que la police attrape les auteurs des dégradations de véhicules » a répondu Laurent Lacomére en faisant référence aux véhicules vandalisés voilà plus de dix jours dans le quartier. De même pour le parkling de la rue de l’Avenir où les véhicules dégradés sont le résultat d’un règlement de compte entre fêtars et voisins excédés. « On ne sait pas pourquoi la situation se dégrade dans un secteur alors qu’il  était calme jusqu’à preésent. Et cela devient compliqué tant qu’on n’a pas attrapé le ou les fauteurs de trouble. C’est un abcés de fixation jusqu’à ce que la police attrape les auteurs. Mais nous n’avons plus, comme auparavant d’individus postés comme avant. Les caméras de vidéosurveillance ont été disuassives » a expliqué Bernard Gauducheau sans vraiment convaincre ses interlocuteurs dont certains sont excédés

     

    La réunion s’est terminée sur de nombreuses informations  concernant l’ouverture de l’EHPAD des fréres Jésuites de la rue Raymond Marcheron, et de la résidence étudiante à l’angle de la rue Diderot. Malgré quelques malfaçons, comme ces gouttières des balcons qui deversent l’eau de pluie directement sur le trottoir, douche assurée pour les passants. La boulangerie tant attendue rue R.Marcheron a ouvert ses portes. La restauration de la Chapelle Larmeroux est terminée, des offices religueux devraient être célébré pour les maisons de retraites à partir de l’année prochaine. En attendant le maire a demandé de l’éclairer de l’intérieur entre 17H et 23H chaque soir durant la trêve des confisseurs afin  de faire découvrir la beauté de ses vitraux. Histoire de faire le lien avec cette trêve de Noël qui approche dans moins d’une semaine.