Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

gpso - Page 71

  • PLAN DE RECONQUETE DU PLATEAU DE VANVES : "ON ENTRE DANS LE CONCRET!"

    Pour la première (ou seconde) fois, Bernard Gauducheau n’a pas animé une réunion publique de quartier, depuis qu’il est élu maire et qu’il a lancé ce rendez-vous semestriel. Deux avaient été annulées à cause des attentats en Novembre 2015.  Il s’agissait de la première réunion de ce printemps 2017 à l’école Marceau, lundi soir qu’a animée Antoinette Girondo, animatrice en chef du conseil de Quartier du Plateau. Après la présentation du budget 2017 par Bertrand Voisine (avec ses "fromages" sur la photo), c’est surtout Yann Texier, le représentant de GPSO dans la commune qui a été le principal interlocuteur des vanvéens, car il a été,  bien sûr, questions des travaux entrepris par GPSO en plusieurs tranches jusqu’en 2020 « ET là, on est dans le concret » comme il l’a expliqué   

    Il a rappelé les différentes phases et sites concernés dont l’objectif consiste à dégraisser, réparer les espaces publics, moderniser l’éclairage, préserver et valoriser les espaces verts, requalifier 4 sites  dont 2 en 2017 : Tout d’abord, le square des  droits de l’enfant, espace de loisirs et de jeux, afin de le rendre plus attractif et ludique. Le thème de l’ile végétale a été choisi, avec un cheminement pour relier les différents espaces, en gardant le cyprés bien sûr, les jardinières actuelles qui pourront être déplacées, en retravaillant l’espace central, en gardant le muret mais pas les barrières, en clôturant l’aire de jeux plus grand et déplacée à cause des tilleuls,  en revoyant la végétation : « On veut recréer une ambiance avec des plantes au sol et une strate arborale »a-t-il précisé en répondant à des questions sur l’emplacement des bancs par rapport aux arbres et les dégâts causés par les pigerons, l’entretien et le nettoyage. Un riverain a revenu sur « les pigeons qui sont une calamité. Je n’ai jamais vu les personnes qui leur donnent à manger, être verbalisé ? » - « On va commencer à sanctionner ! Et GPSO va mener une campagne de sensibilisation » a précisé Pascal Vertanessian.   Ensuite la rue Aguste Comte avec un nouvel éclairage, de nouveaux aménagements, nettoyage du sol, les opérations étant ponctuels. Des riverains se sont inquiétés de la disparition  totale des bancs, de l’entretien des espaces verts, des scooters qui roulent dangereusement sur cette voie.

    « 1,8 M€ pour le Plateau, c’est ridicule » a constaté Claudine Charfe en revenant sur le travail considérable en matière d’éclairage, d’espaces verts et publics. « On aurait voulu faire plus, mais on a un budget à respecter. Dire que l’on reprend tous les espaces verts, ce n’est pas sérieux !. Et on n’est pas  à l’abri de surprises pendant ses travaux » a-t-il répondu. « Quelle est la part des subventions ? » - « Autour de 300 000 € ». Les chantiers se déroulement entre l'Eté et la Toussaint sur une vingtaine de semaines. La présentation des travaux réalisés et programmés par GPSO a été l’occasion de revenir sur un 3éme site du Plateau : le passage des reflets, désormais le nom donné au tunnel du métro après sa réfection réussie, appréciée et respectée jusqu’à présent. Yann Texier a précisé que son entretien a été confiée à une société spécialisée tant pour les murs et le revêtement, que la ville envisage de le fermer entre 1H et 5H pour éviter les dégradations qui se situent généralement à cette période de la nuit. L’association Agir pour le Plateau est réticente, selon Claudine Charfe,  car « devoir passer le long du Périph sous le pont SNCF n’est pas très rassurant ! ». Un intervenant s’était étonné du surcôut de ses travaux passés de 400 000 à 600 000 €. « Le coût a été augmenté pour permettre le passage des piétons pendant les travaux, au lieu de le fermer complétement, ce qui a posé des problèmes techniques, ou sinon, vous auriez été obligé de faire le tour. On n’a pas souhaité que le passage soit fermé » a précisé B.Voisine.    

  • LA HAUSSE DES TARIFS DU CONSERVATOIRE DE VANVES FAIT PETITIONNER LES PARENTS D’ELEVES

    La hausse particulièrement forte des tarifs prévu pour l’année 2017-18 mais pas encore voté par le conseil territorial de GPSO a provoqué une réaction des parents d’élèves du conservatoire de Vanves qui ont envoyé une lettre ouverte au maire de Vanves.

    « Nous prenons note avec stupéfaction du mail de Mr Grégoire de la Roncière daté du 27 Mars dernier relatif à une prétendue harmonisation des tarifs des 7 conservatoires de la communauté d’agglomération, révision des tarifs prétendument basée sur un principe d’équité s’appuyant sur le quotient familial. Nous acceptons le principe d’une harminsation tarifaire, mais celle-ci est dans ce cas présent le prétexte à une hausse brutale, sous le prétexte culpabilisateur de raréfaction des ressources financières des collectivités locales alors que la mairie de Vanves vient d’ouvrir au public un conservatoire de qualité, coûteux et ostentatoire digne d’une ville financièrement autonome. On demande en quelque sorte aux publics du conservatoire de payer des coûts d’équipement et de fonctionnement initialement sous- estimés !! » écrivent ils

    « Nous acceptons le principe d’un tarification solidaire mais cette mise en place cache une augmentation généralisée des tarifs doublement inacceptable:
    - l’opacité de la communication du GPSO : aucun parent ne pouvant se comparer aux autres, le prix du service public ne peut plus être estimé, sa légitimité non plus
    - le taux de contribution variequasiment du simple au double, coût par utilisateur allant de 200€ à 900€ pour le tarif cursus, coût démultiplié en fonction du nombre d’utilisateurs par famille …pour de nombreuses familles un coût annuel supplémentaire de 100€ à plusieurs centaines d’euros sans compter les coûts indirects !!

    Cette hausse qui s’ajoute à d’autres met en péril l’accès pour tous au service public : le conservatoirede Vanves. A cette étape, nous refusons cette hausse des tarifs et vous demandons en votre qualité de maire, représentant des habitants de la commune de Vanves d’agir au plus vite auprès de GPSO pour faire revenir sur cette décision» écrivent les parents d’éléves qui ont confié le soin à Mr Alain Taulelle de venir lui porter la pétition,  « expression de notre déception et de notre insatisfaction ». Ils commencé à faire signer cette pétiton hier, et ce, durant toute cette semaine

  • BUDGET 2017 DE VANVES : « Nous parviendrons à garder constants nos objectifs majeurs »

    Le budget 2017 qui sera voté ce soir au Conseil municipal devrait s’élever  à 43,15 M€ en fonctionnement et 6,09 M€ en fonctionnement. 

    Lors du débat d’orientaton budgétaire, Bernard Gauducheau (UDI) avait rassuré en affirmant que « nous parviendrons en 2017 à garder constants nos objectifs majeurs » malgré le gel des dotations de l’Etat, la péréquation, la complexité financière créée par la création de la MGP…Il est vrai la vente des terrains A.Briand (16,2 M€) mais aussi Mary Besseyre (5,2 M€)  a permis de réduire de 50% la dette de la commune, mais aussi  de retrouver des marges d’actions. Elles permetent le  maintien de la qualité de service notamment dans les secteurs éducaifs (enfance, petite enfance, écoles) et sociaux dont les cédits globaux serent inchangésd voire aiugmentés,  avec « une attention particulière sur la situation du personnel communal dans le souci de maintenir un climat social et des conditons de travail favorables à la qualité de services » , soutien à un effort d’investissement essentiel pour ne pas perdre le dynamisme et l’attractivité de Vanves : Le PMS A.Roche avec la réfection dela tribune, la transformation en terrain synthétique du terrain d’honneur, des travaux d’éclairage avec un programme de sécurisation de ses abors et accés pour 2,9 M€, la réfection du tunnel du métro (400 000 €), de la placette Carnot (15 00 €), l’enfouissement desréseaux rue Raphael (106 000 €), la poursuite du programme d’accessibilité dans les bâtiment, le démarage d’un important programme de sécurisation des bâtiments imposé par le contexte lié aux risques terroriste … avec la recherche de subventions extérieures. D’autant plus que la commune ne peut plus compter sur le soutien de GPSO, qui représentent plus qu’un quart de financement des dépenses d’équipements

    Le groupe PS avait noté  avec satisfaction que « comme l’an dernier, la politique communale entend insister sur les actions prioritaires dans les secteurs éducatifs et sociaux et notamment l’enfance, la petite enfance, l’éducation et l’action sociale dont les crédits globaux sont inchangés voire augmentés » et que « les efforts importants demandés depuis deux ans dans certains secteurs seront stabilisés, notamment dans le secteur de la communication et du protocole » constatait Anne Laure Mondon (PS). Plusieurs  points avaient retenus  par ailleurs, particulièrement son attention : GPSO car « la commune ne peut plus compter sur son soutien pour s’équiper à cause justement de ses modifications financières entraînés par la création de la MGP ». Le personnel communal dans la mesure où il est prévu  « pas de remplacement systématique des départs des agents quel que soit le motif de départ (mutation, démission, retraite, disponibilité…) ». Enfin, les choix d’investissement de la Ville. « 2017 verra le démarrage des travaux d’extension du stade André Roche. Ces dernières années de nombreux investissements ont été réalisés pour des équipements sportifs. Par ailleurs la Ville a acquis en 2015 pour 2 M€ un terrain rue Diderot destiné à accueillir un équipement public, à priori sportif. Offrir des équipements de qualité aux nombreux sportifs Vanvéens est certes important mais la politique d’investissement en matière d’équipement public de Vanves ne doit et ne peut, selon nous, être majoritairement centrée sur un type d’activité.C’est pourquoi, nous regrettons que la Ville n’ait pas conservé les terrains de la rue Mary Besseyre, emplacement symbolique entre la Mairie et le Monument aux morts, qui aurait pu accueillir un équipement public, non sportif, lieu de vie, d’échanges inter-générationnel, associatif et culturel… les possibilités et besoins sont nombreux et pouvaient être étudiés collégialement ».