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gpso - Page 72

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    FOOTBALL : Défaite de la section football dimanche 1 à 0 face au Plessis Robinson. « Notre équipe n'a pas démérité face au Plessis Robinson ( DSR 3 div. au dessus ). Devant un public nombreux, la finale s'est déroulée à Bourg la Reine.Match équilibré malgré l'écart de division, malheureusement sur un tir puissant,  le ballon va se loger dans la lucarne et ce à 10 minutes de la fin. Match plaisant, car, selon nos adversaires,  nous pouvons être compétitif en Promotion d'Honneur » commente Jean Claude Vignal , président de la Section Football du Stade de Vanves. « La saison se termine le W.E. prochain par le tournoi Lemel/Saccard samedi et dimanche où nous attendons plus de 600 jeunes joueurs. L'équipe première disputera le 2° tour de la coupe de France à Montfermeil ». 

    CESEV : Le Conseil Economique social et environnemental qui a tenu sa premiére assemblée générale voilà maintenant une quinzaine jours travaille sur plusieurs thémes depuis presque un an : La Commission développement durable e tSolidsarités a travaillé sur l’accueil des réfigiés et l’agenda 21 de la ville notamment sur les actions climat de la ville. La commission Economie et Prospective a planchée sur le budget et entamé un travail sur le marché. La commission Education et Culture s’est saisi d’une étude sur l’exposition universelle et la culture à Vanves, a remis un rapport sur les activités péri scolaires. Enfin la commission Espaces Publics a remis un rapport sur la mise en sens unique d’une partie de la rue J.Bleuzen avec création de pistes cyclables et a entamé une réflexion sur l’ouverture du parc du lycée Michelet au public

    DECHETS : Depuis le début de cette semaine, un mouvement social au sein de la société SITA affecte la collecte des ordures ménagères et du tri sélectif. Le service n’est plus assuré à Vanves et d’autres villes de GPSO (Chaville, Issy les Moulineaux, Marnes La Coquette, Meudon, Sévres, Vile d’Avray). Les usagers sont invités par les municipalités à ne pas sortir leurs bacs sur le trottoir. Pendant ce mouvement social, GPSO est en contact permanent avec le société SITA « afin que le service public soit rétabli dans les plus brefs délais  et que les désagréments soient les plus limitées possibles pour les riverains »

    FEU TRICOLORE : Depuis La Foire de Paris, le cadencement des feux tricolores du carrefour Marcel Yol /Jullien  devantle lycée Michelet,  a été modifié. Auparavent les  temps de passage et d’arrêt étaient plus courts, permettant de fluidifer la circulation. Depuis la modification, avec des temps plus longs, de longues files de véhicules se constituent non plus aux heures de pointe de la circulation dans un sens ou l’autre, mais durant toute la journée. Au risque d’ailleurs, soulevé par une riveraine lors de la dernière réunion publique de quartier du Plateau de voir des automobilistes impatients bruler le feu rouge. Ce qui a été déjà le cas. De surcroît dans un lieu très fréquenté par les jeunes de Michelet

    FUSION : André Santini député maire d’Issy et Pierre Christophe Baguet maire de Boulogne doivent rencontrer le préfet de région Jean François Carenco, jeudi après-midi dans son bureau de la préfecture d’Ile de France prés de France Télévision et de l’Hôpital Georges Pompidou. Il sera bien sûr question de cette fusion entre leurs deux villes dont l avait dit que « c’est un signe » en Ile de France pour d’autres fusions et création de ville nouvelle dont il a été beaucoup question la semaine dernière au Congrés des Maires au Parc des Expositions de la Porte de Versailles

  • FUSION ISSY/BOULOGNE : VANVES RATE LE COCHE…COMME D’HABITUDE

    Comme le Blog l’avait indiqué la semaine dernière, la fusion Issy les Moulineaux/Boulogne est en bonne voie. La première étape, grâce à  deux délibérations des deux villes,  devrait être franchie finJuin/début Juillet. D’autant plus que l’Etat voit cela d’un bon œil. Rappelons que le préfet de Région avait déclaré que « c’était un bon signe » pour d’autres fusions en région Ile de France où, pourtant, il n’y avait pas réellement une tradition  d’intercommunalité par rapport à la province. Mais voilà, Vanves ne serait pas de la partie ! Pierre Baguet aurait déclaré à propos de son maire « qu’il se débrouille ! » lorsqu’était évoqué l’idée de voir Vanves rejoindre cette commune nouvelle. La tentative de putsch de la présidence de GPSO de PC Baguet a été laissée des traces, dans laquelle s’était fortement impliqué Bernard Gauducheau contre son collégue de Boulogne. D’autant plus que Pierre Christophe  Baguet devrait se retrouver  maire de la commune nouvelle formée par Boulogne et Issy les Moulineaux, et André Santini président de GPSO.  Ainsi Vanves risque de rester à l’écart d’un mouvement qui commence à se dessiner. Notamment dans GPSO avec un projet similaire entre les villes de Meudon-Sévres-Ville d’Avray-Chaville et Marnes La Coquette. Faudra t-il que Vanves se tourne vers Malakoff et Montrouge, à moins que ce soit Paris à défaut ? A moins de connaître un sort qui va à l’encontre de la tendance générale et de devenir le petit village gaulois, comme l’histoire l’a montrée 

    La fusion est une solution qui s’inscrit dans l’histoire de la capitale. Elle s’est construite au fil des siécles en repoussant ses frontières au-delà de la petite couronne. Le 1er Janvier 1860, elle annexait toute une partie de sa banlieue pasant de 3 370 à 7 802 ha et augmentait sa population de 500 000 habitants. Car à l’époque, Montmartre, Les Batignolles, La Villette, Belleville, Grenelle, Vaugirard… ne sont pas des quartiers parisiens, mais des villages, situés au-delà de l’enceinte dite des fermiers Généraux qui protège Paris. La frontière était bien marquée car quiconque la franchissait devait s’acquitter de l’octroi, un impôt sur les produits qui rentraient dans la ville. Vanves en a bénéficié jusqu’après la 1ére guerre mondiale, ses recettes s’étant atténuée pendant la guerre 1914-18. Napoléon III, avec pour bras armé le baron Haussmann, avait l’idée de constituer une grande capitale capable de rivaliser (déjà) avec Londres en absorbant ses villages ou en annexant une partie des territoires des communes riverains comme Issy les moulineaux (Plaine Vaugirard où se trouvent l’héliport, l‘Aquaboulevard..), Aubervilliers, Saint Ouen, Gentilly…

    Mais voilà 23 ans plus tard, par décret du 8 Novembre1883, Vanves était amputée du territoire constituée par la ville de Malakoff, alors que notre commune s’étendait jusqu’à Montrouge, lui permettant d’être chef lieu de canton au cours du XIXéme siécle, avec tribunal d’instance, gendarmerie, poste….Sa population d’alors tombait de 12 000 à 6000 habitants et elle devenait la plus petite commune et la plus dense  des Hauts de Seine, mais plus tard.  C’est le chemin de fer qui en a été principalement la cause, coupant ce territoire communal en deux parties inégales, la partie Malakoff étant alors baptisé «le « Petit Vanves » et s’étant développé petit à petit à la limite de la petite ceinture et des fortifications de Paris (aujourd’hui occupé par le Périph).

    Des lotissements et des pavillons à bon marché furent construits par Alexandre Chauvelot qui reçut l’autorisation de Napoléon III de baptiser ce nouveau quartier « la Nouvelle Californie » après avoir fait érigé une tour baptisé « Malakoff » en souvenir de la célébre bataille. Ce quartier s’était tellement peuplé avec restaurants, guinguettes et même un parc d’attraction, que la municipalité de Vanves envisageait de construire une école, d’ouvrir des rues nouvelles…jusqu’au jour où les élus représentant ce nouveau quartier, ont jugé que leur municipalité n’en faisait pas assez, provoquant des crises municipales, avec des voeux demandant l’érection de Malakoff en commune distincte  au début des années 1880 qui aboutirent 3 ans plus tard. Ce qui démontre que Vanves a plutôt subit ses mutations territoriales qu’initié. Et que malheureusement l’histoire risque de se répéter !  

  • REVISION DU REGLEMENT LOCAL DE PUBLICITE DE VANVES : « On essaie de limiter pour ne pas trop polluer ! »

    Une réunion publique se déroule ce soir à 19H30 à l’hôtel de Ville sur le règlement local de publicité qui est en cours de révision. Rappelons que le conseil municipal avait décidé le 1er Octobre 2014  de réviser le règlement local de la publicité qui date du 25 Mars 1998. Le  maire avait compétence en matière de police de l’affichage et notamment sur les enseignes des commerces jusqu’à présent. Mais dorénavant c’est  GPSO avec son établissement public territorial (EPT) qui va mener à bien cette révision. D’autant plus qu’il  faut que d’ici 2020,  chaque commune et maintenant interco,  reconfirme, rappelle et révise ses règles, car le code de l’environnement a évoluée en prévoyant des règles plus simples sur les enseignes notamment.

    Ce code régit la publicité sur le mobilier urbain, les panneaux d’affichage publicitaire et d’informations (administratives ou associatives). Beaucoup ont disparus à cause d’opérations d’aménagements. Mais cette révision a pour objectif d’écarter le risque d’une multiplication des panneaux publicitaires, la réglementation nationale permettant la réinstallation de certains des nombreux dispositifs déposés depuis 1998,  et de prendre en compte les modes de publicité inexistantes en 1998 et aujourd’hui autorisés par la réglementation (bâches publicitaires, micro-affichage, publicités numériques). Sachant que la ville comptait 11 dispositifs publicitaires non lumineux (4 scellés au sol et 7 muraux) et une seule lumineuse en toiture, 19 Abris, 43 mobiliers urbains d’informations dont 13 de 8 m2 et 30 de 2m2 en  2015 ( 67 dispositifs publicitaires non lumineux en 1996, dont 33 scellés au sol et 34 muraux de 12 m2).

    Il permet de revoir les zones réglementées en fonction de la réglementation nationale en vigueur depuis le 1er Juillet 2012 pour maintenir le niveau de protection assuré par le règlement de 1998. Il sera  tout autant protecteur  pour protéger certaines zones historiques (Eglise Saint Remy, Lycée Michelet), pavillonnaires remarquables, sites classés (Parc.F.Pic) . Il permet de supprimer la zone de publicité élargie instituée en 1998 qui portait sur 8 murs pignons (2 rue L.Blanc, 22 rue de la République, 16 place de la République, 2 rue Barbés, 90 rue J.Bleuzen, 5 et 104  rue S.Carnot, 57 rue R.Marcheron) car la loi Grenelle impose qu’un règlement local soit plus restrictif que le régime général. Il permet de réduire fortement les publicités scellées au sol (4 )par des restrictions en nombre et en superficie notamment dans les secteurs à forte densité bâtie  ou signifiant (entrée de ville, centre historique, ensemble pavillonnaires caractéristiques), d’adapter les possibilités de publicité le long des axes structurants de la commune, de fixer le régime applicable à la publicité installée sur le domaine public en cohérence avec celui applicable aux dispositifs publicitaires sur propriétés privées, de fixer les obligations et modalités d’extinction des publicités lumineuses (une seule en toiture à Vanves)  

    3 ZONES DE PUBLICITE

    Il crée 3 zones de publicité :

    - La première concerne le centre ancien, les ensembles pavillonnaires caractéristiques, les lieux protégés par la loi  (100 m et champ de visibilité des deux monuments) ainsi que les abords de deux édifices non protégés au titre des monuments historiques mais signalé comme « Patrimoine du XXéme siécle » avec le monastère des Bénédctines et la chapelle de la Maison de retraites Larmeroux. La publicité y est interdite, sauf celle supportée par les palissades de chantiers et celle apposée sur mobilier urbain (surface de la publicité limitée à 2m).

    - La seconde zone couvre les entrées de ville  où les dispositifs publicitaires scellés au sol sont interdit, la publicité murale est admise uniquement sur mur de bâtiment aveugle ou peu percé, à raison d’une seule disposition par unité foncière. Tous les mobiliers urbains sont admis avec limitation de la publicité à 7m .

    - La troisième zone couvre tout le reste du territoire vanvéen avec une régle de densité (un dispositif mural sur une unité de moins de 25 m de linéaire de façade, un dispositif mural ou scellé au sol sur une unité foncière entre 25 et 50 m, 2 dispositifs admis pour une surface supérieure à 50 m).

    Ce règlement indique que  les écrans vidéos étant limités à 2m2,  autorise les bâches publicitaires (de chantier sur échaffaudage ou bâches permanentes sur mur aveugle),  les panneaux lumineux uniquement le long du Bd Périph, avec arrêt de cette publicité lumineuse entre 1H et 6H. Le Grenelle II de l’Environemment a durci la réglementation des enseignes avec un régime d’autorisation : A  Vanves, le règlement introduit des prescriptions esthétiques pour les enseignes apposées devant les devantures et de limiter celles en drapeau à 2 par établissement, voire à deux parties pour les établissements en angle. « On essaie de limiter pour ne pas trop polluer » selon le maire